Festival du Quercy Blanc: Duo Cordes et âmes

Description

Dans le cadre de la 56ème édition du Festival du Quercy Blanc et des Arts Vivants.
Concert "duo Cordes et âmes" Sara CHENAL violon, Olivier PELMOINE guitare.
Programme: Pablo de Sarasate Airs bohémiens; Vivaldi l'automne, l'hiver; Piazzolla les 4 saisons de Buenos Aires.

Information sur la date

Le 13 août 2024 à 21:00

Billets

Info:

  • Général
    À partir de 18 €
  • Tarif réduit
    À partir de 10 €

    • étudiants

  • Gratuit

    • - de 10 ans

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Danzin, c'est une voix habitée et mélodique, une écriture poétique et ciselée ( dans la lignée des Leprest, Nougaro, Ferrer ), des mélodies généreuses que l'on retient et qu'on entonne en chœur naturellement... Les mots sonnent, résonnent et racontent des histoires de gens qui traversent la vie quotidienne... Il porte un regard humaniste, attentif, tendre, parfois corrosif sur le monde d'aujourd'hui... Et voilà qu'il nous emmène déjà ailleurs, ses chansons sont des voyages... Et quelle joie de pouvoir l'y accompagner le temps d'un spectacle...
Je ne suis pas une imitatrice et je n’ai pas la voix de Dalida. Je suis, pourrait-on dire, quasi tout son contraire. Alors ! J’aime les différences, les oppositions. Et l’idée d’arpenter les trottoirs de cette extraordinaire tragédienne qui chante et parle en arabe, en hébreu, en italien, en français, droite et sombre, de mettre en lumière le noir et blanc de cette véritable boule à facettes, est un pari que je prends avec jubilation et respect. Mon monde de capuche Perfecto Gitanes et uppercut, viendra se frotter au sien en toute sincérité. Alexandre Leitao le Milord du branle - poumon sera mon homme-orchestre, mon Hidalgo aux boutons de nacre, mon Gigi. Et nous ferons flirter Disco avec Musette. Nous ferons rimer la scène avec la rue. Nous ferons, nous ferons, nous ferons beaucoup et tout ce que nous pourrons. Voilà. Ce spectacle aurait pu s’appeler « Tout Dalida et son contraire ». Hommage à la chanteuse donc, et hommage à son public aussi. Son public chéri qui pourra s’il le souhaite, participer à quelques petites festivités telles que : - Offrandes sur petit autel avec sa minute consacrée - Karaoké général - Danse collective éclairée à la lampe électrique - Tenues extraordinaires… Je convierai également certains soirs, des invité.e.s surprises. Ce sera selon le destin… naturellement.
Avec Dorothée Daniel (piano et arrangements), Garance, Marie-Thérèse Orain, Raphaëlle Saudinos, Sophie Le Cam. Paroles et musique : Boby Lapointe. Ma rencontre avec l’artiste est passée par la télé et une présentation d’un extrait de Tirez sur le pianiste de Truffaut où il est accompagné à l’image par Charles Aznavour au piano et chante Avanie et Frambois‘ avec sous-titre… Mais c’est bien longtemps après que j’ai réalisé de quelle couleur était son esthète nivernais (habitant de Nevers, France, si vous ne ‘voyez’, essayez à l’oral). Si vous avez retrouvé vos ‘microsillons’, on devrait pouvoir mesurer quelles chansons vous plébiscitez… Là sur ce CD il y en a 6 sur 14 que je me passerais bien en boucle. Bien sûr les cinq interprètes ont posé leur empreinte sur les chansons, mais elles l’ont fait en finesse. Juste pour que l’on s’aperçoive que d’autres peuvent les chanter avec respect, sans hommages, parce qu’elles sont bonnes. Je garde donc pour Mon Plaisir : Madam’ mado m’a dit, au moins pour les quatre derniers mots, Revanche parce qu’elle supporte d’être chantée faux et à tue-tête (essayez, ça soulage), Comprend qui peut parce que c’est une belle chanson d’amour, Ça va ça vient pour sa tendresse, Avanie et framboise pour ces ‘davantage d’avantages’ qui ‘avantagent davantage’ et bien sûr Ta Katie t’a quitté pour l’exercice de diction et le réveille-matin. Les autres je me les garde pour quand J’ai fantaisie d’un p’tit brin de fantaisie ou une Insomnie… Et je viens d’imaginer que ce serait bien si pour quelques fêtes d’écoles de fin d’année il y ait quelques enseignants qui fassent avec leurs élèves un spectacle avec des chansons de Boby Lapointe : vous imaginez un chœur mixte d’une vingtaine d’enfants entonnant La Maman des poissons ou Revanche…
