Paradoxes à partager

Description

Le thème de l’exposition :
Lorsque la communication s’établit sur le mode du paradoxe, il en résulte plusieurs réactions possibles face à ses termes contradictoires : le désir de s’y soustraire en adoptant une conduite cohérente, être agressif face à des propos antinomiques ou en rire, ou assister à l’apparition d’un délire. Marc et Josée Gensollen vous invitent à partager pendant quelques jours certaines de ces occurrences car c’est également un des mécanismes générateurs de la création artistique.
Quoiqu’il en soit les questions où, comment, pourquoi, viennent spontanément à l’esprit. Au détours de la visite certaines interrogations pourront-elles trouver des éléments de réponse ?

Vernissage le 28 juin 2024 de 18h à 22h

Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille

Information sur la date

Vernissage le 28 juin 2024 de 18h à 22h.

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Événements suggérés

Photographies des collections de la modernité des années 1930 aux années 2000. Dans le cadre du renouvellement de son accrochage, le musée présente une exposition-dossier de ses fonds photographiques ainsi que du musée d’art contemporain [mac]. En février 1968, le musée Cantini présentait sa première exposition de photographies L’(OEIL OBJECTIF), réunissant Doisneau, Brihat, Clergue et Sudre. Dans ce même temps, Gautrand recevait le Grand prix de la Ville de Marseille consacré à la photographie. Aux côtés de la Bibliothèque nationale et du musée Réattu, l’institution endosse alors un rôle précurseur en créant une collection constituée en échos aux évènements régionaux tels les Rencontres d’Arles ou le festival d’Avignon. À travers les fonds du musée Cantini, du [mac] et du Fonds communal d’art contemporain (Fcac), L’(ŒIL) OBJECTIF dresse un panorama renouvelé des collections ; des jeux d’optiques de la Nouvelle Vision à la pratique documentaire de Valérie Jouve, en passant par les mises en scène de Man Ray, l’exposition propose une approche élargie de la photographie et la diversité de regards qui en émanent. AUTOUR DE L’EXPOSITION > Visite commentée Durant toute la durée de l’exposition chaque samedi à 15h [Tarifs adultes : entrée gratuite + 3 € (+1,50 € tarif réduit) / Tarifs enfants de 12 à 18 ans : entrée gratuite + 1,50€ / Tarifs enfants de moins de 12 ans : gratuit] ► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite. ► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées. Publié par : Ville de Marseille
Le Pôle des Arts Visuels de l’Estaque vous propose tout au long de l’année, une série d’expositions dont le spectre devrait répondre aux attentes les plus diverses ainsi qu’une exquise diversité d’artistes grâce à un panel de créateurs des plus éclectiques. Juillet 2024 s’ouvre sur une expo photos très originale de Gil Melgrani. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Grzegorz Przyborek est une des figures majeures de la photographie polonaise contemporaine. Depuis plus de 40 ans, il construit une œuvre singulière, entièrement fabriquée dans son studio situé au 11e étage d’une barre d’immeuble d’un quartier de Lodz. Son univers photographique est inspiré par des visions, des rêves parfois très concrets ou plus intimes mais qui ne sont pas dénués d’une dimension politique forte. Le « rêve » se transforme d’abord en dessin d’une grande précision. Ensuite, chaque partie de l’image nécessite une construction patiente de tous les éléments qui la constituent. Enfin commence la mise en place méticuleuse de son plateau de prise de vue. Chaque image peut mettre des mois à se réaliser. L’exposition, réalisée avec le soutien de l’Institut Polonais de Paris et du musée de Bydgoszcz, propose un parcours dans son œuvre photographique depuis la série Portraits réalisée à Arles en 1990 où il était étudiant invité, jusqu’aux dernières compositions produites entre 2020 et 2022. Elle présente également une quarantaine de dessins, des objets, des sculptures ainsi qu’un film réalisé en partie à Arles en 2019. Cette exposition fait partie de la programmation satellite des Rencontres d’Arles dans le cadre du Grand Arles Express. Vernissage : Vendredi 28 juin à partir de 19h00 Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
« Le Cas Érotique » est une exploration audacieuse et délicate de l’érotisme à travers divers médias artistiques, mettant en lumière la richesse et la diversité des expressions contemporaines. Les artistes sélectionnés, issus de différentes disciplines et horizons, proposent des œuvres qui questionnent, provoquent et émerveillent. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
