Réalité augmentée

Description

Peintre autodidacte, Marie-Françoise Martin joue avec le regard du spectateur en sublimant les emballages, grâce à la technique ancestrale du trompe-l’œil de chevalet.Depuis les années 90, Jean-Denis Maysonnave sculpte des silhouettes longilignes qui rendent un hommage appuyé, plein de grâce et d’humour, à la femme contemporaine.

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Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens? Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle s’est arrêtée.
Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens? Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle s’est arrêtée.
Chaque pièce de Yong Mei Liu est une question que l’artiste se pose sur sa propre existence, sur sa légitimité, sur son propre surgissement. D’où je viens? Le retour est-il possible? Quête spirituelle commune à laquelle Yong Mei Liu nous invite, un voyage à l’intérieur de chacune des œuvres. Le geste suspendu de l’artiste permet à notre regard de s’attarder sur chaque pli dont la fin engendre autre chose. Un voyage intérieur infini comme un cercle sans fin que nous n’aurions pas eu si Mei n’avait pas décidé un jour d’arrêter là où elle s’est arrêtée.
Cette exposition est consacrée aux différents cultes pratiqués durant l’Antiquité à Angers et connus grâce aux recherches archéologiques de ces vingt dernières années.Cette thématique renvoie aux sanctuaires publics dédiés aux différentes divinités du panthéon romain (Apollon, Mercure, Hercule, Victoire, Vénus…). Elle permet d'évoquer également les cultes orientaux, et notamment celui de Mithra mieux connu depuis la fouille en 2010 d’un mithraeum et la découverte de céramiques, utilisées pour le culte et le banquet rituel ou offertes en ex-voto. L’exposition aborde enfin l’implantation des premières basiliques chrétiennes à partir du 5e s. ap. J.-C.Seront ainsi rassemblés des œuvres issues des collections des musées d’Angers, du mobilier archéologique, des documents, images et audiovisuels permettant de resituer les objets dans leur contexte.Cultes et sanctuaires à Angers dans l'Antiquité est réalisé en partenariat avec l’INRAP, Ouvre une nouvelle fenêtreInstitut national de recherches archéologiques préventives.L'exposition est également présentée en lien avec le congrès international de la SFECAG, Ouvre une nouvelle fenêtre, Société française d’études de la céramique antique en Gaule, organisé à Angers du 9 au 12 mai 2024.
L’Artothèque fête en 2024 ses 40 ans. Pour célébrer cet anniversaire, une programmation inédite rythmera toute l’année. Rencontres avec des artistes, médiations, ateliers, table ronde, exposition hors-les-murs, de nombreux évènements festifs et artistiques vous attendent.En premier lieu, découvrez à l’Artothèque la diversité et la richesse de sa collection à travers une sélection d’œuvres sur une quarantaine d’années d’acquisitions. Deux accrochages seront présentés, le premier, Traversée #1, de mai à septembre, le second, Traversée #2, d’octobre à février 2025.Un hommage sera également rendu à Joëlle Lebailly, fondatrice et responsable de l’Artothèque pendant trente ans. Douze artistes de la collection, ancrés dans la création contemporaine, soutenus par l’Artothèque et ayant été accompagnés par Joëlle Lebailly, seront invités à présenter une œuvre récente.Enfin, les Archives patrimoniales de la Ville d’Angers, installées à proximité, au premier étage du RU, proposent une vitrine dédiée à l’histoire de l’Artothèque. C’est l’occasion de découvrir la genèse de cette structure municipale aux multiples facettes…AUTOUR DE L'EXPOSITIONVisites abonnés et tout public, quiz, pochettes surprise pour les abonnés, atelier en famille, Nuit de la sérigraphie…
En partenariat avec le FRAC des Pays-de-la-LoireLa représentation du paysage est une source d’inspiration infinie pour les artistes, et se retrouve dans toutes les périodes de l’histoire de l’art. L’exposition présentée au RU - Repaire Urbain propose plusieurs approches artistiques (peinture, dessin, photographie, gravure, vidéo) où les paysages apparaissent naturels, idéalisés, urbains ou reflets des dégradations climatiques. Des artistes contemporains dont Anne-Lise Broyer, Grégory Markovic et François Réau feront dialoguer leurs œuvres avec des grands noms des collections du FRAC des Pays-de-la-Loire comme Yan Pei-Ming, Gérard Garouste, Rosario López ou Giuseppe Penone.Visites commentées pour tout public les 1er, 15 et 29 juin à 16h (sans réservation)Visites flash les samedis, et du mardi au samedi pendant les vacances scolaires (sans réservation)
Entre les lignes et les couleurs on distingue la faune, la flore, des animaux familiers ou encore des oiseaux de jardin... Absence de silhouette humaine, qui questionne la position de l’homme dans cette Nature. Les gouaches grand format et les illustrations (technique mixte) d’Olga Dupont sont une ode à la Nature.
Entre les lignes et les couleurs on distingue la faune, la flore, des animaux familiers ou encore des oiseaux de jardin... Absence de silhouette humaine, qui questionne la position de l’homme dans cette Nature. Les gouaches grand format et les illustrations (technique mixte) d’Olga Dupont sont une ode à la Nature.
Entre les lignes et les couleurs on distingue la faune, la flore, des animaux familiers ou encore des oiseaux de jardin... Absence de silhouette humaine, qui questionne la position de l’homme dans cette Nature. Les gouaches grand format et les illustrations (technique mixte) d’Olga Dupont sont une ode à la Nature.