Comédien formé à l’École de la Rue Blanche, François Morel débute sa carrière dans la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff et incarne Monsieur Morel dans Les Deschiens pendant sept ans. Depuis, il poursuit une carrière de metteur en scène, de comédien pour le théâtre et le cinéma, mais aussi de chanteur et parolier. Au théâtre, il joue notamment sous la direction de Michel Cerda, Tilly, Jean-Michel Ribes, Anne Bourgeois et Catherine Hiegel. Au cinéma, il tourne avec de nombreux réalisateurs dont Lucas Belvaux, Tonie Marschall, Guy Jacques, Étienne Chatiliez, Laurent Tirard, Pascal Rabaté, Noémie Lvovsky… Depuis 17 ans, il crée ses propres spectacles : Bien des choses avec Olivier Saladin, Collection Particulière mis en scène par Jean-Michel Ribes, Instants Critiques avec Olivier Saladin, Olivier Broche et Lucrèce Sassella, La fin du monde est pour dimanche mis en scène par Benjamin Guillard, Hyacinthe et Rose, les concerts Le Soir des lions et La Vie (titre provisoire) mis en scène par Juliette, J’ai des Doutes, sur les textes de Raymond Devos. Il crée en novembre 21 son dernier spectacle Tous les marins sont des chanteurs avec Gérard Mordillat, Romain Lemire, Antoine Sahler, Amos Mah et Muriel Gastebois. Le disque La Vie titre provisoire reçoit le Grand prix de l’Académie Charles Cros en 2017. Il reçoit en 2019 le Molière du Meilleur comédien dans un spectacle de Théâtre public pour J’ai des Doutes ainsi que le Prix humour de la SACD. François Morel rend hommage à Brassens pour son centenaire en octobre 22 et chante avec Yolande Moreau dans le disque Brassens dans le texte (Universal-Fontana). François a écrit avec son fils Valentin Le Dictionnaire amoureux de l’Inutile, sorti chez Plon. La version illustrée sort en décembre 22 chez Grund. Les recueils des chroniques de France Inter sort tous les deux ans chez Denoel. L’intégrale est sorti en octobre 22 chez Bouquins. Depuis 2009, il assure une chronique hebdomadaire sur France Inter : Le Billet de François Morel.
« Nicolas Moro, voilà un auteur-compositeur interprète que je ne connaissais pas ; il faut dire que les médias ne se bousculent pas au portillon pour parler de lui. C’est tout de même dommage car voilà des chansons de grande qualité qui pourraient toucher un public bien plus large. En fait je connaissais sans le savoir Nicolas Moro car il fit partie pendant des années d’Opa Tsupa, groupe donnant dans les manoucheries dont j’avais chroniqué un excellent disque. Ceci explique les grandes qualités du sieur Moro, multi instrumentiste talentueux (guitares bien sûr, mais aussi banjo, harmonica, lap steel, dobro, mandoline…), un plus énorme par rapport à ses collègues chanteurs qui souvent s’accompagnent à la guitare en allant rarement au-delà de 3 ou 4 accords. Nicolas Moro aime toutes les musiques, pourvu qu’elles soient bonnes ; dans ses disques (3 au compteur) il passe en revue les esthétiques qu’il affectionne, choisissant avec gout et à propos, l’instrumentation qui convient le mieux à telle ou telle chanson. (Par exemple sur le CD »L’amour est un oiseau volage », » le convive » avec piano jazz new Orléans, » Louise », qui nous prouve dans la lignée d’un Patrick Verbeke, et avec de belles parties de gratte, que le blues en français est possible, « Dans la peau », façon vieux jazz années 30 avec voix « trafiquée » et section de cuivres, « Twist à mourir », un tube en puissance avec un beau solo de guitare électrique, « Le dernier rang », blues à la Hot Tuna, avec guitare hawaïenne, trompette et sifflet –encore un vrai tube-…Les musicos assurent et chaque titre laisse la place pour un petit chorus. Nicolas Moro a une grande qualité d’écriture sous discrète influence brassensienne ; ses textes très travaillés sont traversés par un humour léger omniprésent, notre homme jouant constamment avec la langue (cf « Le destin des affreux « ou « Montmorillon swing «. Si son inspiration est diverse et variée, il manifeste une certaine affection pour le thème de l’amoureux qui n’a pas d’bol. Voilà de la chanson qui a de la classe, de la fraicheur et de la drôlerie (cf « Je fais des affaires », que Dimey aurait aimée. Je ne connais guère d’équivalent dans la chanson actuelle mais le terme « chanson » est réducteur en ce qui concerne Nicolas Moro, véritable artiste, à découvrir absolument.» Francis Couvreux. NOVEMBRE 2022