En 1931, Brecht écrit « La Mère » ou « vie de la Révolutionnaire Pélagie Vlassova. » Quatre-vingt-treize ans plus tard, Organon Art Cie utilise ce texte comme boussole, en vue de dégager des perspectives agissantes sur notre réel. Une femme, seule, pauvre, avec son fils, entre en lutte par une porte dérobée. Sous forme de récit choral, invitation est faite à trouver sa part au plateau. À éprouver ce que l’expérience particulière contient de collectif. À fabriquer son devenir-mère. Deux autres étapes à suivre auront lieu entre septembre 2024 et juin 2025 Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
En collaboration avec Les Capucins, centre d’art contemporain, Ville d’Embrun À l’occasion de son trentième anniversaire, Triangle-Astérides s’associe aux Capucins à Embrun pour travailler sur les lieux essentiels et méconnus et les personnages intermédiaires qui dessinent des scènes artistiques et des généalogies en dehors des capitales, des institutions et des narrations dominantes, dans le passé comme dans le présent. Autour de la galerie Vigna, active à Nice entre 1998 et 2002, ancêtre de la librairie LGBT de livres d’occasion qui existe toujours au même emplacement, l’exposition compose une biographie collective, subjective, intergénérationnelle et multi-entrées. Une exposition curatée par Mathilde Belouali, avec : Fabienne Audéoud, Flo*Souad Benaddi, Cécile Bouffard, Pauline L. Boulba, Claude Eigan, Monsieur Gustave, Aminata Labor, Ingrid Luche, Béatrice Lussol, Bruno Pélassy Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Les Ateliers Lautard Une proposition de la Galerie de la Salle des Machines D’une nécessité que connaît chaque artiste, le besoin d’un atelier de travail, naît une volonté commune de partager un espace collectif. Celle-ci est portée par une vingtaine d’artistes, rue Lautard à la Belle de Mai autour d’un lieu qu’iels ont créé et nommé : Les Ateliers Lautard. Initiés début 2024, avec l’idée de mettre en conversation différentes pratiques artistiques, Les Ateliers Lautard connaissent déjà une effervescence et une vision collégiale qui forcent admiration et enthousiasme. Cette première exposition collective hors les murs, présentée à la Friche Belle de Mai, n’en montre qu’une sélection. C’est le début d’un chapitre qui pousse plus loin encore la notion des espaces alternatifs dont les modèles ne cessent de se redéfinir. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes : son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques, culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ? L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se pratique le naturisme aujourd’hui. Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi peintures, dessins, livres, estampes et sculptures. Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole, la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à Ascona. Commissariat : – Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps, apparences, sexualités. – Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité. – David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité. – Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles. Commissaires associés : – Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles. – Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles. Scénographie : agence Trafik Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Mathématicien et artiste peintre Levon Vardanyan mène une recherche sur les caractéristiques structurelles de l’espace, de l’univers ainsi que des phénomènes de la nature. Il présente les résultats de ses recherches sous la forme d’images et de tableaux… Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Élaboré par l’association Faire Briller les étoiles et le Cirk Biza’art, le Festival l’Art Attrape est un temps fort incontournable de l’été à Marseille. Cirque, arts de la rue, danse, musique, autant de performances et de propositions artistiques déployées dans toute la ville qui mettront à l’honneur l’émergence et la création. On se retrouve à la Friche la Belle de mai pour l’ouverture (jeudi et vendredi) puis à la Citadelle sur le week-end. PROGRAMME 2024 JEUDI 4 JUILLET FRICHE LA BELLE DE MAI – CHAMP DE MAI 19H00- Ouverture des portes 20H30- Collectif Xanadou : Road movie sur place et sans caméra (spectacle)  Spectacle au Chapeau – Prix conseillé  entre 5 € et 10 € Une autre utopie que l’Apocalypse… Cinq personnages, au tournant de leur vie attendent sur un parking. Ils rêvent tous d’autres choses et veulent partir, loin. Mais voilà que la voiture, leur seul moyen d’échapper à ce monde prend soudainement vie. Elle a de drôles d’exigences, s’amuse et déblatère des inepties. Buvette sur place VENDREDI 5 JUILLET FRICHE LA BELLE DE MAI – TOIT-TERRASSE – ON AIR