THE MAN WHO KNEW TOO MUCH (1956) (CINEMATIC SIBLINGS)
The Man Who Knew Too Much (1956)
USA 1956 | Alfred Hitchcock | vostFR | 120’ | 35mm | Cast : James Stewart, Doris
Day, Brenda de Banzie, Bernard Miles
En vacances au Maroc avec sa femme et son fils, le Dr McKenna fait la
connaissance d’un Français qui sera assassiné le lendemain de leur rencontre…
« The sole instance of Hitchcock actually remaking one of his earlier movies,
this replaces the British version's tight, economic plotting and quirky social
observations with altogether glossier production values and a typically '50s
examination of the family under melodramatic stress. » (Time Out)
« En filmant, à plus de vingt ans de distance, le même scénario, le cinéaste a
démontré à quel point ses techniques de mise en place du suspens et de
manipulation mentale du spectateur se sont désormais perfectionnées. C'est sans
doute avec ce film que le génie d'Hitchcock apparaît de la façon la plus
évidente. Le divertissement populaire est ici la façade d'une réflexion
proprement métaphysique. » (Le Monde)
Robot Dreams (Cinema Paradiso)
Description
Robot Dreams (Cinema Paradiso)
Sans paroles – ohne Worte – without words
Robot Dreams
Mon ami Robot Espagne-France 2023 | Film d’animation de Pablo Berger | sans paroles | 102' | digital | D’après le livre graphique de Sara Varon | EA
> Meilleur film d’animation, European Film Awards 2023 ; nommé meilleur film d’animation, Oscars 2024
Recommandé à partir de 8 ans
Pour briser la solitude qui le pèse dans son appartement à Manhattan, Dog décide de commander la nouvelle technologie commercialisée : un robot de compagnie. S'il nage dans un premier temps dans le bonheur, en quittant la plage, Dog s'aperçoit que l'amitié est une mécanique pas toujours mobile.
Les bonnes raisons de voir le film selon Benshi.fr
1. Danser sur la chanson phare des années 80 « September », qui rythme le film
2. La réflexion sur les liens humains et les relations d'amitié
3. La narration inédite sans paroles qui rend le quotidien si poétique
4. Une excursion cinéphilique dans le New York des années 80
« This is visual storytelling at its finest, a traditional animation of gentle, unshowy genius. Sometimes the very best love stories go deeper than words can say. » (Empire Magazine)
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