Freestyle 2024, le festival gratuit de street culture revient à la Villette pour une édition extra

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Freestyle, le festival incontournable de la street culture est de retour à La Villette ! Danse, street-art, mode, musique, sport... Le festival gratuit de la street culture revient pour une nouvelle édition toujours plus incroyable, les 22 et 23 juin 2024. A ne pas manquer !

Tout un week-end dédié à la street culture sous toutes ses formes, pour une immersion totale dans l'art urbain. C'est le rendez-vous incontournable que l'on retrouve à la Villette, pour une neuvième édition, les 22 et 23 juin 2024. Le festival gratuit Freestyle est de retour dans une édition extra, spéciale Olympiade culturelle, pour notre plus grand plaisir !

Cette année, le festival Freestyle se déroule en extérieur, de jour comme de nuit, pour toujours plus de découvertes et de surprises. On se donne donc rendez-vous sur la Prairie du Cercle Nord le jour, et dans l'espace du Périphérique, entre le Kilomètre25 et le Jardin21 la nuit. Un événement en plein air, pour profiter de la liberté que nous offrent ces grands espaces, et pour s'amuser sous ce beau soleil de juin. Performances, ateliers, démonstrations et soirées nous attendent pendant ce week-end mémorable.

Au programme ? De la danse, du roller dance, du street-art, du basket, des défilés de mode, des DJ sets, des battle artistiques et de nombreuses activités ouvertes à tous. Bref, une grande fête populaire, que l'on ne manquerait sous aucun prétexte ! Des food trucks sucrés et salés sont présents chaque jour, pour nous permettre de profiter à fond de ce festival.

Samedi 22 juin

Dimanche 23 juin

Un programme de folie, pour un week-end de fête ! Ce mois de juin se termine sur les chapeaux de roue, avec Freestyle extra à la Villette.

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Tarifs: Gratuit

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Événements suggérés

Venez admirer les trésors de la Rome antique, en visitant l'exposition "Les chefs-d'œuvre de la collection Torlonia", au musée du Louvre, du 26 juin au 11 novembre 2024. Amoureux de l'art et de la culture, ne manquez pas cette exposition. Le musée du Louvre dévoile les chefs-d'œuvre de la collection Torlonia, des sculptures antiques romaines exceptionnelles, qui n'ont pas été montrées en France depuis près d'un siècle. Venez admirer ces œuvres incroyables du 26 juin au 11 novembre 2024. Les sculptures de la collection Torlonia appartiennent à une collection privée, constituée par les princes Torlonia, des nobles Romains qui ont construit leur fortune entre les XVIIIe et XIXe siècles. Cette famille de collectionneurs a œuvré durant tout le XIXe siècle pour trouver et acheter ces pièces antiques incroyables, et créer ce qui est aujourd'hui la plus grande collection privée de pièces antiques au monde. Rarement montrées au grand public, ces sculptures s'exposent au musée du Louvre dans un écrin lui aussi remarquable. On peut les admirer dans les appartements restaurés d'Anne d'Autriche, le siège des collections permanentes de sculptures antiques du musée parisien. Les œuvres françaises et italiennes entament ainsi un dialogue tout en grâce. Cette exposition permet bien sûr d'admirer des chefs-d'œuvre incroyables. Mais elle permet aussi d'interroger la passion occidentale pour l'art et la culture antique, et le rôle de ces objets d'art et d'Histoire dans la création des musées et des institutions qui préservent la culture. Le musée du Louvre accueille ainsi une exposition exceptionnelle, dans un cadre majestueux. Venez sans attendre découvrir l'exposition Chefs-d'œuvre de la collection Torlonia.
