Scanning Days : Les mouvements de jeunesse de Sambreville

Description

Dans le but de compléter nos données, nous souhaitons faire appel à vous et surtout vos archives, tant anciennes que récentes concernant les mouvements de jeunesse de Sambreville.avec votre accord, nous souhaiterions scanner, photographier ou photocopier vos photos, articles de journaux, carnets de bord,. .. pour alimenter notre Fonds documentaire.Le tout se ferait sous vos yeux dans un délai rapide.Notre Fonds documentaire renferme quantité de documents dont une belle collection de cartes postales et d’ouvrages certains inédits, retraçant le passé industriel, culturel, sportif, folklorique, patrimonial de l'entité mais aussi un remarquable ensemble de papiers d'archives sur les tragiques évènements des guerres du siècle passé.Toutefois très peu de documents concernant les mouvements de jeunesse, voilà pourquoi nous venons vers vous.Une semaine de « Scanning Days » a été bloquée pour cette action, il s’agit de la semaine du 11 septembre, mais aussi un autre jour sur rendez-vous.En vous remerciant d’avance.

Information sur la date

Lundi: de 9:00 à 12:00 et 13:00 à 17:00. Mardi: de 9:00 à 12:00 et 13:00 à 17:00. Mercredi: de 9:00 à 12:00 et 13:00 à 17:00. Vendredi: de 9:00 à 12:00 et 13:00 à 17:00. Samedi: de 9:00 à 12:00. Du 11 au 16 septembre

