Toi(ts) la nuit

Description


********** English **********

A reality that has been exacerbated since the health crisis which aggravates mental health problems, leading to a significant increase in psychological disorders in this vulnerable population. They embody disbelonging, displacement, and the search for home on the margins of contemporary society. They also show the image of a resilient youth, who despite everything, tries to build themselves positively.
Maria Baoli invites the public to question these trajectories punctuated by ruptures, evoking the universal desire for a space in which to evolve in security, without fear or anxieties. To what extent are bodies, houses, institutions reliable? By highlighting their stories, their challenges and their dreams, this photographic series aspires to give a voice to those who are often marginalized and to spark constructive dialogue around issues of identity and resilience, in the hope of creating a more inclusive and united world where everyone can find their place.


********** Français **********

Une réalité exacerbée depuis la crise sanitaire qui aggrave les problèmes de santé mentale, entraînant une augmentation significative des troubles psychiques chez cette population vulnérable. Ils incarnent la désappartenance, le déplacement, et la quête de foyer dans les marges de la société contemporaine. Ils montrent également l’image d’une jeunesse résiliente, qui malgré tout, essaye de se construire positivement.
Maria Baoli invite le public à s’interroger sur ces trajectoires jalonnées de ruptures, évoquant le désir universel d’un espace où évoluer en sécurité, sans craintes ni angoisses. Dans quelle mesure les corps, les maisons, les institutions, sont-ils fiables? En mettant en lumière leurs histoires, leurs défis et leurs rêves, cette série photographique aspire à donner une voix à ceux qui sont souvent marginalisés et à susciter un dialogue constructif autour des questions d'identité et de résilience, dans l'espoir de créer un monde plus inclusif et solidaire où chacun peut trouver sa place.


********** Nederlands **********

Ze belichamen het niet erbij horen, ontheemding en de zoektocht naar een thuis aan de rand van de hedendaagse samenleving. Ze laten ook het beeld zien van een veerkrachtige jeugd, die ondanks alles zichzelf positief probeert op te bouwen.

Opening op donderdag 11 april om 18 uur
Rondleidingen op zaterdag en zondag van 14 tot 17 uur