La mode et le design se sont donné rendez-vous à l'occasion de la nouvelle exposition de la Fondation Azzedine Alaïa, "Alaïa/Kuramata, la légèreté en création", du 24 juin 2024 au 12 janvier 2025. Prêt.e.s pour une virée arty et stylée ? L'exposition "Alaïa/Kuramata, la légèreté en création" investit la Fondation Azzedine Alaïa du lundi 24 juin 2024 au dimanche 12 janvier 2025. Un rendez-vous immanquable pour les fans de design et de mode ! Azzedine Alaïa, grand virtuose de la couture, a toujours été fasciné par l'art du designer japonais Shiro Kuramata, avec lequel il partage un rapport indéniable à la sculpture. Kuramata, avec son mobilier en acrylique, défiait les lois de la gravité, transformant le mobilier en oeuvres d'art légères et éthérées. Une amitié et une admiration qui se sont transformés en une collection unique depuis les années 2000, rassemblant des pièces cultes telles que "Pyramide Furniture" (1968), "Luminous Chair" (1969), "OBA-Q" (1972), "Glass Chair" (1976), "How High is the Moon" (1986), ou encore "Twilight Time" (1985). Déjà en 2005, Alaïa avait célébré le designer avec une exposition inédite, mais cette fois, la Fondation Azzedine Alaïa sort le grand jeu ! L'hôtel particulier, niché dans le Marais, dévoile plus de vingt pièces de Kuramata, mises en dialogue avec près de vingt créations haute couture d'Alaïa. Ici, la maille lurex répond au métal tricoté, l'acrylique transparent s'accorde aux mousselines délicates. Ensemble, ces oeuvres défient les lignes, et révèlent une passion commune pour l'abstraction et la perfection. Alors, ne manquez pas cette nouvelle exposition mode hybride, où la mode flirte avec le design en plein coeur de Paris !
Le Montmartre Festival investit de nouveau le 18e arrondissement pour une nouvelle édition. L'occasion de déambuler dans le quartier de Montmartre pour y rencontrer tous les arts ! Le Montmartre Festival 2024 aura lieu du 2 au 7 juillet 2024 pour sa deuxième édition. En réunissant des artistes et interprètes locaux, le festival souhaite rendre l'art plus accessible aux habitants du quartier, mais aussi aux visiteurs du monde entier de passage dans le magnifique quartier de Montmartre. Créé en 2023, le Festival propose des événements divers, aussi bien dans la rue que dans des salles de concert, dans tout le 18e arrondissement. Concerts, performances, expositions et ateliers sont au programme. Quartier d'artistes, Montmartre inspire encore aujourd'hui le travail de nombreux artistes que le festival souhaite mettre en avant. Coté concerts, il y en aura pour tous les goûts dans les rues, du jazz au rock en passant par le flamenco mais aussi dans la salle de concert de la Boule Noire, avec un accès payant, pour y voir Astrel K, NI, Ofé, Thomas Baignères, OH NON, Blastfem, SINAESTETICA, Moyre, Vinnie Marakas, Edouardo Florio Di Grazia, Matteo Sodano. Au niveau des expositions, elles sont toutes accessibles librement pendant toute la durée du Festival. Certains ateliers sont également en accès libre et d'autres sous réservations, et sont mis en place par des professionnels. Vous allez également pouvoir assister à diverses performances de danse dans les rues du quartier. Les enfants sont les bienvenus au Festival et une journée leur est même dédiée le mercredi 26 juin aux Arènes de Montmartre et au Square de la Turlure en libre accès et en lien avec les écoles et les centres de loisirs. Chaque jour du Festival sera organisé une grande chasse au trésor, avec des personnages montmartrois du 19e, joué par des comédiens, qui vous guideront vers les indices. Le Festival commence avec une soirée d'ouverture le mardi 2 juillet à partir de 17 h et termine avec une soirée de clôture le dimanche 7 juillet à 17 h. Retrouvez la programmation détaillée du Festival de Montmartre ICI.
