Le Palace

Organisateur

Événements à venir

Conférence gesticulée Ou comment penser nos organisations pour éteindre les incendies qui nous menacent ? Une conférence gesticulée et bousculante, tirée de l’expérience d’un pompier du sud. Et si les acteurs de la transition s’inspiraient de l’organisation des pompiers pour éteindre les incendies qui nous menacent ? Attaquer les feux (ou les problèmes), oui, mais pas n’importe comment ! Mesurer l’importance de la localisation des incendies, de la communication entre les acteurs, des connecteurs, mais aussi de penser des moyens de défenses et d’objection, et de systématiser les retours d’expériences. Élaborer des stratégies de prévision et de prévention tout en prenant soin de ceux qui vont au feu au service de l’humanité. Autant de pratiques usuelles chez les pompiers qui pourraient inspirer nos organisations. C’est avec beaucoup d’humour, de métaphores et de comparaisons que Laurent Marseault, pompier de Méditerranée et membre du mouvement Colibris, propose ce regard décalé en analogie avec l’organisation des pompiers sur nos dérives méthodologiques, nos entre-soi, nos contradictions. « Pour faire face au futur, il faudra dépasser le “chacun fait sa part” et aller rapidement vers le “tous ensemble”. » En collaboration avec le CRIE de Mouscron et avec le soutien de la Région wallonne © Jordan Bourchague
Musique du monde Le projet est né lors du festival Afropolitan 2021… Et ce qui devait être un événement ponctuel est devenu quelque chose de plus grand. AKAR c’est l’Europe, AKAR c’est l’Afrique, AKAR c’est la génération X et Y. AKAR est composé de 4 artistes, français, belges, blancs, noirs… Un homme et trois femmes. Shama Bongo jongle, transporte avec sa voix et sa parfaite maîtrise. Sarah Carlier voyage entre sa voix, sa guitare et son ordinateur. Rokia Bamba joue avec les sons du quotidien, le bruit ambiant de la ville ou de la nature. Ben Richard défie par sa façon de jouer avec les sens, ce que nous entendons, ce que nous voyons. Ils utilisent des dialectes différents, mais parlent la même langue : la musique. À une époque où le dialogue entre les cultures et les différences devient de moins en moins évident, naturel, le message qu’ils veulent faire passer est qu’au-delà de toutes les choses qui les rendent différents, il y a toujours quelque chose qui les rapproche, qui leur permet de se comprendre. Le nom AKAR englobe toute cette humanité et a donc plusieurs significations, dans plusieurs langues et même sur plusieurs continents… Il signifie RACINE en soudanais, malais et indonésien, VOLONTÉ en hongrois, FLUX en turc, et DÉRANGER, AGITER et RENDRE TABOU en hébreu. Une production UBU. Avec Sarah Carlier vocals, acoustic guitar, electric guitar, electronics - Shama Bongo vocals, electronics - Ben Richard VJing, electronics, Dj - Rokia Bamba electronics, Dj Archives : AfricaMuseum www.africamuseum.be Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut. © Akar Collectif
Théâtre jeune public Prix de la ministre de la Culture, Coup de cœur de la Presse aux Rencontres Jeune Public de Huy 2022, Norman est un petit bijou scénographique ! On y apprend que chacun peut vivre avec ses différences et en s’écartant de la norme. À première vue, Norman est un petit garçon tout à fait comme les autres. Mais voilà qu’un beau jour, à l’âge de sept ans, il décide de mettre une robe pour aller en classe. Ce qu’il aime par-dessus tout, c’est la sensation du vent qui s’engouffre entre les plis du tissu, la caresse sur sa peau, et l’impression de s’envoler lorsqu’il tourne sur lui-même. Avec sa jolie robe, douce comme un petit goût de liberté, Norman a tout pour être heureux ! Mais, sur le chemin de l’école, son nouveau look ne fait pas l’unanimité… Norman pose un regard lucide et parfois cruel sur la violence de notre petit monde. Il révèle aussi, avec une immense tendresse, l’héroïsme bouleversant de ses personnages confrontés aux obstacles du quotidien. À travers l’histoire de ce petit garçon qui refuse de faire semblant, ce spectacle bourré d’humour nous invite à questionner joyeusement notre rapport aux normes, aux genres et aux différences. Il nous embarque sur les pas de ces êtres qui se cherchent et qui veulent se faire aimer. À 15h, les enfants du stage Je suis comme je suis joueront leur création collective en première partie du spectacle. (Infos page X) Direction et chorégraphie Clément Thirion – Écriture et dramaturgie Marie Henry – Avec Quentin Chaveriat, Antoine Cogniaux, Deborah Marchal – Création du rôle de Norman Lylybeth Merle – Scénographie et costumes Katrijn Baeten et Saskia Louwaard – Création sonore Thomas Turine – Danse classique Maria Clara Villa Lobos – Direction technique et création lumière Gaspar Schelck – Développement, production et diffusion BLOOM Project – Production kosmocompany Coproduction Mars, Pierre de Lune, Charleroi danse, La Coop ASBL, avec l’aide de la FWB et de WBTD – Soutiens La Montagne Magique, Shelterprod, Taxshelter.be, ING, Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge. Avec le soutien des Tournées Art et Vie. Le texte Norman c’est comme normal, à une lettre près est publié aux Éditions Lansman. ©Hichem Dahes
