Musée de la Photographie

Lieu

Événements à venir

Le film suit un groupe d’enfants jouant à d’anciens jeux yougoslaves dans le bâtiment. La caméra se déplace de l’extérieur vers les espaces intérieurs, le long des couloirs d’étage en étage, explorant le bâtiment avec le groupe d’enfants.   Papagalo, What’s The Time? (2022) Auteur : Ingel Vaikla Détails techniques : film 16mm transféré en video HD, 1440 x 1080, 4:3, couleur et noir/blanc, son stéréo, 7’00”
Photographe de l’ici et de l’ailleurs, Thomas Chable a parcouru quelques pays, principalement d’Afrique, en se rendant notamment au Mali, en Ethiopie, au Burkina Faso et au Maroc mais il a également posé son regard au Mexique et en France. En s’éloignant du pur documentaire, Thomas Chable voyage l’esprit ouvert, en général sans but précis, ni idée préconçue, faisant la part belle au hasard des rencontres même si la réalité est telle qu’il ne peut parfois s’en détourner. Il s’imprèg
A-t-il consciemment regardé l’objectif de l’appareil photo ? Sa conscience animale, est-elle si différente de celle d’un être humain ? C’est de cesinterrogations qu’est née la série Animal, où Ross a photographié des animaux à travers le monde entier. Retravaillant ses images, il a volontairement ôté les traces de leur environnement, livrant des portraits puissants dénués d’artifices offrant parfois un face à face déstabilisant.  
Le Musée de la Photographie accueille l’exposition, inédite en Belgique, conçue par la Fondation suisse pour la Photographie (Winterthur) à partir de la généreuse donation de Peter Knapp. Elle met en valeur les étapes majeures du parcours de Peter Knapp qui ont forgé sa personnalité créative de 1965 à 1980. L’exposition présente non seulement l’artiste, le photographe mais aussi le cadre de travail de Peter Knapp.Elle rend hommage à l’œuvre du créateur suisse et fait revivre l’amb

