Avec cette exposition qui met en lumière les œuvres de ses élèves en situation
de handicap, l’artiste peintre Michel Buzin nous invite à questionner notre
conception de la normalité et de la différence…Michel Buzin – Bzn EcauEntrée
libre
Agnès Piantadosi
Description
Diplômée de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (section peinture) et de l'Académie des Beaux-Arts de Charleroi (section dessin), elle s'est passionnée pour la couleur sous tous ses aspects : harmonie, contraste, symbolique.Elle affectionne particulièrement l'aquarelle et la tempera (peinture à l'œuf) qui permettent une luminosité exceptionnelle des tons.Agnès construit ses tableaux à la tempera comme les pages d’un cahier. Elle nous raconte une histoire qui défie le temps et l'espace. L'histoire éternelle de notre âme qui décide de s'incarner pour vivre une aventure humaine.Ensuite, elle élabore ses tableaux comme un parfum : notes de tête, notes de cœur et notes de fond. Les éléments figuratifs succèdent aux éléments abstraits. On ne sait trop s'ils apparaissent ou disparaissent. Chaque tableau est semblable à une fragrance unique qui évoque des émotions, des sensations, des souvenirs variables et divers selon chacun.e.Au final, chaque tableau nous emmène dans un voyage introspectif et méditatif.
Peinture
Information sur la date
Vendredi: de 19:00 à 22:00. Samedi: de 14:00 à 18:00. Dimanche: de 14:00 à 18:00. Du 26 au 28 mai
Lieu
Organisateur
Vous organisez cet événement ?
Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.
Nous contacter1 Photo
Événements suggérés
Pauline Gobert a trouvé son équilibre en utilisant son hypersensibilité dans
différents projets créatifs (peintures et illustrations). Ses intérêts pour la
spiritualité et le développement personnel se ressentent beaucoup dans ses
œuvres. Des instants figés, un peu flous, le plus possible dans la douceur des
lumières et des couleurs.
Une expo-animation pour découvrir la démocratie communaleAprès avoir construit
leur ville idéale, les participant·e·s feront le lien avec le fonctionnement de
la démocratie communale. Ils échangeront leurs points de vue, détermineront les
priorités de la commune et gèreront la prise de décisions face à des situations
concrètes. Ils organiseront ensuite leurs propres élections communales :
création de partis, constitution de programmes, vote et dépouillement. Ils·elles
tenteront de signer un pacte de majorité pour gérer la commune. D’autres
manières de faire fonctionner la démocratie seront également abordées
(démocratie participative, directe, par tirage au sort…). Les élections
provinciales seront également évoquées.Horaire : L>V : 09h00 > 12h00 ou 13h00 >
16h00 - Durée 3h00Public : groupes d’adultes et de jeunes à partir de la 5ème
primaire (versions adaptées en fonction de l’âge) max. 30
participant·e·sInscription indispensable par téléphone (064/84.99.74) ou par
mail ().
Une expo-animation de sensibilisation aux élections régionales, fédérales et
européennes.La réalité institutionnelle (belge et européenne) est complexe mais
pas inaccessible… La meilleure manière de la comprendre est de la vivre ! Après
une première phase permettant d’identifier les différents niveaux de pouvoir et
leurs compétences au travers d’un jeu interactif, les participant·e·s sont
amené·e·s à réaliser leurs propres élections (formation de partis, élaboration
de programmes, campagne électorale, organisation du scrutin, dépouillement…), à
tenir compte des différentes circonscriptions et, le cas échéant, à composer une
majorité.Horaire: du lundi au vendredi de 09h à 12h ou de 13h à 16hPublic:
groupes d’adultes et de jeunes à partir de 14 ans (versions adaptées en fonction
de l’âge) max. 30 participant·e·sInscription indispensable par téléphone
(064/84.99.74) ou par mail ()Une initiative de : la Maison de la Laïcité de La
LouvièreEn partenariat avec : l’Info J du Centre Indigo, la Cellule Démocratie
et Citoyenneté du Secteur Education permanente et Jeunesse de la Province de
Hainaut, Soralia-régionale du Centre et de Soignies et Latitude Jeunes du
Centre, Charleroi et Soignies.
Pour la première exposition du cycle "Carte blanche", le BPS22 a sollicité le
critique d’art et commissaire d’exposition Claude Lorent (Charleroi, 1943).
Celui-ci a choisi de retracer l’itinéraire pictural d'Éric Fourez (Tournai,
1946) qui s’étend de 1974 à nos jours.
Dès les années 1970, l’artiste réalise des petites peintures d’inspiration
surréaliste et littéraire dont ne subsistent que deux exemplaires, témoins d’une
influence rapidement abandonnée. Sa pratique artistique change alors rapidement.
Attiré par l’hyperréalisme à base de photographie, il s’en distingue d’emblée en
optant pour une peinture à tonalité monochrome bleue, légère et lumineuse. Ses
sujets de prédilection sont les vagues et des vues de la mer du Nord ; elles
évoquent l’ailleurs, le voyage, l’évasion. Ce sont des rochers à Ploumanach, des
autoroutes, des aéroports, des cabines de plage… et bientôt les premières traces
de pas dans le sable. En 1984, ses toiles passent au gris, puis s’estompent
légèrement et, dès 1986, le blanc s’impose. Le sujet devient trace, la
figuration devient allusive et semble parfois se dissoudre dans l’abstraction.
