Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies
Van Wielendaele.
Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont
maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij
uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit
de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de
vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de
verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie
tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een
fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met
haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag."
FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos
fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe
analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source
d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie
de la photographe Marlies.
07februari 2023
-17maart 2023
18:00 - 21:00
La Maison des Cultures de Saint-Gilles
Rue De Belgrade - Belgradostraat 120, 1060 Saint-Gilles, Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Description
La Maison des Cultures de Saint-Gilles, a le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition : « Ici, Ici, C’est Saint-Gilles ». Découvrez, en images, les nombreuses facettes du supporterisme dans les tribunes du Stade Marien, à l’occasion des 125 ans de la Royale Union Saint-Gilloise !
Rendez-vous le 9 février, entre 18h et 21h, pour une plongée en immersion, à travers le regard de multiples photographes, dans la passion, la ferveur et l’ambiance uniques qui enflamment le stade du parc Duden.
Comment raconter en images cette atmosphère hors du commun, familiale et bienveillante que l’on y vit ? La Maison des Cultures, la Royale Union Saint-Gilloise et La Nombreuse ont tenté de relever le défi !
Si l’Union sourit à nouveau et rayonne à l’international, c’est aussi grâce à ses supportrices et supporters fidèles, acharné·e·s, ultras qui n’ont cessé de chanter ses couleurs !
– INFOS PRATIQUES –
À la Maison des Cultures de Saint-Gilles – rue de Belgrade, 120
Vernissage le 9 février I 18h > 21h
Exposition accessible : du 11 février au 17 mars
- Les mercredis et samedis de 14h à 17h
Finissage le 17 mars I 18h > 21h
Par La Royale Union Saint-Gilloise, La Nombreuse et la Maison des Cultures de Saint-Gilles
Avec le soutien de l’appel à projet 1060 CultureCultuur
Gratuit
Si vous souhaitez organiser une visite guidée avec un groupe, du lundi au jeudi, n’hésitez pas à contacter la Maison des Cultures :
• maisondescultures@stgilles.brussels
• 02 850 44 18
Rendez-vous le 9 février, entre 18h et 21h, pour une plongée en immersion, à travers le regard de multiples photographes, dans la passion, la ferveur et l’ambiance uniques qui enflamment le stade du parc Duden.
Comment raconter en images cette atmosphère hors du commun, familiale et bienveillante que l’on y vit ? La Maison des Cultures, la Royale Union Saint-Gilloise et La Nombreuse ont tenté de relever le défi !
Si l’Union sourit à nouveau et rayonne à l’international, c’est aussi grâce à ses supportrices et supporters fidèles, acharné·e·s, ultras qui n’ont cessé de chanter ses couleurs !
– INFOS PRATIQUES –
À la Maison des Cultures de Saint-Gilles – rue de Belgrade, 120
Vernissage le 9 février I 18h > 21h
Exposition accessible : du 11 février au 17 mars
- Les mercredis et samedis de 14h à 17h
Finissage le 17 mars I 18h > 21h
Par La Royale Union Saint-Gilloise, La Nombreuse et la Maison des Cultures de Saint-Gilles
Avec le soutien de l’appel à projet 1060 CultureCultuur
Gratuit
Si vous souhaitez organiser une visite guidée avec un groupe, du lundi au jeudi, n’hésitez pas à contacter la Maison des Cultures :
• maisondescultures@stgilles.brussels
• 02 850 44 18
Photographie
Billets
Info:
Gratuit - Free
Info & Réservation
Lieu
1 Photo
Événements suggérés
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de
Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water
en de vallei opnieuw laten voelen.
FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la
vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la
présence de cette eau évaporée et de la vallée.
Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit
Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
No area of Belgium has undergone such a radical process of transformation as the
North Sea coast. This transformation is a story of demolition, construction,
reconstruction in an effort to withstand the elements and respond to the
challenges of the economy, transport, fishing, and above all tourism.
Ecological, economic and industrial challenges meet here with the amazement or
admiration of visitors, the carefreeness of tourists, and the nostalgia of old
settlers. In the rhythm of the tides, everything is connected by an endless
tide, on a unique background where the border between the sea and the sky blurs.
Exposition collective témoignant de la volonté des artistes à se
réapproprier le medium photographique lors de leur processus de
création.Nicolas Andry (BE), Pepe Atocha (PE), Sylvie Bonnot (FR), Aliki
Christoforou (BE), Dana Cojbuc(RO), Antoine De Winter (BE), Gundi Falk (AT),
Marina Font (AR), Lior Gal (IL), Audrey Guttman(BE), Romane Iskaria (FR),
Morvarid K (IR), Kíra Krász (HU), Douglas Mandry (CH), Alice Pallot(FR),
Raphaëlle Peria (FR), Luc Praet (BE), Anys Reimann (DE), St
********** English **********
Why…Not! is a quarterly photographic magazine, digital and printed, initiated by
the ASBL Cultures & Publics.
The magazine engages in co-creation on the subjects of Utopia, the urban
landscape, the night, the body... And more generally on the impact of the
photographic and literary medium in the construction of aesthetic and social
relationships.
With the release of No. 1, la Maison Commune presents an exquisite corpse of
works around the theme “Siphoning minds”.
Come discover the work of our contributors from Monday April 18 at 6 p.m. !
The exhibition, visible until May 7, will end with an evening of artistic and
literary performances on from 6 p.m. to 10 p.m.