Tarif :  5 € 19h30 DouceSoeur – DJ Set Mix entêtant allant du neoperreo au bailerave DouceSœur, c’est une sirène caribéenne, mi-high fem, mi-tonton. Diggeuse depuis toujours, ses sets sont influencés par tout ce qui l’entoure. Son univers est un mélange bouillonnant entre ses origines du 972 au 92, la culture manga des années 2000 et son identité queer. Dans chacun de ses mix, elle met à l’honneur les femmes et les personnes queer afro-descendantes. Un set aussi bouillant que la mer des Caraïbes. Spectacle programmé en partenariat avec BiPole 22h00 Cie Nokill – Elektra I love you so much Techno avec des hologrammes Elektra s’inspire de la techno minimale des années 90, pour produire une musique qui donne au public l’irrésistible envie de bouger son corps. C’est une expérience visuelle étonnante, envoûtante, hypnotisante avec des hologrammes qui s’animent. Une forme particulière de magie où on ne cherche pas spécialement à cacher le truc, ni à tromper le spectateur·ice. Elektra est surtout un spectacle réjouissant où il est question d’amour, de sourires, de générosité, de la joie d’être ensemble, du plaisir de danser, du bonheur d’être en vie et de faire la fête. SAMEDI 6 JUILLET LA CITADELLE – FORT SAINT NICOLAS 19h – Qualité Street [https://www.qualitestreet.com/] – Jogging Théâtre de rue – Vent de Liberté Un bunker traverse le temps dans un voyage à rebours. À chaque époque surgit une nouvelle surprise… en jogging. Du rire aux larmes, de la poésie à la révolte, au-delà du survêtement populaire, les personnages ont tous un point commun: ils questionnent nos libertés dans une cavalcade qui rebondit, qui délivre et qui avale le vent ! 20h30 – Grand Colossal Théâtre [http://www.grandcolossal.com/] – La Chienlit ép. 1 Pour un fascisme ludique et sans complexe Théâtre de rue – Chronique d’un grand dérèglement Dans une commune périurbaine, les ordures s’accumulent sous un soleil de plomb. Entre réalisme social et comédie burlesque, La Chienlit est une série théâtrale qui raconte, à travers le destin croisé d’habitants d’une résidence et d’une équipe municipale en état de siège, comment une ville bascule dans le chaos. 22h00 – Pola Facettes [https://www.facebook.com/pola.facettes] DJ set sur 45 tours Un assortiment de douceurs dans un monde qui va trop vite, une invitation à ralentir : du slow suave à la «love song» déjantée, l’amour selon Pola, c’est une récréation festive, un lâcher prise sur fond de tubes qui mettent tout le monde d’accord, sans oublier les classiques et les raretés qui font sautiller. L’amour, ça fait boom. Une proposition de Pola Facettes en total vinyle, des 60’s aux 90’s.  DIMANCHE 7 JUILLET LA CITADELLE – FORT SAINT NICOLAS 18h15 – Surprise… Venez et vous verrez ! 19h00 – L’AIAA [https://www.laiaa.com/nouvelle-creation] – Madame, Monsieur, Bonsoir ! Comédie médiatique qui ne condamne pas la violence Fresque théâtrale sans tabous, Madame, Monsieur, Bonsoir ! est une comédie exutoire sur le monde médiatique devenu uniforme et grotesque en poussant les situations réelles dans leurs retranchements absurdes. Un spectacle qui s’interroge sur la liberté d’expression, notre rapport à la démocratie, à la violence quotidienne et à la recherche des utopies. Crédits Elijah 0’Donnell Spectacle programmé avec le soutien de l’OARA 20h30 – Surprise… Venez et vous verrez !   21h – Grand Colossal Théâtre [http://www.grandcolossal.com/] – La Chienlit épisode 2 Feu Mme Singer Théâtre de rue – Chronique d’un grand dérèglement Dans ce 2ème épisode, les ordures s’accumulent au soleil. Les habitants de la résidence, malgré leurs efforts, voient l’énorme tas d’immondices trônant devant l’entrée augmenter plus vite que le tas d’ordures de la cité voisine. Ils soupçonnent leurs voisins de venir la nuit se délester chez eux d’une partie de leurs ordures. Très vite la guerre entre les deux cités est déclarée. 22h30 – Fulu Miziki Kolektiv [http://www.bi-pole.org/artists/fulu-miziki/] – Concert Fulu Miziki signifie « Le son des poubelles » en lingala Fulu Miziki Kolektiv est un collectif d’artistes Eco-Friendly-Afro-Futuristic-Punk de Kinshasa. Les musiciens produisent une nouvelle musique, qu’ils nomment Twerkanda, une sorte d’afro disco-house / post soukous explosive, composée uniquement à partir d’instruments faits de matériaux qu’ils ont eux-mêmes recyclés et assemblés. Les artistes sont toujours à la recherche de nouvelles sonorités avec des instruments sans cesse en mutation. Pour le collectif, tout peut être récupéré et ré-enchanté. Spectacle programmé en partenariat avec BiPole Les horaires annoncés sont ceux de début des représentations. Prévoyez d’arriver en avance !   Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille