Manon Lepomme Je vais beaucoup mieux, merci !

Description

Après avoir évité à plus de 250 000 spectateurs d'aller chez le psy, Manon Lepomme confirme avec cette nouvelle performance être une valeur sûre de l’humour belge. Cette talentueuse humoriste est la championne de l'autodérision. Sa proximité avec le public et son authenticité rendent chaque
représentation unique et redoutablement efficace. Manon a 33 ans et se pose de plus en plus de questions tantôt existentielles, tantôt... futiles... Qui
sommes-nous ? Pourquoi on vieillit ? Comment faire pour ne pas ressembler à sa mère ? Elle qui aurait tant aimé être la fille de Lady Di ! Le tout dans un fou rire continu avec un regard d'une impitoyable lucidité sur l'existence et le temps qui passe.


« Un one-woman show beaucoup plus personnel mais avec une comédienne tout aussi névrosée. […] Un rythme époustouflant ! » - RTBF

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Le 18/05/202420:00

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Tarif : 30 € Tarif abonnement : voir pack Découverte Article 27 : 1,25 € : payant

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PRÉSENTÉ PAR MÉDIASCÈNE Adapté de l’immense succès en librairie de Valérie Perrin, Salomé Lelouch et Mikaël Chirinian s’emparent du roman pour vous offrir une histoire rayonnante d’humanité ! Un hymne au merveilleux des choses simples. Valérie Perrin nous fait partager l’histoire intense d’une femme qui, malgré les épreuves, croit obstinément au bonheur. Avec ce talent rare de rendre l’ordinaire exceptionnel, l’auteur crée autour de cette fée au quotidien, un monde plein de poésie et d’humanité. Avec Caroline Rochefort, nommée au Molière 2022 de la révélation féminine
Un bout de terre, un espace vert, quelque part et nous voilà embarqués dans la vie des insectes … Un microcosme étrange se révèle. Ça grouille, ça rampe et ça frétille
Le samedi 1er juin 2024 à 20h30 à l'espace de spectacles Le Manège de Givet, Cyrille Artaux vous invite, en compagne de Martin, personnage emblématique de nombreuses nouvelles de Marcel Aymé, à une traversée de ce Paris qui lui était si cher, guidé par le piano et la musique de Francis Poulenc, si parfaitement adéquate qu'elle semble avoir été composée tout exprès... Cyrille ARTAUX est un touche à tout passionné. A 16 ans, il débute sur la scène de la Comédie Française. Aux côtés de Francis Huster et Jean-Luc Bouté, il est Côme de Médicis dans Lorenzaccio mis en scène par Franco Zeffirelli. Comédien, il a joué sous la direction de Jean-Paul Roussillon, Franco Zeffirelli, Jean-Louis Martin-Barbaz, Pierre Vielhescaze, Pierrre Mondy, Mario Franceschi, Nicolas Bataille, Jacques Toja, Jean Négroni, Jacques Ardouin, Jean-Marc Montel, Armand Eloi... Metteur en scène éclectique, il a monté Molière, Marivaux, Rimbaud, Max Jacob, Roland Dubillard... Mélomane averti, il nourrit depuis de nombreuses années une véritable passion pour la musique française du 20ème siècle, qu'il mêle à un amour du verbe qui fait de lui un inénarrable conteur !
La compagnie Les Vrais Majors vous emmène dans une thérapie collective. L’équipe (Alexis, Femke, Manu et Quentin) vient s’ouvrir à vous, dans toute sa vulnérabilité, avec l’intention de se faire du bien. Ils vont tenter de rencontrer les personnes du public pour créer un moment enjoué, rare et peut-être magique. Auto-dérision, situations surréalistes et humour sont au rendez-vous !
Une chanson vous trotte dans la tête et des souvenirs, des sentiments, des odeurs, des images débarquent sans crier gare. Une rengaine, un fredon, un couplet ou deux, inusables, ont le pouvoir de vous accompagner des années durant, de vous donner la pêche ou de vous remuer les tripes… Pour Marie Lecomte, les chansons et les musiques sont intimement liées à des moments de vie. Voilà pourquoi elle s’est lancée dans ce projet : raconter l’histoire des chansons préférées des gens et les interpréter sur scène avec deux musiciens. Dans chaque ville où le spectacle est joué, elle part de rencontres avec des personnes de tout âge et de tous horizons pour composer sa partition. Les chansons sont ainsi une manière de recueillir des paroles intimes et de les mettre en lumière pour raconter une partie de vie, un quotidien, de petites ou grandes histoires personnelles. Alors, pour vous, quelle est la plus belle chanson du monde ?
