Jean Hélion : le pionnier de l'abstraction se dévoile dans une exposition rétrospective au MAM

Description

Découvrez Jean Hélion, le peintre français qui a importé l'art abstrait aux Etats-Unis, dans une exposition organisée au Musée d'Art Moderne du 22 mars au 18 août 2024.

Il est méconnu du grand public, à tort : l'œuvre et la carrière de Jean Hélion ont considérablement marqué le monde de l'art du XXe siècle. Pour redonner ses lettres de noblesse à ce peintre oublié, le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris organise une grande rétrospective éponyme, à découvrir du 22 mars au 18 août 2024.

Cette exposition rassemble plus de 150 œuvres réalisées par Jean Hélion, dont 103 peintures, 50 dessins, différents carnets et documents d'archives, rarement montrés au public. Le parcours chronologique nous offre une vue d'ensemble de la carrière de cet artiste, de ses débuts durant l'entre-deux-guerres à ses plus grands succès, en passant par ses différentes expérimentations artistiques.

Dès les années 1920, Jean Hélion se tourne vers l'abstraction, tout jeune mouvement artistique qu'il découvre aux côtés de Piet Mondrian ou de Fernand Léger. Le peintre français part vivre aux Etats-Unis dans les années 1930, et apporte dans ses bagages cet art abstrait qui ne tarde pas à se développer outre-Atlantique.

Cubisme, figuration et natures mortes abstractives : le style de Jean Hélion évolue au fil des décennies. Son art est poussé jusqu'à l'extrême, à tel point que les professionnels de l'art finissent par lui tourner le dos. Peu découragé par ce boycott, Jean Hélion persiste dans son art, cherchant à représenter sa vérité, sa vision du monde.

Très populaire de son vivant, apprécié de ses confrères, Jean Hélion est aujourd'hui tombé dans l'oubli. Et si nous allions le redécouvrir au musée d'Art Moderne ?

