Paula Temple - Noise Manifesto R&S Records berlin

Description

Depuis plus de 15 ans, PAULA TEMPLE poursuit sa propre voie musicale unique. En tant que noisicienne avouée, elle se spécialise dans un son techno bruyant et fantasmagorique, où le cadran est rarement tourné en dessous de 200% et chaque moment de silence semble assourdissant. Cette musique haute tension rafraîchissante a placé PAULA à l'avant-garde de la scène techno d'aujourd'hui.2019 a vu la sortie de son premier album "Edge of Everything" acclamé par la critique comme l'une des meilleures sorties de l'année, en particulier de la part des fans de techno du monde entier. Impressionné, Resident Advisor a réalisé une interview sur sa conception sonore pour l'album dans leur série "Art of Production".Au cours des années précédentes, R&S Records a sorti l'EP "Colonized" en 2013, l'EP "Deathvox" en 2014 et ses remixes pour The Prodigy en 2015. Le morceau "Deathvox" est considéré par ses pairs comme l'une des contributions les plus originales à la techno moderne. Son morceau le plus célèbre « Gegen » reste un hymne dans les festivals du monde entier et a été inspiré par la communauté queer amoureuse de Berlin. "Contact" de son premier EP "The Speck of The Future" est apparu en 2002 sur la sortie Exhibitionist de Jeff Mills, et elle a contribué "Oscillate" pour célébrer la dernière série de sorties du label 50 Weapons de Modeselektor.

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

Un festival à taille humaine, à la programmation curieuse et de caractère: près de 40 artistes, 20 lieux de concerts publics et privés du patrimoine arlonais, 5 soirées, un parcours de showcases gratuits (le Lab) et une balade électro-cycliste
Barrington Levy est né en 1964 à Kingston. Très tôt il se passionne pour la musique et le chant. Ses premières influences sont Dennis Brown, les Jackson Five… Il monte son premier groupe avec son cousin : the Mighty Multitude. Leur premier titre est « My Black Girl » sort en 1975. Trois ans plus tard Barrington Levy débute sa carrière solo avec le single « A Long Time Since We Don’t Have No Love ». C’est également pendant cette période qu’il fait les chœurs pour Byron Lee & the Dragonnaires. Il met pourtant quelques années avant d’être recruté par Henry « Junjo » Lawes. Ce dernier fait enregistrer Barrington Levy chez Channel One, où officient à l’époque les musiciens qui formeront les Roots Radics quelques années plus tard, et The Scientist au mixage ! ! ! C’est ainsi qu’il va commencer à disputer et à contester la suprématie des deejays de l’époque. En 1984, Barrington Levy sort son album « Money Move » et « Prison Oval Rock », en collaboration avec son producteur de toujours, Junjo Lawes. Et c’est en 1985 que Barrington chante « Under Mi Sensi » un morceau produit par Jah Scew, rentré depuis dans la légende du reggae. Le morceau fait le tour du monde. C’est le même chemin que prend son big tune suivant « Here I come » sur le classique Intercom Riddim. Il sort ensuite de très nombreux albums et collabore avec des artistes. S’il faut en retenir un : « Living Dangerously », qui réunit Barrington avec des artistes comme Snoop Doggy Dog, Bounty Killer ou Lady G.
Avec la Piano Week, qui se déroulera du 29 avril au 5 mai 2024, un nouveau format verra le jour dans notre programmation : une semaine thématique dédiée entièrement à un instrument. Le programme comprendra des masterclasses, des récitals, des concerts d’enseignants et des auditions d’élèves. L’éventail stylistique sera très ample : musique de film, soirées à thème, concerts commentés, avec des incursions dans le domaine du clavecin – ancêtre du piano – tout comme dans celui du jazz. A côté de ces différents formats de concerts visant un public venant de tous les horizons, cette semaine thématique poursuit aussi un but pédagogique : en effet, le programme prévoit deux masterclasses, l’une avec Olivier De Spiegeleir et l’autre avec Stan Ford. Ainsi, les élèves du Conservatoire auront l’occasion de bénéficier de l’expertise de deux pianistes et pédagogues renommés. Les élèves auront également l’occasion de montrer le fruit de leur travail en se produisant lors de plusieurs auditions publiques. Le pianiste américain Stan Ford est originaire de St. Louis, Missouri. Il a réalisé ses études de piano, de musique de chambre et de pédagogie musicale à l’University of Southern Illinois. Depuis 1986, il est professeur à l’Université Mozarteum de Salzbourg. Sa carrière de soliste et de chambriste le mène dans le monde entier et ses enregistrements pour la radio et la télévision l’ont rendu célèbre. Pédagogue passionné, il donne des masterclasses dans le monde entier. Les masterclasses seront ouvertes au public en tant qu’auditeurs.
