Tentoonstelling Justin Jin

Description

De internationaal bekende fotograaf Justin Jin reist vanuit zijn huis in SPW de wereld rond en maakt reportages voor onder andere National Geographic Magazine, de Verenigde Naties en het WWF.
Zijn werk verkent kwesties van internationaal belang, zoals de wedloop van Rusland om Arctische grondstoffen te winnen, de pogingen van Europa om nieuwe energie te ontwikkelen en de snel veranderende samenleving van China.
Hij werd geboren in Hong Kong, studeerde filosofie aan de Universiteit van Cambridge en begon zijn carrière als Reuters-correspondent in Londen en Peking.

Information sur la date

2024-03-23: 18:00:00 - 20:00:00

2024-03-25: 09:00:00 - 17:00:00

2024-03-26: 09:00:00 - 17:00:00

2024-03-27: 09:00:00 - 17:00:00

2024-03-28: 09:00:00 - 17:00:00

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Événements suggérés

********** English ********** Why…Not! is a quarterly photographic magazine, digital and printed, initiated by the ASBL Cultures & Publics. The magazine engages in co-creation on the subjects of Utopia, the urban landscape, the night, the body... And more generally on the impact of the photographic and literary medium in the construction of aesthetic and social relationships. With the release of No. 1, la Maison Commune presents an exquisite corpse of works around the theme “Siphoning minds”. Come discover the work of our contributors from Monday April 18 at 6 p.m. ! The exhibition, visible until May 7, will end with an evening of artistic and literary performances on from 6 p.m. to 10 p.m. ********** Français ********** Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée, initiée par l’ASBL Cultures & Publics.  Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique et social. À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème « Siphonner les esprits ».  Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h ! L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
NL/ Op 25 april 1974 maakte een vreedzame staatsgreep die uitgroeide tot een volksrevolutie een einde aan de dictatuur in Portugal en de koloniale oorlogen in Afrika. Kom de geschiedenis van de Portugese democratische transitie en het einde van de kolonisatie ontdekken via de tentoonstelling De Anjerrevolutie gezien vanuit België. FR/ Le 25 avril 1974 un coup d’état pacifique devenu révolution populaire, a mis fin à la dictature au Portugal et aux guerres coloniales en Afrique. Nous vous invitons à découvrir l’histoire de la transition démocratique du Portugal et de la fin de la colonisation à travers de l’exposition 'La Révolution des illets vue de Belgique'. EXPO 16.04>31.05 (visits weekdays 9:00-20:00) VERNISSAGE do/je 18.04 (19:00-23:00) - gratis/gratuit + 20:30 concert Ensemble 'A alma e o vento' (liederen die de strijd en het verzet van de Portugezen tegen de dictatuur illustreren / des chansons qui illustrent la lutte et la résistance des portugais à la dictature) Org. Federação Associações Portuguesas Bélgica
********** English ********** Designed to intrigue and captivate, the Tomb of Saint Acidule stands out at first glance with its luminous exterior, drawing visitors closer to discovering its mystery. The structure, a bold combination of steel and Plexiglas, fuses past and future elements, reflecting the philosophy of Saint Acidule, who never ceased to defy the customs of her time. The spellbinding illustrations that adorn the tomb’s exterior are the work of contemporary artist Elzo Durt, known for his mastery of surrealist art. These enigmatic images transport viewers into the complex and mystical world of Saint Acidule, with swirling floral motifs and figures that seem to dance in harmony with the spirit of Art Nouveau. Inside, another dimension is unveiled. The darkness invites visitors to plunge into her tomb. Here, the legacy of Saint Acidule comes to life, revealing her passions and contradictions and capturing the very essence of this extraordinary woman. The Tomb of Saint Acidule transcends the boundaries of a simple art installation to become a fully-fledged experience of this historic site. It is a vibrant tribute to an unconventional soul, to her love of Art Nouveau and her psychedelic explorations that we invite you to discover. Immerse yourself in the captivating world of Saint Acidule, a free woman from the imagination whom we would have loved to