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La Cité Miroir a 10 ans ! On fête ça avec vous les 27 et 28 janvier (expos, visites, spectacles, animations gratuites au programme)Sept ans après la sortie de "Shelter", Dan San signe un retour éblouissant avec « Grand Salon ». A découvrir sur scène à l'occasion des 10 ans de La Cité Miroir.Avec le premier single « Hard Days Are Gone », les grands représentants de la scène indie belge réussissent de plus belle le tour de force de faire jaillir du sombre la lumière.Attendu de longue date, ce troisième album suspend le rythme insensé de nos vies pressées par l’entremise d’une collection de morceaux limpides, aussi évidents qu’intemporels.

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Samedi: de 21:00 à 23:00. Le 27 janvier

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Réservations: https://my.weezevent.com/elvis-by-frantz-goovaertFranz Goovaerts, un carolo, incarne le King depuis 26 ans. Il avait à peine 16 ans lorsqu’il a endossé le costume d’Elvis Presley pour la première fois sur un plateau de télévision et depuis, sa passion ne l’a jamais quitté.L’imitateur a été sacré meilleur sosie d’Elvis Presley au monde, en 2006. En effet, cela fait plus de 10 ans que Franz Goovaerts se présente au concours de sosie organisé à Memphis, un lieu symbolique puisque le chanteur de légende y est décédé le 16 aout 1977.Trop rarement en concert dans notre belle région, c’est une chance d’avoir ce rockeur pour un show intimiste mais avec une énergie de feu !L’illusion sera totale durant cette soirée unique à Chaudfontaine.
Franz Goovaerts, un carolo, incarne le King depuis 26 ans. Il avait à peine 16 ans lorsqu’il a endossé le costume d’Elvis Presley pour la première fois sur un plateau de télévision et depuis, sa passion ne l’a jamais quitté.L’imitateur a été sacré meilleur sosie d’Elvis Presley au monde, en 2006. En effet, cela fait plus de 10 ans que Franz Goovaerts se présente au concours de sosie organisé à Memphis, un lieu symbolique puisque le chanteur de légende y est décédé le 16 aout 1977.Trop rarement en concert dans notre belle région, c’est une chance d’avoir ce rockeur pour un show intimiste mais avec une énergie de feu !L’illusion sera totale durant cette soirée unique à Chaudfontaine.
Mr. Boulette créera une nouvelle fois l’événement en 2024. Après des organisations en 2021, 2022 et 2023, il revient en 2024 pour 3 jours de Folie à la salle le Préau à Dison. Il propose un programme festif pour tout public avec en point d’orgue la prestation exceptionnelle en live des légendaires Forbans pour la 1.ère fois dans notre région.Vendredi 3 mai 2024 à 18h00 Repas SpectaclesAprès avoir dégusté les succulentes et renommées Boulettes frites salade vous aurez le plaisir d’applaudir José Pick, Artiste que l’on ne présente plus, ainsi que Yannick Bons (sosie physique et vocal de Claude François) qui sera de retour après sa prestation remarquée de février 2023 à Verviers, la fin de soirée sera animée par le dj New Sound qui vous emmènera dans les Années 80.Ne tardez pas nombre de places limité.Infos et Réservations au (Mr. Boulette)
TICKETS DISPONIBLES LE 21 FÉVRIER À 11H DOUBLE AFFICHE EXCEPTIONNELLE POUR LE REFLEKTOR MR GISCARD Il s’appelle monsieur Giscard. Il n’a jamais été centriste, ni président, et sûrement n’a développé aucun tropisme pour les diamants. Mais comme son prénom est Valery, il fut un temps où lorsque ses interlocuteurs lui demandaient la nature d’un tel prénom masculin, le jeune homme avait pour habitude de répondre : « Valery ? Comme le président ». Du coup c’était presque devenu naturellement un nom composé et c’est ainsi resté. Gonflé, c’est aussi une manière de s’attribuer une carte d’identité qui atteste d’une volonté de mettre de la distance et du décalage en toute chose. Monsieur Giscard, contrairement à son illustre roi républicain, a de quoi tenir ses promesses avec ce premier programme musical de cinq titres qui pourrait bien provoquer une révolution de velours dans le monde de