QUEEN KONG
07november
-
08november
« Le texte d’Hélène Vignal est cru, sensuel, tranchant. Sa beauté vient de la simplicité de ses mots, de la révolte qui l’anime, du chemin d’émancipation qu’il ébauche. » Télérama Je sais pourquoi ça les rend fous. Parce que je me suis comportée comme la plupart des mecs. J’ai baisé quand je voulais, qui je voulais, j’ai quitté tout de suite après, j’ai choisi sans attendre d’être choisie. Pour le groupe, elle en est une. Une belle. Une vraie. Une grosse. Une sacrée… C’est ce qu’ils disent dans les commentaires qui font sonner son téléphone à répétition, entre insultes et émojis assassins. Mais elle choisit de voir, toucher, entendre, goûter. Sans céder à la pression et au jugement de la meute. Elle joue selon ses propres règles. Seule ? Peut-être pas… Queen Kong est un texte incisif et éclatant, porté par une héroïne qui dynamite les codes et décide de suivre à tout prix ce désir de liberté qui bat en elle. Quel qu’en soit le prix à payer… Adapté pour sa création au Poche par Georges Lini (Iphigénie à Splott, La Sœur de Jésus-Christ…), Queen Kong est LE roman plébiscité par les jeunes lecteurs à sa sortie en 2021. Il parle sans tabou de sexualité, de désir et de fantasme. Attention : ce spectacle comporte deux minutes d’effets stroboscopiques intenses. Mise en scène Georges Lini – Avec Emilie Eechaute – Scénographie Olivier Wiame – Éclairages Jérôme Dejean assisté de Candice Hansel – Regard artistique Sébastien Fernandez – Direction musicale et composition François Sauveur – Création sonore et composition Pierre Constant – Musicien et compositeur Jérôme Colleyn – Publié aux éditions Thierry Magnier, coll. L’Ardeur, 2021. Une coproduction du Théâtre de Poche, de la Compagnie Belle de Nuit, de La Coop ASBL et Shelter Prod. Avec le soutien de Taxshelter.be, ING et du Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge. Avec le soutien des Tournées Art et Vie. ©Lara Herbinia
ESPÈCES MENACÉES
15november
-
16november
La Comédie de Bruxelles (lauréat de la meilleure comédie aux Prix Maeterlinck 2023) reprend ce classique d’hilarité de Ray Cooney, nominé aux Molières en 1998 et 1999 ! Le jour de son anniversaire, Yvon échange par mégarde sa mallette de comptable contre celle d’un inconnu dans le RER et y découvre des millions. Il décide aussitôt de s’envoler pour Buenos Aires, en Argentine, afin d’y commencer une nouvelle vie au soleil. Mais c’est sans compter sur le refus obstiné de sa femme, les intrusions successives d’un couple d’amis inopportuns, d’un policier douteux, d’un commissaire tatillon, d’un chauffeur de taxi irascible et l’arrivée d’un tueur bien décidé à récupérer son dû. Une production de la Comédie de Bruxelles – De Ray Cooney – Mise en scène Daniel Hanssens – Assistanat Laurent Denayer – Avec Pierre Pigeolet, Frédéric Nyssen, Christel Pedrinelli, Michel Hinderyckx, Daniel Hanssens, Didier Colfs, Catherine Claeys et Laurent Denayer – Scénographie Francesco Deleo – Lumières Laurent Kaye En coproduction avec Shelter Prod – Avec le soutien de Taxshelter.be et ING, du Tax-Shelter du gouvernement fédéral de Belgique. Merci aux investisseurs de Taxshelter.be et ING dont la société CPH Life. Avec le soutien des Tournées Art et Vie. ©Grégory Navarra et Black Box Studio Brussels Ingrid
RAGE
27november
-20:00
Attention, âmes sensibles, s’abstenir ! Rage est un spectacle cathartique sur le sexisme ordinaire. Il faut le prendre au 15e degré de l’humour. Dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Rage présente un panel des mini-agressions subies, mine de rien, quotidiennement, par des femmes et en change le dénouement. Il s’agit de rendre aux personnages féminins un pouvoir d’action flamboyant, hors des limites du réel : on assiste à la remarque de trop, celle qui fait déborder le vase de la colère et déclenche une avalanche de violence sur celui qui faisait entièrement confiance à son impunité : le patron qui t’appelle « ma belle », le petit ami qui s’énerve un peu trop vite, un peu trop fort. Confiant, aucun n’imagine, une seule seconde, devoir faire face à une