Avis aux amateurs de Shepard Fairey ! Le célèbre street artiste américain, également connu sous le nom d’Obey, revient à la galerie Itinerrance, située dans le 13e arrondissement de Paris, pour y dévoiler "Swan Song". Cette nouvelle exposition personnelle de Shepard Fairey est à découvrir gratuitement du 20 juin au 26 juillet 2024. Les férus de street-art le savent, le 13e arrondissement de Paris est un véritable terrain de jeu pour de nombreux artistes. Cet été, la galerie Itinerrance, à l’origine du très beau projet Boulevard Paris 13, en partenariat avec la Mairie du 13e, fait de nouveau parler d’elle à travers une nouvelle exposition signée Shepard Fairey. Baptisée « Swan Song », cette installation est la troisième exposition du street artiste américain à la Galerie Itinerrance. Entre la galerie parisienne et Shepard Fairey, alias Obey, il y a donc une complicité et une belle fidélité qui se confirment au fil des années. Leur première collaboration remonte ainsi à 2016. Cette année-là, l’artiste contemporain originaire de Caroline du Sud investit la galerie du 13e pour y présenter son travail dans le cadre de l'exposition "Earth Crisis". En 2019, Shepard Fairey revient à la Galerie Itinerrance pour y dévoiler de nouvelles œuvres lors d’une rétrospective baptisée "Facing The Giant : 3 decades of dissent". En 2024, Obey réinvestit donc cette galerie d'art contemporain spécialisée dans l'art urbain à l’occasion de sa nouvelle exposition personnelle, "Swan Song". A découvrir gratuitement du 20 juin au 26 juillet 2024, cette nouvelle installation se veut une fois encore engagée et militante. « Les œuvres de mon exposition 'Swan Song' abordent les multiples menaces actuelles, dans l'espoir que l'art suscite un appel collectif suffisamment puissant pour inspirer un changement de cap, plutôt que de simplement servir de chant du cygne à notre tragédie collective » explique Shepard Fairey dans un communiqué publié par la Galerie Itinerrance. Le public et les nombreux admirateurs du travail de Shepard Fairey pourront ainsi y admirer de nouvelles œuvres de l’artiste présentées sous forme de peintures, de monogravures ou encore d’estampes. Attention, notez qu’un vernissage ouvert au public se tiendra le jeudi 20 juin 2024 de 18h à 22h, en présence de l'artiste ! On rappelle que Shepard Fairey a débuté sa carrière en apposant dans les rues des stickers « André the Giant has a Posse », représentant le catcheur français André Roussimoff. Certaines de ses œuvres sont devenues de véritables références comme ce portrait de Barack Obama accompagné du terme « hope ». Shepard Fairey a également créé un véritable lien avec la France. On se souvient notamment de l’installation éphémère en trois dimensions "Earth Crisis" sous la Tour Eiffel, durant la tenue de la COP21 à Paris ou encore sa fresque représentant la figure symbolique de Marianne sur fond tricolore, réalisée suite aux tragiques attentats du 13 novembre 2015.
A partir du 2 juillet, la Cité des Sciences active le mode "danse" avec sa toute nouvelle exposition immersive, Danser. Pile à temps pour les grandes vacances d'été, la Cité des Sciences inaugure sa toute nouvelle exposition jeune public dès le 2 juillet 2024, autour d'un thème universel : la danse. Du flamenco à la danse classique, en passant par la salsa, le contemporain, la valse et autres danses traditionnelles, la danse fait partie intégrante de la culture de chaque pays, de chaque région du monde. Art à part entière, moyen d'expression qui raconte tout par la gestuelle, la danse est aussi fédératrice que diverse : pour cette exposition inédite, la Cité des Sciences vous propose de placer le corps en mouvement, afin d'apprendre vous aussi, à vous exprimer à travers la danse. Pensé autour d'une expérience de visite insolite, Danser vous propose de mettre votre corps en mouvement lors d'un moment collectif dansé. À l'aide de dispositifs conçus en collaboration avec des danseurs et chorégraphes, c'est désormais vous, le roi ou la reine du dancefloor ! Sauter, tourner, marcher, se rencontrer, se poser : l'exposition est construite sur cinq parties avec un grand bal final au programme ! L'exposition est conçue pour les enfants de 4 à 8 ans, mais il est évidemment possible de vous y rendre en famille : pour la découvrir, il suffit de vous acquitter d'un billet d'entrée à la Cité des Sciences. Alors, on part y danser à la Cité des Sciences à partir de juillet ?