Événements passés

Durant divers séjours à Pyongyang et dans la campagne coréenne, c’est sans apriori, sans militantisme ni dénonciation, que le photographe français Stéphan Gladieu a posé un regard neuf sur un pays en devenir, parvenant à révéler l’individu au sein du groupe.  C’est en effet à une véritable typologie que Stéphan Gladieu s’est appliqué, croisant les hommes, les femmes et les enfants, les métiers, les fonctions, les lieux de travail comme ceux de loisirs, les figures individuelles ou les groupes, conviant à diverses grilles de lecture, dans la catégorie d’un August Sander. « Corée du Nord » de Stéphan Gladieu, c’est une Corée du Nord regardée dans les yeux, à l’exemple des regards échangés entre le photographe et les Nord-Coréens ». Commissaires : Stéphane Gladieu, Olivier Castaing et Xavier Canonne,
Le film évoque un voyage d’impressions et de sensations où les contours du monde deviennent flous. Entre anarchisme, croyance, vie quotidienne et tourisme, il nous emmène de la Pologne au Brésil. Portrait de la Vie dans différents pays, portraits de personnes à la fois amies et anonymes, le film s’enchaine comme un journal intime dont l’auteur aurait rédigé sept parties.   Earth in the Mouth (pl. Z ziemią w buzi), 20 min, Allemagne, 2020 Format de tournage : 16 mm Format de projection : DCP ou fichier numérique Mise en scène et réalisation : Ewelina Rosinska  
Adaptée aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et leurs proches, la visite guidée « inoubliable » vous plonge dans les collections permanentes et expositions temporaires du Musée de la Photographie. La visite tente de favoriser les échanges, l’expression orale, les émotions et la cognition. Le médiateur culturel amène les personnes malades à faire appel à leurs capacités de communication préservées, en privilégiant si nécessaire la communication non verbale.
Dans le cadre du projet « Trains & Tracks », Europalia a invite? Melanie De Biasio a? cre?er une pie?ce musicale e?voquant l’immigration italienne au sie?cle passe?. Empruntant le rail, la chanteuse a souhaite? remonter a? la source de ce que laissaient derrie?re eux les Italiens. Se?journant dans des villages de montagne, elle y a collecte? les sons et les images, en emportant avec elle un studio d’enregistrement portable et un mate?riel photographique d’e?poque. La lumie?re, l’eau, la chaleur des pierres, le chant des oiseaux distillent cette longue re?verie, semblable a? celle que viendra ressusciter l’enfant initiant un long voyage. Avec Lay your ear to the rail, Melanie De Biasio a pour la premie?re fois me?le? les sons et les images pour une ode au retour, hypnotique comme le paysage glissant sur la vitre du train. Durée: 9’ 40’’ Musique : Pascal Paulus. Melanie De Biasio Paroles : Gil Helmick. Melanie De Biasio Images : Melanie De Biasio Directeur artistique & producteur : Melanie De Biasio Tous droits réservés Melanie De Biasio. Cyclamen
Dans le cadre du projet « Trains & Tracks », Europalia a invite? Melanie De Biasio a? cre?er une pie?ce musicale e?voquant l’immigration italienne au sie?cle passe?. Empruntant le rail, la chanteuse a souhaite? remonter a? la source de ce que laissaient derrie?re eux les Italiens. Se?journant dans des villages de montagne, elle y a collecte? les sons et les images, en emportant avec elle un studio d’enregistrement portable et un mate?riel photographique d’e?poque. La lumie?re, l’eau, la chaleur des pierres, le chant des oiseaux distillent cette longue re?verie, semblable a? celle que viendra ressusciter l’enfant initiant un long voyage. Avec Lay your ear to the rail, Melanie De Biasio a pour la premie?re fois me?le? les sons et les images pour une ode au retour, hypnotique comme le paysage glissant sur la vitre du train. Durée: 9’ 40’’ Musique : Pascal Paulus. Melanie De Biasio Paroles : Gil Helmick. Melanie De Biasio Images : Melanie De Biasio Directeur artistique & producteur : Melanie De Biasio Tous droits réservés Melanie De Biasio. Cyclamen
"Le travail prend sa source sur un territoire familier arpente? re?gulie?rement durant plusieurs anne?es, la re?serve naturelle de Kalmthout en Campine anversoise. Marque?e par les incendies et par une politique de de?boisement des fore?ts de pins, la nature luxuriante d’autrefois s’est vue transforme?e de fac?on transitoire en un paysage de?sertique aux silhouettes d’arbres de?charne?s. La fascination exerce?e par les visions d’un re?el aux allures dystopiques et par les arbres-totems ou vestiges aux troncs d’un noir profond creuse?s par le feu, a e?te? a? l’origine de ma de?marche artistique, qui fut dans un premier temps de nature purement photographique. Ces me?mes photographies seront de?coupe?es au ciseau dans un deuxie?me temps pour en extraire les formes verticales des troncs et en ‘disse?quer’ les diffe?rentes couches du bois a? l’e?corce. Les fragments seront assemble?s selon une multitude de combinaisons nouvelles, e?mergeant en avant ou arrie?re-plans de films plastiques transparents colore?s dans un jeu de superpositions. Les couleurs vives et artificielles provenant d’un mate?riel de bureau se me?lent ici aux matie?res ve?ge?tales e?teintes dans une recherche visuelle qui s’inspire tant de certaines œuvres de l’art du XXe sie?cle - dont le pop art et l’expressionnisme abstrait - que d’images d’archives ou d’images me?diatiques contemporaines d’une nature touche?e par les guerres et les catastrophes. Enfin, au-dela? du regard, par l’e?chelle des tirages photographiques pre?sents dans l’exposition, c’est aussi le corps que la se?rie cherche a? engager dans cette rencontre." Zoé van der Haegen
En juillet 2021, Danielle Rombaut de?couvre dans les me?dias l’ampleur hallucinante des inondations en Wallonie, particulie?rement entre Verviers et Lie?ge. Sept semaines plus tard, elle se rend a? Lie?ge pour une mission photo. En consultant Google Maps, elle se rend compte qu’elle ne sera qu’a? une quinzaine de minutes de la re?gion touche?e par les inondations massives du 14 juillet. De?sireuse de voir comment les choses ont e?volue? en un mois et demi, elle de?cide de s’y rendre dans l’apre?s-midi...
Soleil Noir est un travail au long cours réalisé par Gaëlle Henkens et Roger Job durant 4 années en Camargue. Après plus de 176 journées de prise de vues et une multitude d’images enregistrées, les photographes ont tenté de comprendre et de raconter une culture unique qui érige dans les villages du delta du Rhône des statues et des tombes à la gloire de ses taureaux. Soleil noir nous montre avec élégance une étrange passion pour le taureau, une dévotion particulière qui n’a rien à voir avec la tauromachie espagnole, car en Camargue, on joue avec le taureau mais on ne le tue pas. Le dieu c'est l'animal, pas l'homme qui le frôle !
Pas d’événements grandioses dans les photographies de Michel Vanden Eeckhoudt, pas de messages politiques ou moralisateurs. Mais des fragments de vie, des instants du quotidien, en ce qu’ils peuvent avoir de drôle, d’attachant, de triste aussi parfois. Chaque photographie vient composer une petite histoire, une chronique de la banalité qu’il sublime. Des images douces, parfois douloureuses, laissant doutes et questions, qui persistent en la mémoire comme une chanson aux accents nostalgiques. En demi-teintes, les photographies de Michel Vanden Eeckhoudt livrent toute la gamme des sentiments, préférant à l’éclat de rire le sourire complice, aux larmes une douce mélancolie.
Gauthier d’Ydewalle retranscrit, interpre?te et synthe?tise par l’image des livres qui l’ont touche? en les immergeant dans une composition ou? les couleurs, les formes, les teintes, la composition ont pour vocation d’exprimer la nature profonde de l’œuvre litte?raire, philosophique ou poe?tique qu’ils contiennent.