contre-attaque. Mais cela pourrait changer. Inspirée de faits réels, Émilienne Flagothier réécrit ces histoires, alimentant sa « Rage » pour faire face à la banalisation et les rapports s’inversent : la taiseuse d’hier devient la femme offensive. Tour à tour, elle est l’amazone, l’émeutière, la résistante, l’insoumise, en lutte contre la domination masculine, le sexisme ordinaire. Mise en scène Emilienne Flagothier – Avec Sarah Grin, Pénélope Guimas, Pauline Victoria, Castélie Yalombo – Collaboration artistique et assistanat Magrit Coulon – Dramaturgie Céline Estenne – Scénographie Camille Lavaud – Direction technique et création lumière Emma Laroche – Création sonore Louise Blancardi – Coaching combats et cascades Emilie Guillaume – Costumes Selma Raphard – Construction décor Camille Lavaud, Elisa González Frias, Giulia Tartari et Robin Divrande – Production Mars – Coproduction Théâtre National Wallonie-Bruxelles – Avec l’aide du Ministère de la FWB, ING & Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge et le soutien des Halles de Schaerbeek, de la Bellone et du Centre Culturel Jacques Franck. Avec le soutien des Tournées Art et Vie. © Margot Briand
PLAYBACK
30november
-20:15
Cabaret Queer Une nouveauté dans la saison : un cabaret queer ! Un spectacle puissant, Playback est à la croisée des normes et des genres. On s’y moque de la normalité, on y revendique ce qui nous rend magiques, on y rêve à un futur plus doux. Playback, c’est un mélange corsé de créatures, drag kings et drag queens. Vous allez découvrir des histoires aussi belles qu’authentiques, aussi intenses que ridicules, aussi pailletées que politisées et partager, le temps d’une soirée, l’univers merveilleux de Drag Couenne, Mama Tituba, Sugar Love, @Zac et Blanket la Goulue. « Bienvenue à Playback : le drag n’est plus politique, à nous de le re-politiser. Un cabaret drag itinérant qui réunit des artistes politiques, chaotiques et fantastiques. Nous chantons, dansons, hurlons, pleurons, rions, nous normalisons nos combats queers, nos corps non normés, nos histoires puissantes. Nous sommes une lueur d’espoir dans la violence de la vie nocturne, un show qui éduque et transforme. » Avec le soutien d’Infor Jeunes Ath ©Aurore Morillon, Jonathan Petit, Sarah Kurt, Laetitia Bica
Clown Pour la fête des enfants, Saint-Nicolas a mis dans sa hotte un magnifique cadeau : un spectacle pour passer un doux moment en famille, de rire et de détente. Le grand Saint nous l’a promis : il revient au Palace ! Le duo hilarant et explosif de clowns OKIDOK (Slips Inside, Les ChevalierS, HA HA HA…) est de retour pour notre plus grand plaisir avec du théâtre gestuel et non-verbal à découvrir en famille ! De l’italien in petto (en secret), lui-même du latin in pectore (dans la poitrine), dans le secret du cœur, en le pensant sans le dire. Comment survivre quand le monde s’écroule perpétuellement sous nos pieds ? Sur leur bonhomme de chemin, les deux clowns musiciens – miroirs déformés de nos fragiles humanités – trimballent inexorablement leur condition et convoquent, in petto, l’absurde de nos existences. Malmenés par leur maladresse et leurs accessoires désarticulés, ils tentent de trouver, dans ce moment suspendu, un équilibre précaire, une solution salutaire, afin de poursuivre leur route. Création OKIDOK – Régie totale Benoît Guilbert – Clowns Benoît Devos, Xavier Bouvier – Accompagnements dramaturgie Jeannine Gretler – Clown Amanda Kimble – Chant et musique Charlotte Vancoppenole, Éloi Baudimont – Scénographie OKIDOK/LSDiffusion/Union Industrielle de Tournai – Marionnette Sébastien Boucherit – Costumes Lili Deconinck – Coproduction Latitude 50 – Marchin, Mars – Mons arts de la scène, L’ANCRE – Théâtre Royal Avec le soutien Fédération Wallonie-Bruxelles, Service des Arts Forains, du Cirque et de la Rue/Cie Transquinquennal – Accueil en résidence Maison de la culture de Tournai, Foyer Socioculturel d’Antoing, Centre Culturel de Mouscron, Le Monty-Tof Théâtre, L’ANCRE – Théâtre Royal. Avec le soutien des Tournées Art et Vie. © Denis Grégoire
