Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses
œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa
nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ».
Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano
annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle
intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas
manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle
installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste
énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique.
La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce
ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui
font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs
pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon,
ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de
Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une
sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois.
De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano
fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite
donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis
en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de
visite.
Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour
l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis
tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années,
inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans
laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise
notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques
avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses
œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres.
Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son
installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Nuit Blanche 2023 : animations autour de Georges Méliès à la Cinémathèque
03juni 2023
-04juni 2023
Cinémathèque française
Cinémathèque française, 51 Rue de Bercy, Paris, 75012, France
Description
Pour la Nuit Blanche 2023, on file à la Cinémathèque Française découvrir son impressionnante collection dédiée à l'histoire du cinéma, profiter de projections spéciales et d'expositions temporaires. Une soirée mémorable de découverte et d'appréciation du 7e art vous attend !
La Nuit Blanche est un événement annuel qui transforme la ville de Paris en une galerie d'art à ciel ouvert. Pendant une nuit entière, les musées, les galeries, et même les espaces publics ouvrent leurs portes gratuitement au public, offrant une multitude d'expositions, de performances et d'installations artistiques. C'est une célébration unique de la culture, permettant à chacun de découvrir et d'apprécier l'art sous toutes ses formes.
Au cœur de cette nuit magique, la Cinémathèque Française offre une expérience incontournable pour les amoureux du 7e art. Fondée en 1936, la Cinémathèque est un véritable temple du cinéma, dédié à la préservation et à la présentation du patrimoine cinématographique mondial. Avec une collection impressionnante de films, d'affiches, de costumes et d'équipements de cinéma, la Cinémathèque est plus qu'un musée, c'est une fenêtre sur l'histoire du cinéma.
Pour la Nuit Blanche 2023, la visite de la Cinémathèque est un must. Non seulement vous aurez la chance de découvrir sa collection unique, mais vous pourrez également profiter de projections spéciales, d'expositions temporaires ou encore d'événements interactifs, en fonction de la programmation. Que vous soyez un cinéphile passionné ou simplement curieux, la Cinémathèque vous promet une soirée mémorable de découverte et d'appréciation du cinéma.
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Événements suggérés
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition
entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe
du 23 avril au 27 octobre 2024.
Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de
voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent
automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de
nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce
que pourrait être notre futur.
Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se
construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des
plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril
au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa
diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu.
L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers
l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces
artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés.
Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités
plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir
les mondes de demain.
En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés
actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques
se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses
défauts, et, peut-être, de se redéfinir.
Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez
découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le
Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors
du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024.
Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a
jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous
pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit
grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024,
la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une
exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la
Galerie des Gobelins.
L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi
des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une
touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour
restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire
d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus
aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis
deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental
offert par Charles X.
Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la
cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au
Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024.
Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se
mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers
des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling
artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à
l'existence !
Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature
accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective
française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024.
Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et
force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion
intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi
en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de
l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard
cosmopolite sur l'art contemporain.
Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un
parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de
l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour
créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de
l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante,
oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la
relation entre la chair et notre environnement.
L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir
de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation,
spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de
Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère
entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en
tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur
est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre,
symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une
métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée
d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie
s'épanouit.
La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux
exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire
colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces
œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives.
Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs
de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky.
En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de
matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique
inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision
de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir
un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art
contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices !
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C'est le bon plan de ce week-end du 27 et 28 avril 2024 : les familles (avec
enfants) peuvent profiter de tout plein d'activités, d'animations et de visites
guidées gratuites au musée d'Art Moderne de Paris, ce samedi et dimanche.
Dans le cadre des week-ends gratuits en famille organisés par Paris Musées, le
samedi 27 et le dimanche 28 avril 2024 l'entrée est non seulement gratuite pour
toute la famille au musée d'Art Moderne, mais surtout, c'est tout un programme
qui attend les petits comme les grands lors de ce week-end placé sous le signe
de la culture.
Au programme ? Des visites contées, des ateliers créatifs pour s'initier aux
arts plastiques, mais aussi, visite guidée sensorielle du musée d'Art Moderne en
famille, une session de yoga kids friendly face aux œuvres... Pour ce week-end
en famille au musée d'Art Moderne, le sport domine la programmation à l'occasion
des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, à vous de découvrir comment
art et sport sont liés au sein du musée !
Vous l'aurez compris, ce week-end du 27 et 28 avril est non seulement un super
bon plan pour visiter un musée en famille sans dépenser un sou, mais surtout,
c'est l'occasion de découvrir les belles animations ludiques, poétiques,
artistiques, pour émerveiller petits et grands pendant ces deux jours
exceptionnels.
Petits artistes sportifs
Parents et enfants dans la visite reprennent les postures de sportifs
représentées dans des œuvres, comme l’Equipe de Cardiff de Robert Delaunay. En
atelier, les participants commencent par un échauffement artistique où ils
explorent différents mouvements puis esquissent rapidement des gestes en
laissant le crayon suivre le rythme des imaginations !