Information sur la date

14:00:00 - 17:00:00

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Aurélie Salavert est née à Avignon. Elle vit et travaille à Bruxelles. L’artiste transmet ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs dans des images qui semblent enfouies dans notre propre subconscient. Le fil conducteur de sa pratique est le dessin, qui se réinvente continuellement grâce à l’utilisation de techniques et de styles différents, permettant l’émergence d’une abstraction figurative. La vaste production de dessins intimes au crayon d’Aurélie Salavert, avec leurs doux lavis d’aquarelle ou leurs plats de gouache, nous parlent avec une clarté enfantine, mais leur signification reste ouverte. Lasse Wandschneider est né en 1987 à Lübeck, en Allemagne. Il a fait des études en illustration et BD à Breda, Berlin, Prague et Bruxelles. Désormais, il vit et travaille entre Bruxelles et Berlin. Dans son art, il s’intéresse aux équilibres entre abstraction et narration, improvisation et réflexion, page et espace.
********** English ********** Many migration movements demand a lot from migrants. Their lives and health are threatened, their right to self-determination is challenged, and their individual identities become objects of other people’s prejudices and actions. All migration processes, even the painful ones, lead to new cultural diversity, which can be seen as a positive force in today’s societies. Shared experiences empower the citizens of Europe and help create our joint European identity. Featured are some very specific situations at European level: 1. The long-term consequences of the German occupation of Norway during World War II. 2. Prejudices against many Greenlandians after the migration from Greenland to Denmark since 1945. 3. Forced migration of Sámi from the North to the South of Sweden. 4. Population exchange in former German Pomerania after 1945, exemplified by the Polish town Slupsk . 5. The long-term consequences of the Holocaust for Lithuanian women. 6. Migration to Slovenia after World War II and the impact of the country’s independence in 1991 on the migrants. 7. The complex political history of the Istrian peninsula and its multi-ethnic population related to 200 000 emigrants after World War II. Reservations: museum@foyer.be Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu ********** Français ********** De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be Infos : https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu ********** Nederlands ********** Veel migratiebewegingen eisen veel van migranten. Hun levens en gezondheid worden bedreigd, hun recht op zelfbeschikking wordt uitgedaagd, en hun individuele identiteiten worden objecten van vooroordelen en acties van anderen. Alle migratieprocessen, zelfs de pijnlijke, leiden tot nieuwe culturele diversiteit, die kan worden gezien als een positieve kracht in de hedendaagse samenlevingen. Gedeelde ervaringen versterken de burgers van Europa en helpen bij het creëren van onze gezamenlijke Europese identiteit. Er bestaan enkele zeer specifieke situaties op Europees niveau: 1. De langetermijngevolgen van de Duitse bezetting van Noorwegen tijdens de Tweede Wereldoorlog. 2. Vooroordelen tegen veel Groenlanders na de migratie vanuit Groenland naar Denemarken sinds 1945. 3. Gedwongen migratie van Sami van het noorden naar het zuiden van Zweden. 4. Bevolkingsuitwisseling in het voormalige Duitse Pommeren na 1945, geïllustreerd door de Poolse stad Slupsk. 5. De langetermijngevolgen van de Holocaust voor Litouwse vrouwen. 6. Migratie naar Slovenië na de Tweede Wereldoorlog en de impact van de onafhankelijkheid van het land in 1991 op de migranten. 7. De complexe politieke geschiedenis van het Istrische schiereiland en zijn multi-etnische bevolking in verband met 200.000 emigranten na de Tweede Wereldoorlog. Reserveringen: museum@foyer.be Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Vernissage le 8 mai à 11h. De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée, initiée par l’ASBL Cultures & Publics.  Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique et social. À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème « Siphonner les esprits ».  Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h ! L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary international touring exhibition conceived in close collaboration with the Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter son vernissage le 02 mai 2024. 1° À ne pas manquer la fin de l’exposition d’avril : Finissage le 27 & 28 avril de 11h 00 à 18h 00. Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 04 avril : https://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-son-prochain-vernissage-du-04-04-2024-et-son-agenda-culturel/ 2° La prochaine exposition de mai : Les artistes présents pour cet événement sont : Helene De Smet (Be) peintures, Cécile Van Ransbeeck (Be) peintures, Natalina Cullier-Montagné (Fr) sculptures en grès et en Raku, Michel Sebastian (Fr) peintures (prolongement), Nicole Meunier (Be) peintures, Rita Teugels (Be) peintures, Anita De Meyer (Be) peintures et l’écurie de la galerie (Int) peintures et sculptures. Ainsi que Nathalie Pannetier artisane d’art en maroquinerie à son compte depuis 2019. Elle apprit ce magnifique métier chez Hermès, pendant 13 ans, gravi les échelons l’un après l’autre jusqu’à être manager d’atelier. Elle s’est ensuite mise à son compte et crée sa propre marque : « Les Cuirs du Clédou ». Chaque pièce est unique, elle ne réalise jamais de série, de l’artisanat d’art à l’état pur ! Référencé Atelier d’Art de France. Vernissage le jeudi 02 mai de 18h 30 à 21h 30. Finissage le 25 & 26 mai de 11h 00 à 18h 00. Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 02 mai : https://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-son-prochain-vernissage-du-02-05-2024-et-son-agenda-culturel/ La 7e remise des recueils et des diplômes sera le samedi 25 mai 2024 pour les recueils n° 11 T I & II/2022 ! Lien de l’annonce de la fête de remise 2024 sur mon site Internet : https://www.espaceartgallery.eu/la-7e-fete-de-remise-des-publications-2022-relatives-au-travail-de-fond-de-la-galerie-aura-lieu-le-samedi-25-mai-2024-de-18h-30-a-22h-00/ https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu https://www.instagram.com/espace.art.gallery/ https://www.linkedin.com/in/jerry-delfosse-espace-art-gallery/ Lien vers le renouveau urbanistique dans le centre de Bruxelles ! https://www.oxybrussels.eu/?fbclid=IwAR1VEUNKNZwMNYHxaun0rOVdabtQ_ZZUQkARzbby64SjD5K0z7z8Eebm1Xo Si vous ne voulez plus être informé sur les activités de la galerie il suffit d’envoyer un mail à eag.gallery@gmail.com en indiquant votre refus ! Bien cordialement, Jerry Delfosse Galeriste * Fondateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery, Les Éditions d’Art EAG & EAG Studio’s Co-fondateur et propriétaire du réseau Arts et Lettres 3.0 Administrateur général * Président de jury pour décerner un diplôme d’art Membre d’un jury international à Corsica Art Fair * Rue de Laeken, 83 à B 1000 Bruxelles - Belgium GSM: 00.32.497. 577.120 eag.gallery@gmail.com https://www.espaceartgallery.eu/ https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu https://www.instagram.com/espace.art.gallery/ https://www.linkedin.com/in/jerry-delfosse-espace-art-gallery/ https://artsrtlettres.ning.com/ http://www.joseduchant.be/ Lien pour visionner les 184 vidéos et 76.000 vues sur YouTube https://www.youtube.com/@espaceartgallery4966