Visuellement très réussi, aussi délirant dans la forme qu’il est réfléchi dans le propos, drôle de bout en bout, Le Signal du promeneur du Raoul collectif est un fameux bol d’air frais ! Qu’est-ce qui pousse un homme à rompre totalement avec son milieu, voire avec la société tout entière ? Le Raoul collectif s’empare de cette question en convoquant une série de personnalités bien réelles ayant ainsi pris la tangente. Mais le collectif de créateurs-comédiens ne raconte pas leurs histoires : il les fantasme. Il entremêle joyeusement les fils disparates de ces destins pour les retisser en une réflexion jubilatoire sur la manière dont chacun tente de tracer son chemin. Aidés par une dynamique de groupe saisissante, qui a tout de la fratrie, les cinq hommes posent les bonnes questions, pointent les dysfonctionnements d’une société qui étouffe. Mais avec quelle légèreté ! Avec quelle inventivité formelle ! « Un cocktail détonnant qui allie énergie, joie de vivre, humour et intelligence… et bousculant tous les codes habituels d’une représentation dont on ressort, sourire aux lèvres, regonflé d’une envie nouvelle d’en découdre avec la vie… » Le Soir Conception et mise en scène Raoul collectif – De et avec Romain David, Jérôme de Falloise, David Murgia, Benoît Piret, Jean-Baptiste Szézot – Assistanat à la mise en scène Édith Bertholet – Regard extérieur Sarah Testa – Direction technique Philippe Orivel – Chargée de production Catherine Hance – Avec la collaboration artistique de Natacha Belova (costumes), Julien Courroye (son), Emmanuel Savini (lumière) – Régie son Julien Courroye – Régie lumières Philippe Orivel – Production Raoul collectif – Coproduction Théâtre National/Bruxelles, Maison de la Culture de Tournai – Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Avec le soutien de Zoo théâtre ASBL, le Groupov, Théâtre & Publics et l’Ancre/Charleroi, dans le cadre de Nouvelles Vagues. Avec le soutien des Tournées Art et Vie. ©Cici Olsson
Humour « L’humoriste nous raconte sa vie atypique et c’est à mourir de rire. De son enfance de “petit Noir” dans le Béwé à sa haine des chats qu’il considère comme des psychopathes en passant par ses anecdotes hilarantes de soirées un peu trop arrosées, on a ri du début à la fin. » Flair Né Innocent à Kigali en 1983 et baptisé Jean-Paul par le couple de lesbiennes quinquagénaires qui l’a adopté à la Hulpe un an plus tard, Inno JP a une histoire qu’il serait improbable d’inventer. Celui qui se définit aujourd’hui comme « le Barack Obama du gazon maudit » raconte son enfance dans un milieu très monochrome quand il était son seul ami noir, son inclinaison pathologique au retard (qui n’est pas de nature à torpiller les clichés) et pourquoi son cul ressemble aujourd’hui à une ville indienne. Grâce à sa qualité d’écriture rare et son aisance rythmique, Inno JP déconstruit nos fâcheux réflexes néocolonialistes avec son humour irrésistible à déboulonner des statues… Il va vous secouer de rire ! « Inno JP se raconte avec un humour corrosif. On suit le fil rocambolesque de sa vie, d’enfant illégitime de Kigali à enfant “bounty” adopté par un couple lesbien à La Hulpe. Un stand-up qui vous secoue de rire comme une gelée anglaise sur un vibromasseur. » Le Soir De et avec Inno JP – Mise en scène Thierno Thioune – Concept & Photography La Superboite – Avec le soutien de Sabam for Culture. © Julien Faure

Événements passés

Théâtre jeune public Prix de l’Enfance de la Ministre de la Culture et coup de cœur de la presse aux Rencontres de Huy 2021. Natalia vous invite à un rituel d’écoute, un prétexte à être ensemble et (s’)écouter, le temps d’une trêve… un moment suspendu avec vos enfants ! Et si la liberté, c’était de voir les autres possibles ? Et si ces autres possibles étaient cachés Ici et Maintenant, juste Là, à portée de corps et d’imagination, et qu’il fallait juste écouter attentivement pour les entendre murmurer et les suivre ? Asseyons-nous en cercle dans ma grotte : il y a des ombres et de la lumière, la chaleur du feu, des cailloux, des roulements et des froissements, des feulements animaux, des murmures d’Ici et d’Ailleurs, et tout ce qui se tissera entre vous et moi, tout ce qui se racontera en nous dans ce présent commun. Faisons confiance… « L’artiste franco-russo-colombienne capte l’attention par la délicatesse de son propos. Entre danse, performance et jeu visuel, elle apporte, dans ce voyage improvisé du Collectif les Alices, une générosité et une humilité qui séduisent d’emblée. Le chemin des pierres avance, les cairns se construisent, la montagne se profile… Juste la beauté du temps, de l’espace, des pierres et de l’art. » La Libre Conception et performance Natalia Dufraisse – Complicité lumière et dramaturgie Octavie Piéron – Inspirations sonores Sylvie Bouteiller – Présence bienveillante Fatou Traoré – Confection robe Jennifer Defays – Accompagnement à la production Julie Praet – Une création du Collectif les Alices © Pierre Exsteen Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut. Goûter-Expo 16h 5€ (boissons et goûter compris) Partagez une visite créative de l’exposition du Palace en compagnie de notre guide, et dégustez un bon goûter avant le spectacle. Réservation indispensable !
