Des images pour l'Ukraine - exposition de Pascal Ruell

Description

Images panoramiques réalisées en octobre 2014 dans le secteur contaminé de Rudna.
Soirée de clôture le 3 mai à 18h30 à la Maladrerie.

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Venez découvrir le travail à l'acrylique, pastels secs et huile de Catherine Jaud et Francis Bonnet. Se côtoient et interagissent des tableaux figuratifs et abstraits inspirés du littoral : univers de couleurs, de formes, d'évocations pour laisser libre court à votre imagination et vos émotions !
Exposition vente des créations en émaux sur métaux de Françoise Briand - Le Guillou, émailleuse à Paimpol sous l'enseigne Bleucrystal. Bijoux, tableaux et objets décoratifs émaillés "grand feu". Inspiration mer et nature.
Une partie du projet a été réalisé avec les élèves de 6ème C du Collège Ernest Renan, en compagnie des artistes graveurs Karine et Gaëlle Labbay de Tréguier. Les deux artistes ont accompagné le jeune public dans la production de visuels originaux illustrant un court texte de l’auteur. Plusieurs mots clés issus du texte ont permis de choisir une thématique pour la réalisation des motifs qui vont d’abord être dessinés, reportés sur les plaques, puis gravés et imprimés. L’autre partie des gravures réalisées par les élèves de CM2 de l’école Anatole Le Braz de Tréguier et les deux artistes graveurs Karine et Gaël Labbay qui les ont accompagnés dans la création de gravures illustrant la maison natale de l’écrivain. Au cours d’une visite découverte de la demeure, un meuble, un portrait, un buste, une caricature ou même un détail de la maison elle-même ont alors fourni le sujet qui est dessiné, reporté sur une plaque, gravé et enfin imprimé.
Enfant, Catherine Misan a vite été attirée par les univers imaginaires qui s'offraient à elle : la musique, la littérature et la peinture. Aujourd'hui, elle tisse des tapisseries pour raconter des histoires. Sans dessin préalable, son travail est une longue improvisation, l'histoire se tramant au fil du temps. Les couleurs choisies donnent le thème, l'idée se déploie au fur et à mesure que le tissage prend forme sur le grand métier vertical à l'aide des fils de coton, de laine, de soie, perles et broderies : le relief s'invite naturellement au fil des mélanges...
Les artistes et artisans d’art de Trébeurden vous proposent de découvrir leurs travaux. Cette exposition présente une grande variété de techniques (peintures, photographies, artisanat d’art, sculptures...) et vous permet de venir rencontrer les artistes dans un lieu emblématique de Trébeurden. Ouverture le vendredi 17 mai de 14h à 19h, les samedi 18, dimanche 19 avril et lundi 20 mai de 10h à 12h30 et de 14h à 19h.
Une exposition interactive pour découvrir les coulisses de la fabrication des effets spéciaux au cinéma. Difficile d’imaginer le cinéma sans effets spéciaux ! Ils contribuent aux plus grands succès et tous les genres les utilisent : film d’action, de science-fiction, comédie romantique… Que savons-nous de leur fabrication ? L’exposition Effets spéciaux, crevez l’écran ! dévoile l’art, les techniques et les innovations déployés en la matière par l’industrie cinématographique et audiovisuelle. Avec cette exposition, les visiteurs auront la possibilité de découvrir l’envers du décor d’un plateau de cinéma. La scénographie immersive de l’exposition propose un parcours illustrant la chaîne de production audiovisuelle, en trois étapes : un bureau de préproduction, un plateau de tournage et un studio de postproduction. LE BUREAU DE PRÉPRODUCTION Le bureau de préproduction révèle l’ensemble des moyens indispensables à la réalisation d’un film : dès la préproduction, les effets sont dessinés et chiffrés. Avant même de convoquer acteurs et caméras, le film se joue en préproduction : écriture du scénario et réalisation du storyboard, dessins et roughs sont des étapes cruciales pour le film. LE PLATEAU DE TOURNAGE Le plateau de tournage détaille les effets réalisés en direct au tournage : trucages à l’ancienne ou effets spéciaux actuels, avec le numérique (créer des êtres vivants, transformer l’acteur, mixer réel et virtuel, et décortiquer d’anciens trucages). Motion Capture et casque de captation livrent leurs secrets ; le travail de maquillage et des prothèses est dévoilé, la technique d’incrustation des fameux fonds verts