Portes : 19h / Concert : 20h30ANGUS V. Halen Experience - Hybrid Onefeaturing
Angus High Voltage Ben Patigny Jean Philippe Dirix Marcus Weymaere+ Support Act!
Long cheveux dans le vent, jumps et solos de guitare à gogo !
La Nuit Du Rock
Description
La Nuit du Rock 2024, c'est l'événement de ce début d'année à l'Atelier Rock.Nos élèves de Cours d'ensemble vont vous emmener jusqu'au bout de la nuit en traversant de nombreux courants musicaux tels que le rock, la pop, le metal, la chanson française et bien d'autres.Une soirée à ne surtout pas manquer !! Nombre de places limité!
Pop
Rock
Information sur la date
Lundi: de 20:00 à 23:30. Vendredi: de 20:00 à 23:30. Le 19 janvier
Billets
Info:
8€/10€
Organisateur
Vous organisez cet événement ?
Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.
Nous contacter1 Photo
Événements suggérés
En reprenant ses morceaux sublimes, c’est à ce génie du Blues et à cette légende
du Rock que
le groupe OLD LOVE rend hommage lors de ses concerts tout en se rapprochant au
plus près de son esprit, de son cœur et de son âme. Si l’on a pu dire, et à
juste titre, que Clapton est l’âme du Blues et du Rock, on dira qu’OLD LOVE se
veut être celle d’Eric Clapton.
| OLD LOVE team |
Manu PICARDI,
leadvocal, guitar | Isabelle GRAFF,
bass | Domenico Ferlisi, drums | Giacomo ARONICA, keyboards
Réservations: https://my.weezevent.com/elvis-by-frantz-goovaertFranz Goovaerts,
un carolo, incarne le King depuis 26 ans. Il avait à peine 16 ans lorsqu’il a
endossé le costume d’Elvis Presley pour la première fois sur un plateau de
télévision et depuis, sa passion ne l’a jamais quitté.L’imitateur a été sacré
meilleur sosie d’Elvis Presley au monde, en 2006. En effet, cela fait plus de 10
ans que Franz Goovaerts se présente au concours de sosie organisé à Memphis, un
lieu symbolique puisque le chanteur de légende y est décédé le 16 aout 1977.Trop
rarement en concert dans notre belle région, c’est une chance d’avoir ce rockeur
pour un show intimiste mais avec une énergie de feu !L’illusion sera totale
durant cette soirée unique à Chaudfontaine.
Répertoire des Monuments de la Chanson FrançaiseAprès Paris, Berlin, Liège et de
nombreuxfestivals européens, Andrea Belli etFranco Pietropaoli vous feront
découvrirla tradition musicale italienne ainsi que leschansons de Georges
Brassens traduitespar Andrea Belli.Au cours de cette soirée unique, la voix
deBelli se mêlera aux harmonies des guitareset de la mandoline de Pietropaoli,
créantune atmosphère intime et suggestive.Les racines napolitaines de
Brassens,sa passion pour la tarentelle et la cultureitalienne sont réarrangées
par les deuxmusiciens italiens, qui interpréteront leschansons contenues dans
leurs deuxalbums “A mon frère revenant d’Italie” et“Paradossi a parte”.Un voyage
musical qui, après GeorgesBrassens, passera par Jacques Brel, PaoloConte,
Fabrizio De André et la chansonromaine.Ne manquez pas l’occasion de participer
àcette soirée musicale inoubliable.Le spectacle est précédé d’un repas.
Laissez-vous emporter par le boogie woogie de Druss Lecomte (piano) et de ses
trois acolytes que sont Mayki Ferro (guitare), Guillaume Dutrieux (contrebasse)
et Thomas Petit (batterie).
Le jeu haut en couleur de Druss vous rappellera le swing de Count Basie, le
stride dehttp://www.youtube.com/watch?v=WLMFNgd2xyc Thomas "Fats" Waller et
James P. Johnson, l'humour d'Erroll Garner, et la technique d'Art Tatum, sans
omettre son jeu de boogie d'une richesse subtile plutôt que dans l'artillerie
lourde auquel ce style est souvent soumis. Il a une longue carrière de pianiste
de jazz, blues, swing et boogie woogie derrière lui. Ainsi, il a notamment
assuré des premières parties de Fats Domino et de Ray Charles.
Ses trois acolytes ne sont pas pour autant en reste, voyez ce petit avant-goût :
www.youtube.com/watch?v=WLMFNgd2xyc [http://www.youtube.com/watch?v=WLMFNgd2xyc]
FESTIVAL MUSICAL DE DEUX JOURS EN PLEIN CENTRE DE NAMUR
Vendredi 19/04 à partir de 19h00: soirée cover et tribute avec les papas Fritas,
C Calo (Calogéro) et les italiens de Queen on Fire.
Samedi 20/04 à partir de 18h30: soirée de musique urbaine avec en tête d'affiche
HATIK. Et également la namuroise D'Elle, Fresh, Uzi et les DJ Flash et L4U.
18h30 à 02h00
Tickets: www.saintlouisfestival.be [http://www.saintlouisfestival.be]et dans
tous les Night & Day Presse
Présence obligatoire sur le site d'un parent accompagnant pendant les activités.
Entrée gratuite pour les parents.
Florian Noack nous propose le Concerto n°1 de Nikolai Medtner, un contemporain
et ami de Rachmaninov. Ce compositeur resta fidèle à la tradition classique
occidentale pendant une période troublée et composa des œuvres virtuoses d’un
romantisme extrême.
Le Belgian National Orchestra étoffe le programme en nous présentant l’ouverture
de Coriolan de Beethoven et la symphonie N°5 de Tchaikovsky. Lorsqu’il composa
cette dernière, Tchaïkovsky était au sommet de son art. Un même thème – une
sorte « d’idée fixe » qui rappelle le leitmotiv sur lequel se fonde la Symphonie
fantastique de Berlioz – revient dans les quatre mouvements. Beaucoup y voient
la manifestation du destin.
CONCERT LES NUITS MOBILES [https://www.lesnuitsmobiles.be/] · Les Nuits Mobiles,
ce sont des concerts de qualité dans des lieux culturels et insolites. Un projet
à l'initiative d'Arti'Zik [https://www.artizik.be/] que nous sommes fier·e·s de
rejoindre cette année !
Concert debout
PROGRAMME
19:30 - Ouverture des portes
Début des concerts - TBA
TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H
AGORIA
Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90,
il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La
musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques
valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers
qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du
cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans
l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain.
Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à
l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde
à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se
ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que
Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois
les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il
joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… « personne ne danse ». Étudiant en
cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour
pouvoir mixer à cette soirée : « Je me suis demandé un petit moment si j’avais
fait le bon choix ».
C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les
samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa
passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. « Ces années de radio
m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons
morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ».
La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est
née ainsi.
Si Agoria produit des disques dès 1999, « La Onzieme Marche », sortie la
première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch « qui,
dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk » marque une
étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce
morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira
ses deux premiers albums, « Blossom » en 2003 avec un featuring de Tricky, puis
« The Green Armchair » en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de
Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à
imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle
des pionniers de Detroit, mais « twistée » par une drôle de pulsation
contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop.
Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se
soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec
l’album « Impermanence » en 2011 et plus encore avec « Drift », sorti en
collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de
somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions
cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, « Drift » confirme le
talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement
des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture
électronique. « Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te
battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff
Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait
très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma
liberté musicale, rester un électron libre. » Une ligne de conduite qu’il
applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée « Drift » comme son
dernier disque.
S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette
scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits
Sonores dont il est « l’ange gardien » selon l’équipe du festival, son désir
« de tenter sans cesse des aventures nouvelles », va l’amener à créer deux des
plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006
avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi
aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis
2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de « talk »,
écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains.
En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par
la puissance de « Code 1026 », le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son
producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film
« Go Fast », commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette
aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une
amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande
originale de « Lucky », la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de
« Dikkenek ». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux
documentaires de Jan Kounen, « Mère Océan » et « Vape Wave ». Une collaboration
fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série « The Show ».
La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à
collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la
marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années,
ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à
l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise
en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres.
Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus
importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom
Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail
photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces,
jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques
Villeglé, figure essentielle du « Nouveau Réalisme » des années 60, ont été
saluées par le célèbre magasine Américains « Interior Design » comme l’un des
points forts de l’édition 2019.
Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album
« pratiquement terminé ».