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Photographies by Patrick Labarrere
Ethiopia, cradle of humanity but also cradle of Orthodox Christianity. A dive
into these sacred spaces, into this Ethiopian belief, leads to a loss of
bearings and encourages reflection on the fervor that one encounters while
walking the paths of the ancient kingdom of Abyssinia.
********** Français **********
Exposition de photographies de Patrick Labarrere
L'Éthiopie berceau de l'humanité mais aussi berceau de la chrétienté orthodoxe.
Une plongée dans ces espaces sacrés, dans cette croyance Éthiopienne entraine
une perte de repère et incite à réflexion sur la ferveur que l'on rencontre en
arpentant les chemins de l'ancien royaume d'Abyssinie.
********** Nederlands **********
Tentoonstelling van foto's van Patrick Labarrere
Ethiopië, bakermat van de mensheid maar ook bakermat van het orthodoxe
christendom.
Een duik in deze heilige ruimtes, in dit Ethiopische geloof, leidt tot verlies
van oriëntatie en moedigt reflectie aan over de hartstocht die je tegenkomt
tijdens het bewandelen van de paden van het oude koninkrijk Abessinië.
Peter Lindbergh
Description
Peu de temps avant son décès prématuré en septembre 2019, Peter Lindbergh s'est personnellement chargé de la sélection des images.Par son travail de mélange et d’associations de photographies de différentes décennies, Lindbergh crée de nouvelles interprétations et associations, offrant ainsi de nouvelles histoires pour le visiteur : UNTOLD STORIES.
Photographie
Information sur la date
Pride Brussels20 mai 2023Concerts FestivalMont des Arts1000 Bruxelles - Bruxelles
Lieu
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Événements suggérés
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies
Van Wielendaele.
Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont
maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij
uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit
de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de
vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de
verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie
tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een
fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met
haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag."
FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos
fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe
analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source
d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie
de la photographe Marlies.
Vernissage le 8 mai à 11h.
De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et
leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en
question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et
des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux,
conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une
force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées
renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité
européenne commune.
Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen :
1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant
la Seconde Guerre mondiale.
2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland
au Danemark depuis 1945.
3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède.
4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945,
exemplifié par la ville polonaise de Slupsk.
5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes.
6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de
l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants.
7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population
multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale.
Réservations : museum@foyer.be
https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
En couleur et en noir et blanc, le Palais de justice de Bruxelles se dévoile :
sa coupole étincelante, sa salle des pas perdus extraordinaire, ses colonnes
gréco-romaines monumentales, ses œuvres d’art et ses sculptures multiples, ses
salles d’audience au parquet ciré, ses couloirs infinis, et bien plus encore.
Venez explorer ce monument emblématique de l'intérieur, grâce au regard unique
de 30 étudiants de l'Académie des Arts RHoK d'Etterbeek. À l’invitation de la
Fondation Poelaert, pendant près d'une année, ils ont arpenté ses 26 000 mètres
carrés, capturant son essence même alors que le Palais est en pleine rénovation.
Ils nous présentent le fruit de leurs déambulations dans une superbe exposition
de photographies à découvrir au Mont-de-Piété, à deux pas du Palais de Justice.
INFOS PRATIQUES
Dates : du samedi 4 au dimanche 19 mai 2024
Adresse : 19 rue Saint-Ghislain, 1000 Bruxelles
Horaires de l’exposition:
Les vendredi, samedi, dimanche de 11h à 19h
(+ ouverture exceptionnelle le mardi 14 mai de 10h à 16h)
Vernissage : vendredi 3 mai 2024 de 18h à 22h
Entrée gratuite, sans réservation
Plus d'infos sur l'expo :
https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice
[https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR3eXJxeh2j_jHRjQO0hdaKrXJWm_nCNSI7oeNX47UvNVH663kcQn2hkWQ0_aem_Ac02EzXMh13_eku4YL-NuzU8R2rDFxsQETRUcClV22T9XwsIhzDvgyPsfSuwF7c_Ey-aSOjWk-0h5u-RmoedVPS-]
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de
Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water
en de vallei opnieuw laten voelen.
FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la
vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la
présence de cette eau évaporée et de la vallée.
Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit
Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY
Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h
Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net
À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des
phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient
présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée
exceptionnelle.
Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et
médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary
Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà.
Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et
discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur
l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question
musicale.
À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront
proposés à la vente.
Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à
l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur
l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée
(Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums
(Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub
Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal.
Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de
Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des
femmes médiums.
Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le
fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle
de Bruxelles.
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Aurélie Salavert est née à Avignon. Elle vit et travaille à Bruxelles. L’artiste
transmet ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs dans des images qui
semblent enfouies dans notre propre subconscient. Le fil conducteur de sa
pratique est le dessin, qui se réinvente continuellement grâce à l’utilisation
de techniques et de styles différents, permettant l’émergence d’une abstraction
figurative. La vaste production de dessins intimes au crayon d’Aurélie Salavert,
avec leurs doux lavis d’aquarelle ou leurs plats de gouache, nous parlent avec
une clarté enfantine, mais leur signification reste ouverte.
Lasse Wandschneider est né en 1987 à Lübeck, en Allemagne. Il a fait des études
en illustration et BD à Breda, Berlin, Prague et Bruxelles. Désormais, il vit et
travaille entre Bruxelles et Berlin. Dans son art, il s’intéresse aux équilibres
entre abstraction et narration, improvisation et réflexion, page et espace.
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary
international touring exhibition conceived in close collaboration with the
Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador
Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry
of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the
labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre
les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou
dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan.
Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont
peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies
silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour
aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au
lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À
supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une
interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les
autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous
parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la
fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque
rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de
vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se
distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un
tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui
ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages
d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui
n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse
recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver
son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que
vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de
couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en
quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous.
Ludovic Degroote