Pour Claude Lorent, l’itinéraire est remarquable : "Depuis, selon un processus
créatif invariable, inlassablement, résolument, Éric Fourez peint des paysages
marins fascinants, des bords de plages ravinés, creusés, modelés par le flux, le
reflux, le ressac, par la puissance ou la douceur des vagues qui vont, viennent,
se retirent et reviennent. Qui meurent sur le sable avant de remonter à
l’assaut, plus déterminées et plus vivantes que jamais.
Hymne à la vie et à la nature, images du destin, vanités autant que paysages,
ces peintures de l’espace infini et de la blancheur, silencieuses, solitaires,
évocation du passage du temps, de la fragilité des êtres et des choses, de
l’éphémère et du combat contre l’inéluctable effacement jusqu’à la disparition,
se déclinent en toutes tailles, en tous formats, invitent à regarder et
réfléchir, à vivre l’enchantement, à méditer, à prendre conscience de soi, de
notre terre à respecter et de l’univers incommensurable."
Première grande rétrospective muséale de l’artiste, l’exposition rassemblera
plus d’une cinquantaine de peintures sur toile, de formats intimes à des œuvres
de 4,2 m x 2 m, ainsi que des documents. À cette occasion, Éric Fourez rend
aussi hommage à ses amis artistes, avec des œuvres de Gabriel Belgeonne, Pierre
Courtois, Gaston De Mey, Jephan de Villiers, Patricia Dopchie, Francis
Dusépulchre, Jean-Michel François, Jack Keguenne, André Lambotte, Michel
Mineur, Baudouin Oosterlynck et Guy Vandenbranden.
Éric Fourez
!!!!!!!!! SYMPOSIUM DE METAL - CONCOURS DE SCULPTURE !!!!!!!!!!
Suite à de nombreuses années de travail au sein du lieu emblématique du
Rockerill, plusieurs artistes du collectif résidents, (TDLA - tête de l’art), se
réunissent aujourd’hui autour d’un projet commun. Celui de mettre en place un
concours de sculpture sur métal, inédit en Wallonie.
Le projet tombe sous le sens ! Le lieu; porteur de mémoire sidérurgique, mais
aussi les artistes; sculpteurs du collectifs, qui depuis tant d’années
pratiquent la matière pour la sublimer. Ceux-ci ouvriront les portes de leur
terrain de jeu, le temps d’un festival de quatre jours, lors duquel ils
accueilleront une dizaines d’artistes venant de tout bord. Ces derniers auront
pour défis de réaliser une sculpture sur le temps imparti avec les matériaux mis
à disposition.
Programme:
Du 16/05 au 19/05: 4 jours de workshop ouvert au public
Ve 17/05- SA 18/05 : Conférences et témoignages sur les lieux et la matière
Sa 18/05 : Concert
A partir du 16/05 : Expo TDLA
Di 19/05 : Prix du meilleur sculpteur
DJ set en soirée
Comme disait Mouloudji : l'amour, l'amour, l'amour ...
Comme disait Dalida : Paroles, paroles, paroles...
Après le beau temps : la pluie.
Après la tempête : le calme.
Exposition pluridisciplinaire sur le culte de l'amour contemporain,
L'amour des autres, l'amour de soi, les bornes et les limites.
Nos relations sont comme une grande fête foraine, une foire à la saucisse, un
parc d'attraction.
À quel point sommes-nous capables de jouer pour arriver au grand boss de la fin
?
Le grand bonheur (d'ailleurs c'est qui celui la ?).
Game Over, tout recommencer à zéro.
Peinture, édition, installations, papier mâché, amour & grigris divers
En Collaboration avec BAMBI & CARBONE
_____
Infos pratiques
⭢ Du 8 mai au 8 juin
⭢ Vernissage le 8 mai à 19:00
⭢ Expo accessible les mercredis, vendredis et samedis de 14:00 à 18:00
Cet été, le Domaine du Château de Seneffe vous embarque pour un voyage culturel
inédit. Au gré d’un parcours poétique et surprenant, 6 artistes - D. Fauville,
Hoze, P.-A. Rémy, Q. Rivage, E.Tomkowiak, C. Van Assche - ont installé leurs
œuvres en différents endroits du parc.
Sur nos trajets quotidiens se dressent des lieux désertés par la vie. Des
maisons où personne n'est entré depuis longtemps avec les rideaux gris, les
châssis abimés, la boîte aux lettres qui ne tient plus et la végétation qui
prend parfois le dessus. La plupart d'entre nous ne les remarquent pas, d'autres
les regardent avec curiosité, et puis il y a ceux qui franchissent les portes
pour immortaliser le temps qui s'est arrêté.
🥂 Vernissage le 31 Mai 2024 à partir de 19h
🖼 Exposition du 1er au 9 Mai 2024 de 14h à 18h
📍Galerie du parc:
53 Avenue Emile Herman
7170 Fayt-Lez-Manage
Entrée libre
Avec le soutien du foyer culturel de Manage
Dites nous si vous êtes intéressés sur Facebook:
https://tinyurl.com/3mhkjwa6
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre
les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou
dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan.
Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont
peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies
silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour
aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au
lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À
supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une
interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les
autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous
parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la
fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque
rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de
vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se
distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un
tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui
ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages
d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui
n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse
recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver
son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que
vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de
couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en
quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous.
Ludovic Degroote