From Saturday 13 April to Sunday 1 September 2024, the Bruges Triennial brings
Spaces of Possibility to the streets of the historic city centre and Zeebrugge.
The contemporary art and architectural installations are on view for almost five
whole months. For our fourth edition, we’ve invited twelve international artists
and architects to hold a mirror up to the dormant potential of the ever-changing
city. How can a UNESCO World Heritage City, where preservation is central, deal
with concepts such as change and sustainability? And how can contemporary art
and architecture create a new framework for these issues? Through their artistic
interventions, the artists and architects challenge existing sites, connect
urban areas and search for hidden beauty.
– 13.04 - 01.09.2024
– Bruges city centre and Zeebrugge
– always open, always free
– triennalebrugge.be
Triennale de Bruges 2024: Spaces of Possibility
Description
Pour cette quatrième édition, la Triennale de Bruges part à la recherche du potentiel caché de la ville. Comment une ville historique, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco et axée sur la préservation de son passé, appréhende-t-elle des concepts tels que le changement et la durabilité, et comment l’art contemporain et l’architecture peuvent-ils créer un nouveau cadre à cet effet?
Artistes et architectes participants: Iván Argote (CO), Bangkok Project Studio (TH), Mariana Castillo Deball (MX), Counterspace (ZA), Mona Hatoum (LB | UK), Ivan Morison (UK), Norell/Rodhe (SE), Shingo Masuda + Katsuhisa Otsubo Architects (JP), Studio Ossidiana (NL), SO-IL (US), Adrien Tirtiaux (BE) en Traumnovelle (BE)
Information sur la date
Du 13/04/2024 au 01/09/2024
Billets
Info:
Entrée libre
Info & Réservation
Lieu
Organisateur
Vous organisez cet événement ?
Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.
Nous contacter1 Photo
Événements suggérés
A l’initiative des artistes-curators, Guillaume Krick et Stephan Wittmer, le BAR
| Qsp galerie propose une exposition pluridisciplinaire autour du concept de
Road trip. Réel ou imaginaire, de nécessité ou de loisirs, ce type de voyage au
long cours est un marqueur de nos contemporanéités.
La question du voyage est d’hier à aujourd’hui importante pour l’artiste. Au
XIXe siècle, les artistes qui l’incluent dans leur démarche créatrice, cherchant
par l’exotisme à alimenter leur pratique sont légion. La longue tradition du
Prix de Rome, vise justement à accroître la visibilité des lauréats, lançant les
carrières.
Avec le temps, les destinations sont des plus variées. Sous forme de résidence
artistique ou simplement auto-produite, les voyages inspirent toujours autant la
recherche, les artistes stimulés par les découvertes observations. L’adoption du
point de vue de l’étranger, apporte une perception décalée sur un espace, une
Histoire ou un quotidien.
« Road Trip », c’est la Route 66, les vielles voitures, c’est emprunter les
lignes aériennes lowcost, c’est filmer le quotidien bruyant des marchés
thaïlandais, … Au sentiment de liberté tout autant qu’à l’ouverture d’esprit que
le voyage procure à l’artiste, il y a de l’autre côté, le déplacement contraint
qui se perçoit dans certaines positions. Par le dessin ou la photo, la migration
politique démontre à toute époque à quel point elle est périlleuse.
C’est dans ce contraste du voyage que l’exposition « Road Trip » se positionne.
Aussi, en invitant une équipe d’artistes suisses à exposer avec une sélection de
la scène locale, le B.A.R. affirme sa volonté d’échange avec les pays
limitrophes et de faire découvrir ces artistes à ses publics.
Découvrez l'exposition Sempé et ses amis mettant en lumière le talent des
dessinateurs CHAVAL, BOSC, SAVIGNAC, KOREN, et STEINBERG, admirés par
Jean-Jacques SEMPÉ. Leurs dessins, empreints d'humour et d'élégance, invitent à
une introspection joyeuse. Vernissage le mardi 12 mars à 18h30. Du mardi au
vendredi de 11h à 18h et le week-end de 10h à 18h.
Photographe féministe, bidouilleur, Charly Desoubry nous propose une plongée
dans ses addictions. Se laissant guider par ses muses, toujours à ses côtés, il
nous livre une part de lui-même. Le bruissement d’un bas, une cigarette allumée,
des lèvres posées sur un burger, un paquet de soucoupes acidulées, autant
d’images qui naissent dans son esprit, d’inspirations, de tentations qui
titillent sa créativité. D’un éclairage cinématographique au néon d’une nuit
d’errance, les muses se confondent en addictions laissant la photographie comme
un exutoire à ses déviances. À consommer sans modération !
Le Métropolitain et le B.A.R vous convient à l’exposition « Borom Sarett » du
jeune photographe Noreyni Seck. Plonger dans un voyage visuel saisissant avec
les charretiers et leurs chevaux au sein des paysages urbains de St-Louis du
Sénégal.
Inspiré par l’atmosphère de sa ville d’origine, St-Louis du Sénégal, Noreyni
Seck de son vrai nom Cheikh Ousmane se lance dans les arts visuels en capturant
l’éphémère avec son objectif photographique. Chaque cliché reflète son
engagement à saisir l’essence profonde de chaque sujet.
Il retranscrit la poésie quotidienne de ces environnements urbains et humains
dans des images où l’instant saisit une vérité culturelle profonde.