meet. ********** Français ********** Conçu pour intriguer et captiver, le Tombeau de sainte Acidule se distingue dès le premier regard par son extérieur lumineux, attirant les visiteurs à s'approcher et à découvrir son mystère. Cette structure qui combine audacieusement l'acier et le plexiglass, fusionne les éléments du passé et du futur, reflétant ainsi la philosophie de sainte Acidule qui ne cessait de défier les conventions de son époque. Les illustrations envoûtantes qui ornent l'extérieur du tombeau sont l'œuvre de l'artiste contemporain Elzo Durt, connu pour sa maîtrise de l'art surréaliste. Ces images énigmatiques transportent les spectateurs dans l'univers complexe et mystique de sainte Acidule, avec des motifs floraux tourbillonnants et des figures qui semblent danser en harmonie avec l'esprit de l'Art nouveau. À l'intérieur, une autre dimension se révèle. L'obscurité invite les visiteurs à plonger dans sa tombe. C'est ici que l'héritage de sainte Acidule prend vie, offrant ses passions et ses contradictions, capturant ainsi l'essence même de cette femme extraordinaire. Le Tombeau de sainte Acidule transcende les limites d'une simple installation artistique pour devenir une expérience à part entière à travers ce lieu de notre patrimoine chargé d’histoire. C’est donc un hommage vibrant à une âme non conventionnelle, à son amour pour l'Art nouveau et ses explorations psychédéliques que nous vous invitons à découvrir. Plongez dans l'univers captivant de sainte Acidule. Femme libre sortie de l’imaginaire que nous aurions aimé rencontrer. Œuvre réalisée suite à l’appel à collaboration lancé par Urban et l’asbl Patrimoine & Culture aux acteurs culturels et associatifs bruxellois dans le cadre de l'Année Art nouveau 2023 sous la coordination générale du Commissaire Paul Dujardin. ********** Nederlands ********** Het graf van de heilige Acidule, ontworpen om te intrigeren en te boeien, valt op het eerste gezicht op door zijn lichtgevende buitenkant en trekt bezoekers dichterbij om zijn mysterie te ontdekken. De structuur, een gedurfde combinatie van staal en plexiglas, versmelt elementen uit het verleden en de toekomst en weerspiegelt de filosofie van de heilige Acidule, die nooit ophield de conventies van haar tijd te tarten. De betoverende illustraties die de buitenkant van het graf sieren, zijn het werk van de hedendaagse kunstenaar Elzo Durt, bekend voor zijn meesterschap in surrealistische kunst. Deze raadselachtige afbeeldingen nemen de kijkers mee naar de complexe en mystieke wereld van de heilige Acidule, met wervelende bloemmotieven en figuren die lijken te dansen in harmonie met de geest van Art Nouveau. Binnenin wordt een andere dimensie onthuld. De duisternis nodigt bezoekers uit om in haar graf te duiken. Hier komt de nalatenschap van de heilige Acidule tot leven, met haar passies en tegenstrijdigheden, die de essentie van deze buitengewone vrouw vastleggen. Het graf van de heilige Acidule overstijgt de grenzen van een eenvoudige kunstinstallatie. Deze plek wordt een volwaardige ervaring van ons erfgoed dat doordrenkt is van geschiedenis. Het is een levendig eerbetoon aan een onconventionele ziel, aan haar liefde voor Art Nouveau en haar psychedelische verkenningen, die we je uitnodigen te ontdekken. Dompel jezelf onder in de fascinerende wereld van de heilige Acidule. Een vrije vrouw uit de verbeelding die we graag hadden ontmoet.
Jean Boghossian (Alep, 1949), artiste belge d’origine arménienne, crée une œuvre non conformiste explorant une large gamme de médias, tels que le papier, la toile, le bois et le livre d’artiste. Son travail figure dans la collection de la Wittockiana, où il a déjà exposé une sélection de Livres sauvés (Phénix). Cette nouvelle exposition, Abstract Writings. Abstract Thoughts, révèle un aspect jusqu’alors inédit de son œuvre : ses écrits sur l’art, élément constant de sa pratique depuis de nombreuses années. Commentaires sur la vie, mais peut-être plus encore complices du parcours artistique, ces « notes » rendent comptent de l’expérience créative de l’artiste. Cette collection d’écrits, à la croisée de la réflexion intérieure et de la représentation du monde, dévoile Boghossian en tant qu’artiste-penseur. Ses pensées, en dialogue avec ses créations picturales abordant les questions de support et de texture, donnent un aperçu parlant d’intensité de son travail.