Depuis 2016, le festival ClassiCahors a réussi à marier la beauté du patrimoine local à l’essence même du répertoire classique. Ce sont près de 18 000 spectateurs qui sont venus assister aux 72 concerts et spectacles sur Cahors, le Grand Cahors et le sud du Lot . C’est une fusion harmonieuse, ouverte à tous les passionnés de musique et à ceux désireux de découvrir des œuvres exceptionnelles. Au cours des huit dernières années, d’éminents artistes tels que Jordi Savall, William Christie, Alexandre Kantorow, le Chœur de la Radio lettone, Thierry Escaich, Thibaut Garcia, Théotime Langlois de Swarte, Ophélie Gaillard, Laurent Cabasso, Les Eléments, Michel Legrand, Le Chœur de l’Armée Française, Marie-Laure Garnier, Lucienne Renaudin-Vary et bien d’autres encore, ont participé à cet événement. De plus, l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, fidèle au rendez-vous chaque année, et le partenariat avec le festival Radio France Occitanie-Montpellier depuis 2018, ont contribué à son succès. Pour cette neuvième édition, venez découvrir le cœur même de notre festival : l’exploration du riche patrimoine de Cahors et de nouveaux lieux avec des charmants villages du Lot comme Labastide-du-Vert à Marquayrol, l’ancienne demeure du peintre Henri Martin soutenue par la Fondation pour le Patrimoine, Saint-Cirq-Lapopie, trésor médiéval du Lot et premier village préféré des français ainsi que Lherm, fusionnant harmonieusement excellence musicale et partage. Nous vous offrons une expérience au-delà de la musique classique, vous permettant de rencontrer les artistes, d’échanger avec eux et de déguster des produits du terroir lors de nos après-concerts gourmands. Notre ambition est d’attirer un public diversifié de toutes les générations, tout en vous proposant le plaisir de concerts en plein air dans des cadres exceptionnels ! Cette édition vous permettra de découvrir de magnifiques artistes à travers 11 rendez-vous musicaux, allant de l’Orchestre symphonique au piano solo, de la voix aux cuivres, de la musique de chambre à une académie chœur et orchestre, en passant par des ensembles baroques. Alors, n’hésitez pas à découvrir notre festival cet été, avec des artistes talentueux dans ce merveilleux territoire de l’Occitanie ! Les réservations se font : soit en ligne (sur festik.net), soit à l'Office de Tourisme Cahors Vallée du Lot, soit par un courrier accompagné du règlement à l'ordre de CLASSICAHORS (Classicahors, Place Bessières, Espace Clément Marot, 46000 CAHORS)
Jesko Sirvend, direction - Jaewon Kim, violon F. Mendelssohn Le songe d’une nuit d’été F. Mendelssohn Concerto pour violon L.V. Beethoven Symphonie n°8 L’Orchestre national du Capitole de Toulouse est l’une des plus brillantes formations françaises du moment. La formidable dynamique insufflée d’abord par Michel Plasson puis par Tugan Sokhiev et depuis peu parTarmo Peltokoski, lui offre une renommée dépassant de loin les frontières nationales.
F.Chopin Nocturne Op.62 No.1 H-dur F.Liszt Bénédiction de Dieu dans la solitude, extrait des Harmonies poétiques et religieuse S 173/3 I.Stravinsky / G.Agosti Suite de l’Oiseau de feu | Danse infernale du Roi Kastchei |Berceuse | Finale I.Stravinsky Trois mouvements de Petrouchka| Danse russe | Chez Petrouchka | La semaine grasse Né en 2000 en Corée, Hyuk Lee a remporté le Concours Paderewski en Pologne en 2016 et a reçu le 3e prix du Concours international de piano Hamamatsu au Japon en 2018. En 2021, il parvient en finale du prestigieux Concours Chopin à Varsovie, puis remporte le 1er Grand prix Animato-Chopin à Paris. 2022 marque une consécration pour ce jeune artiste qui obtient le 1er Prix au Concours Long Thibaud à Paris.