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée « We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024. Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire, Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies, des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985, l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam. Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes. Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut jusqu'en bas. Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche d’infini. Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
Découvrez l'œuvre magistrale de Matisse, l'Atelier rouge, dans une exposition inédite en France, présentée à la Fondation Louis Vuitton du 7 mai au 9 septembre 2024. C'est une œuvre exceptionnelle, qui a marqué des générations d'artistes : L'Atelier rouge, tableau d'Henri Matisse, est au cœur de l'exposition présentée à la Fondation Louis Vuitton, du 7 mai au 9 septembre 2024. Cette exposition décrypte les secrets de cette peinture originale, les raisons de son succès, son histoire, et le contexte artistique qui l'entoure. En 1911, dans son atelier d'Issy-les-Moulineaux, Henri Matisse peint son espace de travail sur une toile. Un sujet banal pour un artiste... Jusqu'à ce que Matisse y ajoute sa touche personnelle : une couche de peinture rouge, qui recouvre tout le sujet. Un détail qui a marqué toute la peinture moderne. Pour cette exposition, la Fondation Louis Vuitton expose donc le célèbre tableau, habituellement conservé au MoMa de New York. L'exposition dévoile également les six peintures, les trois sculptures et la céramique qui sont représentées dans le tableau, et qui étaient présentes dans l'atelier du peintre au moment de la réalisation de cet Atelier rouge. Ainsi, toutes ces œuvres sont réunies, comme du temps de l'artiste. Le parcours de l'exposition met également en lumière différentes œuvres liées à ce tableau, de nombreuses photographies et des documents d'archives, qui racontent le contexte de création de la peinture, son histoire de son origine à son achat par le MoMa, et son influence sur la peinture moderne, et sur des artistes tels que Mark Rothko ou Ellsworth Kelly. Un film explique, en fin de parcours, les dernières découvertes scientifiques liées au processus de réalisation du tableau de Matisse. Dans l'exposition, un dialogue particulier a été créé entre l'Atelier rouge, et le Grand Intérieur rouge, réalisé 40 ans plus tard. Les deux peintures de Matisse symbolisent l'univers de l'artiste, son évolution, l'impact que les grands événements du XXe siècle ont pu avoir sur le peintre et son œuvre. Venez à la Fondation Louis Vuitton admirer l'un des tableaux les plus importants de la carrière d'Henri Matisse.
"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris ! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au 15 juin 2024. Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires, Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La Plagne...). Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable", conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi, ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...). Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet « Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le monde. Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26 avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort de vous en priver ! Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et engagement environnemental. Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin 2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement. Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où le travail en écosystème occupe une place centrale. Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres, s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui, partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ; elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement au public. Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés d'art, d'innovation et d'engagement écologique ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre 2024. Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses passions... Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques et privées, sont réunies pour cette exposition inédite. Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux, leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré, analysé, étudié chaque aspect de cet animal. On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault, le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance. Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire, Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !
Nouvelle exposition gratuite à découvrir dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon à Paris, du 7 mai au 1er juin 2024. Une fois encore, le centre culturel nippon nous invite à partir en voyage grâce aux photographies de Junji Takasago, qui rendent hommage à la beauté de la nature ! La Maison de la culture du Japon à Paris continue de nous faire voyager grâce à sa belle et riche programmation. Outre les ateliers, les spectacles ou encore les projections, le centre culturel nippon organise tout au long de l’année une série d’expositions payantes ou même souvent accessibles gratuitement. A découvrir au premier niveau de l’établissement implanté à deux pas du pont de Bir-Hakeim et de la tour Eiffel, certaines installations sont également proposées au rez-de-chaussée, dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon. C’est le cas de la prochaine exposition du centre. Intitulée « Reflets de la nature », cette installation est une invitation au voyage, à la découverte de la belle et riche nature, grâce aux sublimes photographies de Junji Takasago. C’est avec la photographie sous-marine que Junji Takasago débute sa carrière. Il rencontre alors le célèbre apnéiste Jacques Mayol, qui a inspiré le film "Le Grand Bleu" de Luc Besson. Junji Takasago immortalisera d’ailleurs des moments de Jacques Mayol en contact avec les animaux. Son expérience se poursuit avec plusieurs séjours effectués à Hawaï et aux États-Unis en quête des arcs-en-ciel de nuit. Amoureux de la nature qui nous entoure et des animaux qui peuplent notre planète, Junji Takasago est devenu un photographe reconnu et très influent dans le domaine. Le photographe, qui a visité plus de cent pays, publié une trentaine de recueils de photos et d’essais, exposé ses clichés à de nombreuses reprises, est également un artiste engagé, membre fondateur de l’association Oceanic Wildlife Society (OWS). Preuve de sa renommée, Junji Takasago a reçu en 2022 le prestigieux prix « Wildlife Photographer of the Year » dans la catégorie « Art de la nature ». Ce printemps, le photographe Junji Takasago expose donc ses fascinants clichés dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon pendant environ quatre semaines, du 7 mai au 1er juin 2024. Ne manquez pas l’occasion d’admirer la beauté de la nature et de notre belle planète grâce aux clichés de Junji Takasago ! A noter que le photographe sera présent à la Maison de la culture du Japon lors d’une conférence exclusive (gratuite sur réservation) prévue le 14 mai. Il présentera à cette occasion quelques-uns de ses clichés les plus célèbres et partagera plusieurs anecdotes.
Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ». Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique. La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon, ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois. De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de visite. Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années, inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres. Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Que deviennent les bâtiments olympiques une fois les Jeux terminés ? La Maison de la culture du Japon nous propose un voyage sur les traces de ces infrastructures monumentales, avec l'exposition Kenzo Tange - Kengo Kuma, l'héritage des Jeux de Tokyo, à voir du 2 mai au 29 juin 2024. Pendant plusieurs semaines, les villes-hôtes des Jeux olympiques et paralympiques vivent au rythme du sport, des célébrations, des touristes venus en masse encourager leurs athlètes. Mais lorsque toutes les médailles ont été distribuées, que reste-t-il de ces si grands événements ? La Maison de la culture du Japon met en lumière le travail des architectes Kenzo Tange et Kengo Kuma, les deux maîtres derrière les infrastructures sportives construites pour les Jeux olympiques de Tokyo de 1964 et 2021. L'exposition "L'héritage des Jeux de Tokyo" révèle les secrets de ces grands bâtiments, qui commémorent les Jeux et accueillent les sportifs de demain. Cette exposition, présentée du 2 mai au 29 juin 2024, mêle photographies, vidéo et maquettes. On découvre ainsi ces infrastructures si spécifiques, qui ont influencé l'architecture japonaise moderne, et on donné un nouveau visage aux quartiers qu'elles ornent. La Maison de la culture du Japon évoque également les liens que les deux architectes entretiennent avec la France : les relations avec Le Corbusier et Charlotte Perriand, le projet de Kengo Kuma pour la gare Saint-Denis Pleyel sont illustrés à travers de nombreuses images, maquettes, photos et lettres. À la veille des Jeux de Paris 2024, venez admirer le travail des deux architectes qui ont œuvré pour les Jeux de Tokyo, et dont l'héritage est aujourd'hui encore admiré. Une exposition gratuite à découvrir cet été à la Maison de la culture du Japon !