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Événements suggérés

Du 4 mai au 28 juillet 2024, l’Espace de l’Homme de Spy a l’honneur d’accueillir l’exposition « Femmes et Préhistoire ». Une exposition qui déconstruit les mythes et lève le voile sur la vie – jusqu’il y a peu mystérieuse – des femmes durant la Préhistoire. Construite à l’origine par des hommes érudits, l’étude des sociétés contemporaines et passées a longtemps été basée sur l’étude du « sexe fort », laissant la seconde moitié de l’humanité dans l’ombre ou réduite à des tâches considérées comme de moindre importance. Durant la Préhistoire, on imagine Mesdames Cro-magnon et Néandertal vaquant calmement à leurs occupations de nourricières et de maîtresse du foyer, bien au chaud dans leur grotte, pendant que les hommes de la tribu partent risquer leur vie dans une périlleuse chasse au mammouth. Que faisaient-elles ? Comment vivaient-elles ? Au travers d’études ethnographiques, de comparaisons anatomiques de fossiles et à travers l’art, vous découvrirez que les femmes n’étaient pas cantonnées aux tâches domestiques comme on l’imagine habituellement. Une exposition qui mêle sciences et art. L'un des domaines qui a permis d'en apprendre plus sur le rôle et le statut des femmes durant la Préhistoire est bien évidemment l'art. Car parler de femmes préhistoriques ne peut se faire sans aborder les innombrables représentations féminines de la Préhistoire. Aussi, Dans cette exposition, vous aurez donc l’occasion de venir admirer plus d’une centaine d’entre-elles sous forme de gravures et de sculptures. Une occasion exceptionnelle de pouvoir mesurer toute l'ampleur de l'importance des femmes dans les sociétés préhistoriques, qui, jusqu'il y a peu, était encore méconnue. Infos pratiques : Du 4 mai au 28 juillet 2024. Accessible aux heures d'ouverture de l'EHoS - du mercredi au dimanche, de 13h à 17h00. Tarif : Entrée comprise avec l'entrée au Centre d'Interprétation (5€/adulte, 4€/senior et enseignant, 3€/enfant et étudiants, gratuits en dessous de 6 ans).
La ligne de chemin de fer 147 balafrait la plaine de Hesbaye comme un long trait de plume entre Ligny-Sud et Grand-Leez. Elle allait même au-delà : jusqu'à Landen. Le halètement de ses locomotives à vapeur et le cliquetis de ses wagons troublaient plusieurs fois par jour le calme de la campagne. Elle en a transporté des travailleurs et des tonnes de marchandises de et vers les usines de la Sambre ! Aujourd'hui, le calme est revenu sur la campagne. Après avoir été partie intégrale de la fameuse Croix de Hesbaye, l'ancienne ligne de chemin de fer est devenue un maillon du réseau RAVeL. Et les trains ont été remplacés par des autobus. Le tronçon Ligny Sud-Grand-Leez/Thorembais de l'ancienne ligne ferroviaire 147 sera à découvrir dans le magnifique cloître de l'ancienne abbaye gembloutoise du 18 mai au 15 juin 2024 lors de l'exposition « RAVeL Ligne 147 ». Une exposition qui en retracera à la fois l'histoire, l'environnement et la biodiversité. En parallèle, des circuits à pied et à vélo ont été élaborés. Pour l'occasion, trois associations locales ont unis leurs forces : le club photographique Agrophot et le Cercle royal ‘Art et Histoire’ de Gembloux, ainsi que l'asbl Samaravia. Un événement soutenu par la Commune de Sombreffe. I N F O R M A T I O N S   P R A T I Q U E S Dates : 18.05 > 15.06.2024 Lieu : Cloître de la faculté de Gembloux (Gembloux AgroBioTech) Accès : Avenue de la Faculté d’Agronomie 11, 5030 Gembloux (Parking Espace Senghor gratuit) Horaires : • Visites libres du lundi au vendredi de 8h à 18h ainsi que les samedis 18 mai, 1er et 15 juin de 14h à 17h. • Visites guidées sur réservation pour des groupes de minimum 5 personnes. Réservation obligatoire minimum une semaine à l'avance. Réservations : Jacques MIGNON - 0499/17.36.43 – mignon.jacques@gmail.com
Avec sa multitude de maisons particulières des 17e et 18e siècles, sa panoplie d’hôtels de maître et sa variété d’édifices religieux, Namur est une ville baroque. L’environnement urbain namurois est riche de plusieurs sculptures qui servent même souvent de point d’orgue à la structuration de leurs espaces. Qui ne connaît pas la célèbre place de l’Ange qui tient son nom de l’ancienne pompe, ou encore celle du Marché aux Légumes, deux créations du sculpteur François-Joseph Denis ? Et qui n’a jamais levé les yeux vers l’une ou l’autre de ces nombreuses enseignes sculptées dont on oublierait presque qu’elles permettaient de désigner les maisons bien avant la numérotation continue ? Mais à côté de ces œuvres disposées à l’air libre, il existe tout un patrimoine moins connu. C’est celui que l’on trouve principalement dans les églises. Quoi de plus naturel dès lors que d’organiser une grande exposition sur la sculpture baroque et rococo à Namur, au sein du pôle muséal mais aussi au-delà, à travers un parcours dans plusieurs édifices religieux du centre-ville, afin de (re)découvrir ce patrimoine ? Sur les deux siècles concernés par l’art baroque et rococo, une septantaine de noms de sculpteurs ont été identifiés. L’exposition «Des Mains de Maîtres » propose d’en découvrir un échantillon parmi les plus talentueux.
Joyeux biblio-nniversaire ! En 2024, la bibliothèque de Saint-Servais fêtera ses 100 ans, et celle de Jambes, ses 90 ans. La bibliothèque de Jambes accueille à cette occasion une exposition sur l'histoire de la bibliothèque et l'évolution du métier de bibliothécaire, mise sur pied par les étudiants en Bibliothéconomie et Documentation de l'Henallux Malonne. Durant les heures d'ouverture au public de la bibliothèque de Jambes, du 15 au 31 mai. Plus d'infos : 081/24 64 40 bibliotheques@ville.namur.be [bibliotheques@ville.namur.be]
!!!!!!!!! SYMPOSIUM DE METAL - CONCOURS DE SCULPTURE !!!!!!!!!! Suite à de nombreuses années de travail au sein du lieu emblématique du Rockerill, plusieurs artistes du collectif résidents, (TDLA - tête de l’art), se réunissent aujourd’hui autour d’un projet commun. Celui de mettre en place un concours de sculpture sur métal, inédit en Wallonie. Le projet tombe sous le sens ! Le lieu; porteur de mémoire sidérurgique, mais aussi les artistes; sculpteurs du collectifs, qui depuis tant d’années pratiquent la matière pour la sublimer. Ceux-ci ouvriront les portes de leur terrain de jeu, le temps d’un festival de quatre jours, lors duquel ils accueilleront une dizaines d’artistes venant de tout bord. Ces derniers auront pour défis de réaliser une sculpture sur le temps imparti avec les matériaux mis à disposition. Programme: Du 16/05 au 19/05: 4 jours de workshop ouvert au public Ve 17/05- SA 18/05 : Conférences et témoignages sur les lieux et la matière Sa 18/05 : Concert A partir du 16/05 : Expo TDLA Di 19/05 : Prix du meilleur sculpteur DJ set en soirée 
