Venez découvrir le travail à l'acrylique, pastels secs et huile de Catherine
Jaud et Francis Bonnet.
Se côtoient et interagissent des tableaux figuratifs et abstraits inspirés du
littoral : univers de couleurs, de formes, d'évocations pour laisser libre court
à votre imagination et vos émotions !
Histoires tissées de Catherine Misan
Description
Enfant, Catherine Misan a vite été attirée par les univers imaginaires qui s'offraient à elle : la musique, la littérature et la peinture. Aujourd'hui, elle tisse des tapisseries pour raconter des histoires. Sans dessin préalable, son travail est une longue improvisation, l'histoire se tramant au fil du temps. Les couleurs choisies donnent le thème, l'idée se déploie au fur et à mesure que le tissage prend forme sur le grand métier vertical à l'aide des fils de coton, de laine, de soie, perles et broderies : le relief s'invite naturellement au fil des mélanges...
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Info & Réservation
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Événements suggérés
Les artistes et artisans d’art de Trébeurden vous proposent de découvrir leurs
travaux.
Cette exposition présente une grande variété de techniques (peintures,
photographies, artisanat d’art, sculptures...) et vous permet de venir
rencontrer les artistes dans un lieu emblématique de Trébeurden.
Ouverture le vendredi 17 mai de 14h à 19h, les samedi 18, dimanche 19 avril et
lundi 20 mai de 10h à 12h30 et de 14h à 19h.
Exposition vente des créations en émaux sur métaux de Françoise Briand - Le
Guillou, émailleuse à Paimpol sous l'enseigne Bleucrystal.
Bijoux, tableaux et objets décoratifs émaillés "grand feu". Inspiration mer et
nature.
12 artistes de l'asso Penn Arts Bed exposent leurs oeuvres : pastel, aquarelle ,
huile, collage, sculpture...
Une exposition interactive pour découvrir les coulisses de la fabrication des
effets spéciaux au cinéma.
Difficile d’imaginer le cinéma sans effets spéciaux ! Ils contribuent aux plus
grands succès et tous les genres les utilisent : film d’action, de
science-fiction, comédie romantique…
Que savons-nous de leur fabrication ?
L’exposition Effets spéciaux, crevez l’écran ! dévoile l’art, les techniques et
les innovations déployés en la matière par l’industrie cinématographique et
audiovisuelle.
Avec cette exposition, les visiteurs auront la possibilité de découvrir l’envers
du décor d’un plateau de cinéma.
La scénographie immersive de l’exposition propose un parcours illustrant la
chaîne de production audiovisuelle, en trois étapes : un bureau de
préproduction, un plateau de tournage et un studio de postproduction.
LE BUREAU DE PRÉPRODUCTION
Le bureau de préproduction révèle l’ensemble des moyens indispensables à la
réalisation d’un film : dès la préproduction, les effets sont dessinés et
chiffrés.
Avant même de convoquer acteurs et caméras, le film se joue en préproduction :
écriture du scénario et réalisation du storyboard, dessins et roughs sont des
étapes cruciales pour le film.
LE PLATEAU DE TOURNAGE
Le plateau de tournage détaille les effets réalisés en direct au tournage :
trucages à l’ancienne ou effets spéciaux actuels, avec le numérique (créer des
êtres vivants, transformer l’acteur, mixer réel et virtuel, et décortiquer
d’anciens trucages).
Motion Capture et casque de captation livrent leurs secrets ; le travail de
maquillage et des prothèses est dévoilé, la technique d’incrustation des fameux
fonds verts ou bleus est explicitée. On redécouvre ici les effets spéciaux
inattendus et cocasses les plus répandus du cinéma.
Un retour en arrière est également proposé sur les premiers effets spéciaux
inventés par Georges Méliès. S’inspirant de ses propres spectacles de magie,
Méliès a créé la plupart des effets spéciaux, qu’il mettra en scène dans des
récits féeriques, de science-fiction et même de reconstitution historique.
LE STUDIO DE POSTPRODUCTION
Le studio de postproduction présente les différentes interventions sur les
rendus visuels et sonores avant la finalisation d’un film.
De la création de paysages à l’intégration de foules, des doublures numériques
aux effets de matières, des explosions aux effets invisibles, les retouches
d’images filmées sont nombreuses.
Dans cette partie de l’exposition, le visiteur cherche les effets invisibles et
s’essaie à la postproduction d’effets spéciaux, graphiques, numériques…
Cette exposition a été réalisée par la Cité des Sciences et de l’Industrie, en
coproduction avec le Centre National du Cinéma et de l’image animée.
Après des études de biologie, Bernard Descamps, né en 1947, devient pleinement
photographe en 1975. Voyageur inlassable, il parcourt par la suite l’Afrique et
l’Asie à partir des années 1980, à la rencontre de leurs habitants et de leurs
coutumes, que ce soit au Maroc, au Niger, en Inde, au Vietnam, etc. Sans pour
autant proposer une photographie de reportage ou bien de voyage, il est l’auteur
d’une œuvre formelle très maîtrisée, qui porte de manière étendue sur la
question du paysage, se souciant autant de comment celui-ci est représenté que
des façons de l’habiter. Quand il photographie les Pygmées en Centrafrique, les
Peuls au nord du Mali, les pêcheurs à Madagascar ou encore les Berbères dans le
Haut Atlas marocain, son regard s’oriente sur leur présence dans leur
environnement, que ce soit la forêt, le rivage ou le désert.