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water en de vallei opnieuw laten voelen. FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la présence de cette eau évaporée et de la vallée. Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
No area of Belgium has undergone such a radical process of transformation as the North Sea coast. This transformation is a story of demolition, construction, reconstruction in an effort to withstand the elements and respond to the challenges of the economy, transport, fishing, and above all tourism. Ecological, economic and industrial challenges meet here with the amazement or admiration of visitors, the carefreeness of tourists, and the nostalgia of old settlers. In the rhythm of the tides, everything is connected by an endless tide, on a unique background where the border between the sea and the sky blurs.
********** English ********** Together with architect Sébastien Tripod and graphic & floral designer Deborah Robbiano, choreographer and researcher Sara Manente is creating an installation around the fertile ruin, based on fungal imagery. Having previously created architectural fungi columns, they now aim to imagine an entire theatre in collaboration with fungi and molds. The theatre turns into a compost in which process equals products and things are not stable but rather in constant decay and regrowth. A situation creating space for questions, metaphors and images around contamination and finality. Is every encounter a form of contamination? Is every performance a ruin that could bring fruit?Manente invites makers and thinkers at a number of moments to activate the installation in different ways. Clara Lévy's and Victor Guaita's concert takes place on 17 May and further programming will be announced in the spring. Together with Pilar and VUB Crosstalks, Kaaitheater presents this exhibition as part of A Series of More-than-human Encounters. This project highlights different ways of being and alternative forms of knowledge. With the forest, the mountains and the deep sea as our thinking partners, we invite you to come and discover what is hidden behind the horizon of human knowledge.  Towards a Ruined Theater is also part of Pilar's KunstxScience programme and VUB Crosstalks. • Sara Manente studied dance and semiotics before coming to Brussels, where she works as an artist and researcher. Her projects start from the images and matter of living cultures and fungi in relation to performing arts. In different formats, she reflects on the possible contagion/transfer between pedagogy, research, performance and publication.• Deborah Robbiano is a multidisciplinary artist who works with found objects, both natural and man-made, to create vegetal sculptures, sets and installations. In her work, she lets chance encounters and the longevity of plants guide her process. Each element is abstracted from its original form and purpose. This shift allows her to celebrate the ephemerality in the many stages of vegetal transformation.• Sébastien Tripod graduated from the Joint Masters in Architecture of the University of Applied Sciences and Arts of Western Switzerland and the Luca School of Arts in Ghent. He collaborates with various groups for projects in residence, advocating environmental and social ecology. Closely associated with the knowledge of craftsmanship, interested in traditional building techniques and the use of low technology, he works as an independent architect, based in Lausanne since 2018. ********** Français ********** Avec l'architecte Sébastien Tripod et la designeuse graphique et florale Deborah Robbiano, la chorégraphe et chercheuse Sara Manente crée une installation autour de la fécondité des ruines basée sur des images de moisissures. Après avoir créé des colonnes de champignons architecturales, iels veulent imaginer un théâtre entier avec le concours de champignons et de moisissures. Le théâtre se transforme en un compost dans lequel le processus est égal aux produits et où les choses ne sont pas stables, mais plutôt en constante décomposition et repousse. Cette situation crée un espace propice à susciter des questions, métaphores et images autour de la contamination et de la finitude. Chaque rencontre est-elle une forme de contamination ? Chaque performance est-elle une ruine féconde ? Manente invite les créateur·ices et les penseur·euses à activer l'installation de différentes manières. Le 17 mai, vous pourrez assister au concert Repetition/Erosion de Clara Lévy et Victor Guaita. Le 22 mai, l'expo sera clôturé avec The Performance of Funga, une conversation entre Giuliana Furci, Sara Manente, Augusto Corrieri et Eylül Fidan Akıncı.En collaboration avec Pilar et VUB Crosstalks, le Kaaitheater présente cette exposition dans le cadre de A Series of