la chanson française. L’art du décalage est partout chez ce jeune homme de 28 ans, ultra séduisant par sa nonchalance masculine et sa candeur virile. JOANNA Depuis la sortie en 2018 de son premier morceau “Séduction”, Joanna s’est affirmée comme une voix à la fois puissante et éthérée de la nouvelle scène pop française. Autodidacte et touche-à-tout, l’artiste, originaire de Rennes, s’est depuis fait remarquer grâce à Vénus, un premier EP entre mythologie, féminisme et R’n’B, et Sérotonine, un premier album narratif qui emmenait ses auditeurs et auditrices dans toutes les étapes d’une relation amoureuse, du premier regard à la déchirure, ainsi qu’à la renaissance. Aujourd’hui, elle revient avec WHERE IS THE LIGHT ?, un deuxième album au récit plus autobiographique. Plus intime et ancré, il marque un changement musical dans le parcours de Joanna. De l’ombre à la lumière C’est au cœur d’une dépression que WHERE IS THE LIGHT ? voit le jour. Il faut garder cette information en tête à l’écoute de cet opus, baigné dans une atmosphère singulière qui opère comme un remède nécessaire pour apaiser nos maux. WHERE IS THE LIGHT ? est imaginé comme un diptyque entre les ténèbres et la splendeur. Ou plutôt, comme un chemin, qui part des Enfers (citées dans “FIGHTING”, morceau d’empowerment par excellence), pour finir au-dessus des étoiles. Tout au long du disque, les morceaux les plus aériens, quasiment conçus comme des berceuses (comme “RÊVERIE” dont le piano, couplée au chant mystique de Joanna, ont un effet réparateur) laissent place à des chansons d’une intensité haletante, à l’image de “MÉTA DEUIL” et sa production hyperpop qui nous attrape et ne nous lâche pas. Entre l’acoustique et l’électronique, WHERE IS THE LIGHT ne choisit pas. Ou plutôt, il choisit les deux, et apprend à les fondre ensemble, dans des suites d’accords tantôt vaporeux, tantôt acérés. Au piano succèdent les violons, puis les rythmiques rock et même techno, en passant par les synthétiseurs vintage choisis pour l’enregistrement de l’album. Rien n’a été laissé au hasard, jusqu’au moindre glitch : « Les rythmiques choisies sont puissantes, c’est pourquoi nous avons mixé beaucoup de batteries acoustiques avec des sonorités très électroniques, pour donner rendre les émotions physiques » déclare Joanna à propos des choix de production. Rester authentique À la première écoute, difficile d’ignorer que WHERE IS THE LIGHT ? transpire d’honnêteté. Là où Sérotonine imaginait le récit chronologique d’une histoire d’amour fictive, WHERE IS THE LIGHT ? est une œuvre complètement autobiographique, née du regard que l’artiste a osé poser sur elle-même, au cœur d’une période trouble. En partant de l’intime, Joanna raconte l’universel. L’histoire d’une reconstruction, ses hauts et ses bas, qui paraissent parfois insurmontables : « Je me suis retrouvée face à moi-même, et j’ai dû sortir de l’ombre pour rester en vie. C’est ce que raconte l’album : comment retrouver la lumière par soi-même ». Pour ce faire, elle est pour la première fois dans son parcours, pleinement impliquée dans la composition et la production des titres. Après des années passées à observer les autres, à y toucher, un peu, de loin, Joanna s’est engouffrée dans les affres de la création musicale, afin de pouvoir prendre toutes les décisions par elle-même. En résulte 14 morceaux aux productions électroniques et acoustiques, parfois ultra-présentes et impérieuses, comme sur “L’ORAGE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI FORT”, mais aux mélodies qui savent aussi se faire plus discrètes pour laisser la voix se déployer. C’est notamment le cas du morceau “CE N’EST PAS SI GRAVE”, qui affirme le statut de vocaliste de Joanna, tout en exorcisant ses traumatismes. WHERE IS THE LIGHT ? est un parcours semé d’embûches, emblème de la résilience, du lâcher prise et de l’acceptation. Il marque ainsi la renaissance d’une artiste qui a su regarder au plus profond d’elle-même pour faire naître une œuvre pleines de nuances, à écouter jusqu’à l’extase.