L’artiste nous offre une série de photographie fascinante qui nous immergent
dans l’univers des charretiers. Ces hommes de la campagne ayant migré vers les
grande villes, travaillent, transportent des personnes et des marchandises en
charrettes jusqu’à destination pour subvenir à leurs besoins et à celles de
leurs familles.
Depuis quelques temps l’utilisation de ces charrettes est remise en cause au nom
de la modernité croissante de la capitale africaine. Plusieurs milliers de
personne vivent grâce à ce transport que ce soit pour les charretiers ou les
usagers.
Ce photoreportage de Noreyni Seck témoigne de l’importance continue de ce moyen
de transport et de subsistance qui est encore aujourd’hui très utilisé et
répandue dans les villes sénégalaises.
Cette sélection apporte un regard profond sur les hommes et sur la ville. Ils se
révèlent alors dans toute leur humilité au sein de cette métropole où coexiste
une modernité éclatante et des traditions ancrées.
Ces instantanés regorgent de couleurs vives qui évoquent la richesse, l’énergie
et la vivacité du pays ainsi que ses coutumes offrant une immersion saisissante
dans la culture sénégalaise.
Le Métropolitain
121 avenue Jean Lebas – 59100 Roubaix
Tél. 03 20 70 47 04 – @métropolitainRbx
Entrée libre – Lundi — samedi 9:00-15:00 / Mercredi — Vendredi 18:00-22:00
Dans le cadre de la 26e Nuit des arts, le samedi 18 mai accrochage visible
jusqu’à 23:00.
Le LaM consacre une grande exposition à l'artiste italienne Marisa Merz.
Première rétrospective en France depuis 30 ans, cette exposition présente un
ensemble d'oeuvres iconiques en regard de pièces inédites. Marisa Merz, proche
du groupe Arte Povera, explore ses sujets par des variations subtiles, jouant
des échelles, des formes et des formats. Découvrez une oeuvre étonnante où
culture savante et culture populaire se confondent.
Gaëlle Choisne présente « Maât and The Tears of God » à l'Espace Croisé à
Roubaix.
Comme le titre l'indique, il est question de mythologie égyptienne. Maât est la
déesse de l'harmonie cosmique, de l'équilibre et de la justice. Il est ainsi
question de
rééquilibrage des imaginaires et du pouvoir réparateur des narrations
alternatives.
Gaëlle Choisne déploie, dans cet ancien couvent néogothique des Clarisses, ce
qu'elle nomme des « tactiques compensatoires ». Ce pharaonisme gothique
accueille en son sein les pièces "Backroom", "Tears of God", "AURA/ARUA",
"SafeSpace",
"Love is Healing - Yeshua". Selon Chateaubriand : « Les Grecs n'auraient pas
plus aimé
un temple égyptien à Athènes, que les Égyptiens un temple grec à Memphis. » Il
aurait aujourd'hui de quoi défaillir face à la proposition de Gaëlle Choisne :
un
temple égyptien à Roubaix, un couvent néogothique en Haïti.
L'exposition Exposition Fares Cachoux. Figures contemporaines a lieu dans le
cadre de la Nuit des musées à Tourcoing 2024.
À mi-chemin entre l'affiche, le slogan et la grande peinture, l'oeuvre de Fares
Cachoux relève de l'oeuvre d'art engagée. De la politique à l'environnement en
passant par l'analyse de nos sociétés et leurs dysfonctionnements, son regard
est toujours pertinent, judicieux, incisif. Né à Homs, en Syrie, en 1976, Fares
Cachoux a étudié l'ingénierie informatique à l'université d'Alep, avant de faire
son master et son doctorat en art numérique et communication visuelle à Paris.
Il a ensuite vécu pendant une dizaine d'années dans le Golfe, où il a travaillé
pour différents musées. En 2021, il décide de se consacrer à l'art à plein temps
et s'installe en France. Dans ses oeuvres, Cachoux raconte des histoires. Il
raconte ce qu'il voit et ce qu'il pense avec un vocabulaire visuel réduit à
l'essentiel. De la guerre en Syrie aux naufragés de Méditerranée, de la
complexité des coutumes sociales dans le Golfe aux caricatures politiques, de la
fragilité de nos sociétés démocratiques à l'épuisement de nos ressources
environnementales, chacune de ses oeuvres est la réduction d'un évènement, d'une
situation, à sa quintessence même. Avec un style minimaliste et audacieux, des
couleurs vives et des silhouettes simples, l'artiste met son travail au service
de la liberté et de la dignité humaine. Artiste engagé, il sait toucher un
public très large par des messages simples et transparents. Comme il le dit, "
c'est là que réside l'énigme ! il faut résumer des évènements complexes avec un
minimum d'éléments, sans en perdre le sens. " Cachoux a tenu sa première
exposition personnelle à Paris en 2015, après avoir été invité par Banksy à
participer à l'exposition Dismaland (Royaume-Uni). Aujourd'hui, ses oeuvres sont
régulièrement publiées dans des journaux français et étrangers, tels que Le
Monde, Le Temps, Courrier International et le Huffington Post. Son oeuvre est
également présente dans les manuels scolaires français pour apprendre aux élèves
à décrypter les affiches politiques.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.ima-tourcoing.fr
L'exposition de Sophie Lecuyer met en lumière sa pratique artistique basée sur
des procédés d'impression manuelle tels que la gravure et la sérigraphie. Son
processus expérimental donne naissance à des images pensées par strates et
enchevêtrements, révélant la magie et le potentiel narratif de ces techniques.
Plongez dans un univers où l'image surgit sur le papier avec émotion, laissant
transparaître ce qui demeure latent pour refaire surface.