More-than-human Encounters. Ce programme met en lumière différentes manières d'être et des formes alternatives de connaissance. En utilisant la forêt, les montagnes et les profondeurs de la mer comme partenaires de réflexion, nous vous invitons à venir découvrir ce qui se cache derrière l'horizon de la connaissance humaine. Towards a Ruined Theater fait également partie du programme KunstxScience de Pilar et de VUB Crosstalks. • Sara Manente a étudié la danse et la sémiotique avant de s'installer à Bruxelles, où elle travaille comme artiste et chercheuse. Ses projets partent des images et de la matière des cultures vivantes ainsi que des moisissures, qu’elle met en lien avec les arts de la scène. Sa réflexion porte sur la contagion/ transfert potentielle entre la pédagogie, la recherche, la performance et la publication, et ce sous différents formats. • Deborah Robbiano est une artiste pluridisciplinaire qui travaille avec des objets trouvés, naturels ou fabriqués par l'homme, pour créer des sculptures, des décors et des installations végétales. Dans son travail, elle se laisse guider par le hasard des rencontres et la longévité des plantes. Chaque élément est abstrait de sa forme et de sa fonction d'origine. Ce décalage lui permet de célébrer l'éphémère dans les multiples étapes de la transformation végétale.• Sébastien Tripod est diplômé du Master commun en architecture de la Haute école des sciences appliquées et des arts de Suisse occidentale et de la Luca School of Arts de Gand. Il collabore avec divers groupes pour des projets en résidence, prônant l'écologie environnementale et sociale. Étroitement associé à la connaissance de l'artisanat, intéressé par les techniques de construction traditionnelles et l'utilisation des basses technologies, il travaille en tant qu'architecte indépendant, basé à Lausanne depuis 2018. ********** Nederlands ********** Samen met architect Sébastien Tripod en grafisch & floral designer Deborah Robbiano maakt choreograaf en onderzoeker Sara Manente een installatie rond de vruchtbare ruïne, op basis van schimmelbeelden. Nadat ze eerder al architecturale zwammenzuilen maakten, willen ze nu een volledig theater verbeelden in samenwerking met zwammen en schimmels. Het theater verandert in een compost waarin het proces gelijk is aan het product en de dingen niet stabiel zijn, maar in voortdurend verval en wedergroei. Deze situatie creëert ruimte voor vragen, metaforen en beelden rond besmetting en eindigheid. Is elke ontmoeting een vorm van besmetting? Is elke performance een vruchtbare ruïne? Manente nodigt op een aantal momenten makers en denkers uit om de installatie op verschillende manieren te activeren. Op 17 mei kan je er het concert Repetition/Erosion van Clara Lévy en Victor Guaita bijwonen. Op 22 mei sluiten we de expo af met The Performance of Funga, een gesprek tussen Giuliana Furci, Sara Manente, Augusto Corrieri en Eylül Fidan Akıncı.Samen met Pilar en VUB Crosstalks presenteert Kaaitheater deze tentoonstelling in het kader van A Series of More-than-human Encounters. Dit programma belicht verschillende manieren van zijn en alternatieve vormen van kennis. Met het bos, de bergen en de diepzee als onze denkgenoten nodigen we je uit om te komen ontdekken wat er achter de horizon van de menselijke kennis verborgen ligt.Towards a Ruined Theater maakt ook deel uit van het KunstxWetenschap-programma van Pilar en VUB Crosstalks. • Sara Manente studeerde dans en semiotiek voor ze naar Brussel kwam, waar ze werkt als kunstenaar en onderzoeker. Haar projecten vertrekken vanuit de beelden en materie van levende culturen en schimmels in relatie met podiumkunsten. In verschillende formats reflecteert ze over de mogelijke besmetting/overdracht tussen pedagogie, onderzoek, performance en publicatie. • Deborah Robbiano is een multidisciplinair kunstenaar die met zowel natuurlijke als door de mens gemaakte gevonden voorwerpen, werkt aan vegetale sculpturen, decors en installaties. In haar werk laat ze toevallige ontmoetingen en de levensduur van planten haar proces leiden. Elk element wordt geabstraheerd van zijn oorspronkelijke vorm en doel. Deze verschuiving maakt het mogelijk om de vluchtigheid in de vele stadia van vegetale transformatie te vieren. • Sébastien Tripod studeerde af aan de Gezamenlijke Master in Architectuur van de Universiteit voor Toegepaste Wetenschappen en Kunsten van West-Zwitserland en de Luca School of Arts in Gent. Hij werkt samen met verschillende groepen voor residentieprojecten, waarbij hij milieu- en sociale ecologie bepleit. Sébastien voelt zich nauw verbonden met de kennis van vakmanschap, is geïnteresseerd in traditionele bouwtechnieken en in het gebruik van lage technologie. Hij werkt als zelfstandig architect en is gevestigd in Lausanne sinds 2018.