On parle des liens entre l’homme et l’animal. Une conteuse donne vie à des récits réels et incroyables où l’homme et l’animal se sont entraidés, écoutés, compris, regardés, ont échangé des moments privilégiés.  Le fil rouge qui tisse ces différents récits est le chemin de vie de la narratrice, depuis son enfance jusqu’ à aujourd’hui. Elle raconte avec humour et sagesse, ses aventures avec les animaux, tout en laissant la place au mystère et à la subtilité. Elle chante aussi, bouge, danse et investit tout son corps dans la narration.  Ses partenaires de jeux sont : une petite chaise d’école qui figure les années d’enfance.  Et une longue caisse d’où sortent des objets incongrus et magiques. Selon les faces elle figure les différents lieux de l’histoire . Le rapport au public est frontal ou en demi-cercle quand le lieu le permet. Cette complicité crée un lien entre celle qui raconte et le public qui écoute, reçoit, ressent, réagit et se sent par là même un élément essentiel du spectacle : un partenaire à part entière. Ce spectacle est programmé dans le cadre du cycle Cont'Émoi, initié par le centre culturel de Philippeville et porté par les six centres culturels de l'arrondissement de Philippeville. Ce cycle se veut être le fer de lance des arts de la parole. Ecrit et raconté par Anne Romain  Mise en scène de Annette Brodkom Coproductions : Louise et les autres, Le théâtre de la Parole, La Compagnie du Simorgh, avec le soutien de la Province du Brabant wallon, la Roseraie et la FWB Infos et réservations : 060 / 31 01 60 - billetterie@action-sud.be
La fille: « Nous sommes revenues dans cette maison. Puis les surprises se sont enchaînées. Ce qui est bien avec cette maison, c’est qu’elle a un bon fond. Même si parfois elle a mauvais caractère. Elle met la tête à l’envers, c’est sûr. Ce que j’aime chez elle, c’est qu’elle donne envie de danser. » La mère: « Souvent, c’est moi qui décide. Souvent. Mais pas toujours. » Entre les murs d’une étonnante maison, nous suivons le parcours d’un duo mère et fille. Au sein de ce nouveau terrain d’expériences, elles s’accrochent, se cherchent, se rapprochent. Mambo, pour danser la joie des liens. Hey Mambo! On dirait que quelque chose pousse dans cette maison. L’enfance?
Après Des caravelles et des batailles, Éléna Doratiotto et Benoît Piret poursuivent l’exploration d’une écriture de théâtre singulière, avec le désir d’approfondir certaines de ses caractéristiques, comme la puissance évocatrice des mots, la liberté de jeu et la tension entre ces deux dernières. Si iels inscrivent cette création dans les traces de leur premier spectacle, c’est moins d’un point de vue formel que dans le désir d’y traiter « des strates d’imaginaires ». Avec une équipe d’actrices et d’acteurs complices, iels empruntent un chemin fracturé qui les intéresse par les risques et joyeux étonnements qu’il présage. L’action se déroulerait devant l’ancien palais d’une grande ville fantasmée et archaïque, où le soleil est rude, la mer toute proche et où se côtoient désirs, orages et couleurs. Ce palais aurait gardé de son histoire et de sa mémoire sa fonction de lieu d’annonce et de parole. De lieu de pressentiment et d’angoisse, aussi…
Sandrine est pole danseuse dans un bar à striptease. Quand elle est sur la barre, elle est invincible. Elle aurait voulu devenir actrice, mais bon. Trop tard. Ou pas ? Ce soir, c’est sa dernière nuit. Après, elle change de vie ! Crise schizophrénique ou hallucinations, elle reçoit la visite nocturne de trois drôles de dames toutes de rouge vêtues : Madame Monsieur, Madame R et Madame Sexe qui lui font revivre souvenirs d’enfance, secrets enfouis et situations gênantes liées au sexisme ordinaire. À la croisée du cabaret, du chant et du pole dance, cette performance onirique nous entraîne dans un univers psychédélique proche du Pays des Merveilles version hard.
Le monde n’a jamais autant surexploité l’image de soi. Trois personnages clownesques s’emparent du sujet. Entre dévoilement, mauvaise foi et acrobatie du cœur, ils cheminent devant vous. Ils triturent le sujet avec décalage et impertinence. Répondre à « Suis-je beau ? » sera leur piège ultime.   Une création pensée et écrite en lien avec des enfants de 8 à 12 ans.