Musique du monde Ensemble instrumental créé par le violoniste Damien Chierici, OOOTOKO propose une chamber pop brute et authentique. Tel un ovni dans les productions actuelles, son travail offre un retour à l’essence même de la musique, du plaisir de jouer ensemble sans artifices où chaque membre est une pièce d’un puzzle global. OOOTOKO est une épopée musicale passant de l’intime au puissant, une traversée de styles musicaux ralliant François de Roubaix à Bonobo, en passant par Snarky Puppy, emmenant à son bord un public touché par la mélancolie, mais aussi par la joie de l’univers cinématographique proposé. Le pilote Chierici déroule une partition aux arrangements raffinés, où pop, jazz et musique classique s’entrelacent, interprétée avec beaucoup d’inspiration par des musiciens croisés sur sa route, devenus complices et ravis de se retrouver tous dans le même bateau ! Qui plus est, ici, le chant des sirènes ne les détourne pas de leur cap, car celles-ci font également partie de l’équipage. On retrouve ainsi des chœurs qui apportent la petite touche d’authenticité folk qui rend encore plus singulière cette musique inclassable. Avec Damien Chierici (violon, composition, arrangements), Leticia Collet (chant), Olivier Cox (batterie), Antoine Dawans (trompette, bugle), Clément Dechambre (flûtes, clarinette basse, saxophone), Christelle Heinen (violoncelle), Jean-Paul Kasprzyk (guitare), Louan Kempenaers (piano), Didier Laloy (accordéon diatonique), Moran Le Bars (percussions), Maxime Lhussier (chant), Jérôme Magnée (chant), Quentin Nguyen (claviers), Liam O’Maonlai (chant, bodhran, piano), Bernard Thoorens (basse, contrebasse), Nicolas Villers (trombone) © Nicolas Jaumain
JARDIN DE LA MAISON DES GÉANTS La promesse d’une soirée exquise, d’un moment suspendu rare : un texte de l’auteur athois Thomas Depryck, dans l’écrin de verdure de la Maison des Géants, pour 48 spectateurs seulement… Un homme se promène dans une grande ville et se retrouve face à un petit éléphant. Il semble le seul à le voir, décide tout de même de le ramener chez lui. Son fils est ravi ; sa femme paraît s’en accommoder. Que faire de cet éléphant ? Et si c’était l’histoire d’un père, ayant survécu à une catastrophe, qui se souvenait de sa vie d’avant ? Ou un auteur au travail qui fabule, invective les absurdités du temps et radote pour se libérer de l’angoisse ? Axel Cornil se livre sans réserve à cette performance rituelle et cathartique, portée par la musique de Nick Cave et jouée en extérieur. L’acteur-boxeur est à la fois l’équilibriste, le clown blanc et l’auguste de notre cirque existentiel. « Une performance époustouflante entre soleil et mistral. » Le Soir Adresse du jour : Maison des Géants, rue de Pintamont, 18 – 7800 Ath De Thomas Depryck, Antoine Laubin, Axel Cornil – Texte Thomas Depryck – Mise en scène, espace et régie Antoine Laubin – Assistanat espace et régie Quentin Simon – Production Camille Lefèvre – Diffusion Julie Capitan Fernandez – Montage Gaspard Samyn – Une production De Facto, réalisée avec le soutien du Théâtre Varia, d’ARTCENA et de la Commune d’Ixelles et de Wallonie-Bruxelles International ©Alice Piemme / AML Le texte de Thomas Depryck est édité chez Lansman et en vente lors des représentations. Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut. Apéro-Expo 18h30 5€ (boissons et tapas comprises) Venez prendre l’apéro avant le spectacle et découvrez une œuvre de la Biennale Art & Végétal, en compagnie de notre guide, le tout en dégustant de savoureuses tapas, préparées par La 5e Saveur. Réservation indispensable !