********** English ********** The ceramist-sculptor Antoine de Vinck lived and worked in Kraainem for 30 years, from 1954 to 1984. He raised the art of ceramics to a level that saw him recognised as a master both nationally and internationally. The Discover Kraainem non-profit-making association and the municipality of Kraainem are joining forces to organise a tribute exhibition marking the 100th anniversary of his birth. Antoine de Vinck became a potter and remained one all his life, striving for perfect mastery of the ceramic technique. His preferred medium was stoneware, fired in a wood-fired kiln at 1250° - 1280° C. But he was also an authentic sculptor: animals, objects bearing witness to a sacred presence and inviting meditation or contemplation and anthropomorphic figures both of great simplicity and highly expressive. Like the English sculptor Henry Moore, whom he greatly admired, he drew on civilisations far removed in time and space. He drew inspiration from tradition and introduced it into modern adventurousness. More than 70 works by the artist - ceramics, often of imposing size, as well as drawings - will be on show, from museums and private collections. Some of them have never before been seen by the public, not even in photographs. ********** Français ********** Le céramiste-sculpteur Antoine de Vinck a vécu et travaillé à Kraainem de 1954 à 1984. L'asbl Discover Kraainem et la commune de Kraainem lui rendent hommage à l'occasion du centenaire de sa naissance. Il a hissé la céramique à un niveau qui l'a fait reconnaître comme un maître en Belgique et à l'étranger. Sa préférence allait au grès cuit au four à bois. Il est d'une part potier et designer, mais d'autre part sculpteur d'animaux, de pièces invitant à la méditation ou à la contemplation et de figures anthropomorphes d'un grand dépouillement mais très expressives. Comme le sculpteur Henry Moore qu'il admirait, il puise à des civilisations éloignées dans le temps ou l'espace. Son oeuvre est sous-tendue par une réflexion liée aux grands questionnements de l'humanité. Plus de 70 oeuvres de l'artiste - des céramiques, souvent de taille imposante, et des dessins - ont été réunies, issues de musées ou de collections privées. Certaines pièces n'ont jamais été montrées au public, même pas en photo. ********** Nederlands ********** Antoine de Vinck, beeldhouwer en keramist, leefde en werkte in Kraainem van 1954 tot 1984. Vzw Discover Kraainem en de gemeente Kraainem slaan de handen in elkaar om hem hulde te brengen ter gelegenheid van de 100ste verjaardag van zijn geboorte. Hij tilde de keramiek naar een niveau dat hem nationale en internationale erkenning opleverde. Hij had een voorkeur voor steengoed, gebakken in een houtgestookte oven. Hij was zowel pottenbakker en designer als volwaardig beeldhouwer van dieren, voorwerpen die uitnodigen tot meditatie en contemplatie en antropomorfe figuren. Zoals de Engelse beeldhouwer Henry Moore die hij bewonderde put hij in beschavingen die ver verwijderd zijn in tijd en ruimte. Zijn werk is gebaseerd op reflectie en sluit aan bij de existentiële vragen van de mens. Meer dan 70 kunstwerken van Antoine de Vinck werden bijeengebracht - keramiek en tekeningen - uit musea of privéverzamelingen. Sommige stukken werden nooit eerder getoond.
