Exposition photos de Jean-Marie Huet et Alexandra Daoust
Gauthier d'Ydewalle. Noosphère
Description
Gauthier d’Ydewalle retranscrit, interpre?te et synthe?tise par l’image des livres qui l’ont touche? en les immergeant dans une composition ou? les couleurs, les formes, les teintes, la composition ont pour vocation d’exprimer la nature profonde de l’œuvre litte?raire, philosophique ou poe?tique qu’ils contiennent.
Photographie
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Événements suggérés
Les élèves du cours de photographie de l’école industrielle
Thuin/Montigny-le-Tilleul en fin de cycle s’exposent au Centre culturel
Haute Sambre. A travers leurs productions vous découvrirez leurs
différents univers. Pour chacun, un travail d’une année scolaire avec
des regards personnels allant de l’infiniment petit au ras du sol aux
arbres pour redécouvrir une nature plus que jamais à préserver. Un envol
rural entre champs, villages et canopée; et enfin un regard de grand
garçon sur ses jeux d’enfance.
VERNISSAGE LE VENDREDI 14 JUIN A 19H
EXPO du 14 au 30 JUIN 2024
au Centre culturel Haute Sambre – Rue des Nobles, 32 – 6530 THUIN.
En semaine : 9h-16h
Les Wee-Ends : 10h-18h
Entrée libre.
Infos : www.centreculturelhautesambre.be
[http://www.centreculturelhautesambre.be/events/]
Pour la première exposition du cycle "Carte blanche", le BPS22 a sollicité le
critique d’art et commissaire d’exposition Claude Lorent (Charleroi, 1943).
Celui-ci a choisi de retracer l’itinéraire pictural d'Éric Fourez (Tournai,
1946) qui s’étend de 1974 à nos jours.
Dès les années 1970, l’artiste réalise des petites peintures d’inspiration
surréaliste et littéraire dont ne subsistent que deux exemplaires, témoins d’une
influence rapidement abandonnée. Sa pratique artistique change alors rapidement.
Attiré par l’hyperréalisme à base de photographie, il s’en distingue d’emblée en
optant pour une peinture à tonalité monochrome bleue, légère et lumineuse. Ses
sujets de prédilection sont les vagues et des vues de la mer du Nord ; elles
évoquent l’ailleurs, le voyage, l’évasion. Ce sont des rochers à Ploumanach, des
autoroutes, des aéroports, des cabines de plage… et bientôt les premières traces
de pas dans le sable. En 1984, ses toiles passent au gris, puis s’estompent
légèrement et, dès 1986, le blanc s’impose. Le sujet devient trace, la
figuration devient allusive et semble parfois se dissoudre dans l’abstraction.
Pour Claude Lorent, l’itinéraire est remarquable : "Depuis, selon un processus
créatif invariable, inlassablement, résolument, Éric Fourez peint des paysages
marins fascinants, des bords de plages ravinés, creusés, modelés par le flux, le
reflux, le ressac, par la puissance ou la douceur des vagues qui vont, viennent,
se retirent et reviennent. Qui meurent sur le sable avant de remonter à
l’assaut, plus déterminées et plus vivantes que jamais.
Hymne à la vie et à la nature, images du destin, vanités autant que paysages,
ces peintures de l’espace infini et de la blancheur, silencieuses, solitaires,
évocation du passage du temps, de la fragilité des êtres et des choses, de
l’éphémère et du combat contre l’inéluctable effacement jusqu’à la disparition,
se déclinent en toutes tailles, en tous formats, invitent à regarder et
réfléchir, à vivre l’enchantement, à méditer, à prendre conscience de soi, de
notre terre à respecter et de l’univers incommensurable."
Première grande rétrospective muséale de l’artiste, l’exposition rassemblera
plus d’une cinquantaine de peintures sur toile, de formats intimes à des œuvres
de 4,2 m x 2 m, ainsi que des documents. À cette occasion, Éric Fourez rend
aussi hommage à ses amis artistes, avec des œuvres de Gabriel Belgeonne, Pierre
Courtois, Gaston De Mey, Jephan de Villiers, Patricia Dopchie, Francis
Dusépulchre, Jean-Michel François, Jack Keguenne, André Lambotte, Michel
Mineur, Baudouin Oosterlynck et Guy Vandenbranden.
Éric Fourez
Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965)
investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble
retrace son cheminement artistique des vingt-cinq dernières années.
Actif depuis le milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à
l’image (aux images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule
catégorie plastique, ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur
toile ou objets, installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à
imprimante), l’artiste évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux
origines, à la mémoire, à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à
l’héritage. Son travail n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique,
ni les préoccupations propres au champ de l'art et leur inscription dans un
système de références picturales, en réactualisant certains thèmes historiques
comme, par exemple, celui de la Vanité.
Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou Whiteboards – des toiles
peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de portraits que l’artiste
effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres d’Alain Bornain jouent
habilement sur la confusion entre une image et son support. Depuis toujours, un
même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les potentialités qu’offrent les
relations complexes que tissent la peinture et l’écriture. Tandis que certaines
toiles font la part belle à l’effacement du sujet représenté, d’autres voient
les mots et les chiffres s’entremêler, suggérant des préoccupations plus larges
qui dépassent le strict cadre de l’art. Là réside sans doute toute l’ambivalence
des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres qui peuvent aussi bien se comprendre
comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un sujet, porteurs de significations
spécifiques, que comme un exercice pictural qui consigne toutes les possibilités
plastiques offertes par la peinture.
____
Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Pour cette exposition monographique d’envergure, Alain Bornain (Genappe, 1965)
investit la salle Pierre Dupont de travaux anciens et nouveaux, l’ensemble
retrace son cheminement artistique des 25 dernières années.Actif depuis le
milieu des années 1990 et entretenant un rapport très actuel à l’image (aux
images), Alain Bornain ne s’est jamais cantonné à une seule catégorie plastique,
ni à un sujet unique. Par des moyens variés (peintures sur toile ou objets,
installations, dessins, parfois sur post-it ou papier à imprimante), l’artiste
évoque sans détours le rapport à la vie, à la mort, aux origines, à la mémoire,
à l’effacement, à la disparition, à la transmission ou à l’héritage. Son travail
n’esquive toutefois pas une dimension autobiographique, ni les préoccupations
propres au champ de l'art et leur inscription dans un système de références
picturales, en réactualisant certains thèmes historiques comme, par exemple,
celui de la Vanité.Qu’il s’agisse des séries Blackboards, Greyboards ou
Whiteboards – des toiles peintes à la manière de tableaux d'école –, ou de
portraits que l’artiste effectue au départ de photos (une nouveauté), les œuvres
d’Alain Bornain jouent habilement sur la confusion entre une image et son
support. Depuis toujours, un même procédé s’impose : celui d’explorer toutes les
potentialités qu’offrent les relations complexes que tissent la peinture et
l’écriture. Tandis que certaines toiles font la part belle à l’effacement du
sujet représenté, d’autres voient les mots et les chiffres s’entremêler,
suggérant des préoccupations plus larges qui dépassent le strict cadre de l’art.
Là réside sans doute toute l’ambivalence des œuvres d’Alain Bornain ; des œuvres
qui peuvent aussi bien se comprendre comme l’imitatio précise d’un objet ou d’un
sujet, porteurs de significations spécifiques, que comme un exercice pictural
qui consigne toutes les possibilités plastiques offertes par la
peinture.____Commissaire : Pierre-Olivier Rollin
Du 18 mai au 22
septembre, l’art contemporain s’invite au cœur du Domaine & Musée royal de
Mariemont avec son parcours « Marie’ART ». Un nouveau rendez-vous
entre nature & culture à ne pas manquer !
Pour cette
première édition, Mariemont expose sept artistes belges et
internationaux : Myriam Louyest (BE), Mieke Smet (BE),
Elparo (FR), Chloé Coomans et Catho Hensmans (BE), Daniele del
Grande (IT), Phayam Productions (FR-ES)
et Jérôme Malevez (BE). Leurs œuvres sont
des réflexions artistiques et poétiques sur les enjeux de notre société,
abordant des thèmes tels que notre rapport à la nature et à l’environnement, le
climat, l’inclusion, l’histoire et le patrimoine. Chacun de
ces artistes, s’imprègne, le temps d’une exposition éphémère, une aire du
Domaine, qu'il soit bâti, aquatique ou arboricole.
Avec Marie’ART, Mariemont offre à ces artistes
un nouveau terrain d’expression dans un lieu d’exception. Mariemont
consolide ainsi son identité de lieu à la croisée des époques et des
cultures, tout en affirmant son soutien à la création contemporaine,
à l’instar de celui donné en son temps par Raoul Warocqué. Les œuvres
d’artistes du 19e
et du début du 20e
siècles tels que
Meunier, Rousseaux, Lambeau ou Devresse, côtoient ainsi harmonieusement, dans
un même écrin de nature, celles du 21e
siècle.
Au cours de cette année scolaire 2023-2024, la Librairie Point Virgule
[https://www.librairiepointvirgule.be/], en partenariat avec la maison
d’édition L’école des loisirs [https://www.ecoledesloisirs.fr/], a invité les
classes de maternelle et de primaire d’écoles namuroises à participer à un grand
concours de création collective autour du sport et de l’amitié : « 1, 2, 3,
lisez ! ».
