Bernard Hubot

Description

28.03 > 17.06PALACEVernissage : Ve.31.03Artiste du quotidien, dresseur de papyrus, accompagnateur de train-couchette, professeur hors les murs, jardinier du midi, collectionneur de brindilles, orateur du soir, compositeur au vent… Bernard Hubot vous invite dans son atelier, sa maison, son jardin, sa cuisine.En deux gestes, il installe le jardin dans la maison tandis que la maison s’exporte dans le jardin. Nous y sommes : maison et jardin arrivent dans le Palace.Chaque pièce, plante, humain, oiseau, insecte devient un terrain de jeu pour l’artiste. Il vit au rythme de ses papyrus, crée avec les saisons et explore la lumière.Sans même s’en apercevoir, le visiteur est mis à l’œuvre et le processus se met en œuvre.L’exposition respire, elle accueille et intègre chaque jour une nouvelle trace, un regard, un geste, et nous voilà inévitablement impliqués dans le jardin de Bernard. Sous le signe de l’éphémère, le Palace vous attend pour une exposition qui se joue, se plie, se colore, se retourne, se plante, se cuisine…Les rendez-vous de l’expo :• Yoga ArtSA.15.04 à 11h• Visite libre de l’expositionSA.15.04 de 13h30 à 17h• Histoires d’artisteSA.06.05 à 18h30• Ruée vers l’Art rejoint BernardJE.25.05 à 19h

Information sur la date

Mardi: de 10:00 à 18:00. Mercredi: de 10:00 à 18:00. Jeudi: de 10:00 à 18:00. Vendredi: de 10:00 à 18:00. Samedi: de 10:00 à 18:00. Du 28 mars au 17 juin

