Le Duplex, une hilarante querelle de voisinage avec Anny Duperey et Pascal
Légitimus, de retour au Théâtre de Paris du 16 mai au 30 juin 2024.
Le Duplex, pièce de théâtre qui se joue du 16 mai au 30 juin 2024 au Théâtre De
Paris, est la comédie à ne pas manquer cette saison. Ecrite et mise en scène par
Didier Caron, cette œuvre raconte l'histoire captivante des Berger, un couple
parisien avec un projet ambitieux : agrandir leur appartement en annexant celui
de leurs voisins, les Tissandier. Ce qui commence comme un simple désir d'espace
se transforme rapidement en une hilarante querelle de voisinage, offrant au
public des moments de rire et de réflexion sur les relations humaines.
La distribution étoilée comprend Anny Duperey, Pascal Légitimus, Francis Perrin,
et Corinne Touzet, des acteurs de renom qui devraient apporter à la pièce une
dynamique exceptionnelle et une interprétation mémorable. Anny Duperey, connue
pour son rôle dans Un éléphant ça trompe énormément, tient le rôle principal,
tandis que Pascal Légitimus, membre incontournable des Inconnus, se préparer à
prouver une fois de plus son talent comique. Francis Perrin, célèbre pour sa
participation à des œuvres telles que Le souper, et Corinne Touzet, reconnue
pour son rôle dans Une femme d'honneur, complètent ce quatuor exceptionnel,
garantissant une expérience théâtrale riche en émotions et en humour.
Au cœur de Paris, le Théâtre De Paris se transforme en un espace de convivialité
et de partage, où les spectateurs sont invités à explorer les complexités des
relations de voisinage à travers le prisme de l'humour. "Le Duplex" s'annonce
comme une comédie moderne qui, tout en faisant rire, devrait inviter à la
réflexion sur les désirs et les motivations qui nous poussent à vouloir toujours
plus, parfois au détriment des autres.
Ne manquez pas cette occasion unique de voir à l'œuvre certains des plus grands
talents du théâtre français dans une pièce qui promet d'être l'un des temps
forts de la saison théâtrale 2024.
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Dark was the night
Description
Après La Fin de l’homme rouge en 2019, et Mon Traître en 2020, Emmanuel Meirieu revient aux Gémeaux avec sa nouvelle création, Dark was the night.Le samedi 20 Août 1977, la sonde Voyager décolle de Cap Canaveral. Elle emporte avec elle un disque phonographique couvert d’or. Cet objet précieux est une bouteille à la mer à destination des civilisations extraterrestres. Elle contient un échantillon d’images, de sons et de musiques, pensé pour être représentatif de l’humanité. Parmi les élus, figure le morceau de blues “Dark was the night, cold was the ground”, de Blind Willie Johnson, qui mourra d’une pneumonie à 40 ans, en 1949, refusé à l’hôpital parce qu’il était noir, pauvre, et aveugle. Cette histoire vraie est le point de départ d’un spectacle pensé par Emmanuel Meirieu comme un monument « aux oubliés, aux abandonnés, aux sans-traces »Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du dimanche 12 mars, en partenariat avec la revue Esprit
Contemporain
Classique
Information sur la date
20h30
Billets
Info:
Plein 28€PMR 23€+ de 65 ans 23€- de 26 ans 18€Demandeurs d’emploi 19€
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Site web : https://www.lesgemeaux.com/spectacles/si-venus-avait-su/
Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie
Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et
l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde
où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour
redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription
au vernissage obligatoire.
Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie
Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des
œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À
travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur
l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue
entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le
vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste.
Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques).
SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le
Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et
l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un
équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus
et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments
d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui
ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre
relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique.
L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie
Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et
l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses
créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à
une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une
exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer
sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle
dans les disciplines créatives.
L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec
la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y
faire un tour ?