À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, Lafayette Anticipations vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, La Ruée vers l'or, du 19 juin au 1er septembre 2024. Un parc de loisirs artistique en accès libre et gratuit, imaginé par les élèves de la filière professionnelle du lycée Alfred Nobel de Clichy-sous-Bois, également proposé à l'Atelier Médicis de Clichy-sous-Bois du 1er juin au 28 juillet 2024. Lafayette Anticipations se met à l'heure des Jeux Olympiques de Paris 2024 et se transforme en un terrain de jeu inédit ! Le musée propose aux curieux et amateurs d'art une toute nouvelle exposition, intitulée La Ruée vers l'or, du 19 juin au 1er septembre 2024. Bien plus qu'une exposition, il s'agit d'une immersion totale dans un parc de loisirs conçu par les esprits innovants de 40 lycéens, en collaboration avec les Ateliers Médicis et ebb.global. Ces jeunes talents nous invitent à explorer leurs rêves et préoccupations à travers une expérience ludique et interactive, reflétant un monde à la fois déréglé et idéal. Notez également que les Ateliers Médicis propose aussi une partie des œuvres, du 1er juin au 28 juillet 2024. Ce projet est le fruit d'un travail minutieux et pluriannuel, orchestré par ebb.global, le corps enseignant, et bien sûr, les lycéens eux-mêmes. Le parc se veut une réflexion profonde sur de nouvelles pratiques sportives, nées de l'imagination débordante de ces jeunes, s'inspirant de parcours sportifs atypiques ou proposant des règles du jeu inédites. L'espace d'exposition, empruntant les codes visuels de l'industrie du divertissement, propose une alternative audacieuse à notre société, questionnant ses valeurs et ses normes établies. La collaboration entre le lycée Alfred Nobel de Clichy-sous-Bois, les Ateliers Médicis et ebb.global tendent ainsi, à travers cette exposition, à valoriser les compétences des jeunes et à ouvrir de nouvelles voies professionnelles. La Ruée vers l'or ne se contente pas d'offrir un divertissement : elle représente une véritable machine à rêves, réimaginant les parcs de loisirs comme des lieux de réflexion et d'inspiration. À travers maquettes, installations et un manga édité pour l'occasion, ce projet pluridisciplinaire offre une vision unique sur les grands mythes contemporains, invitant chacun à se laisser emporter dans un voyage au cœur de l'imaginaire collectif. Prêt pour un voyage divertissant et coloré ?
Transumanze est un projet vidéo, pictural et artistique itinérant du street artiste Alberto Ruce, en collaboration avec la graphiste et vidéaste Carla Costanza, entrepris en 2019. Découvrez-le à la Galerie Nature Forte du 12 au 29 juin 2024 ! TRANSUMANZE, L’EXPOSITION La genèse de la série Transumanze d’Alberto Ruce est une recherche sur la micro-migration, le dépeuplement des petits villages ruraux, l’abandon des traditions ancestrales et le lien fragile entre l’homme et la nature. Cette série a été nourrie par la création d’un projet artistique itinérant, "Transumanze Project", ainsi que par des recherches anthropologiques, des résidences artistiques, des peintures, des interventions d’art public, ou encore des interviews vidéo qui ont ensuite donné vie au documentaire «Perché sei qui» (Pourquoi es-tu ici) réalisé par Carla Costanza. Les lieux qui ont inspiré la série Transumanze sont des petites réalités marginales : villages anciens, quartiers isolés et dégradés, campagnes abandonnées, villes fantômes, réalités présentes partout dans le monde, comme en Sicile, où Alberto Ruce a vécu jusqu’à ses 19ans. Cette exposition veut raconter le parcours que cet artiste a entrepris, physiquement et artistiquement, dans une réalité oubliée par notre société, à travers les villages et les campagnes. C’est un homme qui regarde ce monde disparaître, à la fois fasciné et choqué. C’est le regard d’un citadin, originaire d’un petit village, et parti s’installer dans des grandes villes européennes, qui, revenant un temps sur sa terre natale, se passionne pour ce sujet et découvre à proximité immédiate un monde autrefois prospère qui s’éteint, des méthodes ancestrales oubliées, des coutumes anciennes qui ont disparu, des lieux et des personnes abandonnés à leur sort. Des pans entiers de tradition s’effacent, la mémoire des gestes séculaires et de leurs significations symboliques, ou celle de pratiques comme la confection du fromage, le paillage de