********** Français **********
Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée,
initiée par l’ASBL Cultures & Publics.
Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de
l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact
du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique
et social.
À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de
Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème
« Siphonner les esprits ».
Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h
!
L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de
performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
A proposal by Dominique de beir with Pierrette Bloch, Cathryn Boch, Dominique De
Beir, Isabelle Ferreira, Hessie, Maëlle Labussière, Patrice Pantin.
********** English **********
In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta
presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape
through colour and organic materials, brought to life through both drawing
(wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.).
In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers
of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and
randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the
atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the
invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface.
Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image
that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in
graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses.
Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting
and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of
confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been
evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the
small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the
contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive
pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the
paper.
ABOUT THE ARTIST
Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in
Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts
(ENSAV La Cambre, Brussels, 2016).
Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le
Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts,
European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic
Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux,
Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies
at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris,
the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the
winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof
and the Prix Carré sur Seine in 2020.
From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium
to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of
Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in
all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture
and photography, construction allows her to speak of the human being, the one
who both inhabits and builds.
In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape
and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of
withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection,
confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading
her increasingly towards projects in the public space.
********** Français **********
Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie
Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage
au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le
dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…).
Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant
deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate,
appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface
du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs
vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une
surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent
l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La
seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre,
obstruer ou limiter ces étendues infinies.
Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de
grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste
pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué
dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées
des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais
ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif
du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier.
A PROPOS DE L’ARTISTE
Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante
basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en
arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016).
Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en
Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à
Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins
Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été
résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à
Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est
lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et
du prix Carré sur Seine en 2020.
De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade
de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages
bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture
sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la
sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain,
celui qui, tout à la fois, habite et édifie.
Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de
manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la
matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut
apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme
l’amène également de plus en plus vers
des projets dans l’espace public.
********** Nederlands **********
In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert
Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de
leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of
organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de
papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht.
In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik
maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De
eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele
papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een
landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het
gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar
accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte
afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in
een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of
andere manier deze oneindige uitgestrektheid.
De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen
rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de
kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich
terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name
de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin
boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de
niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van
de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier
gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel
verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons
een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen.
OVER DE KUNSTENARES
Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in
Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in
Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016).
Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België
(Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée
in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in
Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook
residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des
Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze
is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix
Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020.
Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion
van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de
steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar
vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van
tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie
kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt.
In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke
benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel
kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een
meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik
maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich
terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming,
afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie
Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving,
waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema
van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die
bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor
stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Terwijl Gaza een totale tragedie doormaakt, werpt deze tentoonstelling een blik
op een decennium van tumult in het Midden-Oosten. Vanaf de revoluties in Tunesië
en Egypte tot de conflicten in Syrië, Irak, Jemen en momenteel in Gaza.
De verschillende hoofdstukken van deze recente geschiedenis van het
Midden-Oosten worden verteld aan de hand van de verhalen van oorlogsslachtoffers
die worden behandeld in het MSF-ziekenhuis in Amman, een unieke locatie op het
kruispunt van deze conflicten.
Na een verhelderend kijk op de actualiteit gaan we met elkaar in gesprek en is
er tijd voor een creatieve borduurworkshop waar je meewerkt aan een solidaire
boodschap.
Aurélie Salavert est née à Avignon. Elle vit et travaille à Bruxelles. L’artiste
transmet ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs dans des images qui
semblent enfouies dans notre propre subconscient. Le fil conducteur de sa
pratique est le dessin, qui se réinvente continuellement grâce à l’utilisation
de techniques et de styles différents, permettant l’émergence d’une abstraction
figurative. La vaste production de dessins intimes au crayon d’Aurélie Salavert,
avec leurs doux lavis d’aquarelle ou leurs plats de gouache, nous parlent avec
une clarté enfantine, mais leur signification reste ouverte.
Lasse Wandschneider est né en 1987 à Lübeck, en Allemagne. Il a fait des études
en illustration et BD à Breda, Berlin, Prague et Bruxelles. Désormais, il vit et
travaille entre Bruxelles et Berlin. Dans son art, il s’intéresse aux équilibres
entre abstraction et narration, improvisation et réflexion, page et espace.
NL/ Op 25 april 1974 maakte een vreedzame staatsgreep die uitgroeide tot een
volksrevolutie een einde aan de dictatuur in Portugal en de koloniale oorlogen
in Afrika. Kom de geschiedenis van de Portugese democratische transitie en het
einde van de kolonisatie ontdekken via de tentoonstelling De Anjerrevolutie
gezien vanuit België.
FR/ Le 25 avril 1974 un coup d’état pacifique devenu révolution populaire, a mis
fin à la dictature au Portugal et aux guerres coloniales en Afrique. Nous vous
invitons à découvrir l’histoire de la transition démocratique du Portugal et de
la fin de la colonisation à travers de l’exposition 'La Révolution des illets
vue de Belgique'.
EXPO 16.04>31.05 (visits weekdays 9:00-20:00)
VERNISSAGE do/je 18.04 (19:00-23:00) - gratis/gratuit
+ 20:30 concert Ensemble 'A alma e o vento' (liederen die de strijd en het
verzet van de Portugezen tegen de dictatuur illustreren / des chansons qui
illustrent la lutte et la résistance des portugais à la dictature)
Org. Federação Associações Portuguesas Bélgica