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

Technique : peinture / sculpture Du 30.03 au 22.06 Avec ses couleurs pop et gourmande, Léopoldine Roux investit le Palace à Ath. Les poches remplies de vernis à ongle, l’artiste bruxelloise use du liquide brillant pour transformer le décor urbain issu d’anciennes cartes postales noir & blanc. Comme une Mary Poppins des temps modernes, Léopoldine transforme les rues noires et tristes par un coup de peinture dans lesquelles on saute volontiers à pieds joints pour vivre l’expérience du paysage bucolique. Par ses couleurs pétillantes, l’artiste nous transporte dans un univers acidulé et vitaminé. La couleur omniprésente se respire, se vit et se joue, comme une expérience intime et collective. « L’œuvre ludique, faussement enfantine de Léopoldine a de réels pouvoirs et peut influer sur nos sentiments en nous donnant à voir et à réfléchir sur une réalité bien cruelle : la perte du beau dans le paysage urbain contemporain. » Carole Depasse _ Souvenirs de Bruxelles, texte de l'exposition 2022 Vivre le paysage urbain contemporain autrement. Dans le cadre de la Biennale Art & Végétal, Léopoldine Roux est invitée à investir le Jardin des Arts et des Lettres. Elle met en dialogue la couleur en tant que sujet au cœur de la ville. Pour ce faire, l’artiste investit un espace public partagé entre ambiance végétale et minérale. Son intervention, intitulée Rainbow Seeds (Graines d’Arc-en-Ciel), est composée de pierres bleues, certaines discrètes, d’autres monumentales. Toutes seront couvertes des sept couleurs de l’arc-en-ciel. Apparaissant comme un impossible mirage échappé d’un conte de fées, ces monolithes invitent à penser et vivre l’espace public autrement. Infos et réservations : mail ou 068/68 19 98
Exposition.vernissage : ven. 17 mai 2024 - 19.00.17 mai → 31 août 2024.Maison culturelleDans le cadre des Fêtes de la Pentecôte.Le retour du pigeon voyageur.Nadine Fievet.Le retour du pigeon voyageur.Le pigeon voyageur passionna dans le Borinage plus d'un colombophile.Dans les toiles de Nadine Fiévet, on peut suivre en filigrane, dans la transparence lumineuse des touches hiéroglyphiques, la trajectoire fabuleuse de l'oiseau qui, depuis toujours, laissa les hommes médusés par ses prodigieuses facultés d'orientation.Permanences :Exposition visible durant les heures d’ouverture du secrétariat.Et sur rendez-vous. Entrée libre.
Jeudis des familles 11h - 12h30 : Initiation au cyanotype - au MACS Viens t’initier à la pratique du cyanotype, un procédé photographique développé au 19e siècle. Inspiré par les photos de Jochen Lempert que tu auras découvertes lors de ta visite guidée, réalise une image à partir de plantes et de fleurs. 14h - 16h : Super-atelier-power - au CID (Ré)inventer le corps humain par l'alliance du design et des sciences ? Après la visite de l'exposition Superpower design, colle et ciseaux seront nos alliés pour bricoler un nouvel être « super-bio-créatif » ! (À partir de 5 ans) Les 2 et 9 mai Activités incluses dans le droit d'entrée Infos et réservations : +32 (0)65 613 902 / reservations@grand-hornu.be
Exposition de bonsaïs des membres du Cercle Montois du Bonsaï.Ce club qui réunit les débutants ainsi que les plus formés dans l'art du bonsaï, organise son exposition quinquennale ce premier dimanche de mai.Ce club a 40 ans d’existence.Présentation d’environ 60 arbres.Pas de vente.Possibilité de se désaltérer et de se restaurer (sandwich et tartes)
Avec cette exposition qui met en lumière les œuvres de ses élèves en situation de handicap, l’artiste peintre Michel Buzin nous invite à questionner notre conception de la normalité et de la différence…Michel Buzin – Bzn EcauEntrée libre
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
La photographie peut être utilisée pour transmettre des expériences, des idées, des symboles ou pour partager des émotions, des sensations et des sentiments. En photographiant, nous en apprenons d’avantages sur le sujet, son contexte et la lumière qui l’éclaire. L’ensemble des gestes qui permettent de gérer les paramètres de l’appareil photo, les conditions de prise de vue et les éléments à saisir pour obtenir une image s’apparente parfois à un rituel. Photographier peut ainsi aider à se concentrer sur l’instant présent afin d’ atteindre un état de conscience accru.  Une situation ouvrant la possibilité de créer un autre rapport à soi, aux autres et d’aiguiser son regard sur le monde… pour mieux le transformer ? Voir, savoir, pouvoir, trois mots clés qui structures les différentes étapes de la pratique photographique de Rino Noviello. Son cheminement initiatique, à travers l’exploration de l’espace et du temps, débute toujours par l’expérience de la contemplation. Cette exposition présente un large éventail de styles photographiques tous en résonance les uns avec les autres : paysages, natures mortes, photographies urbaines et images abstraites. Ce photographe nous invite à découvrir une quarantaine d’images tirées de son expérience d’observateur et de cueilleur d’instants. La poésie est également au cœur de cette exposition, où l’on peut découvrir la manière dont sont reliés les divers styles photographiques qui sollicitent les multiples facettes de l’acte de regarder. Les paysages nous invitent à contempler la beauté de notre environnement, les natures mortes nous convie à scruter les détails du quotidien, les photographies urbaines nous montrent les traces laissées par le temps et les images abstraites nous proposent d’explorer les limites de notre perception visuelle….matière à réflexion.
L’exposition vous amènera dans un jardin à la romaine où les plantes sont variées. Comment sont-elles utilisées ? Peut-on les manger, les transformer en parfum, teinture, médicament ? Le tri des déchets, vous connaissez. Vous le faites chez vous chaque jour et bien figurez-vous que les Gallo-Romains avaient leur propre gestion des déchets. L’exposition vous propose de comparer nos habitudes avec les gestes antiques. Un parallèle intéressant à découvrir !
Valy Hart est une artiste brainoise formée en bande dessinée entre autre par le grand scénariste belge Yvan Delporte (rédacteur en chef du journal Spirou). Attirée aussi par la peinture et les grands formats, elle s’est spécialisée pendant 20 ans dans les fresques et trompe-l’œil. Elle est également une portraitiste émérite qui peint avec finesse, réalisme et sensibilité l’histoire de ses sujets. Aujourd’hui, elle revient dans cette exposition sur ses premiers amours à voir l’Illustration et la Bande-Dessinée. Elle utilise sa passion pour la photographie en randonnée comme base pour une série d’illustrations sur Braine-Le-Château, sa nouvelle ville de cœur, et ses monuments. Les œuvres sont réalisées à l’acrylique et feutres. Y seront également exposés une série de portraits, toujours dans le style comics de personnalités de la commune. Informations pratiques: * L'exposition se tiendra à la Maison du Bailli du 4 mai au 2 juin * Du mercredi au dimanche de 13h à 17h * Gratuit