La Nuit Du Rock

Description

La Nuit du Rock 2024, c'est l'événement de ce début d'année à l'Atelier Rock.Nos élèves de Cours d'ensemble vont vous emmener jusqu'au bout de la nuit en traversant de nombreux courants musicaux tels que le rock, la pop, le metal, la chanson française et bien d'autres.Une soirée à ne surtout pas manquer !! Nombre de places limité!

Information sur la date

Lundi: de 20:00 à 23:30. Vendredi: de 20:00 à 23:30. Le 19 janvier

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8€/10€

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En reprenant ses morceaux sublimes, c’est à ce génie du Blues et à cette légende du Rock que le groupe OLD LOVE rend hommage lors de ses concerts tout en se rapprochant au plus près de son esprit, de son cœur et de son âme. Si l’on a pu dire, et à juste titre, que Clapton est l’âme du Blues et du Rock, on dira qu’OLD LOVE se veut être celle d’Eric Clapton.   | OLD LOVE team | Manu PICARDI, leadvocal, guitar | Isabelle GRAFF, bass | Domenico Ferlisi, drums | Giacomo ARONICA, keyboards
Réservations: https://my.weezevent.com/elvis-by-frantz-goovaertFranz Goovaerts, un carolo, incarne le King depuis 26 ans. Il avait à peine 16 ans lorsqu’il a endossé le costume d’Elvis Presley pour la première fois sur un plateau de télévision et depuis, sa passion ne l’a jamais quitté.L’imitateur a été sacré meilleur sosie d’Elvis Presley au monde, en 2006. En effet, cela fait plus de 10 ans que Franz Goovaerts se présente au concours de sosie organisé à Memphis, un lieu symbolique puisque le chanteur de légende y est décédé le 16 aout 1977.Trop rarement en concert dans notre belle région, c’est une chance d’avoir ce rockeur pour un show intimiste mais avec une énergie de feu !L’illusion sera totale durant cette soirée unique à Chaudfontaine.
Répertoire des Monuments de la Chanson FrançaiseAprès Paris, Berlin, Liège et de nombreuxfestivals européens, Andrea Belli etFranco Pietropaoli vous feront découvrirla tradition musicale italienne ainsi que leschansons de Georges Brassens traduitespar Andrea Belli.Au cours de cette soirée unique, la voix deBelli se mêlera aux harmonies des guitareset de la mandoline de Pietropaoli, créantune atmosphère intime et suggestive.Les racines napolitaines de Brassens,sa passion pour la tarentelle et la cultureitalienne sont réarrangées par les deuxmusiciens italiens, qui interpréteront leschansons contenues dans leurs deuxalbums “A mon frère revenant d’Italie” et“Paradossi a parte”.Un voyage musical qui, après GeorgesBrassens, passera par Jacques Brel, PaoloConte, Fabrizio De André et la chansonromaine.Ne manquez pas l’occasion de participer àcette soirée musicale inoubliable.Le spectacle est précédé d’un repas.
Laissez-vous emporter par le boogie woogie de Druss Lecomte (piano) et de ses trois acolytes que sont Mayki Ferro (guitare), Guillaume Dutrieux (contrebasse) et Thomas Petit (batterie). Le jeu haut en couleur de Druss vous rappellera le swing de Count Basie, le stride dehttp://www.youtube.com/watch?v=WLMFNgd2xyc Thomas "Fats" Waller et James P. Johnson, l'humour d'Erroll Garner, et la technique d'Art Tatum, sans omettre son jeu de boogie d'une richesse subtile plutôt que dans l'artillerie lourde auquel ce style est souvent soumis. Il a une longue carrière de pianiste de jazz, blues, swing et boogie woogie derrière lui. Ainsi, il a notamment assuré des premières parties de Fats Domino et de Ray Charles. Ses trois acolytes ne sont pas pour autant en reste, voyez ce petit avant-goût : www.youtube.com/watch?v=WLMFNgd2xyc [http://www.youtube.com/watch?v=WLMFNgd2xyc]
FESTIVAL MUSICAL DE DEUX JOURS EN PLEIN CENTRE DE NAMUR Vendredi 19/04 à partir de 19h00: soirée cover et tribute avec les papas Fritas, C Calo (Calogéro) et les italiens de Queen on Fire. Samedi 20/04 à partir de 18h30: soirée de musique urbaine avec en tête d'affiche HATIK. Et également la namuroise D'Elle, Fresh, Uzi et les DJ Flash et L4U. 18h30 à 02h00 Tickets: www.saintlouisfestival.be [http://www.saintlouisfestival.be]et dans tous les Night & Day Presse
Florian Noack nous propose le Concerto n°1 de Nikolai Medtner, un contemporain et ami de Rachmaninov. Ce compositeur resta fidèle à la tradition classique occidentale pendant une période troublée et composa des œuvres virtuoses d’un romantisme extrême. Le Belgian National Orchestra étoffe le programme en nous présentant l’ouverture de Coriolan de Beethoven et la symphonie N°5 de Tchaikovsky. Lorsqu’il composa cette dernière, Tchaïkovsky était au sommet de son art. Un même thème – une sorte « d’idée fixe » qui rappelle le leitmotiv sur lequel se fonde la Symphonie fantastique de Berlioz – revient dans les quatre mouvements. Beaucoup y voient la manifestation du destin.
CONCERT LES NUITS MOBILES [https://www.lesnuitsmobiles.be/] · Les Nuits Mobiles, ce sont des concerts de qualité dans des lieux culturels et insolites. Un projet à l'initiative d'Arti'Zik [https://www.artizik.be/] que nous sommes fier·e·s de rejoindre cette année ! Concert debout PROGRAMME 19:30 - Ouverture des portes Début des concerts - TBA
TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H AGORIA Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90, il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain. Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… « personne ne danse ». Étudiant en cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour pouvoir mixer à cette soirée : « Je me suis demandé un petit moment si j’avais fait le bon choix ». C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. « Ces années de radio m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ». La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est née ainsi. Si Agoria produit des disques dès 1999, « La Onzieme Marche », sortie la première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch « qui, dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk » marque une étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira ses deux premiers albums, « Blossom » en 2003 avec un featuring de Tricky, puis « The Green Armchair » en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle des pionniers de Detroit, mais « twistée » par une drôle de pulsation contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop. Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec l’album « Impermanence » en 2011 et plus encore avec « Drift », sorti en collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, « Drift » confirme le talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture électronique. « Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma liberté musicale, rester un électron libre. » Une ligne de conduite qu’il applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée « Drift » comme son dernier disque. S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits Sonores dont il est « l’ange gardien » selon l’équipe du festival, son désir « de tenter sans cesse des aventures nouvelles », va l’amener à créer deux des plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006 avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis 2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de « talk », écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains. En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par la puissance de « Code 1026 », le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film « Go Fast », commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande originale de « Lucky », la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de « Dikkenek ». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux documentaires de Jan Kounen, « Mère Océan » et « Vape Wave ». Une collaboration fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série « The Show ». La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années, ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres. Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces, jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques Villeglé, figure essentielle du « Nouveau Réalisme » des années 60, ont été saluées par le célèbre magasine Américains « Interior Design » comme l’un des points forts de l’édition 2019. Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album « pratiquement terminé ».