FNAC Marseille - La Valentine

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Solaris
25maart 2023
-
11juni 2023
Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran. Avec des œuvres de Richard Baquié, Io Burgard, Richard Deacon, Regina Demina, Monique Deregibus, Clarisse Hahn, Jeppe Hein, Jean-Baptiste Janisset, Théo Jossien, Peter Klasen, Ugo Rondinone, Mika Rottenberg, Ugo Schiavi, Michel Verjux… Le Frac mettra à l’honneur dans le cadre des dix ans de son bâtiment un ensemble d’œuvres de sa collection rendant hommage à l’architecture de Kengo Kuma. Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran. Avec des œuvres de Richard Baquié, Io Burgard, Richard Deacon, Regina Demina, Monique Deregibus, Clarisse Hahn, Jeppe Hein, Jean-Baptiste Janisset, Théo Jossien, Peter Klasen, Ugo Rondinone, Mika Rottenberg, Ugo Schiavi, Michel Verjux… Le Frac mettra à l’honneur dans le cadre des dix ans de son bâtiment un ensemble d’œuvres de sa collection rendant hommage à l’architecture de Kengo Kuma. Cette exposition s’appuie sur le roman de science-fiction Solaris écrit en 1961 par Stanislas Lem, et le film éponyme d’Andrei Tarkovski, fable métaphysique et mémorielle décrivant l’expédition sur une planète lointaine de scientifiques, intrigués par les phénomènes étranges que semble y susciter un vaste océan protoplasmique et protéiforme. Cette masse mystérieuse se comporte en effet comme un cerveau géant capable d’imprimer et de reproduire des entités physiques surgies de leur passé. L’architecture du bâtiment conçu par Kengo Kuma avec ses panneaux de verre en façade, ses ouvertures panoramiques, ses passerelles et ses coursives fait figure de vaisseau dans lequel se rejoue alors l’intrigue de Solaris avec des œuvres faisant écho à l’univers décrit par le roman et le film. Elles agissent comme autant de maillons d’une chaine de récit formant de possibles narrations activées par le parcours du visiteur « Solariste ». Solaris projette ainsi le Frac vers un futur imaginé par ces chercheurs et inventeurs de formes nouvelles que sont les artistes, dans cet espace d’exposition dédié, lieu de mémoire et de multiples métamorphoses. De Io Burgard à Richard Baquié, de Ugo Schiavi à Jeppe Hein, ou encore de Peter Klasen en passant par Clarisse Hahn, à Regina Demina, cette exposition s’appuie sur un choix d’œuvres issues d’acquisitions récentes des trois dernières années mises en regard avec des œuvres historiques du fonds. Cette exposition s’appuie sur le roman de science-fiction Solaris écrit en 1961 par Stanislas Lem, et le film éponyme d’Andrei Tarkovski, fable métaphysique et mémorielle décrivant l’expédition sur une planète lointaine de scientifiques, intrigués par les phénomènes étranges que semble y susciter un vaste océan protoplasmique et protéiforme. Cette masse mystérieuse se comporte en effet comme un cerveau géant capable d’imprimer et de reproduire des entités physiques surgies de leur passé. L’architecture du bâtiment conçu par Kengo Kuma avec ses panneaux de verre en façade, ses ouvertures panoramiques, ses passerelles et ses coursives fait figure de vaisseau dans lequel se rejoue alors l’intrigue de Solaris avec des œuvres faisant écho à l’univers décrit par le roman et le film. Elles agissent comme autant de maillons d’une chaine de récit formant de possibles narrations activées par le parcours du visiteur « Solariste ». Solaris projette ainsi le Frac vers un futur imaginé par ces chercheurs et inventeurs de formes nouvelles que sont les artistes, dans cet espace d’exposition dédié, lieu de mémoire et de multiples métamorphoses. De Io Burgard à Richard Baquié, de Ugo Schiavi à Jeppe Hein, ou encore de Peter Klasen en passant par Clarisse Hahn, à Regina Demina, cette exposition s’appuie sur un choix d’œuvres issues d’acquisitions récentes des trois dernières années mises en regard avec des œuvres historiques du fonds. Publié par : Ville de Marseille