Humour Bruno Coppens vous propose 2 spectacles le même soir ! Andropause, un check-up à vif, un lâcher-prise sans fard, et Je mène une vie de scène, un cocktail ébouriffant de mots cœurs et de mots cris. Une promesse d’une formidable soirée ! Andropause J’aime être en peignoir dans un spa toute une journée, j’ai gardé ma ligne fixe et je ne prends plus le bus de peur qu’un jeune ne se lève pour me céder sa place. Suis-je déjà entré en Andropausie ? Les femmes ont tellement de chance ! Leur ménopause est si démonstrative et nous, les hommes ? Rien ! N’étant pas andropologue, je viens sur scène raconter mon slalom d’homme de l’enfance à l’obsolescence programmée. De, par, malgré et avec Bruno Coppens – Avec la collaboration à l’écriture de Myriam Leroy – Mise en scène Éric de Staercke et Papy (Alain Degois) – Co-production d’Exquis Mots et du Théâtre Le Public, avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge. Je mène une vie de scène Voici les nouvelles péripéties de notre jongleur de mots national ! Juché sur sa bicyclette, le célèbre verbo-moteur belge lutte contre la crise énergétique. À coups de pédales, il alimente clim’ et éclairage de la salle ! Tel Don Quichotte, cet humoureux des mots affrontera son ordinateur qui lui demande : « êtes-vous un robot ? » Il vous dévoilera, grâce à La Fontaine, la fin de la guerre entre Poutine et Zelensky. Et déballant états d’âme et états d’homme, ce trublion mélancolique rendra un hommage émouvant à Raymond Devos. Mise en selle Éric de Staercke – Assistante à la mise en selle Adèle Crickx – Lumière Nicolas Fauchet – Musique et bande-son Éloi Baudimont – Confection d’accessoires Pierre Legrand – Co-production d’Exquis Mots et du Théâtre Le Public, avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge, avec l’aide de la SABAM ©Gaël Maleux Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut.
Musique Cette soirée « Carte blanche » est une vibrante occasion pour Kryztof Meyer, compositeur-accordéoniste athois, d’apporter ces villes sur scène et de revenir sur 25 années de musique. Un merveilleux mélange de liberté et de rigueur. On peut parler d’un véritable coup de foudre entre Kryztof Meyer et l’accordéon diatonique. Après la musique traditionnelle et les bals folks où il apprend son instrument, une déferlante punk (les Shrapnels), puis le groupe Cave Canem !, il crée Pharmacie de garde (octet de musique de chambre composé d’accordéons diatoniques). Sur scène, il sera rejoint par ces différents groupes pour un revival exceptionnel ! L’accordéon le prolonge définitivement et le multiplie. Il peut dorénavant jouer tous les styles et transcender son instrument ; son accordéon virevolte avec lui… subtils et aériens, tous les deux. En 2017, il s’éloigne de la scène, voyage, retrouve l’Asie. Au creux de l’hiver 2021, il s’isole dans un petit appartement montréalais et se remémore les villes qu’il a traversées, habitées, aimées. Il rassemble des photos et des textes écrits au fil de ses voyages et compose 15 mélodies qu’il dédie à ces villes : Saigon, Montréal, Mandalay, Naples, Malmö, Taipei… Amoureux des mélodies épurées et rendues à leur plus simple expression, Kryztof enregistre un album de onze morceaux à l’accordéon. De ce travail, un recueil est édité au printemps 2022. Au programme : plein de surprises… aussi virevoltantes qu’émouvantes ! Avec Kryztof Meyer et les musiciens qui ont croisé sa route : Nicole Cangueiro, Pierrot Delor, Sébastien Taminiau, Benoît Minon, Corentin Dellicour, avec Cave Canem !, les Shrapnels, Pharmacie de Garde. Régie Antoine Thonon ©Trương Minh Quý Apéro-Expo 18h30 5€ (boissons et tapas comprises) Venez prendre l’apéro avant le spectacle et visitez l’expo du Palace, en compagnie de notre guide, le tout en dégustant de savoureuses tapas, préparées par La 5e Saveur. Réservation indispensable !
