Exposition intitulée "Marhaba" ("Bienvenue" en arabe) : chaque photo raconte une
histoire, capture un moment de vie et reflète l'âme vibrante du Maroc (dunes du
désert, ruelles animées des
Broken Faces
01maart
-29maart
17 Rue De Belfort, 69004 Lyon, Frankrijk
Beschrijving
Il aime noircir le blanc, miser sur les contrastes, la profondeur, les coulures et les tâches.
C’est de la peinture acrylique, c’est de l’encre de chine, c’est une toile, c’est du noir et du blanc. Ce sont des gestes puis des formes, puis des visages, puis des yeux, puis des regards et les émotions qu’on leur prête.
Les premières « expositions » datent du début de la décennie 2010, montrant des petits formats sur papier, des dessins sans prétentions, accumulés depuis des années et accrochés à la pince à linge sur des fils tendus dans quelques lieux amis, juste parce que les occasions se présentaient.
Puis peu à peu les formats ont grandi, la toile est apparue et le dessin est devenu peinture. Non pas que les prétentions aient changé, mais de nouveaux outils étaient devenus nécessaires pour répondre au besoin d’exprimer certaines choses. C’est le début de la série « Broken Faces », ou Gueules Cassées, sans référence aux mutilés de la 1ère guerre mondiale mais parce que c’est ce que c’est : une accumulation de visages aux proportions floues, aux contours abimés…
A partir de 2018, les lieux qui ont prêté leurs murs à ces visages ont commencé à se diversifier : espaces associatifs, cafés culturels, salles de concerts, galeries, ateliers d’artistes (à Mâcon et alentour, Chalon sur Saône, Montceau, Dijon, Valence, Lyon entre autres…).
Parallèlement à la peinture, Vitterbo reste également musicien. Il est aussi parfois photographe. Il fut un temps où il s’essayait à la sérigraphie :
« un peu touche à tout, expert en rien », il assume son goût pour l’artisanat, sans autre ambition que de se laisser guider par l’envie ou la nécessité de pouvoir s’exprimer.
C’est de la peinture acrylique, c’est de l’encre de chine, c’est une toile, c’est du noir et du blanc. Ce sont des gestes puis des formes, puis des visages, puis des yeux, puis des regards et les émotions qu’on leur prête.
Les premières « expositions » datent du début de la décennie 2010, montrant des petits formats sur papier, des dessins sans prétentions, accumulés depuis des années et accrochés à la pince à linge sur des fils tendus dans quelques lieux amis, juste parce que les occasions se présentaient.
Puis peu à peu les formats ont grandi, la toile est apparue et le dessin est devenu peinture. Non pas que les prétentions aient changé, mais de nouveaux outils étaient devenus nécessaires pour répondre au besoin d’exprimer certaines choses. C’est le début de la série « Broken Faces », ou Gueules Cassées, sans référence aux mutilés de la 1ère guerre mondiale mais parce que c’est ce que c’est : une accumulation de visages aux proportions floues, aux contours abimés…
A partir de 2018, les lieux qui ont prêté leurs murs à ces visages ont commencé à se diversifier : espaces associatifs, cafés culturels, salles de concerts, galeries, ateliers d’artistes (à Mâcon et alentour, Chalon sur Saône, Montceau, Dijon, Valence, Lyon entre autres…).
Parallèlement à la peinture, Vitterbo reste également musicien. Il est aussi parfois photographe. Il fut un temps où il s’essayait à la sérigraphie :
« un peu touche à tout, expert en rien », il assume son goût pour l’artisanat, sans autre ambition que de se laisser guider par l’envie ou la nécessité de pouvoir s’exprimer.
Datum informatie
Du 01/03 au 29/03/2025, tous les jours.