Initié à l’été 2021, le projet Bianco Ordinario d’Hélène Bellenger prend racine
dans les carrières de marbre de Carrare, en Italie. Sculptées depuis des siècles
pour la qualité de leur marbre blanc, ces carrières sont aujourd’hui
surexploitées pour l’utilisation de la poudre de marbre, un carbonate de calcium
à l’état pur. Utilisée notamment dans la composition du dentifrice, du
maquillage, du papier ou des produits d’entretien, la poudre de marbre vient
ainsi se nicher dans l’histoire du blanchiment et de la blanchité de nos
sociétés occidentales contemporaines.
Hélène Bellenger a initié une collection de produits de consommation à imprimer
directement sur le verso en carton. À la fois fragiles, précieuses, uniques mais
aussi éphémères et jetables, ces petites images, dont la forme varie selon les
produits, proposent ainsi une typologie des formes industrielles, tout en
présentant une sélection d’images de ces paysages modelés par l’exploitation
intensive du marbre de Carrare.
Publié par : Ville de Marseille
Solaris
Description
Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran.
Avec des œuvres de Richard Baquié, Io Burgard, Richard Deacon, Regina Demina, Monique Deregibus, Clarisse Hahn, Jeppe Hein, Jean-Baptiste Janisset, Théo Jossien, Peter Klasen, Ugo Rondinone, Mika Rottenberg, Ugo Schiavi, Michel Verjux…
Le Frac mettra à l’honneur dans le cadre des dix ans de son bâtiment un ensemble d’œuvres de sa collection rendant hommage à l’architecture de Kengo Kuma.
Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran.
Avec des œuvres de Richard Baquié, Io Burgard, Richard Deacon, Regina Demina, Monique Deregibus, Clarisse Hahn, Jeppe Hein, Jean-Baptiste Janisset, Théo Jossien, Peter Klasen, Ugo Rondinone, Mika Rottenberg, Ugo Schiavi, Michel Verjux…
Le Frac mettra à l’honneur dans le cadre des dix ans de son bâtiment un ensemble d’œuvres de sa collection rendant hommage à l’architecture de Kengo Kuma.
Cette exposition s’appuie sur le roman de science-fiction Solaris écrit en 1961 par Stanislas Lem, et le film éponyme d’Andrei Tarkovski, fable métaphysique et mémorielle décrivant l’expédition sur une planète lointaine de scientifiques, intrigués par les phénomènes étranges que semble y susciter un vaste océan protoplasmique et protéiforme. Cette masse mystérieuse se comporte en effet comme un cerveau géant capable d’imprimer et de reproduire des entités physiques surgies de leur passé. L’architecture du bâtiment conçu par Kengo Kuma avec ses panneaux de verre en façade, ses ouvertures panoramiques, ses passerelles et ses coursives fait figure de vaisseau dans lequel se rejoue alors l’intrigue de Solaris avec des œuvres faisant écho à l’univers décrit par le roman et le film. Elles agissent comme autant de maillons d’une chaine de récit formant de possibles narrations activées par le parcours du visiteur « Solariste ». Solaris projette ainsi le Frac vers un futur imaginé par ces chercheurs et inventeurs de formes nouvelles que sont les artistes, dans cet espace d’exposition dédié, lieu de mémoire et de multiples métamorphoses.
De Io Burgard à Richard Baquié, de Ugo Schiavi à Jeppe Hein, ou encore de Peter Klasen en passant par Clarisse Hahn, à Regina Demina, cette exposition s’appuie sur un choix d’œuvres issues d’acquisitions récentes des trois dernières années mises en regard avec des œuvres historiques du fonds.
Cette exposition s’appuie sur le roman de science-fiction Solaris écrit en 1961 par Stanislas Lem, et le film éponyme d’Andrei Tarkovski, fable métaphysique et mémorielle décrivant l’expédition sur une planète lointaine de scientifiques, intrigués par les phénomènes étranges que semble y susciter un vaste océan protoplasmique et protéiforme. Cette masse mystérieuse se comporte en effet comme un cerveau géant capable d’imprimer et de reproduire des entités physiques surgies de leur passé. L’architecture du bâtiment conçu par Kengo Kuma avec ses panneaux de verre en façade, ses ouvertures panoramiques, ses passerelles et ses coursives fait figure de vaisseau dans lequel se rejoue alors l’intrigue de Solaris avec des œuvres faisant écho à l’univers décrit par le roman et le film. Elles agissent comme autant de maillons d’une chaine de récit formant de possibles narrations activées par le parcours du visiteur « Solariste ». Solaris projette ainsi le Frac vers un futur imaginé par ces chercheurs et inventeurs de formes nouvelles que sont les artistes, dans cet espace d’exposition dédié, lieu de mémoire et de multiples métamorphoses.
De Io Burgard à Richard Baquié, de Ugo Schiavi à Jeppe Hein, ou encore de Peter Klasen en passant par Clarisse Hahn, à Regina Demina, cette exposition s’appuie sur un choix d’œuvres issues d’acquisitions récentes des trois dernières années mises en regard avec des œuvres historiques du fonds.
Publié par : Ville de Marseille
Information sur la date
le dimanche de 14h à 18h.
Billets
Info:
Plein tarif : 5 €, Tarif réduit : 2,50 €.
Lieu
Organisateur
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