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« Par où t'es rentré on t'a pas vu sortir ? ». Oui, il était un temps où l'on
pouvait donner pareil titre à une comédie de cinéma. C'était l'époque de Bébel,
le Splendid, Audiard, Laforêt, de Funès et celle des films Deux heures moins le
quart avant Jésus Christ, La Boum, L'Aventure c'est l'aventure jusqu'à La Vie
est un long fleuve tranquille.
Seul en scène, Thomas Croisière chroniqueur cinéma émérite sur France Inter,
rend à César ce qui appartient aux films qui n'ont pas eu de César.
Durant ce Voyage en comédie nostalgique, émouvant, instructif et surtout
hilarant, certain·es plongeront dans leurs souvenirs franco-cinéphiles avec
délice, et les autres, plus jeunes, découvriront incrédules un pan insoup?onné
du cinéma hexagonal.
Avant le spectacle... À partir de 19h, dans le hall, découverte musicale jazz et
bossa nova, avec les musiciens Duylinh Nguyen et Matthieu Kochersperger
Restauration légère 1h avant la représentation
Jeu : Thomas Croisière
Mise en scène : Thibault Ameline
Durée : 1h30
À partir de 12 ans
Tarifs : plein 18 ? / réduit 12 ?
Tarif forfait 6 places : 45 ? (soit 7,50 ? la place)
Infos réservation :
Réservations au 01 41 24 25 55 ou à jeanvilar-accueil@mairie-arcueil.fr
En 1981, Bernard Pivot révèle qu'Émile Ajar et Romain Gary n'étaient qu'une
seule et même personne.
En se tirant une balle dans la gorge, Romain Gary supprime également Émile Ajar
: premier suicide littéraire sans consentement.
Sur scène, commence alors cette histoire : la rencontre avec Abraham Ajar qui se
déclare être le fils d'Émile Ajar, fils d'un père fictif, enfant d'un livre.
Il interpelle le monde avec acidité du fond de sa cave, ce trou juif comme il le
nomme. Il se métamorphose, questionne le monde contemporain et avec humour, il
nous invite à rire du dogme, de nos identités et de nos certitudes.
Le Goethe-Institut de Paris vous invite à découvrir sa nouvelle exposition
gratuite, intitulée The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, du 13 mai au
27 août 2024. Explorez comment l'art, la technologie et la science se
rencontrent pour transformer notre perception du monde. Une exposition qui
promet une immersion dans les œuvres avant-gardistes, redéfinissant les
frontières entre les disciplines artistiques et scientifiques. Vernissage le 13
mai à 19h.
Quand l'art et les nouvelles technologies se rencontrent... Le Goethe-Institut
de Paris se transforme en un espace de réflexion et d'innovation artistique avec
l'exposition gratuite The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, à découvrir
du 13 mai au 27 août 2024. Une manifestation qui invite les curieux et les
passionnés d'art à plonger dans une ère nouvelle où art, technologie et science
fusionnent pour révéler ce qui demeure habituellement invisible. Conçue par le
ZKM Karlsruhe en Allemagne, cette exposition est non seulement un hommage à
Peter Weibel et à son projet "Renaissance 3.0", mais elle pose également les
jalons d'un futur artistique révolutionnaire.
L'exposition puise dans les œuvres d'art initialement présentées à Karlsruhe et
y ajoute une sélection spécialement adaptée au contexte parisien. Les visiteurs
peuvent découvrir des pièces telles que les "Architectures Imaginaires" d’Otto
Beckman, qui interrogent l'évolution de l'art à travers le prisme des
technologies avancées. Des œuvres comme "93% Human" de Helen Pynor offrent une
méditation profonde sur le vivant, tandis que "METABOLICA Camp" de Thomas
Feuerstein entrelace directement la science et l'histoire de l'art avec des
éléments de science-fiction. Ces œuvres illustrent parfaitement l'idée de
transcender les conventions artistiques pour explorer de nouvelles forces
créatives et sensibilités.
Au-delà de son aspect artistique, The Next Renaissance est un carrefour
d'innovation culturelle et scientifique. Cette exposition illustre comment la
collaboration entre l'art et la science peut engendrer des changements profonds,
poussant notre société à repenser son avenir. En incarnant une "renaissance
3.0", elle s'inspire des bouleversements de la Renaissance italienne pour
stimuler une révolution dans notre compréhension et interaction avec le monde.