Histoires partagées
Clotilde Lebas raconte pour petit.e.s et grand.e.s, avec l'envie de suspendre le
temps. Elle aime tout particulièrement travailler dans des musées, pour faire y
résonner histoires et oeuvres d'art. Autant d'histoires qui se déploieront
devant des tableaux (La Danse de Matisse, L'équipe de Cardiff de Delaunay...)
qui, sous vos yeux, prendront un autre sens.
Yoga face aux oeuvres
Une séance de yoga Iyengar en famille devant l’œuvre La danse d’Henri Matisse.
Visite danse hip-hop face aux oeuvres
Venez découvrir en famille les collections du musée à travers une visite active
de danse Hip-Hop.
Hand-hop - Scopitone & Cie
Hand Hop est un appel à se saisir de sa liberté à danser où bon nous semble, une
invitation au mouvement continu face aux règles et normes imposées. Autour d’une
course-poursuite effrénée entre l’autorité et la désinvolture, Hand Hop entend
rendre à la rue son énergie contagieuse, vivante de rassemblement, de corps et
de musique. Une allusion aux premiers clips de Hip Hop, combinée d’un clin d’œil
à Tex Avery, pour célébrer la Street dance qui s’impose aujourd’hui comme une
incontournable du paysage chorégraphique contemporain et une victoire sur
l’espace public.
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des
Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024.
La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à
découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et
d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024.
Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans
l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des
Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier
dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace
urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne.
La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion
exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre
de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée
Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument
emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la
technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis
de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en
lumière.
L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche
d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples
évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles.
Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer
Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence
de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également
mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture
populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris.
Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps,
où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de
l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet,
les amis ?
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Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps
jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique
autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024.
C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael
Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules
disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les
moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de
Paris.
L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le
mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse
aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème,
ouverte à tous.
Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie
de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a
révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des
étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de
ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos
proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à
disposition dans l'exposition.
Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous
préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la
Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous
l'aurez deviné - des années 1980 !
Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la
Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Découvrez les us et coutumes gastronomiques de la France du Grand siècle, avec
l'exposition A la table des mousquetaires, à découvrir au château de Vincennes
du 24 avril au 10 juillet 2024.
Films et romans nous laissent penser que la vie des mousquetaires était épique
et romanesque. Ces histoires inventées nous donnent parfois une fausse idée du
quotidien des militaires du roi, et des personnes ayant vécu à cette période.
Pour en savoir plus sur le Grand Siècle, et plus précisément sur l'art de la
table, et l'art de l'habillement au XVIIe siècle, les mousquetaires nous
invitent à leur table, pour parler Histoire et coutumes.
Le château de Vincennes présente une exposition inédite, qui promet d'être
passionnante. Du 24 avril au 10 juillet 2024, découvrez A la table des
mousquetaires.
L'ancienne demeure royale a pu accueillir, par le passé, le véritable
D'Artagnan, chargé d'escorter et de protéger Nicolas Fouquet, ou le jeune Louis
XIV. C'est dans son passé que le monument a trouvé l'inspiration pour cette
exposition. Dans une scénographie théâtralisée, on découvre cinq tables, et une
douzaine de costumes d'époque, notamment reconstitués grâce à différents
tableaux.
Chaque table nous dévoile les habitudes gastronomiques et sociales de la société
du XVIIe siècle. Table d'auberge, dîner gascon des mousquetaires, table
royale... Chaque partie a ses spécificités, ses mets, ses ustensiles plus ou
moins précieux, en fonction de ceux qui sont conviés à manger. Les travailleurs
qui déjeunent à l'auberge n'utiliseront pas la même argenterie, ne dégusteront
pas les mêmes vins que Milady !
La nourriture, les costumes permettent de raconter autrement cette page de
l'Histoire de France, de mieux connaître les différentes classes sociales.
Une exposition qui devrait passionner les amateurs d'Histoire et de gastronomie
française !
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition
inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme,
une invention moderne, un héritage antique".
Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de
Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie
Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les
arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un
héritage antique.
En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père
des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition
sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le
musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers
différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie...
Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors
exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique.
Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se
retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les
artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les
gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout
en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays.
C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer
les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les
écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à
cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son
inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et
des trouvailles archéologiques.
L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces
Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était
un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de
1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir
ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs.
Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et
l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se
mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition
très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la
première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre
français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course
de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896.
Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne
dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition
"Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024.
Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de
Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ?
Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport,
politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des
millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver
leur honneur, rabaisser leur ennemi.
Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et
multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du
combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée.
Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop
culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la
fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles :
selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou
proscrits.
L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces
différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de
son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle.
Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs :
escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses.
Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en
mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les
pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette
expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en
situation, avec un décor immersif et théâtralisé.
Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire,
hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les
pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours
autant.
La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet
attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes
s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture
se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les
duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et
ces styles.
Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui
devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de
l'art. À voir dès le printemps 2024.