chaises… disparaissent, au bénéfice d’une vie standardisée des grandes villes. Ses portraits d’artisans, de pêcheurs traditionnels, de bergers, d’animaux de pâturages qui nous regardent, ses représentations de méthodes artisanales, sont toujours le fruit de rencontres avec les hommes et les femmes qui détiennent encore ces savoir-faire. A travers ses œuvres – peinture, dessin ou photo – c’est un monde ancestral, complexe et simple à la fois, qui disparaît sous les yeux de l’artiste, un monde qu’il semble seulement découvrir et qui pourtant semble déjà évanoui. "From wall to canvas" est le sous-titre de cette exposition : La plupart des œuvres de la série prennent comme référence des peintures murales réalisées ultérieurement par l’artiste, créant ainsi une série d’œuvres qui sont transportées « du mur à la toile », changeant ainsi de destination, d’éphémère à pérenne. Les œuvres destinées au regard de tous, deviennent intimes. La volonté de l’artiste devient alors de garder une trace de sa propre évolution. TRANSUMANZE, LE PROJET Transumanze est un projet vidéo, pictural et artistique itinérant, débuté en mars 2019, en Sicile. Toujours actif, il a été créé par le street artiste Alberto Ruce en collaboration avec la graphiste et vidéaste Carla Costanza. En 2019, pendant le projet, les artistes ont mené une recherche sur le territoire pour choisir leurs lieux d’intervention, en cherchant des réalités presque perdues, marginales, en Sicile, pour la plupart des petits bourgs abandonnés ou des villages dépeuplés. Pour chacune des 10 étapes, ils ont travaillé en étroite relation avec les associations locales qui ont soutenu le projet et les ont aidés à développer une médiation avec les habitants du territoire. Les échanges avec les habitants ont contribué à la découverte par les artistes des coutumes et traditions locales ; en racontant leurs histoires et les problématiques des lieux qu’ils habitent, ils ont ainsi enrichi la recherche et le projet. Chaque étape donne vie à une peinture murale, en accordant une attention particulière à la création d’un lien entre l’œuvre et le territoire qui l’accueille. La plupart des images utilisées pour créer les peintures murales et les autres œuvres sont extraites de séquences vidéo de Carla Costanza. Comme empreinte de son expérience, elle a réalisé « Perché sei qui » (Pourquoi es-tu ici), un documentaire intimiste qui parle du rapport de la vidéaste avec ce territoire, nourri par ses entretiens avec les habitants de ces lieux. L’ensemble du projet Transumanze est un hommage aux habitants, à l’histoire des lieux et aux problématiques auxquelles le territoire est confronté. Les thèmes abordés par le projet ne concernent pas seulement le pays natal des deux artistes, tous les deux siciliens, mais concernent aussi bien d’autres territoires, ailleurs. Le projet Transumanze veut poursuivre son parcours en explorant et en mettant en lumière d’autres réalités similaires à travers le monde. L’ARTISTE Alberto Ruce est né en Sicile en 1988. Artiste peintre, il travaille aussi bien dans le tissu urbain qu’en atelier.A 13 ans il commence à expérimenter les sprays, le tag, et se familiarise au monde du graffiti. Il débute son parcours artistique de façon complètement autodidacte, un parcours fait d’observations et de confrontations avec d’autres graffeurs. En 2009, il s’installe à Paris pour cinq ans. Cette période lui donne l’occasion de rencontrer de nombreux artistes et de participer à divers évènements comme des festivals nationaux et internationaux.De 2011 à 2014, il suit les cours de dessin, peinture et perspective à de l’Atelier des Beaux-Arts de Paris.Actuellement Alberto Ruce vit à Marseille, où il a installé son atelier. Il y travaille sur différents projets artistiques qui lui permettent notamment de tisser du lien entre la France et l’Italie. L’univers pictural d’Alberto Ruce est poétique, onirique et délicat. Sa recherche picturale est axée sur la transparence et sur le ton sur ton. Les thèmes qu’il aborde sont souvent liés à la perception sensorielle, aux liens qui lient l’Homme et la nature.C’est l’évanescence de ses sujets qui caractérise ses œuvres. La peinture se fond aux supports qui l’accueillent (bois anciens, cartons, pierres, toiles…). Dans la rue il joue avec les teintes et aspérités des murs et porte une attention particulière au contexte et à l’histoire des lieux qu’il investi.