Le Goethe-Institut, en collaboration avec l’EIT Culture & Creativity et le MSC,
offre ainsi une plateforme unique pour les acteurs du changement qui aspirent à
redéfinir les frontières entre les disciplines culturelles et scientifiques.
Avec la participation d'artistes internationaux tels que Rafael Lozano-Hemmer,
Manfred P. Kage et Joel Ong, The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible est
une expérience incontournable pour quiconque s'intéresse à la manière dont l'art
peut remodeler notre réalité. L'occasion également de voir comment l'art
médiatique scientifique peut ouvrir de nouvelles perspectives et influencer
notre société de façon durable.
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Et vous comment disparaissez-vous de vous-mêmes ? demande la jeune autrice
Rébecca Déraspe.
Jeune femme trentenaire, mère, conjointe, fille, amie, Emma menait une vie
normale, qu'est-ce qui l'a poussé à disparaître ? Ses proches tentent de
comprendre.
Avec beaucoup d'émotion et non sans humour, multipliant les approches
dramaturgiques, l'autrice explore les multiples visages des enfermements, ceux
qui sont de nature à susciter l'envie de s'évaporer. Elle compose ainsi un
véritable oratorio qui célèbre l'unicité de chaque être, son mystère et sa
singularité.
Signée par Fabian Chappuis, la mise en scène de ce drame intime et familial
dessine en creux un portrait sans concession de l'époque, et joue avec bonheur
de la proximité avec le public.
L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial
Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par
l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024.
L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à
Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial
Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la
réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les
jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la
découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux.
À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est
redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et
d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle
peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux
sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid
du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en
repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la
démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle
est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on
retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème
& Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito
Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem
et Niceaunties.
Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive
spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours
d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives,
performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces
soirées au coeur de rêves artificiels.
Tout part de la plus grande mystification littéraire de l'Histoire : Émile Ajar,
pseudonyme voire alter-ego de l'écrivain Romain Gary.
Dans Il n'y a pas de Ajar, la conteuse et célèbre rabbin Delphine Horvilleur
imagine un fils à ce double fictif, que l'actrice Johanna Nizard incarne dans un
seule en scène singulier qui porte une réflexion profonde contre l'identité.
Depuis son refuge, un personnage indéfinissable interpelle le public : c'est
Abraham Ajar, le fils imaginaire d'un être tout aussi imaginaire. L'actrice et
metteuse en scène Johanna Nizard donne corps à cet individu qui revendique sa
non-existence . Ni homme, ni femme, Abraham Ajar est un caméléon qui se fond
dans les histoires des autres, qui disparaît dès que l'on croit le saisir.
À l'heure des revendications identitaires et de la multiplication des étiquettes
pour se définir soi-même, Il n'y a pas de Ajar, est une réflexion par l'humour
sur cette prison qu'est l'identité. Le texte de Delphine Horvilleur porte la
philosophie du pas que : on n'est pas que juif, pas que femme... On est toujours
plus que ce que l'on pense. Un spectacle unique, une performance de comédienne
brillante, qui nous fait sortir de nous-mêmes, pour finalement se trouver plus
uni·es.
Le spectacle Lecture-spectacle a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à
Sceaux 2024.
Lectures du Grand Siècle par Laurent Stocker, de la Comédie Française. De Racine
à Bossuet, d'anciennes gens de maintenant! Nous entendrons dans ces lectures par
Laurent Stocker, sociétaire de la Comédie Française, des textes de Racine,
Bossuet mais également Molière, trois auteurs et dramaturges majeurs, qui ont
illustré avec brio le XVIIe siècle. Le gambiste Atsushi Sakaï accompagnera
Laurent Stocker proposant des respirations musicales, çà et là entre les
chapitres.
Infos réservations :
En ligne
- https://museedugrandsiecle.hauts-de-seine.fr/
Par téléphone
- 07 64 33 15 89
Par e-mail
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