Seth se la joue

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Street-artist français incontournable, Seth présente ses œuvres lors d’une exposition poétique au Musée en herbe de Paris. Jeux pour enfants, jeux de société et jeux de piste : un cadre ludique qui plonge dans l’univers de l’artiste.

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Événements suggérés

Sortez les bougies, le musée d'Orsay célèbre un anniversaire très spécial ! Pour marquer les 150 ans de l'impressionnisme, et en parallèle de l'exposition dédiée, le musée organise une Curieuse nocturne le 16 mai 2024. Le musée d'Orsay détient la plus grande collection d'œuvres impressionnistes et post-impressionnistes au monde. Forcément, l'institution culturelle parisienne ne pouvait pas passer à côté de l'anniversaire de ce mouvement artistique : en 2024, nous fêtons les 150 ans de l'impressionnisme. Pour l'occasion, une grande exposition est organisée au musée. Mais pour un tel anniversaire, une simple exposition ne suffit pas. Une véritable fête s'impose ! Ainsi, le musée organise une Curieuse nocturne, le jeudi 16 mai 2024, à partir de 18h30. Le temps d'une soirée, le musée d'Orsay se transforme en salle de spectacle, accueillant performances artistiques immersives et moments musicaux, animés par divers artistes contemporains. Les jeunes créateurs s'inspirent des artistes exposés dans les collections du musée, pour créer un dialogue intergénérationnel qui nous offre un regard nouveau sur des chefs-d'œuvre que l'on pensait connaître par cœur. Ce jeudi soir, la Nef du musée d'Orsay accueille ainsi plusieurs groupes et artistes. L'ambiance sera assurée par la troupe de danse et d'art performatif Ensemble /K/inêtikos, mais pas que ! Différents artistes sont invités pour cette soirée culturelle exceptionnelle, qui nous donne l'occasion de profiter de cette institution incontournable d'une autre manière. Joignez-vous à la fête, et célébrez l'impressionnisme lors de la Curieuse nocturne du musée d'Orsay, en mai.
L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024. L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux. À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème & Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem et Niceaunties. Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives, performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces soirées au coeur de rêves artificiels.
L'exposition Retour à Venise avec Henri Landier vous plonge dans l'univers coloré et captivant de ce célèbre peintre humaniste. Découvrez une soixantaine d'oeuvres, mêlant aquarelles, huiles sur toile, sanguines et gravures, inspirées par la beauté de Venise. Depuis 1987, Henri Landier capture la vie vénitienne avec des couleurs vives et des perspectives uniques. Laissez-vous transporter à travers les canaux et les ruelles de la Sérénissime, et vivez une expérience artistique inoubliable.
Se présenter 15 minutes avant l'horaire de la visite. Lors de la réservation le nom de chaque participant, un numéro de tél et une adresse mail doivent être saisisSe présenter 15 mn avant l’horaire de la visite, munis d’une pièce d’identitéTarifs réduits : justificatifs à présenter obligatoirement le jour de la visite.Visite accessible aux enfants à partir de 10 ans.Merci de bien renseigner votre numéro de téléphone dans la fiche client Visite accessible aux enfants à partir de 10 ans L’hôtel Potocki tel qu’il se présente aujourd’hui est le fruit de plusieurs campagnes de construction et d’agrandissement. Un premier hôtel particulier fut construit en 1857. Le comte Potocki le fit remanier et agrandir de 1878 à 1884 par Jules Reboul. A la mort de son fils, l’hôtel fut mis en vente et acquis en 1923 par la CCI Paris Ile-de-France. Paul Viard et Marcel Dastugue construisirent pour celle-ci deux ailes supplémentaires, de style Louis XIV pour s’harmoniser avec le reste de l’hôtel, de 1925 à 1927. La CCI Paris Ile-de-France fit également réaménager une salle des séances, une salle des fêtes et une salle à manger par Jacques-Émile Ruhlmann. Une partie des façades, toitures, et une partie des décors ont été classés monuments historiques en 1991.Durée : 2 heures Tarif réduit :-jeunes de 10 à 18 ans (visite non adaptée aux moins de 10 ans) ;-jeunes de 18 à 25 ans résidents dans l'un des pays de l'Espace Economique Européen ;-enseignants titulaires du Pass Éducation en cours de validité et portant le cachet de l’Etablissement ;-demandeurs d'emploi et aux bénéficiaires des minima sociaux (justificatif daté de moins d'un an) ;-visiteurs handicapés et à leur accompagnateur ;-visiteurs malentendants ;-porteurs de la carte du ministère de la culture ;-conférenciers et guides
