60 minutes pour ne rien dire | Les vies en soi
Après avoir découvert une exposition de sculptures de Richard Serra, le
narrateur est tellement touché par la pureté de ce qu’il vient de v
L'apocalypse heureuse | Stéphane Lambert | Jean-Baptiste Delcourt
Description
Dans L’apocalypse heureuse, Stéphane Lambert revient sur sa propre histoire pour en dénouer les nœuds et passe par le geste de l’écriture pour sortir du labyrinthe de la souffrance, dépeignant la mémoire traumatique de l’enfant abusé qu’il a été, en retraçant les contours pour pouvoir mener sa vie d’adulte sur un chemin plus apaisé. Convoquant de nouveau les faits vécus, il tisse une toile qui prend l’universel pour périmètre.
La maison en Bretagne, la séparation des parents, le déménagement avec la mère, la mort d’un amour, la découverte d’un autre, la mort du père, les flux croisés de la vie passée et du temps présent, autant d’arrêts qui balisent « cet itinéraire du soi » qui permet d’aller vers demain. D’une grande douceur, le texte nous dit l’urgence de vivre, d’aimer pour vaincre la mort et les spectres qui nous retiennent à eux, nous invitant à les affronter sans baisser les yeux.
Écrit à la première personne du singulier, le récit nous invite à parcourir, sans faux-semblants, l’intimité des souvenirs, confrontant l’adulte avec les chocs, les culpabilités, et les non-dits qui ont marqué l’enfance.
Jean-Baptiste Delcourt, en étroite collaboration avec l’auteur, adapte ce récit à la scène, avec pour désir d’en faire entendre la parole au présent et d’en faire partager l’esprit de conquête d’une renaissance.
La maison en Bretagne, la séparation des parents, le déménagement avec la mère, la mort d’un amour, la découverte d’un autre, la mort du père, les flux croisés de la vie passée et du temps présent, autant d’arrêts qui balisent « cet itinéraire du soi » qui permet d’aller vers demain. D’une grande douceur, le texte nous dit l’urgence de vivre, d’aimer pour vaincre la mort et les spectres qui nous retiennent à eux, nous invitant à les affronter sans baisser les yeux.
Écrit à la première personne du singulier, le récit nous invite à parcourir, sans faux-semblants, l’intimité des souvenirs, confrontant l’adulte avec les chocs, les culpabilités, et les non-dits qui ont marqué l’enfance.
Jean-Baptiste Delcourt, en étroite collaboration avec l’auteur, adapte ce récit à la scène, avec pour désir d’en faire entendre la parole au présent et d’en faire partager l’esprit de conquête d’une renaissance.
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Info:
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