Le Frac invite Liv Jourdan et Mathis Pettenati, récemment diplômés de la Villa Arson, à investir son plateau expérimentations. Chacun des deux artistes, dans la singularité de son écriture plastique, contribue à une installation réalisée à quatre mains pour cet espace. Il est question du rapport au vivant et à ses manifestations, au travers d’une installation qui sollicitera différentes formes de perception sensible, qu’elle soit d’ordre visuelle, olfactive ou sonore. Liv Jourdan, née en 1988, vit et travaille à Nice. Diplômée de la Villa Arson en 2021, elle a également suivi un parcours en psychologie clinique et pratique le théâtre. Ses recherches pluridisciplinaires l’amènent à aborder la peinture dans son champ élargi, à travers une fluidité sensorielle et une esthétique des lisières aux confins des arts sonores, de l’olfaction et de la poésie. Engagée dans les nouveaux récits de l’anthropocène, elle explore les relations entre élans ornementaux et psychologie du lien, entre affects et mondes du vivant. « Je m’inspire de recherches sur les symbioses, les mutualismes et les parasitages pour donner forme à des milieux ornementaux qui touchent les différents sens. Les dynamiques ornementales, hybrides entre figure et abstraction, m’évoquent des phénomènes d’énergies, d’échanges, de liens qui sont au cœur du vivant, des relations entre humain.e.s et non humain.e.s. Ce sont ces strates d’interconnexion qui m’intéressent » Liv Jourdan. Né en 1997 à Toulouse, Mathis Pettenati vit et travaille à Bruxelles. Issu d’une pratique de dessin et d’impression, il a commencé à peindre à la fin de son cursus à la Villa Arson dont il est diplômé depuis 2021. Il est lauréat du prix de la Francis bacon MB Art Foundation 2021. Sa peinture, qu’on pourrait aujourd’hui qualifier de « painterly painting » se déploie sur grands formats et en série. Habités par des motifs végétaux difficilement identifiables, les tableaux de Mathis Pettenati se construisent spontanément dans l’atelier en suivant des règles énoncées par l’artiste. « Il y a beaucoup de formes organiques dans mes travaux et j’aime bien me dire que le cycle de la peinture et le cycle du vivant sont mis en parallèle. Ça commence par une idée qui germe, qui peu à peu se répand sur la toile, fleurit puis se retrouve infestée de champignons. C’est le moment de passer à un autre format. Il y a aussi quelque chose d’aliénant dans le fait de peindre les mêmes images « en boucle ». J’oublie presque le sujet du tableau à force de le répéter. » Extrait d’un entretien entre l’artiste et Vittorio Parisi, commissaire de l’exposition Timeline of a Fruit Puddle (Villa Arson 2022) ». Publié par : Ville de Marseille
Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran. En partenariat avec le Cairn Centre d’art, Digne-les-Bains. Avec le soutien de Fluxus Art Projects et de Château Bonisson. Le Frac ouvre son quarantième anniversaire avec une exposition consacrée à un artiste majeur de la scène artistique internationale. Hamish Fulton, artiste marcheur, développe depuis près de cinquante ans une œuvre engagée en prise avec les grands enjeux et défis environnementaux que nos sociétés doivent relever aujourd’hui. Depuis le début des années 1970, cet artiste britannique, parcourt le monde à pied. Il a réalisé plusieurs centaines de marches sur des milliers de kilomètres, qui constituent à elles seules l’ensemble de son œuvre. Ces expériences artistiques solitaires intègrent une diversité de pratiques qui « tentent » de traduire l’expérience de ces marches : photographies, textes, photos-textes, dessins, peintures murales, livres d’artiste, lectures publiques… Son travail est présent dans de nombreuses collections privées et publiques et présenté sur la scène internationale depuis plus de quarante ans. Hamish Fulton ne cherche pas à transformer la nature mais à montrer que c’est la nature qui vous transforme : marcher est pour lui un acte militant, politique. Dans une démarche humaniste, sa pratique engagée qui s’est élargie à des pratiques de marches collectives, nous interpelle sur nos liens d’interdépendance avec la nature et sur notre modèle de société productiviste. Il ne se revendique ni comme artiste du Land Art, ni comme performer ou poète, « Souvent, on me considère comme un sculpteur ou comme un artiste du Land Art. Je ne suis ni l’un ni l’autre. Je suis un artiste qui marche. Je ne travaille pas avec un matériau particulier. Travailler avec un seul élément me paraît douteux. Je n’en privilégie aucun, je suis libre d’associer les médiums qui me plaisent, que ce soit du verre, du bois, de la photo, de la vidéo ». Pour son projet au Frac qui constitue la première grande exposition consacrée à cet artiste depuis plus de 10 ans, Hamish Fulton a réalisé