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement" du 15 mai au 17 novembre 2024. Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art, grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur sport à travers les collections du Petit Palais. Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures, objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection. Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres. On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres détails. L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué, mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées. Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et se dépenser avec les jeux et sports de leur temps. On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place du corps dans cette discipline. Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au Petit Palais.
L’art pariétal sous un nouveau jour ! En présentant les relevés des œuvres découvertes sur les parois des grottes dès le début du XXe siècle, l’exposition au Musée de l’Homme mêle inspirations artistiques et explorations scientifiques.
Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre 2024. Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses passions... Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques et privées, sont réunies pour cette exposition inédite. Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux, leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré, analysé, étudié chaque aspect de cet animal. On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault, le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance. Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire, Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !
Depuis la nuit des temps, la course est utilisée pour des questions pratiques, et notamment comme porteuse de message, comme l'évoque le Musée de la Poste dans sa nouvelle exposition, qui aura lieu pendant les Jeux Olympiques ! Le musée de la Poste se met aux couleurs des Jeux Olympiques de Paris 2024, avec une exposition autour de la course et du marathon, du 15 mai au 15 septembre 2024. Le marathon, en tant que discipline olympique, a été inventé par l’académicien Michel Breal, ami de Pierre de Coubertin, pour les premiers Jeux Olympiques modernes à Athènes en 1896. Elle s’inspire de la légende du coureur de Marathon, l'ancêtre du facteur, en 490 av. J.-C !
Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription au vernissage obligatoire. Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste. Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques). SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique. L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle dans les disciplines créatives. L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y faire un tour ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Nouvelle exposition gratuite de street art à Fluctuart ! Ce printemps, la fameuse péniche parisienne convie 13 artistes issus la scène émergente polonaise du graffiti et du street art pour nous offrir une plongée dans l’histoire de l'art urbain en Europe de l'Est. C’est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024. Après avoir consacré des expositions à Seth, Nasty ou encore à Tania Mouraud, Fluctuart nous emmène en voyage sur les traces de la scène émergente polonaise du graffiti et du street art. Intitulée « Habitus de l’Est », cette nouvelle installation gratuite, à voir sur la fameuse péniche parisienne dédiée à l’art urbain, est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024. Au total, Fluctuart convie 13 artistes d’Europe de l’Est, parmi lesquels Finer et son graffiti classique, Sepe et ses œuvres figuratives, Sicoer et son style faisant honneur à la typographie, Natalia Magalska et ses créations engagées ou encore Mariusz M-City Waras qui propose pour l’occasion une installation unique réalisée in situ. Toutes et tous en profiteront pour dévoiler à Paris leurs œuvres urbaines inédites. L’occasion pour les amateurs d’art urbain de plonger dans l’histoire du street art en Pologne et de découvrir toute la diversité et la richesse des contenus stylistiques et thématiques de ces artistes originaires d’Europe de l’Est. Rendez-vous donc à Fluctuart du 16 mai au 30 juin 2024 pour admirer gratuitement les œuvres proposées lors de cette exposition, véritable vitrine collective de la création urbaine en Pologne ! Notez qu’un vernissage, ouvert à tous, est prévu le mercredi 15 mai à partir de 18h.