Avec l’adoption du format carré dans les années 1990, il systématise son travail
de cadrage au plus près des éléments, jouant dans ses compositions sur le hors
champ et sur l’équilibre entre les vides et les pleins. Il privilégie dès lors
les compositions fragmentaires, comme tronquées, quitte à parfois couper le
sujet de ses images. Le long des pentes de l’Etna ou au bord des côtes
islandaises, ses compositions tendent alors de plus en plus vers l’abstraction,
jusqu’à ce que la montagne, la neige et la mer occupent tout l’espace. Les
photographies de Bernard Descamps sont autant d’invitations à dépasser les
représentations du monde tel qu’il nous est donné à voir, pour aller au-delà des
apparences.
Agir dans son lieu
Exposition de printemps de la Galerie du Dourven, présentée HORS LES MURS, à la
Coopérative du port de Locquémeau, du 30/03 au 30/06/2024.
Une proposition de Julie Crenn
Avec les artistes Morgane Denzler, Kako & Stéphane Kenkle, Aurélie Olivier,
Pascal Rivet, Damien Rouxel, Nicolas Tubéry, Julie Vacher
Depuis 2016, Agir dans son lieu est un projet au long cours. Un cycle de
recherches, de
résidences et d’expositions dédié aux liens qui existent entre les artistes et
les paysan.nes.
Après la Galerie Duchamp à Yvetot en Normandie (2017), Les ateliers des Arques
dans le Lot
(2018), le Transpalette à Bourges (2021), Agir dans son lieu s’installe en 2024
à la Galerie du
Dourven - La Coopérative à Locquémeau. L’exposition propose une réflexion à voix
multiples et
situées à partir des mondes paysans.
"Individuellement ou collectivement, huit artistes pensent les réalités
plurielles du monde paysan
à partir de leurs expériences, de leurs corps et de leurs histoires respectives.
Un mouvement
s’opère entre l’art et l’agriculture, et inversement. Il s’agit alors de
fabriquer et de proposer
une conversation entre deux territoires pensés séparés, et qui portent pourtant
des points
communs et essentiels. Une conversation nourrie de choix (philosophiques,
plastiques, économiques,
politiques) qui nous invite à (re)penser les interdépendances, les
invisibilisations, les
absurdités, les violences, les nécessités. Des choix, les leurs et les nôtres,
qui ont des conséquences
directes sur le vivant dans son ensemble." Julie Crenn
A noter : la Galerie et le parc du Dourven sont actuellement fermés au public.
Pour cette raison, la saison 2024 des expositions de la Galerie du Dourven se
tiendra hors les murs.
Tout se joue dans les oeuvres de Fleur Cozic, c'est un instant ultime, qui peut
être violent, et pourtant d'un calme olympien. C'est abîmé, on imagine des
rochers érodés, des océans à l'écume vorace et si salée qu'elle pourrait
pétrifier des kilomètres de côtes, des bois obscurcis par des arbres centenaires
et des branches ensorcelées où les tempêtes s'enchaînent. C'est griffé, et
pointu. Dans tous ces coups, de brosses, de pinceaux, de couteaux, on sent la
précision de la pensée qui opère. Une agilité de la touche, et la sureté du
détail.(...)
« La Bretagne » y est vue comme une montagne, on en retient la persistance des
bleus et des verts, le vent frais, les ondes pures. L'aura cristalline,
l'immensité à 360°. Crêtes de vagues ou de monts, la mousse blanche déferle ou
se fige, banquise. Fleur Cozic sait capturer un instant. Comme une proie. Puis
l'expulse. C'est parfois sombre.(...)
Jeu des éléments, et des saisons... Pour aboutir à une oeuvre, Fleur Cozic
recherche, perpétuellement, ce qui pourrait les incarner. Comment rendre ce vert
émeraude si cher à sa région natale, comment exprimer le feu d'une terre rouge,
livrer le fonds d'un volcan, raconter l'immensité et le poids d'un fond marin,
emmener le corps dans des endroits bouillants ou glacés. Tout l'enjeu de la
quête artistique. Son obsession. L'incarnation de la vision.(...)
Caroline Boudehen
Site web : https://www.expositions-pleyberchrist.fr/
EXPOSITION A L'AQUARIUM MARIN DE TREGASTEL
Après avoir sillonné, appareil photo en bandoulière, les grèves, plages, rues et
sentiers dans une exploration amoureuse de Trégastel, Lise Muzellec et Alain
Vorimore ont fait une sélection de leurs coups de cœur.
Des Ajoncs à l’Estran, de la Baie Sainte Anne aux Nuages, des Traouiero à
Zantig, ces photographies tirées de leur ouvrage « Abécédaire Amoureux de
Trégastel » aux Éditions Goater animeront le préau de l’Aquarium marin de
Trégastel du 26 mars au 1er septembre 2024.
Compris dans le billet d’entrée
Une partie du projet a été réalisé avec les élèves de 6ème C du Collège Ernest
Renan, en compagnie des artistes graveurs Karine et Gaëlle Labbay de Tréguier.
Les deux artistes ont accompagné le jeune public dans la production de visuels
originaux illustrant un court texte de l’auteur.
Plusieurs mots clés issus du texte ont permis de choisir une thématique pour la
réalisation des motifs qui vont d’abord être dessinés, reportés sur les plaques,
puis gravés et imprimés.
L’autre partie des gravures réalisées par les élèves de CM2 de l’école Anatole
Le Braz de Tréguier et les deux artistes graveurs Karine et Gaël Labbay qui les
ont accompagnés dans la création de gravures illustrant la maison natale de
l’écrivain. Au cours d’une visite découverte de la demeure, un meuble, un
portrait, un buste, une caricature ou
même un détail de la maison elle-même ont alors fourni le sujet qui est dessiné,
reporté sur une plaque,
gravé et enfin imprimé.