Technique : peinture / sculpture
Du 30.03 au 22.06
Avec ses couleurs pop et gourmande, Léopoldine Roux investit le Palace à Ath.
Les poches remplies de vernis à ongle, l’artiste bruxelloise use du liquide
brillant pour transformer le décor urbain issu d’anciennes cartes postales noir
& blanc. Comme une Mary Poppins des temps modernes, Léopoldine transforme les
rues noires et tristes par un coup de peinture dans lesquelles on saute
volontiers à pieds joints pour vivre l’expérience du paysage bucolique. Par ses
couleurs pétillantes, l’artiste nous transporte dans un univers acidulé et
vitaminé. La couleur omniprésente se respire, se vit et se joue, comme une
expérience intime et collective. « L’œuvre ludique, faussement enfantine de
Léopoldine a de réels pouvoirs et peut influer sur nos sentiments en nous
donnant à voir et à réfléchir sur une réalité bien cruelle : la perte du beau
dans le paysage urbain contemporain. » Carole Depasse _ Souvenirs de Bruxelles,
texte de l'exposition 2022
Vivre le paysage urbain contemporain autrement.
Dans le cadre de la Biennale Art & Végétal, Léopoldine Roux est invitée à
investir le Jardin des Arts et des Lettres. Elle met en dialogue la couleur en
tant que sujet au cœur de la ville. Pour ce faire, l’artiste investit un espace
public partagé entre ambiance végétale et minérale.
Son intervention, intitulée Rainbow Seeds (Graines d’Arc-en-Ciel), est composée
de pierres bleues, certaines discrètes, d’autres monumentales. Toutes seront
couvertes des sept couleurs de l’arc-en-ciel.
Apparaissant comme un impossible mirage échappé d’un conte de fées, ces
monolithes invitent à penser et vivre l’espace public autrement.
Infos et réservations : mail ou 068/68 19 98
Bernard Hubot
28maart 2023
-17juni 2023
Palace
Palace, Ath, Hainaut 7800, Belgique
Description
28.03 > 17.06PALACEVernissage : Ve.31.03Artiste du quotidien, dresseur de papyrus, accompagnateur de train-couchette, professeur hors les murs, jardinier du midi, collectionneur de brindilles, orateur du soir, compositeur au vent… Bernard Hubot vous invite dans son atelier, sa maison, son jardin, sa cuisine.En deux gestes, il installe le jardin dans la maison tandis que la maison s’exporte dans le jardin. Nous y sommes : maison et jardin arrivent dans le Palace.Chaque pièce, plante, humain, oiseau, insecte devient un terrain de jeu pour l’artiste. Il vit au rythme de ses papyrus, crée avec les saisons et explore la lumière.Sans même s’en apercevoir, le visiteur est mis à l’œuvre et le processus se met en œuvre.L’exposition respire, elle accueille et intègre chaque jour une nouvelle trace, un regard, un geste, et nous voilà inévitablement impliqués dans le jardin de Bernard. Sous le signe de l’éphémère, le Palace vous attend pour une exposition qui se joue, se plie, se colore, se retourne, se plante, se cuisine…Les rendez-vous de l’expo :• Yoga ArtSA.15.04 à 11h• Visite libre de l’expositionSA.15.04 de 13h30 à 17h• Histoires d’artisteSA.06.05 à 18h30• Ruée vers l’Art rejoint BernardJE.25.05 à 19h
Peinture
Information sur la date
Mardi: de 10:00 à 18:00. Mercredi: de 10:00 à 18:00. Jeudi: de 10:00 à 18:00. Vendredi: de 10:00 à 18:00. Samedi: de 10:00 à 18:00. Du 28 mars au 17 juin
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secrétariat.Et sur rendez-vous. Entrée libre.
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Infos et réservations : +32 (0)65 613 902 / reservations@grand-hornu.be
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les débutants ainsi que les plus formés dans l'art du bonsaï, organise son
exposition quinquennale ce premier dimanche de mai.Ce club a 40 ans
d’existence.Présentation d’environ 60 arbres.Pas de vente.Possibilité de se
désaltérer et de se restaurer (sandwich et tartes)
Avec cette exposition qui met en lumière les œuvres de ses élèves en situation
de handicap, l’artiste peintre Michel Buzin nous invite à questionner notre
conception de la normalité et de la différence…Michel Buzin – Bzn EcauEntrée
libre
********** English **********
In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta
presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape
through colour and organic materials, brought to life through both drawing
(wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.).
In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers
of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and
randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the
atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the
invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface.
Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image
that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in
graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses.
Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting
and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of
confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been
evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the
small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the
contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive
pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the
paper.
ABOUT THE ARTIST
Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in
Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts
(ENSAV La Cambre, Brussels, 2016).
Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le
Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts,
European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic
Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux,
Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies
at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris,
the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the
winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof
and the Prix Carré sur Seine in 2020.
From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium
to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of
Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in
all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture
and photography, construction allows her to speak of the human being, the one
who both inhabits and builds.
