Frank Truong, le drôle de mentaliste, bouscule les règles du mentalisme en
rendant la discipline drôle et inattendue.
Vous serez tour à tour bluffés, étonnés, amusés, agacés mais sans doute séduits
par cette performance de mentalisme revisitée avec audace et humour par un
artiste hors pair. Un show de mentalisme qui casse les codes de la discipline
avec une omniprésence de l'humour et du second degré.
Description
À l’occasion de l’exposition Vidéo Club le FRAC vous invite à un échange entre l’artiste Émilie Pierson et Jeanne Mathas, commissaire d’exposition, critique d’art et chercheuse indépendante.
- Émilie Pierson
Née d’une mère bulgare et d’un père français, Émilie Pierson questionne l’identité et l’héritage bulgare.
À travers les images, objets, sculptures et récits, elle s’intéresse aux rituels et traditions, au passé politique communiste, à la culture populaire et à la religion orthodoxe. Elle observe leurs traces, mutations et cohabitations dans notre société contemporaine. Elle opère des allers-retours entre le passé et le présent, entre l’histoire intime et collective, entre la France et la Bulgarie. Émilie Pierson vit et travaille à Metz. Elle représente sa ville pour le Prix d’Art Robert Schuman 2020 au Cercle Cité au Luxembourg. La même année, elle est sélectionnée pour la 69e édition Jeune Création. En juin 2020, le Frac Lorraine l’invite pour une résidence digitale, Et Maintenant. En mars 2021, elle réalise une oeuvre pour l’exposition Effet immédiat au Castel Coucou de Forbach. En 2023, elle devient artiste émergente de Bliida.
- Jeanne Mathas
Jeanne Mathas est historienne de l’art spécialisée en Art du XXe siècle et Art contemporain. Elle sort diplômée de l’École du Louvre, après un échange à la Columbia University in the City of New York. En 2022, elle obtient un MBA international en management culturel. Son dernier mémoire de recherche portait sur la parité dans les acquisitions de FRAC entre 2009 et 2022. Elle est aujourd’hui critique d’art et commissaire d’exposition indépendante. Ses recherches portent, entre autres, sur le dépassement de l’essentialisme dans l’art écoféministe américain. Elle s’intéresse également à la permanence des formes, à la superposition des couches de l’histoire, aux analogies ainsi qu’aux conséquences du refus chez les travailleur·euses de l’art. Elle est la co-fondatrice de l’association Nous sommes au regret.
- Émilie Pierson
Née d’une mère bulgare et d’un père français, Émilie Pierson questionne l’identité et l’héritage bulgare.
À travers les images, objets, sculptures et récits, elle s’intéresse aux rituels et traditions, au passé politique communiste, à la culture populaire et à la religion orthodoxe. Elle observe leurs traces, mutations et cohabitations dans notre société contemporaine. Elle opère des allers-retours entre le passé et le présent, entre l’histoire intime et collective, entre la France et la Bulgarie. Émilie Pierson vit et travaille à Metz. Elle représente sa ville pour le Prix d’Art Robert Schuman 2020 au Cercle Cité au Luxembourg. La même année, elle est sélectionnée pour la 69e édition Jeune Création. En juin 2020, le Frac Lorraine l’invite pour une résidence digitale, Et Maintenant. En mars 2021, elle réalise une oeuvre pour l’exposition Effet immédiat au Castel Coucou de Forbach. En 2023, elle devient artiste émergente de Bliida.
- Jeanne Mathas
Jeanne Mathas est historienne de l’art spécialisée en Art du XXe siècle et Art contemporain. Elle sort diplômée de l’École du Louvre, après un échange à la Columbia University in the City of New York. En 2022, elle obtient un MBA international en management culturel. Son dernier mémoire de recherche portait sur la parité dans les acquisitions de FRAC entre 2009 et 2022. Elle est aujourd’hui critique d’art et commissaire d’exposition indépendante. Ses recherches portent, entre autres, sur le dépassement de l’essentialisme dans l’art écoféministe américain. Elle s’intéresse également à la permanence des formes, à la superposition des couches de l’histoire, aux analogies ainsi qu’aux conséquences du refus chez les travailleur·euses de l’art. Elle est la co-fondatrice de l’association Nous sommes au regret.