********** English ********** Welcome to our lounge in the museum of the National Bank of Belgium! Make yourself comfortable and watch our video to find out which everyday products were used to calculate the rate of inflation in the past and today. You can also take a look at our collection of piggy banks and learn about the importance of saving in times of inflation. In the children's corner, next to our lounge, kids can make their own piggy bank! ********** Français ********** Bienvenue dans notre salon situé au musée de la Banque nationale de Belgique ! Installez-vous confortablement et venez découvrir, au moyen de notre vidéo, quels produits du quotidien étaient utilisés pour calculer le taux d’inflation dans le passé et aujourd’hui. Profitez-en également pour jeter un œil à notre collection de tirelires et apprendre l’importance de l’épargne en période d’inflation. Dans le coin des enfants, à côté de notre salon, les jeunes épargnants en herbe pourront fabriquer leur propre tirelire ! N’en avez-vous toujours pas assez avec l’inflation ? Participez dès lors à l’une de nos visites guidées gratuites et découvrez comment l’inflation a affecté la consommation des ménages au fil des années. A bientôt ! https://erfgoeddag.be/activiteit/geldgolven-een-duik-de-geschiedenis-van-inflatie QUAND : Le musée ouvrira ses portes à l'occasion d’Erfgoeddag le dimanche 21 avril, de 9h à 17h. Les visites guidées (sans réservation) sur l'histoire de l'inflation se poursuivront à 10h30, 13h30 et 15h (en néerlandais) et à 11h, 14h et 15h30 (en français), d'une durée d'environ 30 minutes chacune. POUR QUI : Toute personne souhaitant découvrir notre musée un dimanche. PRIX : L'entrée au musée ainsi que les visites guidées sont GRATUITES. ********** Nederlands ********** Welkom in ons salon, in het museum van de Nationale Bank van België. Neem gezellig plaats en ontdek in onze animatievideo welke dagelijkse producten vroeger en nu werden gebruikt om het inflatiecijfer te berekenen. Bekijk zeker ook onze collectie spaarpotten en leer over het belang van sparen. In de kinderhoek naast ons salon kunnen jonge spaarders zelf een spaarpot in elkaar knutselen en versieren. Nog niet genoeg gekregen van inflatie? Sluit dan aan bij een van onze gratis rondleidingen en ontdek hoe inflatie de consumptie van de huishoudens heeft beïnvloed door de eeuwen heen. https://erfgoeddag.be/activiteit/geldgolven-een-duik-de-geschiedenis-van-inflatie WANNEER: Het museum opent met Erfgoeddag de deuren op zondag 21 april, van 9u tot en met 17u. De rondleidingen over de geschiedenis van inflatie gaan door om 10u30, 13u30 en 15u (Nederlands) en 11u, 14u en 15u30 (Frans) en duren elk ongeveer 30 minuten. VOOR WIE: Iedereen die ons museum op zondag wil ontdekken. PRIJS: Ook tijdens Erfgoeddag zijn de toegang tot het museum en de rondleidingen GRATIS.
