Finale du 100 mètres des Jeux Olympiques : flamme olympique, starting-blocks,
commentateur·rice·s sportif·ve·s et les athlètes, en bout de piste, prêt·e·s à
en découdre, face au public. Lorsque le coup de pistolet du départ est tiré, les
athlètes font marche arrière et sortent de scène. Dans ce spectacle, la petite
histoire de quelques athlètes se mêle à la grande histoire du sport, du faux
départ de John Drummond à l’engagement d’Alysson Félix, en passant par Bernard
Tapie ou la chevauchée de Floria Guei… Jouons à l’athlétisme, à l’escrime, au
théâtre, pour faire jaillir leurs valeurs communes quand elles ne sont pas
galvaudées : l’humilité, le dépassement de soi, la coopération et la liberté.
30maart
-31maart
28 Rue Christophe-Colomb, 94200 Ivry-sur-Seine, France
Description
Trois clochards, Watusi, Ñafle et Sonajeras, inventent un jeu pour goûter aux délices du pouvoir. WATUSI propose un échange de rôles entre roi et vassal chaque semaine, entraînant coups bas, trahisons et perfidie. Et la démocratie, bordel ! est une farce tragique et poétique qui questionne les dérives du pouvoir et de la démocratie.
Information sur la date
Du samedi 30 mars 2024 au dimanche 31 mars 2024
17h00 • 20h30
Billets
Info:
A partir de 16.00 €
1 Photo
Événements suggérés
Souviens-toi Vernon, on entrait dans le rock comme on entre dans une cathédrale,
et c'était un vaisseau spatial cette histoire Il a 45 ans. Il est disquaire.
Ayant connu ses heures de gloire dans les années 80, la crise du disque lui fait
perdre son emploi, et de fil en aiguille, son appartement. Pour trouver un
endroit où dormir, Vernon va devoir reprendre contact avec ses anciens amis.
Tous fans de rock à 20 ans, que sont-ils devenus ? À travers une galerie
fulgurante de personnages désenchantés, on découvre la fin d'un monde, l'impasse
d'une utopie de jeunesse. Peu à peu, Vernon glisse vers l'exclusion sociale et
se retrouve à la rue.
Ce portrait tendre et sans concession d'un loser héros délivre un regard
critique et féroce sur la société d'aujourd'hui. Un spectacle puissant et rock
n'roll, et l'écriture d'une grande autrice.
L'autrice et metteuse en scène franco-irakienne Tamara Al Saadi présente PLACE,
un spectacle qui aborde le thème de l'exil et des déchirements entre deux
cultures. Avec sensibilité et humour, le spectacle invite le public à suivre les
cheminements de Yasmine dans sa quête d'identité et de légitimité. PLACE est une
réflexion universelle sur le sentiment d'étrangeté au monde. Les représentations
auront lieu du 24 avril au 28 avril. Réservez vos places dès maintenant !
Horizon 2048, une création qui construit un avenir collectif.
Depuis 2022 des temps de rencontres sont créés dans différents lieux et
structures du 77, 91 et 94 (Quartiers Prioritaires, foyers de l'Aide Sociale à
l'Enfance, structures de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, Centres
d'Hébergement d'Urgence...) et aussi en Egypte. Via un questionnaire en ligne,
ces personnes sont invitées à réfléchir et partager sur différents thèmes à
partir d'une question philosophique, puis à chercher des solutions concrètes
pour imaginer un idéal de société à l'horizon 2048.
Site web : https://www.theatre-studio.com/saison/horizon-2048
Infos réservation :
Plein tarif : 20 ?Tarif réduit : 15 ?(étudiants, demandeurs d'emplois, seniors,
intermittents)Tarif réduit ++ : 10 ?(moins de 16 ans, bénéficiaires du RSA/RMI,
habitants d'Alfortville)
THEATRE DE LA CITE INTERNATIONALE présente Au-delà de cette limite, votre ticket
n’est plus valable… Que se passe-t-il quand vient la fin ? Quand la mort est là,
que les souvenirs défilent ? Que reste-t-il d’une vie qui se dérobe et s’abolit
? Nourri de témoignages d’EMI (expérience de mort imminente), Valérian Guillaume
laisse libre cours aux mots et aux affects, dans un flux verbal puissant.
Discours proféré et texte projeté jaillissent côte à côte, se croisent, se
contredisent, se fécondent l’un l’autre. Une grande récapitulation, intense et
chaotique, tente de donner corps à ce qui s’efface. La remémoration tourne à
l’opération de sauvetage, presque à la transe. Musique, objets, mouvements du
corps et de la lumière accompagnent cette litanie du dernier instant où passé et
présent se rejoignent, où les vivants et les morts dialoguent.
Corps Premiers raconte des histoires de coups de génie, quand des athlètes
deviennent des inventeurs et utilisent leurs corps mystérieusement. Le spectacle
explore le rapport que nous avons à nos corps à travers le sport et la création
artistique, mettant en avant l'importance du corps dans nos vies.
Une fugue comme point de départ d'une errance existentielle, dans ce spectacle
poétique qui invite à se perdre pour mieux se retrouver.
Une femme, un jour, décide de ne pas rentrer chez elle. Elle abandonne son
travail, son mari et ses enfants, prend une chambre d'hôtel, et part explorer la
ville. Une fugue comme point de départ d'une errance existentielle, dans ce
spectacle poétique qui invite à se perdre pour mieux se retrouver.
Les raisons de la disparition volontaire de Jeanne, la Compagnie So Weiter ne
les donnera pas. Peut-être que cette tentation de tout abandonner, de s'en aller
sans retour, on la comprend tous·tes au fond de nous. Le récit de cette femme
qui erre dans une ville porte alors une dimension universelle.
Dans ce voyage immobile, elle rencontre de drôles de personnages : une entité
mi-humaine mi-animale qui se fait appeler Lou Reed, et un vieil homme étourneau.
À travers leurs échanges, des discussions téléphoniques avec son mari, des
cadeaux envoyés à ses enfants, on assiste alors à la lente mue de Jeanne. Sa
transformation contamine tout ; la ville se mêle au sauvage, la mélancolie à la
joie de vivre. Jusqu'au public qui, en miroir de la protagoniste, vit cette
aventure intérieure et en ressort troublé.
La fin d’un couple, d’une histoire d’amour. En deux monologues percutants,
écrits sur mesure par Pascal Rambert pour Stanislas Nordey et Audrey Bonnet,
tout doit être dit, jusqu’au bout de la colère. Pour clôturer ce qui a été ?
Dans ce théâtre de pur langage, les corps parlent avec force.Sont-ils musiciens
? Danseurs peut-être ? On sait seulement qu’ils sont artistes. Stan et Audrey.
Audrey et Stan. Pascal Rambert a donné à ses personnages les vrais prénoms des
deux comédiens pour qui il a écrit ce texte cousu main. Pour créer le trouble,
supprimer les filtres, les mettre à nu. Leur amour est fini, il faut conclure. A
tour de rôle, ils disent leur vérité, sans majuscule, sans ponctuation. La salle
de répétition qui accueille leur huis clos devient chambre des tortures où les
armes destructrices sont les mots. Telle une danse mentale, les mouvements
invisibles de l’âme se débattent à l’intérieur des corps. Ecrasée par le poids
des paroles de Stan, Audrey doit rester droite, ne pas fléchir. Mais chacun
porte sa propre violence : celle, offensive et guerrière, de l’homme dont le
cœur est devenu froid ; celle, calme et insidieuse, de la femme dont le pouvoir
de destruction est ailleurs. Joué plus de deux cents fois depuis sa création en
2011, Clôture de l’amour est un spectacle d’une intensité rare, où les mots
transpercent les cœurs et cognent les tripes, disséquant sans ménagement le
sentiment amoureux.Vous serez placé à votre arrivé en échange de votre billet (
contremarque )
Adel est autiste, handicapé, neuro-atypique. On le dit détaché, différent,
solitaire ou violent. Autour de lui gravitent ses parents, son éducateur, son
institutrice, son infirmière, chacun·e bouleversé·e à sa manière par ce parcours
« inadapté ». C'est à travers elles·eux que l'on voit grandir cet enfant
extra-ordinaire. Quatre comédien·ne·s et un musicien déploient, dans une suite
effrénée de situations, le parcours de vie de ce jeune autiste. Entre l'intime
et le social, Vers le Spectre met en évidence les conséquences des processus
d'exclusion. Ici, des amours volent en éclats. Des rêves sont déviés. Des
victoires se savourent. Des amitiés inattendues s'inventent. Dans l'oeil de ce
cyclone, Adel fait danser les personnages d'un récit théâtral direct, brut,
joyeux. Un récit qui s'amuse de la relativité des normes et fait vibrer nos
coeurs.
Prix du public et des lycéen·n·es du Festival Impatience 2021
Site web : https://trr.fr/spectacles/vers-le-spectre/
Infos réservation :
01 49 58 17 00 / trr.fr
Un des principaux aspects de l’écriture de Copi, et notamment de La tour de La
Défense, c’est cette manière qu’elle a d’en faire trop, de dépasser toutes les
bornes, de pousser dans leurs retranchements les acteurs et les limites de la
machine théâtrale. Dans la pièce, les évènements se succèdent, et tous sont plus
fous les uns que les autres : un serpent remonte les canalisations, une mouette
rentre par la baie vitrée, un hélicoptère s’écrase sur la tour d’en face, une
mère se retrouve soudain accusée du meurtre de son enfant… l’écriture semble
toujours vouloir en rajouter une couche, elle déborde d’idées. Pourtant, on y
lit aussi quelque chose de mélancolique ; comme si elle s’acharnait en vain,
tentait par tous les moyens de rendre sa force à une vie qui, depuis longtemps,
a perdu toute sa consistance. Les personnages, par leurs réactions, racontent ce
rapport étrange aux évènements, vécus avec une intensité sincère, mais ne
laissant aucune trace, comme oubliés aussitôt qu’un nouvel incident advient.
Pendant la quasi-totalité de la pièce, aucun de Jean, Luc, Micheline, Daphnée ou
Ahmed n’est véritablement marqué par ce qu’il vient de traverser ; tous semblent
guidés par leurs seuls instincts, dans une naïveté qui n’est pas sans rappeler
celle de l’enfance, comme un grand jeu auquel ils seraient en train de prendre
part, et depourraient indifféremment passer d’un état à un autre. Au plateau,
les acteurs s’étonnent de tout, et toujours au premier degré, tenus dans cet
“hyperprésent” qui leur empêche tout recul sur ce jeu auquel ils sont en train
de jouer. Côté public, certains évènements peuvent faire rire, mais à peine
a-t-on le temps de s’en amuser qu’un autre déjà survient, et qu’on se retrouve
alors peu à peu plongé dans cet état étrange, à mi-chemin entre l’asphyxie et
l’ivresse, si caractéristique de l’univers de Copi. Auteur Copi Mise en scène
Lewis Janier Dubry Avec Louis Certain, Manaëlle Cobra, Marius Ponnelle, Tom
Rundstadler, Sylvain Septours, Théo Urtubey Scénographie et accessoires Sylvain
Septours Création sonore Basile Lacroix-Boettcher Production Compagnie du
Sixième Mur