Mr Boulette créera une nouvelle fois l’événement en 2024. Après des organisations en 2021, 2022 et 2023, il revient en 2024 pour 3 jours de Folie à la salle le Préau à Dison. Samedi 4 mai 2024 à 20h00 Franz Goovaerts, notre Champion du Monde des interprètes d’Elvis Presley ouvrira la soirée avant la prestation exceptionnelle et très attendue des Forbans, groupe Rock de légende et son chanteur emblématique Bèbert.Ne tardez pas nombre de places limité.Infos et Réservations au (Mr. Boulette)
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/?lng=fr] JOHAN DUPONT TRIO On peut l’affirmer : le trio formé par le pianiste Johan Dupont, la bassiste Bo Waterschoot et le batteur et percussionniste Stephan Pougin promet une soirée riche en émotions. Pianiste de formation classique, Johan Dupont a étudié la musique improvisée avec Garett List au Conservatoire de Liège, et le jazz avec Eric Legnini au Conservatoire Royal de Bruxelles. Improvisateur curieux et ludique, d’une aisance jamais démonstrative, il a notamment accompagné le guitariste manouche Samson Smith et les chanteuses lyriques Julie Mossay et Sarah Laulan. Passée elle aussi par le Conservatoire Royal de Bruxelles et la classe de Michel Hatzigeorgiou, puis par le prestigieux Musician Institute de Los Angeles, Bo Waterschoot est une authentique surdouée de la basse sous toutes ses formes. On a pu la voir accompagner des artistes aussi divers que Urban Trad, Sébastien Duthoit, Bruno Castellucci ou Sophie Cavez, pour n’en citer que quelques-uns, dans des répertoires allant du folk au contemporain en passant par le jazz, la pop, le métal, le rock, et la musique brésilienne. Ancien élève de la légende du jazz Billy Hart et de Georges-Elie Octors (qui dirigea l’ensemble Musiques Nouvelles), Stephan Pougin est quant à lui un percussionniste éclectique, rétif aux frontières musicales, ce dont témoigne une carrière déjà riche de très nombreuses collaborations, de Tuur Floorizone à Panta Rhei, de Steve Houben à Mikis Théodorakis, de la musique baroque au jazz, ou du folk à la Bossa Nova. On l’aura compris, ces trois-là ne sont pas de ceux que les mélanges et les métissages effraient. Les compositions inclassables de Johan Dupont explorent, avec délicatesse, un espace musical baigné d’enfance et de nostalgie, peuplé des souvenirs doux-amers d’un paradis perdu, là où tout était possible, où rien ne manquait. C’est bouleversant et lumineux. Il fallait bien trois artistes aussi intrépides que sensibles pour se risquer sur pareil territoire. Le concert accompagne la sortie du très attendu premier album du trio qui sort sur le label Flak Records (distribution PIAS).
Mr. Boulette créera l'événement en 2024 à la salle le Préau à Dison.Dimanche 5 mai 2024 - 14h30 (30 €) Le Moineau des Corons (Hommage à Edith Piaf) Nicolas Pick et le retour de Claude Arena (Hommage à Mike Brant)Les réservations sont ouvertes contact Mr. BouletteNombre de places limité !
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be] JEWEL USAIN Qu’est-ce qu’il reste à faire après avoir fini le mode difficile d’un jeu ? C’est la question à laquelle s’est confronté Jewel Usain après la sortie de son dernier projet, “Mode Difficile”, en 2021. Sa réponse s’illustre dans un premier véritable album de 17 titres, intitulé “Où les garçons grandissent”. Le jeune garçon Jewel Usain a grandi à Argenteuil en banlieue parisienne. Passionné de musique, il devient lui-même artiste, actif et présent sur la scène rap français dès le milieu des années 2010. Son dernier projet lui a permis de s’inscrire définitivement sur la carte. Il y évoquait la difficulté d’une vie salariée dont il cherchait à s’échapper. Une autre époque. Comme si la manette avait été rangée au fond d’un tiroir, “Où les garçons grandissent” est une véritable mise à jour de la proposition artistique de Jewel Usain. Porté par des arrangements de qualité et une narration solide, cette oeuvre cohérente suit la démarche sincère d’un artiste en pleine évolution qui nourrit l’ambition de s’installer sans rougir dans la pile de ces grands albums de cette nouvelle génération de rap français. C’est notamment entre les mains de Rémy Béseau, compositeur multi-talents présent sur la majorité de l’album, que la couleur musicale qu’il souhaitait s’est illustrée. Loin de s’en tenir au rap qu’il maîtrise parfaitement, Jewel Usain s’essaie avec brio sur des terrains qui nécessitent précision et sensibilité : où on le découvre aussi à l’aise sur des couleurs neo-soul et R&B que sur des véritables harmonies de gospel. À ses côtés, c’est naturellement que se croisent les voix de MC élégants comme Prince Waly, Tuerie ou le chanteur HEDGES. “Où les garçons grandissent”, c’est l’album d’une confirmation : celle du talent de Jewel Usain. Il y fait autant briller sa rage et son esprit de revanche, que ses réflexions et ses émotions. Après avoir traversé le mode difficile, il s’installe dans un mode plus serein, et propose avec cet album une musique avec laquelle son public est voué non seulement à grandir aussi, mais surtout, à s’agrandir. FERDI Ferdi est un artiste saxophoniste, figure montante de la scène Bruxello-Parisienne ces dernières années il habite dans la capitale Belge et est originaire de France. Après un parcours de 15 années de conservatoire, il décide de s’intéresser à la production, devient très vite un acteur de la scène actuelle et lance son projet solo. Sa carrière sur la scène moderne commence avec le rappeur Peet, et très vite il collabore avec d’autres artistes tel que le pianiste Sofiane Pamart, le roi de la funk Dabeull ou encore son ami trompettiste Béesau. Après un premier EP solo « Val Duchesse » très bien reçu par la critique, il décide de collaborer avec Dabeull sur un album à la frontière entre leur deux univers. Cette rencontre musicale devient très vite une évidence, dont on peut se délecter sur l’album “Romance” paru le 8 septembre. * https://www.instagram.com/ferdileem/
UHODA JAZZ À LIÈGE PRÉSENTE SNARKY PUPPY Après plus d’une décennie de tournées incessantes et d’enregistrements dans l’obscurité la plus totale, le quasi-collectif originaire du Texas s’est soudain retrouvé considéré par la presse et le public comme l’une des figures majeures du monde du jazz. Mais comme l’indiquent les noms des catégories dans lesquelles le groupe a reçu ses cinq Grammy® Awards (meilleure performance R&B en 2014, meilleur album instrumental contemporain en 2016, 2017, 2021 et 2023), Snarky Puppy n’est pas exactement un groupe de jazz. Ce n’est pas un groupe de fusion, et ce n’est certainement pas un groupe de jam. Il est probablement préférable de suivre le conseil de Nate Chinen du New York Times, tel qu’énoncé dans une discussion en ligne sur le groupe, de “les prendre pour ce qu’ils sont, plutôt que de les juger pour ce qu’ils ne sont pas”. Snarky Puppy est une sorte de collectif qui compte jusqu’à 20 membres en rotation régulière. À la base, le groupe représente la convergence de la culture musicale américaine noire et blanche avec divers accents du monde entier. La caractéristique principale de la musique de Snarky Puppy est la joie de jouer ensemble dans un effort perpétuel de développement créatif. Snarky Puppy a toujours été un groupe qui donne la priorité au son de la musique. Notre règle est que le son ne doit pas être le même qu’avant”, commente League, qui poursuit : “la musique doit donner l’impression d’aller quelque part. Et il s’est déplacé quelque part, c’est certain. L’Empire Central World Tour, qui a débuté aux États-Unis en avril 2022, a emmené le groupe dans 30 États américains et 33 pays à travers le monde. C’est incroyable, mais pas du tout surprenant, le chemin parcouru par Snarky Puppy depuis que dix amis se sont réunis à l’université de North Texas en 2004. Cela soulève également la question suivante : quelle sera la prochaine étape pour Snarky Puppy ? Pour les fans de Snarky Puppy, la réponse à cette question est une perspective très excitante. Line-up : Michael League Nate Werth Bob Lanzetti Larnell Lewis Justin Stanton Bobby Sparks Maz Maher Chris Bullock Jay Jennings
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/] HENRI TEXIER SEPTET L’Indien des Batignolles En titrant de manière explicite son nouvel album “An Indian’s Life”, le contrebassiste et compositeur Henri Texier vient clôturer en beauté une sorte de triptyque phonographique informel débuté en 1993 avec “An Indian’s Week” et poursuivi en 2016 avec “Sky Dancers” faisant de la cause amérindienne et au-delà, de la figure quasi-mythologique de l’Indien, à la fois la matrice imaginaire et le moteur poétique de son geste artistique. Titrant la plupart de ses compositions de noms de tribus indiennes (Hopi, Comanche, Mapuche, Navajo Dream…), et contrairement au disque précédent, plaçant parfois au cœur de ses arrangements quelques éléments entrant en résonance avec les musiques amérindiennes (l’usage des tambours dans Dakota Mab notamment), Texier parvint dans cette oeuvre engagée, d’une grande force expressive, à considérablement renouveler son discours orchestral. Henri Texier ne sera jamais un Indien, il le sait, tout comme il ne sera jamais Charles Mingus mais l’un et l’autre se rencontrent dans sa musique et c’est tout son génie que de faire entendre sa voix la plus intime à travers ce dialogue imaginaire. La légende du jazz européen vous fera partager en sextet sa musique inspirée de voyages, de rêveries et d’engagement ! Henri Texier (Contrebasse ) Sébastien Texier (Sax, Clarinette) Carlo Nardozza (Trompette) Manu Codjia (Guitare) Gautier Garrigue (Batterie)