Avec la Piano Week, qui se déroulera du 29 avril au 5 mai 2024, un nouveau format verra le jour dans notre programmation : une semaine thématique dédiée entièrement à un instrument. Le programme comprendra des masterclasses, des récitals, des concerts d’enseignants et des auditions d’élèves. L’éventail stylistique sera très ample : musique de film, soirées à thème, concerts commentés, avec des incursions dans le domaine du clavecin – ancêtre du piano – tout comme dans celui du jazz. A côté de ces différents formats de concerts visant un public venant de tous les horizons, cette semaine thématique poursuit aussi un but pédagogique : en effet, le programme prévoit deux masterclasses, l’une avec Olivier De Spiegeleir et l’autre avec Stan Ford. Ainsi, les élèves du Conservatoire auront l’occasion de bénéficier de l’expertise de deux pianistes et pédagogues renommés. Les élèves auront également l’occasion de montrer le fruit de leur travail en se produisant lors de plusieurs auditions publiques. Olivier De Spiegeleir, pianiste belge renommé, se produit dans le monde entier : il a à son actif plus de 600 concerts et 7 albums enregistrés. Lauréat d’importants concours internationaux, il donne des masterclasses sur les cinq continents et est l’invité régulier d’importants festivals. Le pianiste américain Stan Ford est originaire de St. Louis, Missouri. Il a réalisé ses études de piano, de musique de chambre et de pédagogie musicale à l’University of Southern Illinois. Depuis 1986, il est professeur à l’Université Mozarteum de Salzbourg. Sa carrière de soliste et de chambriste le mène dans le monde entier et ses enregistrements pour la radio et la télévision l’ont rendu célèbre. Pédagogue passionné, il donne des masterclasses dans le monde entier. Les masterclasses seront ouvertes au public en tant qu’auditeurs.
Avec la Piano Week, qui se déroulera du 29 avril au 5 mai 2024, un nouveau format verra le jour dans notre programmation : une semaine thématique dédiée entièrement à un instrument. Le programme comprendra des masterclasses, des récitals, des concerts d’enseignants et des auditions d’élèves. L’éventail stylistique sera très ample : musique de film, soirées à thème, concerts commentés, avec des incursions dans le domaine du clavecin – ancêtre du piano – tout comme dans celui du jazz. A côté de ces différents formats de concerts visant un public venant de tous les horizons, cette semaine thématique poursuit aussi un but pédagogique : en effet, le programme prévoit deux masterclasses, l’une avec Olivier De Spiegeleir et l’autre avec Stan Ford. Ainsi, les élèves du Conservatoire auront l’occasion de bénéficier de l’expertise de deux pianistes et pédagogues renommés. Les élèves auront également l’occasion de montrer le fruit de leur travail en se produisant lors de plusieurs auditions publiques. Olivier De Spiegeleir, pianiste belge renommé, se produit dans le monde entier : il a à son actif plus de 600 concerts et 7 albums enregistrés. Lauréat d’importants concours internationaux, il donne des masterclasses sur les cinq continents et est l’invité régulier d’importants festivals. Le pianiste américain Stan Ford est originaire de St. Louis, Missouri. Il a réalisé ses études de piano, de musique de chambre et de pédagogie musicale à l’University of Southern Illinois. Depuis 1986, il est professeur à l’Université Mozarteum de Salzbourg. Sa carrière de soliste et de chambriste le mène dans le monde entier et ses enregistrements pour la radio et la télévision l’ont rendu célèbre. Pédagogue passionné, il donne des masterclasses dans le monde entier. Les masterclasses seront ouvertes au public en tant qu’auditeurs.
Le festival Out Of The Crowd est de retour pour son 20ème anniversaire à la Kulturfabrik le 11 mai 2024. Comme à son habitude, le festival défriche la culture musicale underground et proposera une dizaine de groupes sur les deux scènes de la Kulturfabrik. Une édition à ne surtout pas manquer pour tous les fans de musique indie, expérimentale et admirateur de découvertes. La tête d’affiche est le groupe culte irlandais Gilla Band qui distille un noise-rock puissant et alambiqué qui a inspiré bon nombre de nos contemporains. Rythmiques triviales, fulgurances noise, basse entêtante et chant scandé au bord de la rupture, un must du 21ème siècle. Les britanniques de Bdrmm quant à eux sont le nouvel étendard du shoegaze européen à mi-chemin entre Diiv et la fibre électronique de Radiohead – un live show à toute épreuve et beaucoup de décibels : les écossais de Mogwai ne s’y sont pas trompé, les signant au passage sur le label Rock Action. Maserati quant à eux fêtent leur 20 ans, cela tombe parfaitement vu que c’est l’anniversaire du festival. C’est un groupe instrumental hypnotique à la croisée du post-rock et du krautrock. Les amateurs de indie et post-punk en auront pour leur argent avec la venue des canadiens de Cola qui œuvraient il y a une dizaine d’année sous le pseudonyme de Ought, leur indie rock à la fois cérébral et efficace est un vrai souffle d’air frais dans le paysage musical actuel. Les québécois de Corridor sont quant à eux à la croisé du psychédelisme et du indie, signé sur le label Sub Pop, ils sont l’étendard d’un indie rock décompléxé en français dans le texte. Tramhaus est ce qui se fait de mieux en matière de post-punk européen, ils sont à l’origine de live shows incendiaires et mixent leurs influence lo-fi à un son punk virulent. Les américains de Lip Critic sont quant à eux la surprise du chef, mélangeant les expérimentationsde Death Grips à la verve des Beastie Boys, leur hip-hop expérimental est une cure de jouvence pour la musique actuelle. Ducks Ltd. sont un autre groupe Canadien sachant mêler jangle pop et indie pour des mélodies tout en fraîcheur, ce que ne renieraient pas non plus les français de Johnnie Carwash dans une veine un tant soit peu plus indie punk rappelant les élans mélodiques de Cloud Nothings. Enfin, l’affiche sera complétée par les locaux de No Metal In This Battle qui sont l’un des groupes live les plus appréciés du pays mêlant une énergie punk à un son afrobeat voir kraut, la journée débutera quant à elle avec les effluves electro pop du duo Foreigners. Comme à son habitude, le festival accueillera dans son antre des stands de cuisine végétarienne ainsi que des bacs à disques et de merchandising, un vrai paradis de la culture underground en soi !
Véritable rendez-vous fixe dans la programmation du Conservatoire depuis de nombreuses années, le Percussion in Concert réunit les élèves des classes de percussion de Serge Kettenmeyer, de Laurent Clement et d’Erik Larrea autour d’un programme d’époques et de styles très variés : de la musique classique jusqu’aux tendances plus modernes, ce programme éclectique saura plaire à un public de tout âge et venant de tous les horizons.
Mary in the junkyardMary in the junkyard est un de ces groupes dont la scène indie londonienne a le secret : un seul single au compteur mais une solide réputation scénique (notamment au Windmill, club mythique qui a vu éclore Squid, Black Midi ou Shame) et une hype qui va en grandissant. La voix cassée de la chanteuse Cari Freeman-Taylor sublime leur premier single tonitruant, “Tuesday”, et les comparaisons élogieuses avec Big Thief et Radiohead n’ont pas tardé à pleuvoir. Attention, coup de cœur !Use KnifeUse Knife réalise une symbiose unique entre musique underground occidentale et sonorités arabes traditionnelles. S’appuyant sur des rythmes électroniques propulsifs, des mélodies séquencées et des tambours vibrants, le trio exprime sa vision de la libre pensée dans un monde globalisé.