Mettant les livres au centre de la vie de la classe, le projet était parrainé
par l’illustrateur Ole Könnecke, dont l’album Vive le sport !
[https://www.tire-lire.be/iguana/www.main.cls?surl=search&p=*#recordId=2.781330] était
le fil rouge. Car, comme chacun le sait, dans quelques semaines se tiendront à
Paris les Jeux olympiques ! Une occasion unique de célébrer le sport à travers
les livres du catalogue de L’école des loisirs.
Le principe du concours ? Il s’agissait de lier littérature et arts plastiques
en créant une œuvre en volume mettant en scène un personnage tiré des albums
d’Ole Könnecke avec un ou plusieurs autres personnages issus d’albums, romans ou
BD emblématiques du catalogue de L’école des loisirs dans un contexte sportif.
Tout était possible !
Dix classes se sont inscrites et le concours s’est articulé en deux temps : tout
d’abord à l’échelle de la librairie Point Virgule ; ensuite, au niveau des
quatre-vingt librairies belges et françaises qui y ont participé et dont le
premier choix a été transmis au jury de l’école des loisirs.
Ce sont les dix travaux que le jury de la librairie Point Virgule – composé de
deux libraires et d’une bibliothécaire des Bibliothèques de Namur – a reçu que
nous vous proposons d’admirer. Créativité, imagination, sens esthétique,
enthousiasme, esprit d’équipe et jolie solidarité : voilà ce qui ressort
incontestablement de toutes les œuvres réalisées par des bambins de la région,
âgés de 4 à 8 ans !
Durant tous les jours d'ouverture au public de la bibliothèque de Malonne, du 2
au 18 juin
Entrée libre
Plus d'infos :
081/24 64 40
bibliotheques@ville.namur.be [bibliotheques@ville.namur.be]
Vernissage 14.06.2024 18:30
Expo TW Fotoclub 15.06 > 5.07 & 5.08 > 15.09.2024
Opening van de tentoonstelling met de werken van dit jaar. Open ma t/m vrij van
9u tot 18u, weekend van 10u tot 18u. / Expo des travaux réalisés pendant
l’année. Accessible les lundi à vendredi de 9 à 18h, le weekend de 10h à 18h.
Met werk van / avec les travaux de Anja Hess, Teo Becher, Solal Israel, Bernard
Cromphout, Véronique Crosset, Oscar Weiss, Julie Calbert, Angélique Vecray,
Marie Igea, Silvano Magnone, Valérie Griez, Myriam Clericuzio, Ian Dykmans,
Francesco Del Conte, Vincent Mourlon B
De TW Fotoclub staat open voor iedereen die reeds ervaring heeft met het
ontwikkelen van foto’s en nieuwe (of oude) technieken wil leren.
Les workshops du TW Fotoclub sont ouverts à tous ceux ayant une pratique
photographique et voulant apprendre de nouvelles techniques de tirages.
Info
Ian 0496/10 39 86
tenweyngaert.fotoclub@gmail.com
https://www.facebook.com/twfotoclub
Expo TW Fotoclub 15.06 > 5.07 & 5.08 > 15.09.2024
Opening van de tentoonstelling met de werken van dit jaar. Open ma t/m vrij van
9u tot 18u, weekend van 10u tot 18u. / Expo des travaux réalisés pendant
l’année. Accessible les lundi à vendredi de 9 à 18h, le weekend de 10h à 18h.
Met werk van / avec les travaux de Anja Hess, Teo Becher, Solal Israel, Bernard
Cromphout, Véronique Crosset, Oscar Weiss, Julie Calbert, Angélique Vecray,
Marie Igea, Silvano Magnone, Valérie Griez, Myriam Clericuzio, Ian Dykmans,
Francesco Del Conte, Vincent Mourlon B
De TW Fotoclub staat open voor iedereen die reeds ervaring heeft met het
ontwikkelen van foto’s en nieuwe (of oude) technieken wil leren.
Les workshops du TW Fotoclub sont ouverts à tous ceux ayant une pratique
photographique et voulant apprendre de nouvelles techniques de tirages.
Info
Ian 0496/10 39 86
tenweyngaert.fotoclub@gmail.com
https://www.facebook.com/twfotoclub
Au 6e étage du musée se déploie l’incroyable collection du docteur Charles
Delsemme. Véritable création en soi, cet ensemble d’œuvres et d’objets se
démarque par sa diversité et son éclectisme. Venez découvrir l’esprit curieux et
humaniste du médecin liégeois par le biais d’une sélection de pièces marquantes.
Prix : 5 € / pers. (entrée au musée comprise)
Réservation obligatoire : www.museel.be [http://www.museel.be] ou 010 47 48 41