une marche de 21 jours, du 1er au 21 juin 2022 dans le parc national du Mercantour situé à l’Est de Digne-les-Bains en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, au départ de Barcelonnette. Les œuvres résultant de cette marche – dessins et photographies notamment – entreront en résonance avec un ensemble de peintures murales de grands formats produites in situ, de photos-textes encadrées, de pièces en bois avec textes manuscrits… L’ensemble se déploiera dans l’espace monumental du plateau explorations en jouant des rapports d’échelle, offrant ainsi au spectateur, au gré de ses déplacements, une expérience physique et mentale inédite – qu’il pénètre le paysage, suive la ligne d’horizon, ou soit face à des paysages miniatures stylisés par des éléments en bois recouverts de textes manuscrits. Cette mise en relation des marches effectuées dessinera ainsi une traversée des cours d’eau, des côtes qu’il aura longées, des routes et des sentiers parcourus et des massifs franchis de 1971 à 2022, à travers le monde. Elle se prolongera à 140 km de là, à Digne-les-Bains, où le Cairn Centre d’art du Cairn présentera un ensemble d’œuvres dont plusieurs évoqueront la situation politique du Tibet, non loin de la résidence-musée de l’écrivaine et exploratrice Alexandra David Néel, qui fut la première femme européenne à pénétrer au Tibet. Au Cairn Centre d’art, Digne-les-Bains : Vernissage de l’exposition Hamish Fulton samedi 25 mars à 12h. Exposition du 1er avril au 25 juin 2023. Publié par : Ville de Marseille
Pour les quarante ans du Frac, et les dix ans de son bâtiment, le Frac ouvre ses portes en grand ! Vernissage : Vendredi 24 mars 2023 18:30-22:00 Week-end d’ouverture – Entrée gratuite samedi 25 et dimanche 26 mars Expositions au Frac Hamish Fulton, A Walking Artist Exposition : Du 25 mars au 29 octobre Frac – plateau explorations Vernissage vendredi 24 mars de 18h30 à 22h00. Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran. En partenariat avec le Cairn Centre d’art, Digne-les-Bains. Avec le soutien du British Council et de Fluxus Art Projects. Dans le cadre de son 40e anniversaire, le Frac reçoit le soutien de la Fondation Galeries Lafayette et de Château Bonisson. Le Frac ouvre son quarantième anniversaire avec une exposition consacrée à un artiste majeur de la scène artistique internationale. Hamish Fulton, artiste marcheur, développe depuis près de cinquante ans une œuvre engagée en prise avec les grands enjeux et défis environnementaux que nos sociétés doivent relever aujourd’hui. Solaris, une exposition autour de la collection du Frac Une exposition autour de la collection du Frac Exposition : Du 25 mars au 11 juin Frac – plateau perspectives Vernissage vendredi 24 mars de 18h30 à 22h00. Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran. Avec des œuvres de Richard Baquié, Io Burgard, Richard Deacon, Régina Demina, Monique Deregibus, Clarisse Hahn, Jeppe Hein, Jean-Baptiste Janisset, Théo Jossien, Peter Klasen, Evariste Richer, Ugo Rondinone, Mika Rottenberg et Jon Kessler, Ugo Schiavi, Michel Verjux. Et une pièce sonore de Loïse Bulot, produite en partenariat avec le GMEM – Centre national de création musicale. Dans le cadre de son 40e anniversaire, le Frac reçoit le soutien de la Fondation Galeries Lafayette et de Château Bonisson. Le Frac met à l’honneur dans le cadre des dix ans de son bâtiment un ensemble d’œuvres de sa collection rendant hommage à l’architecture de Kengo Kuma. Avec ses panneaux de verre en façade, ses ouvertures panoramiques, ses passerelles et ses coursives, le bâtiment du Frac fait figure de vaisseau dans lequel se rejoue alors l’intrigue de Solaris avec des œuvres faisant écho à l’univers décrit par le roman de science-fiction Solaris écrit en 1961 par Stanislas Lem, et le film éponyme d’Andrei Tarkovski. Liv Jourdan et Mathis Pettenati, The Third Garden Exposition : Du 25 mars au 11 juin Frac – plateau expérimentations Vernissage vendredi 24 mars de 18h30 à 22h00. Commissaire de l’exposition Muriel Enjalran. En partenariat avec la Villa Arson Nice. Dans le cadre de son 40e anniversaire, le Frac reçoit le soutien de la Fondation Galeries Lafayette et de Château Bonisson. Le Frac invite Liv Jourdan et Mathis Pettenati, récemment diplômés de la Villa Arson, à investir son plateau expérimentations. Publié par : Ville de Marseille