Théâtre d’objets Les Karyatides (Carmen, Madame Bovary, les Misérables) reviennent avec une nouvelle adaptation d’une grande œuvre littéraire. Elles nous offrent de nouveau un spectacle à la beauté spectrale, d’une précision chirurgicale. Et on adore ! Victor Frankenstein est un scientifique passionné. Son obsession : découvrir le mystère de la vie. À force d’acharnement, il parvient à raviver un cadavre, forçant l’admiration de certains, éveillant l’horreur des autres. Après avoir façonné sa créature, il l’abandonne, ne parvenant pas à lui offrir ce que lui-même refusait de perdre : l’amour filial. Rejetée, accablée de toutes parts, l’innommable créature en vient à commettre l’irréparable, passer de victime à bourreau. La Compagnie Karyatides adapte le roman de Mary Shelley à l’opéra et au théâtre d’objets. Elle donne vie à une œuvre sublime, parsemant habilement la tragédie de décalages humoristiques. « Le théâtre d’objets apparaît comme le porte-drapeau d’un art en résistance, plus contemporain que jamais, qui est à la culture ce que le recyclage ou le slow food sont à nos modes de vie : un modeste et grandiose pas de côté. » Le Soir « Après Carmen ou Les Misérables, les Karyatides s’emparent de Frankenstein avec bonheur pour un mélange de théâtre d’objets et d’opéra de toute beauté, d’une extrême précision, entre clairs-obscurs, chants de consolation, de supplique ou de prière et de piano sur scène. » La Libre Une adaptation en opéra et théâtre d’objets du roman de Mary Shelley – Avec Cyril Briant, Marie Delhaye et Karine Birgé (en alternance) – Chant Pauline Claes – Piano Christia Hudziy – Régie Karl Descarreaux et Dimitri Joukovsky (en alternance) – Mise en scène Karine Birgé – Dramaturgie Félicie Artaud et Robin Birgé – Création sonore Guillaume Istace – Création lumière Dimitri Joukovsky – Collaboration technique Karl Descarreaux – Scénographie Claire Farah – Confection costumes Camille De Veaux de Sancy – Constructions Sébastien Boucherit, Claire Farah, Joachim Jannin et Théâtre de Liège – Illustrations Antoine Blanquart – Production Élodie Beauchet, Camille Grange – Diffusion Cécile Maissin. Une production de la Compagnie Karyatides – En coproduction avec La Monnaie, Théâtre de Liège, Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes, Le Sablier, Le Trident, Centre culturel de Dinant, La montagne magique, Pierre de Lune et La Coop ASBL. Avec le soutien de La Roseraie, Shelterprod, Taxshelter.be, et du Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge. Réalisé avec l’aide de la FWB – Service du Théâtre. Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut Frankenstein est un co-accueil de la Maison Culturelle d’Ath et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut.
SAMOURAÏ
05april
-20:00
On a le plaisir d’accueillir l’adaptation théâtrale du dernier roman de Fabcaro, par Denis Laujol à qui l’on doit également la mise en scène du Champ de Bataille (venu il y a 2 ans au Palace). On vous promet une chose : c’est drôle et on rit, on rit !! « Tu veux pas écrire un roman sérieux ? » Voilà l’ultime conseil prodigué par Lisa à Alan, avant qu’elle ne le quitte. Depuis, Alan cherche un sujet de roman sérieux. Le précédent a fait un flop : 104 546e des ventes sur Amazon. Alors, il veut profiter de l’été qui commence pour se plonger avec la discipline d’un guerrier samouraï dans l’écriture d’une épopée profonde et poignante. En même temps, il s’occupera de la piscine de ses voisins. Mais rien ne va : la piscine verdit et accueille rapidement une quantité de bestioles. Dans le même temps, il met une énergie de dingue à fuir les rencontres amoureuses. Alan s’inscrit dans la prestigieuse lignée des anti-héros, un personnage à la Tchekhov. « Samouraï, c’est un peu La Piscine à la sauce lose, si Alain Delon était un célibataire dépressif qui ne savait pas utiliser des galets de chlore. En moins sexy, mais qu’est-ce qu’on rit ! » Le Nouvel Obs « Fab Caro est imbattable quand il s’agit de croquer notre époque en pointant d’un doigt vengeur ses absurdités. » Les Inrocks D’après le roman de Fabrice Caro – Adaptation et mise en scène Denis Laujol – Avec Hervé Piron – Scénographie Noémie Vanheste et Lionel Ravira – Création vidéo Lionel Ravira – Création sonore Marc Doutrepont – Création lumière Candice Hansel – Visuel Alamy – Une coproduction du Théâtre de Poche, de la Cie Ad Hominem, de la Maison de la Culture de Tournai, de la Coop et Shelterprod. Avec le soutien de Taxshelter.be, ING et du Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge. Avec l’aide du Ministère de la Culture de la FWB – service du théâtre. Avec l’aimable autorisation des éditions Gallimard. Aussi à la Maison de la Culture de Tournai, le 03.04.2024 Apéro-Expo 18h30 5€ (boissons et tapas comprises) Venez prendre l’apéro avant le spectacle et visitez l’expo du Palace, en compagnie de notre guide, le tout en dégustant de savoureuses tapas, préparées par La 5e Saveur. Réservation indispensable !