Comme disait Mouloudji : l'amour, l'amour, l'amour ... Comme disait Dalida : Paroles, paroles, paroles... Après le beau temps : la pluie. Après la tempête : le calme. Exposition pluridisciplinaire sur le culte de l'amour contemporain, L'amour des autres, l'amour de soi, les bornes et les limites. Nos relations sont comme une grande fête foraine, une foire à la saucisse, un parc d'attraction. À quel point sommes-nous capables de jouer pour arriver au grand boss de la fin ? Le grand bonheur (d'ailleurs c'est qui celui la ?). Game Over, tout recommencer à zéro. Peinture, édition, installations, papier mâché, amour & grigris divers En Collaboration avec BAMBI & CARBONE _____ Infos pratiques ⭢ Du 8 mai au 8 juin ⭢ Vernissage le 8 mai à 19:00 ⭢ Expo accessible les mercredis, vendredis et samedis de 14:00 à 18:00
Pauline Gobert a trouvé son équilibre en utilisant son hypersensibilité dans différents projets créatifs (peintures et illustrations). Ses intérêts pour la spiritualité et le développement personnel se ressentent beaucoup dans ses œuvres. Des instants figés, un peu flous, le plus possible dans la douceur des lumières et des couleurs.
Depuis 2022, le Musée L est un opérateur thématique dans le cadre du Parcours d'Education Artistique et Culturelle (PECA) encadré par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Concrètement, cela signifie que le musée accueille chaque année près de 1000 élèves de l'enseignement fondamental dans le cadre d'un projet de médiation culturelle et artistique. Entre 2022 et 2025, c'est le thème « Ligne, rythme et mouvement » qui sert de fil rouge aux activités proposées aux écoles en partenariat avec l'asbl ArtSchool. Au cours de ces activités, les élèves découvrent dans leur classe une sélection d’œuvres authentiques, prêtées à l'asbl ArtSchool par différents artistes contemporains (belges et étrangers) reconnus internationalement. Ces réalisations sont à chaque fois mises en rapport avec des œuvres exposées au Musée L. Les élèves participent aussi à une visite active dans les collections permanentes du Musée L pour découvrir "en vrai" les œuvres du musée sur le thème « Ligne, rythme et mouvement ». En fin d'année scolaire, les créations des élèves sont rassemblées et présentées lors d'une exposition au Musée L dans laquelle réalisations des enfants sont exposées aux côtés des œuvres d’artistes contemporains prêtées à l’asbl ArtSchool et œuvres du musée.
Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965) investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble retrace son cheminement artistique des 25 dernières années.Actif depuis le milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à l’image (aux images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule catégorie plastique, ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur toile ou objets, installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à imprimante), l’artiste évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux origines, à la mémoire, à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à l’héritage. Son travail n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique, ni les préoccupations propres au champ de l'art et leur inscription dans un système de références picturales, en réactualisant certains thèmes historiques comme, par exemple, celui de la Vanité.Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou Whiteboards – des toiles peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de portraits que l’artiste effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres d’Alain Bornain jouent habilement sur la confusion entre une image et son support. Depuis toujours, un même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les potentialités qu’offrent les relations complexes que tissent la peinture et l’écriture. Tandis que certaines toiles font la part belle à l’effacement du sujet représenté, d’autres voient les mots et les chiffres s’entremêler, suggérant des préoccupations plus larges qui dépassent le strict cadre de l’art. Là réside sans doute toute l’ambivalence des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres qui peuvent aussi bien se comprendre comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un sujet, porteurs de significations spécifiques, que comme un exercice pictural qui consigne toutes les possibilités plastiques offertes par la peinture.____Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Pour la première exposition du cycle "Carte blanche", le BPS22 a sollicité le critique d’art et commissaire d’exposition Claude Lorent (Charleroi, 1943). Celui-ci a choisi de retracer l’itinéraire pictural d'Éric Fourez (Tournai, 1946) qui s’étend de 1974 à nos jours. Dès les années 1970, l’artiste réalise des petites peintures d’inspiration surréaliste et littéraire dont ne subsistent que deux exemplaires, témoins d’une influence rapidement abandonnée. Sa pratique artistique change alors rapidement. Attiré par l’hyperréalisme à base de photographie, il s’en distingue d’emblée en optant pour une peinture à tonalité monochrome bleue, légère et lumineuse. Ses sujets de prédilection sont les vagues et des vues de la mer du Nord ; elles évoquent l’ailleurs, le voyage, l’évasion. Ce sont des rochers à Ploumanach, des autoroutes, des aéroports, des cabines de plage… et bientôt les premières traces de pas dans le sable. En 1984, ses toiles passent au gris, puis s’estompent légèrement et, dès 1986, le blanc s’impose. Le sujet devient trace, la figuration devient allusive et semble parfois se dissoudre dans l’abstraction. Pour Claude Lorent, l’itinéraire est remarquable : "Depuis, selon un processus créatif invariable, inlassablement, résolument, Éric Fourez peint des paysages marins fascinants, des bords de plages ravinés, creusés, modelés par le flux, le reflux, le ressac, par la puissance ou la douceur des vagues qui vont, viennent, se retirent et reviennent. Qui meurent sur le sable avant de remonter à l’assaut, plus déterminées et plus vivantes que jamais.  Hymne à la vie et à la nature, images du destin, vanités autant que paysages, ces peintures de l’espace infini et de la blancheur, silencieuses, solitaires, évocation du passage du temps, de la fragilité des êtres et des choses, de l’éphémère et du combat contre l’inéluctable effacement jusqu’à la disparition, se déclinent en toutes tailles, en tous formats, invitent à regarder et réfléchir, à vivre l’enchantement, à méditer, à prendre conscience de soi, de notre terre à respecter et de l’univers incommensurable." Première grande rétrospective muséale de l’artiste, l’exposition rassemblera plus d’une cinquantaine de peintures sur toile, de formats intimes à des œuvres de 4,2 m x 2 m, ainsi que des documents. À cette occasion, Éric Fourez rend aussi hommage à ses amis artistes, avec des œuvres de Gabriel Belgeonne, Pierre Courtois, Gaston De Mey, Jephan de Villiers, Patricia Dopchie, Francis Dusépulchre, Jean-Michel François, Jack Keguenne, André Lambotte, Michel Mineur, Baudouin Oosterlynck et Guy Vandenbranden. Éric Fourez