El Jose Y Ciccio croisent leurs instruments (guitare / harmonica) et joignent leur amour du blues pour vous proposer, le temps d'une soirée, un voyage au temps des pionniers de la musique du Diable ! Biberonné dès l'enfance par le blues rock de Stevie Ray Vaughan, El Jose est un musicien auto-didacte. Il forme dès l'été 2012 une première formation, El Jose and the Hibbie Blues, avec qui il enregistrera un premier album, et en profite pour s'enrichir d'une solide expérience scénique. En 2017 El Jose produit un second album avec les Hibbie Blues, « Back On Track », avec quelques invités de renom tels que Mike Lattrell aux claviers et Russ Green à l'harmonica, et un EP acoustique, « Solo Sessions » où il interprète seul avec ses guitares des compositions teintées de slide et de sonorités plus rurales. Il en profite pour se produire en solo sur quelques scènes, notamment celle du Chom'Blues Festival à l'été 2018. Afin d'explorer ce blues plus rural, il rejoint le groupe Foggy Blues emmené par Stefano Moscato, dont il produira l'album Tons Of Blues courant 2018. Parallèlement, El Jose multiplie les projets afin d'explorer les différentes facettes du Blues qu'il affectionne. Il monte un nouveau trio, The Chicago Thunders, au répertoire axé sur les grands standards qui ont bercé sa jeunesse. Suite à sa rencontre avec le bluesman japonais Shun Kikuta, El Jose organise la première tournée fran?aise de cet artiste en avril 2019. Le dernier concert de cette tournée, au Hall Blues Club de Pélussin, a été enregistré et sorti au Japon et en France sous le nom « Shun Kikuta with El Jose and the Hibbie Blues - Live in France » Lors de l'été 2019, El Jose fait partie du line up du 1er International Blues Summit de Tokyo, et en profite pour se produire sur plusieurs scènes japonaises à Tokyo, Nakano, Kyoto et Shizuoka En 2021, maintenant basé à Nancy, au coeur de la région Grand Est, El Jose est de retour accompagné d'une toute nouvelle formation, El Jose and the Bluebirds. Ils participent notamment au festival de Verdun, Les Faubourgs du Blues. Cette nouvelle formation navigue dans les eaux troubles du Chicago Blues, sans toutefois renier des influences funk et soul. « El Jose revendique haut et fort l'influence du Texas Blues sur sa musique. La voix est parfaite et la guitare se fait incisive, respirant le Blues. » -Blues Magazine Site web : https://legueulard.fr/web/ Infos réservation : info@legueulard.fr
The Robert Cray Band will be touring and stopp by the Rockhal for the first time since the 2020 release of his album, That’s What I Heard. “Funky, cool and bad,” is how Cray describes the Grammy-nominated album, produced by longtime collaborator, Steve Jordan, who adds, “I thought, if we could get this thing that Sam Cooke used to have, the kind of sound that early Sam Cooke records had, that we could pull this off.” “Robert Cray is not only making music, he’s making history,” writes Guitar Player Magazine. Over the past four decades, Cray has created a sound that rises from American roots, blues, soul and R&B, with five Grammy wins, 20 acclaimed studio and live albums that punctuate the Blues Hall of Famer’s career. On That’s What I Heard, Robert celebrates the music of Curtis Mayfield, Bobby “Blue” Bland, The Sensational Nightingales and more, alongside Cray’s own songs. Cray and Jordan go way back, having met during the making of the Chuck Berry documentary Hail! Hail! Rock ’n’ Roll, in 1987. They started working together in 1999, when Jordan produced the Grammy-winning Take Your Shoes Off, and the recent Grammy-nominated LP, Robert Cray & Hi Rhythm. That’s What I Heard is their sixth album. “Once you start working with Steve, it’s kind of hard to get away from him,” said Robert. “Robert is just a great person besides being extraordinary talent,” adds Jordan. “People gravitate to his guitar playing first, but I think he’s one of the best singers I’ve heard in my life. Not only because of his singing ability, but his interpretations. He’s such an honest soul in my opinion.” Robert’s band features Richard Cousins (bass), Dover Weinberg (keyboards) and Les Falconer (drums).