ou bleus est explicitée. On redécouvre ici les effets spéciaux inattendus et cocasses les plus répandus du cinéma. Un retour en arrière est également proposé sur les premiers effets spéciaux inventés par Georges Méliès. S’inspirant de ses propres spectacles de magie, Méliès a créé la plupart des effets spéciaux, qu’il mettra en scène dans des récits féeriques, de science-fiction et même de reconstitution historique. LE STUDIO DE POSTPRODUCTION Le studio de postproduction présente les différentes interventions sur les rendus visuels et sonores avant la finalisation d’un film. De la création de paysages à l’intégration de foules, des doublures numériques aux effets de matières, des explosions aux effets invisibles, les retouches d’images filmées sont nombreuses. Dans cette partie de l’exposition, le visiteur cherche les effets invisibles et s’essaie à la postproduction d’effets spéciaux, graphiques, numériques… Cette exposition a été réalisée par la Cité des Sciences et de l’Industrie, en coproduction avec le Centre National du Cinéma et de l’image animée.
Après des études de biologie, Bernard Descamps, né en 1947, devient pleinement photographe en 1975. Voyageur inlassable, il parcourt par la suite l’Afrique et l’Asie à partir des années 1980, à la rencontre de leurs habitants et de leurs coutumes, que ce soit au Maroc, au Niger, en Inde, au Vietnam, etc. Sans pour autant proposer une photographie de reportage ou bien de voyage, il est l’auteur d’une œuvre formelle très maîtrisée, qui porte de manière étendue sur la question du paysage, se souciant autant de comment celui-ci est représenté que des façons de l’habiter. Quand il photographie les Pygmées en Centrafrique, les Peuls au nord du Mali, les pêcheurs à Madagascar ou encore les Berbères dans le Haut Atlas marocain, son regard s’oriente sur leur présence dans leur environnement, que ce soit la forêt, le rivage ou le désert. Avec l’adoption du format carré dans les années 1990, il systématise son travail de cadrage au plus près des éléments, jouant dans ses compositions sur le hors champ et sur l’équilibre entre les vides et les pleins. Il privilégie dès lors les compositions fragmentaires, comme tronquées, quitte à parfois couper le sujet de ses images. Le long des pentes de l’Etna ou au bord des côtes islandaises, ses compositions tendent alors de plus en plus vers l’abstraction, jusqu’à ce que la montagne, la neige et la mer occupent tout l’espace. Les photographies de Bernard Descamps sont autant d’invitations à dépasser les représentations du monde tel qu’il nous est donné à voir, pour aller au-delà des apparences.
Agir dans son lieu Exposition de printemps de la Galerie du Dourven, présentée HORS LES MURS, à la Coopérative du port de Locquémeau, du 30/03 au 30/06/2024. Une proposition de Julie Crenn Avec les artistes Morgane Denzler, Kako & Stéphane Kenkle, Aurélie Olivier, Pascal Rivet, Damien Rouxel, Nicolas Tubéry, Julie Vacher Depuis 2016, Agir dans son lieu est un projet au long cours. Un cycle de recherches, de résidences et d’expositions dédié aux liens qui existent entre les artistes et les paysan.nes. Après la Galerie Duchamp à Yvetot en Normandie (2017), Les ateliers des Arques dans le Lot (2018), le Transpalette à Bourges (2021), Agir dans son lieu s’installe en 2024 à la Galerie du Dourven - La Coopérative à Locquémeau. L’exposition propose une réflexion à voix multiples et situées à partir des mondes paysans. "Individuellement ou collectivement, huit artistes pensent les réalités plurielles du monde paysan à partir de leurs expériences, de leurs corps et de leurs histoires respectives. Un mouvement s’opère entre l’art et l’agriculture, et inversement. Il s’agit alors de fabriquer et de proposer une conversation entre deux territoires pensés séparés, et qui portent pourtant des points communs et essentiels. Une conversation nourrie de choix (philosophiques, plastiques, économiques, politiques) qui nous invite à (re)penser les interdépendances, les invisibilisations, les absurdités, les violences, les nécessités. Des choix, les leurs et les nôtres, qui ont des conséquences directes sur le vivant dans son ensemble." Julie Crenn A noter : la Galerie et le parc du Dourven sont actuellement fermés au public. Pour cette raison, la saison 2024 des expositions de la Galerie du Dourven se tiendra hors les murs.