********** Français ********** Guy Bara (à l’origine Guy Willems), né en 1923 à Riga, est décédé à Marseille en 2003 après avoir dessiné, entre autres, plus de 13.000 strips de « Max l’explorateur ». Sa vie ne pourrait être mieux évoquée qu’à travers ses propres mots * et l’humour qui le caractérisait, lui et son œuvre : « Il passe sa jeunesse à voyager et rentre en Belgique peu avant la guerre pour y poursuivre quelques études. Pendant un an, il sera voisin de banc d’école d’André Franquin. Tous deux se destinaient pourtant à un,métier sérieux. Entré à l’Université de Louvain pour y suivre les cours d’archéologie, il en ressort rapidement car une convocation à la Gestapo le fait disparaître jusqu’à la fin du conflit. La Belgique étant redevenue libre, il fonde Le Faune, mensuel artistique et littéraire. Un an plus tard, disparition du journal qui comptait plus de collaborateurs que de lecteurs. Pendant une courte période, Bara essaiera divers métiers : chef de publicité dans un grand magasin qui a fait faillite, tourneur dans une usine de moteurs qui ont certainement explosé et enfin directeur d’une troupe de majorettes qui furent à l’origine de sa misogynie. Le hasard de ses lectures lui fait découvrir un album du dessinateur anglais Ronald Searle. C’est l’illumination : il sera dessinateur humoriste. Installé à Paris en 1950, il collabore à de nombreux hebdomadaires français. Un rédacteur en chef parisien lui reprochant le côté anglo-saxon de son humour, il envoie ses dessins au journal londonien Punch. Il devient le premier dessinateur « continental » de cette vénérable institution britannique. En 1954, il crée, pour France-Soir, la bande dessinée quotidienne « Sam l’Explorateur ». Le rédacteur en chef de l’époque se prénommant Sam, la bande dessinée paraîtra sous le nom de « Max l’Explorateur ». En 30 ans, Max l’Explorateur a été la bande dessinée européenne la plus publiée dans le monde, de l’Europe à l’Asie en passant par l’Afrique. Le personnage a été le héros de deux histoires complètes dans Spirou et de nombreux gags en une page dans Tintin. Bara a partagé sa vie avec trois épouses successives, sa fille Olivia et cinq cockers. » L’exposition présente, à travers des œuvres originales issues d’une collection privée, le Bara hilarant de « Max l’Explorateur » mais aussi le peintre aux couleurs vives, tantôt drôle, tantôt tendre qu’il était en secret. * texte écrit en 1994 ********** Nederlands ********** Guy Bara (eigenlijk Guy Willems), geboren in Riga in 1923, overleed in 2003 in Marseille, na het tekenen van o.a. meer dan 13.000 afleveringen van 'Max de ontdekkingsreiziger'. Zijn leven kan niet mooier worden samengevat dan in zijn eigen woorden en aan de hand van de humor die zo kenmerkend was voor hem en zijn werk. 'In zijn jeugd reisde hij vaak. Net voor de oorlog keerde hij naar België terug om er te studeren. Gedurende een jaar zat hij op de schoolbanken naar André Franquin. Toch zouden ze allebei een serieuze carrière uitbouwen. Aan de Universiteit van Leuven studeerde hij archeologie. Daar zette hij al snel een punt achter, toen hij een oproepingsbevel van de Gestapo ontving en tot aan het einde van het conflict verdween. Toen België bevrijd was, richtte hij een artistiek en literair maandblad op: Le Faune. Een jaar later verdween het blad, omdat het meer medewerkers dan lezers telde. Bara probeerde kort verschillende beroepen uit: reclameverantwoordelijke in een grote winkel die failliet ging, draaier in een fabriek van motoren die wellicht ontploften en tot slot directeur van een majorettekorps, waar hij ontdekte waar misogynie vandaan kwam. Tijdens het lezen stootte hij toevallig op een album van de Britse tekenaar Ronald Searle. Toen kwam er de openbaring: hij zou cartoonist worden. In 1950 vestigde hij zich in Parijs, waar hij met tal van Franse tijdschriften samenwerkte. Een Parijse hoofdredacteur verweet hem de Angelsaksische inslag van zijn humor, wat hem ertoe aanzette zijn tekeningen door te sturen naar het Londense 'Punch'. Zo werd hij de eerste 'continentale' tekenaar van dat Britse instituut. In 1954 bedacht hij voor France-Soir een dagelijkse strip: 'Sam l'Explorateur'. Omdat de toenmalige hoofdredacteur ook Sam heette, verscheen de strip onder de titel 'Max l'Explorateur'. In de loop van 30 jaar groeide 'Max de ontdekkingsreiziger' uit tot de meest gepubliceerde Europese strip ter wereld: van Europa over Azië tot Afrika. Het personage speelde de hoofdrol in twee volledige verhalen die in 'Robbedoes' verschenen én in talloze gags van één pagina in 'Kuifje'. Bara deelde zijn leven met drie opeenvolgende echtgenotes, zijn dochter Olivia en vijf Cocker Spaniëls.' Aan de hand van originele werken uit een privécollectie toont de tentoonstelling de hilarische Bara van 'Max de Ontdekkingsreiziger', maar ook de schilder die in felle kleuren soms grappige en dan weer tedere taferelen schilderde, zoals hij zelf was. * tekst geschreven in 1994