Le samedi 6 et dimanche 7 juillet 2024, le musée du Quai Branly vous accueille en famille lors d'un week-end d'animations pensées pour petits et grands. C'est parti ! Le week-end du 6 et 7 juillet 2024 après-midis (de 14h à 18h), le musée du Quai Branly vous emmène tout droit au Mexique, lors de deux journées riches en animations pour petits et grands. Prenez votre pass Navigo, direction le pays de l'aigle royal et des sombreros ! Au programme ? Venez découvrir les collections permanentes ainsi que l'exposition temporaire du musée, participez à des ateliers artistiques et créatifs ou encore, des jeux, contes... Autour de l'exposition du moment, Mexica, des dons et des Dieux. Dès 3 ans, venez découvrir les spectacles, concerts et balades contées au sein de ce musée dédié aux arts venus du monde entier. Pour participer aux diverses animations prévues, il faut néanmoins vous acquitter du billet d'entrée au musée : comptez 14 € en tarif plein, 11 € en tarif réduit et gratuit pour les moins de 18 ans. Bonne visite ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
L'artiste Thomas Mailaender a reçu carte blanche : il expose ses créations originales à la Maison Européenne de la Photographie, du 12 juin au 29 septembre 2024. La Maison Européenne de la Photographie accueille Thomas Mailaender et ses créations loufoques et originales du 12 juin au 29 septembre 2024. L'artiste présente ses œuvres dans l'exposition Les belles images, et nous entraîne dans son univers singulier et résolument moderne. Cette exposition prend la forme d'une rétrospective, qui réunit des photographies et des installations anciennes, ainsi que des créations pensées spécifiquement pour cette exposition. L'artiste a reçu carte blanche pour nous étonner et nous séduire. Thomas Mailaender est connu pour ses expérimentations et ses recherches visuelles, qui explorent les limites, l'essence même de la photographie. L'artiste souhaite redéfinir le rôle de l'image, en jouant à la fois avec des clichés trouvés dans des brocantes et des marchés aux puces, et avec des images collectées sur Internet. Un mélange d'ancien et de nouveau qui traduit une curiosité et un amour profond pour la photographie et l'iconographie. Tel un savant fou, le photographe français expérimente dans son laboratoire, pour créer des clichés originaux, souvent décalés. Les objets, les supports sont détournés, réinventés pour remettre en question notre perception de la norme, des habitudes, des usages. Amoureux de la photographie, plongez dans le monde surprenant de Thomas Mailaender et découvrez une autre vision de l'image et de la photo. Une exposition à voir cet été à la MEP.
Du 14 juin au 13 juillet, 12 artistes s'emparent de l'Aiguillage des Frigos de Paris. Redécouvrez le textile, bien plus qu'un matériau, à travers cette exposition collective multimédia. Entrée libre ! Depuis sa création, L'Aiguillage, galerie d'artistes et de soeurs, oeuvre à favoriser la mise en lumière des artistes femmes. Ici particulièrement, dans ce médium particulier qu'est le Textile, dans son versant éminemment artistique pour "Textile et Fil contemporain". Une discipline, un matériau, qui ont évolué vers des pratiques bien différentes du quatuor crochet / tricot / patchwork / couture et autres "DasSe-temps traditionnels" réservés aux femmes, vers le champ d'expressions plasticiennes authentiques, contemporaines et innovantes. Cette exposition collective multimédia entend en rendre compte et contribuer à faire sortir cette pratique de la case un peu désuète dans laquelle on a souvent voulu la confiner, alors qu'elle révèle la fantaisie, le savoir-faire, l'originalité, l'inspiration, des 12 créatrices sélectionnées : Helen BanzhafMireille CambauGuacoldaLetizia GiannellaStéphanie OlivarHelen BanzhafFrédérique GourdonCarla CiuffoMai Khan Pham ToSigrid Hynell FleischerAlais Raslain & Anaid FleigFlorence Guillemot Venez assister au vernissage, le jeudi 18 juin à partir de 19h30, entrée libre & gratuite. Les Frigos, avec son château d'eau, est un site mythique du 13ème arrondissement de Paris. Plus de 10 000 mètres carrés répartis sur 5 étages d'anciens entrepôts frigorifiques, bâtis en 1929 sur une vaste friche ferroviaire destinée à stocker à Paris les denrées fraîches, congelées sur place et à fabriquer des tonnes de pains de glace ! À la fin des années 80, tous les espaces, un temps laissés à l'abandon, ont été investis, transformés en ateliers d'artistes, studios d'enregistrement, de productions, et sont devenus le centre d'activités artistiques, culturelles et festives le plus underground de Paris. En 2023, environ 80 ateliers d'artistes et de créateurs en tout genre continuent d'y créer, d'y travailler et d’y exposer, malgré l’absence de rénovation du site annoncée depuis des dizaines d’années mais toujours repoussée. De nombreux ateliers sont aujourd’hui vides, que la Ville de Paris ne relouent pas, « tant que les travaux de rénovation n’auront pas été effectués ». Il règne toujours aux Frigos une belle énergie, mais ce dépeuplement progressif nuit à la vitalité du lieu.