In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape
and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of
withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection,
confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading
her increasingly towards projects in the public space.
********** Français **********
Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie
Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage
au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le
dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…).
Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant
deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate,
appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface
du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs
vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une
surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent
l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La
seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre,
obstruer ou limiter ces étendues infinies.
Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de
grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste
pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué
dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées
des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais
ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif
du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier.
A PROPOS DE L’ARTISTE
Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante
basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en
arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016).
Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en
Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à
Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins
Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été
résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à
Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est
lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et
du prix Carré sur Seine en 2020.
De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade
de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages
bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture
sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la
sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain,
celui qui, tout à la fois, habite et édifie.
Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de
manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la
matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut
apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme
l’amène également de plus en plus vers
des projets dans l’espace public.
********** Nederlands **********
In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert
Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de
leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of
organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de
papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht.
In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik
maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De
eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele
papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een
landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het
gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar
accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte
afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in
een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of
andere manier deze oneindige uitgestrektheid.
De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen
rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de
kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich
terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name
de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin
boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de
niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van
de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier
gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel
verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons
een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen.
OVER DE KUNSTENARES
Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in
Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in
Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016).
Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België
(Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée
in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in
Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook
residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des
Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze
is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix
Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020.
Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion
van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de
steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar
vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van
tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie
kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt.
In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke
benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel
kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een
meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik
maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich
terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming,
afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie
Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving,
waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema
van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die
bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor
stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
La photographie peut être utilisée pour transmettre des expériences, des idées,
des symboles ou pour partager des émotions, des sensations et des sentiments. En
photographiant, nous en apprenons d’avantages sur le sujet, son contexte et la
lumière qui l’éclaire. L’ensemble des gestes qui permettent de gérer les
paramètres de l’appareil photo, les conditions de prise de vue et les éléments à
saisir pour obtenir une image s’apparente parfois à un rituel. Photographier
peut ainsi aider à se concentrer sur l’instant présent afin d’ atteindre un état
de conscience accru. Une situation ouvrant la possibilité de créer un autre
rapport à soi, aux autres et d’aiguiser son regard sur le monde… pour mieux le
transformer ?
Voir, savoir, pouvoir, trois mots clés qui structures les différentes étapes de
la pratique photographique de Rino Noviello. Son cheminement initiatique, à
travers l’exploration de l’espace et du temps, débute toujours par l’expérience
de la contemplation.
Cette exposition présente un large éventail de styles photographiques tous en
résonance les uns avec les autres : paysages, natures mortes, photographies
urbaines et images abstraites. Ce photographe nous invite à découvrir une
quarantaine d’images tirées de son expérience d’observateur et de cueilleur
d’instants. La poésie est également au cœur de cette exposition, où l’on peut
découvrir la manière dont sont reliés les divers styles photographiques qui
sollicitent les multiples facettes de l’acte de regarder. Les paysages nous
invitent à contempler la beauté de notre environnement, les natures mortes nous
convie à scruter les détails du quotidien, les photographies urbaines nous
montrent les traces laissées par le temps et les images abstraites nous
proposent d’explorer les limites de notre perception visuelle….matière à
réflexion.
Gert Vandeweyer, wonende in Watermaal Bosvoorde, schildert al sinds enkele
jaren. Meestal abstract met vele verschillende kleuren.
Hij tekent ook op stenen en sculpturen van allerlei maten.
L’exposition vous amènera dans un jardin à la romaine où les plantes sont
variées. Comment sont-elles utilisées ? Peut-on les manger, les transformer en
parfum, teinture, médicament ?
Le tri des déchets, vous connaissez. Vous le faites chez vous chaque jour et
bien figurez-vous que les Gallo-Romains avaient leur propre gestion des déchets.
L’exposition vous propose de comparer nos habitudes avec les gestes antiques. Un
parallèle intéressant à découvrir !
Valy Hart est une artiste brainoise formée en bande dessinée entre autre par le
grand scénariste belge Yvan Delporte (rédacteur en chef du journal Spirou).
Attirée aussi par la peinture et les grands formats, elle s’est spécialisée
pendant 20 ans dans les fresques et trompe-l’œil. Elle est également une
portraitiste émérite qui peint avec finesse, réalisme et sensibilité l’histoire
de ses sujets.
Aujourd’hui, elle revient dans cette exposition sur ses premiers amours à voir
l’Illustration et la Bande-Dessinée. Elle utilise sa passion pour la
photographie en randonnée comme base pour une série d’illustrations sur
Braine-Le-Château, sa nouvelle ville de cœur, et ses monuments. Les œuvres sont
réalisées à l’acrylique et feutres. Y seront également exposés une série de
portraits, toujours dans le style comics de personnalités de la commune.
Informations pratiques:
* L'exposition se tiendra à la Maison du Bailli du 4 mai au 2 juin
* Du mercredi au dimanche de 13h à 17h
* Gratuit