Technique : peinture / sculpture Du 30.03 au 22.06 Avec ses couleurs pop et gourmande, Léopoldine Roux investit le Palace à Ath. Les poches remplies de vernis à ongle, l’artiste bruxelloise use du liquide brillant pour transformer le décor urbain issu d’anciennes cartes postales noir & blanc. Comme une Mary Poppins des temps modernes, Léopoldine transforme les rues noires et tristes par un coup de peinture dans lesquelles on saute volontiers à pieds joints pour vivre l’expérience du paysage bucolique. Par ses couleurs pétillantes, l’artiste nous transporte dans un univers acidulé et vitaminé. La couleur omniprésente se respire, se vit et se joue, comme une expérience intime et collective. « L’œuvre ludique, faussement enfantine de Léopoldine a de réels pouvoirs et peut influer sur nos sentiments en nous donnant à voir et à réfléchir sur une réalité bien cruelle : la perte du beau dans le paysage urbain contemporain. » Carole Depasse _ Souvenirs de Bruxelles, texte de l'exposition 2022 Vivre le paysage urbain contemporain autrement. Dans le cadre de la Biennale Art & Végétal, Léopoldine Roux est invitée à investir le Jardin des Arts et des Lettres. Elle met en dialogue la couleur en tant que sujet au cœur de la ville. Pour ce faire, l’artiste investit un espace public partagé entre ambiance végétale et minérale. Son intervention, intitulée Rainbow Seeds (Graines d’Arc-en-Ciel), est composée de pierres bleues, certaines discrètes, d’autres monumentales. Toutes seront couvertes des sept couleurs de l’arc-en-ciel. Apparaissant comme un impossible mirage échappé d’un conte de fées, ces monolithes invitent à penser et vivre l’espace public autrement. Infos et réservations : mail ou 068/68 19 98
Humour Laurence Bibot ne cesse de se renouveler et vous propose une nouvelle forme audacieuse : un spectacle de playback. D’un côté, il y a les archives télévisées conservées par la Sonuma ; de l’autre, il y a Laurence Bibot qui s’en amuse dans des capsules parodiant les archétypes féminins… Après les avoir livrés sur les réseaux sociaux, puis rassemblés au Musée de la Photographie de Charleroi à l’occasion de l’exposition Studio Madame, c’est désormais sur scène qu’elle vous propose de (re)découvrir ses playbacks ! Au menu de la soirée : des playbacks donc, mais également une foule d’archives que Laurence s’est amusée à classifier pour passer à la loupe (déformante et drôle) la grande Histoire de la télévision, la place de la femme dans les médias et la manière dont nos traditions et notre société ont évolué depuis son avènement. Un spectacle événement savoureux à regarder ! Parce qu’il sera drôle, absurde et mélancolique. Laurence sera là, présente, en vidéo, en playback, en direct, dans le public, en chair et en son. Ce ne sera pas un one woman show, ce ne sera pas un documentaire ; ce sera un spectacle playback, une forme audacieuse qu’elle a envie de partager avec vous, en toute confidentialité. De Laurence Bibot – Mise en forme Aurelio Mergola – Montage vidéo et son Alain Debaisieux – Création lumière et régie Sébastien Mercial et Nicolas Kluge © Thierry Denbliden – Production Souliers d’Or & LIVE Diffusion - Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Sonuma. Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut.
À travers son récit autobiographique, Frédéric Lubansu, comédien-citoyen belgo-congolais, se raconte et se dévoile. Avec humour et sensibilité, il fait tomber le(s) masque(s). Un spectacle essentiel pour la vie en société ! En prise directe avec le public avec lequel il interagit, mêlant animation culturelle, One Man Show et projections vidéo, Frédéric retrace – tantôt avec humour et drôlerie, tantôt avec sensibilité et gravité – son parcours personnel, familial et artistique. Ses origines familiales, ses errances d’adolescent, son choix – salvateur et instinctif – de devenir artiste, ses joies immenses et ses constats amers de comédiens, ses confrontations répétées et parfois violentes face au racisme latent, aux « bonnes volontés » institutionnelles et aux réflexes induits de nos sociétés contemporaines. Autant de sujets qui constituent son identité, son engagement professionnel, artistique et humain actuel, ses réflexions quant à la place de la diversité culturelle dans les Arts (en général), au théâtre, au cinéma et dans les médias (en particulier), lui qui est métis ! « Ce spectacle est ouvertement une invitation à la désaliénation collective, en vue d’une (re) ou (dé) construction sociétale plus respectueuse de son humanité. » Frédéric Lubansu De et avec Frédéric Lubansu – Complices Mathias Guilmin, Laurent Sao et N’Landu Lubansu © Imane Langenscheid Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut.