Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa
propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu
nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de
l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin
engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que
nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
Abbaye Saint-Aubin d'Angers
Lieu
Événements à venir
Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa
propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu
nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de
l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin
engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que
nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa
propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu
nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de
l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin
engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que
nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa
propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu
nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de
l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin
engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que
nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
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propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
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nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de
l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin
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nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
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propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
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nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
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nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
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propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
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nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
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propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens?
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l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin
engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que
nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle
s’est arrêtée.
Événements passés
Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
femme contemporaine.
Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
femme contemporaine.
Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
femme contemporaine.
Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
femme contemporaine.
Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
femme contemporaine.
Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
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longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
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longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
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chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
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Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en
sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de
chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes
longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la
femme contemporaine.