Jamais, toujours, parfois

Description

Anna a 18 ans. Depuis qu’elle est petite, elle suit un traitement pour soigner ses troubles psychiatriques. Mais elle n’en veut plus ; les médicaments nuisent à son très grand potentiel artistique. Car Anna écrit ; et plutôt bien… Alors, elle arrête tout. Advienne que pourra…

Victime et bourreau, prodige de fantaisie et d’énergie, Anna est une sorte d’astre noir qui vampirise tous ceux qui l’approchent et désespère ceux qui tentent de l’aider : sa mère, son mec et sa pédopsychiatre qui a du mal à respecter la distance thérapeutique.

Comment aimer une jeune adulte en grande difficulté psychique ? Comment la protéger, sans confondre au passage notre propre besoin d’être rassuré ? Comment préserver la part vibrante de son être, anéantie par des traitements lourds ? Telles sont les questions posées dans Jamais, toujours, parfois.

Chacune, chacun, a ses raisons dans Jamais, toujours, parfois où l’on se gardera bien de porter sur les personnages un regard trop idéalisé. Construit comme une suite de duels entre ceux-ci, il sera difficile pour le spectateur de prendre parti.

C’est à une sorte, sinon d’éloge, du moins de réhabilitation du risque que se livre l'australienne Kendall Feaver en s'efforçant de redonner à Anna un libre arbitre et un avenir possible.

Information sur la date

2024-09-10: 20:30:00 - 23:00:00

2024-09-11: 19:30:00 - 23:00:00

2024-09-12: 19:30:00 - 23:00:00

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2024-09-25: 19:30:00 - 23:00:00

2024-09-26: 19:30:00 - 23:00:00

2024-09-27: 20:30:00 - 23:00:00

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Luca, 50 ans, d’origine italienne, vit à Bruxelles, avec sa femme et ses enfants jusqu’au jour où il apprend que sa maison de famille en Italie fait l’objet d’un avis de démolition. Porca Strada ! c’est l’histoire d’un homme qui ne veut pas voir son enfance disparaitre sous les gravats parce que des édiles locaux corrompus prétendent construire une route inutile. C’est le récit, drôle et haut en couleur, d’un homme qui va se battre de toutes ses forces pour conserver la terre de ses aïeux. C’est l’éternelle histoire du pot de terre contre le pot de fer. Celle d’un citoyen qui va devoir affronter un système où les magouilles au profit de quelques-uns l’emportent trop souvent sur l’intérêt de tous. Mais aucun combat ne laisse indemne celui qui le porte, et au contact de personnages aussi truculents que douteux, des questionnements vont bientôt agiter l’esprit de Luca. D’où est-il vraiment ? Quel est son rapport au passé, à ses origines, à la transmission ? A-t-il l’âme d’un super héros ou la réalité le poussera-t-elle à courber l’échine ? Co-écrit par Giuseppe Santoliquido (L’audition du docteur Fernando Gasparri et de L’été sans retour) et Fabrizio Rongione, Porca Strada ! est une comédie douce-amère à l’italienne, un voyage initiatique et cocasse, entre un présent fait d’engagements et un passé teinté de nostalgie et de soleil d’Italie. __________ De Fabrizio Rongione et Giuseppe Santoliquido / Mise en scène : Gabriel Alloing / Avec : Fabrizio Rongione / Assistante à la mise en scène : Sandra Raco / Dramaturgie : Giuseppe Santoliquido / Scénographie : Gabriel Alloing et Fanfan Rahir / Lumière : Alain Collet __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES - DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
Théâtre Marionnettes "Othmane Moumen entre dans le costume de son père et retrace le parcours d’un homme frêle et balayé par les vents entre le Maroc et le Tarmac de Zaventem. Des urgences découlent les plus beaux projets." rtbf.be Tout public dès 15 ans Dans Parti en fumée, Othmane Moumen tente de déchiffrer l’énigme de son père. Il y a sept ans, on lui a diagnostiqué un cancer des poumons en stade 4… le stade terminal. Depuis, il ne lui reste qu’un poumon. Pourtant, son père est toujours là. Comme un sursis inespéré. Et il continue à fumer clope sur clope. Le poumon, c’est l’organe de la tristesse chez les Chinois, paraît-il. Alors, je me demande… Pourquoi il s’inflige ça ? Pourquoi il n’arrête pas ? Les questions affluent dans ma tête, face à ce papa qui ne parle pas. Pourquoi a-t-il migré un jour ? Pourquoi ne bouge-t-il plus aujourd’hui ? Pourquoi refuse-t-il de repartir ? Ce n’est pas facile de lui tirer les vers du nez. La pudeur des pères, quoi ! Mais je suis allé l’interroger. Je l’ai enregistré. J’ai sa voix. Elle est là, dans la boîte, prête à être utilisée. Lors d’un workshop de marionnettes avec Natacha Belova, Othmane Moumen construit de ses propres mains un double de son père, pour le faire parler. Ce temps gagné sur la mort est une occasion pour lui d’approfondir l’enquête, de laisser son père se raconter par l’intermédiaire de la marionnette, vite, avant qu’il ne parte définitivement en fumée… Othmane Moumen livre un dialogue attendrissant et non dénué d’humour, entre un fils et son père. Écriture, jeu et conception Othmane Moumen Mise en scène Jasmina Douieb Assistanat à la mise en scène Sophie Jallet Collaboratrice artistique Isabelle Darras Création sonore Guillaume Istace Création lumière Charlotte Persoons Scénographie et costume Thibaut De Coster Dramaturgie Amel Benaïssa
Comment Toone en est-il arrivé à Gounod ? Au temps où La Monnaie, maintenant Opéra National, disposait de privilèges écrasants par rapport aux autres théâtres de Bruxelles, Tôône-Dufeys (une autre dynastie de marionnettistes) se rendait régulièrement à l’Opéra pour y copier le plus fidèlement possible ces grands spectacles inaccessibles pour le peuple des Marolles et les présenter ensuite dans son théâtre. Les marionnettes traditionnelles étaient alors le seul moyen d’éducation populaire d’un public toujours prêt à s’enthousiasmer pour les plus grandes oeuvres. Toone VII à son tour se pencha sur l’opéra de Gounod pour en faire une adaptation parodique. « ... Tandis que le docteur Faust boit une dernière gueuze dans l’espoir d’une mort subite, un inquiétant personnage, le “Deuvel”, vient lui proposer des paquets de billets de mille et une belle “mokske” au doux nom de Marguerite, en échange de son âme. On fait un tour à la foire du midi, on passe (en coulisses) une nuit enchanteresse et... c’est le coup de foudre. Avec une conséquence pour Marguerite : “Des robes qui vont devenir trop courtes par devant”... Quiconque s’aventure dans le vaste univers que représente ce sujet comprendra, à travers l’humour, le sentiment de paix intérieure qui l’anime. On devine aisément ce que peuvent donner des mélodies telles que Salut, demeure chaste et pure ou Anges purs, anges radieux accommodées à la sauce bruxelloise... » (La Lanterne) Fidèle à la tradition, Toone fait toutes les voix et n’hésite pas à pousser le grand air des bijoux à l’égal de notre célèbre Castafiore. Les décors et costumes de Raymond Renard donnent à Marguerite toutes les raisons de se voir si belle en ce miroir.
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