Journées du Patrimoine à Uccle - Balades et conférence sur l'Art Nouveau

Description

Le Service Culture et la Ferme Rose s'associent pour les Journées du Patrimoine, proposant deux balades architecturales et une conférence sur l'Art nouveau. La première visite, organisée avec Pro Velo, explore le patrimoine art déco et art nouveau de la commune. La seconde, organisée avec Bruxelles Bavard, nous présente les œuvres remarquables d'Horta, Vizzavona, Pelseneer et Blérot. Les deux balades se terminent à la Ferme Rose par une rencontre autour des Nouveaux regards sur l’art Nouveau avec le rédacteur en chef de la Revue Natrimoine, Christophe Mouzelard.

> Balade à vélo, le dimanche 17 septembre, de 13h00 à 15h30 (FR) - Gratuit / Sur réservation : https://heritagedays.urban.brussels/fr/programme/uccle/lavenue-brugmann-a-nouveau-quartier-art-nouveau/

> Balade à pied, le dimanche 17 septembre, de 13h30 à 15h30 (FR/NL) - Gratuit / Sur réservation : https://heritagedays.urban.brussels/fr/programme/uccle/art-nouveau-art-deco/

> Conférence, le dimanche 17 septembre, de 16h à 18h à la Ferme Rose ( avenue De Fré 44)
Gratuit / Pas de réservation - Plus d'infos : https://heritagedays.urban.brussels/fr/programme/uccle/nouveaux-regards-sur-lart-nouveau/

Activités soutenues par Urban Brussels.

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

L'effaceur transforme le graffiti. Il le triture, le chatouille, le dissout, le malaxe, le déconstruit... Même s'il n'est plus lisible, il est rare qu'aucune trace ou spectre ne subsiste. Paradoxalement, si le nettoyeur a souvent plus de temps, d'outils et de techniques à disposition que l'auteur du graffiti, son résultat est moins maîtrisé, plus aléatoire. Cette collaboration involontaire mais prévisible de ces deux énergies peut donner un résultat doux et subtil de deux moments d'intervention non coordonnés.
Emilie Danchin conveys questions in her work pertaining to the realism of photography by involving the body in the pho- tographic space. It is very vibrant as well as an organic ad- venture. Emilie Danchin does not photograph reality as such, but a kind of dream rooted in the subject, to a certain extent a somewhat inhabited or animated dreamy reality. To this effect, the photographic act extends to a personal phenome- nology and the progressive creation of a visual language ca- pable of relaying a personal experience charged with images and emotions that, universally recognisable, are likely to stir viewers’ feelings, disrupt thought and trigger dreams. Emilie Danchin introduces here Le Bois des Rêves, the culmi- nation of a performance and photographic work achieved in a property that is noteworthy in terms of its architecture, as well as its gardens, in the Arts-and-Crafts style. This heritage site lent itself to her proposal to have the freedom to take over a space and a body, hers in this case. She tackles the question of origins in a foreign place in a paradoxical way. It substitutes a space that no longer exists, which represents her origins. This property conjured up, through a combination of me- mories, her own English place of birth, the houses belonging to her grandmothers, their gardens in the countryside and seaside, baths, woodworks, smells, clothes, furniture, musica- lity... a whole atmosphere that is generally, culturally familiar to her. And at the same time, it recalled absence, missing people, invasion and emptiness of the body and a house that until recently remained within the same family, loss and the parentage that was interrupted. By means of self-portrait, Emilie Danchin wondered what the inside of the house would look like. How would the emotions generated by the exterior of the house be conveyed in her outside landscapes? How would she extri- cate her body from the matter to render it in a landscape having similar characteristics? How would time intervene in this memory-enhanced place where her own body, her robe and some of her clothes combined with those that belonged to three generations of women, the house, gar- den, the photographic act itself have jointly become the template for a vital identity-related fiction? Her aim was to found her hope of investing a space, materialising and filling a form of absence, the place of the origins, a kind of double of another imaginary space, distant and close, inaccessible, erased, deleted, having left the body and the house and nevertheless, inalienable yet. Le Bois des Rêves is carried by the the artist’s body postures, which has become a sensitive measure of the evocative potential of the place. Equally, the place has given live to non-material memories, the vague outlines of which could not have stood out without this inseparable staging of her body and the space. The photographic medium is presented in a variety of aspects, black and white, colour, varying formats and scales, as well as dialogue between fiction and observation. Video is added to this. Processed as stills, this lends the ensemble a form of heartbeat in real time as such of perception through gaze. This results in an art form in several phases, the assembly of which in its entirety impresses a circular motion in space and physically creates time. Intimating the desire to go on reconnais- sance, this photographic form espouses the volatility of space and time, emotions, dreams and the sense of self. One marvels before the representation of the memory space, whose autobiographical form is that of an absolute memory and of a dream.
Het Volk der Introverten is een geboetseerde menigte bestaande uit hoofdjes van klei met ogen dicht, gemaakt door vele handen. Onder leiding van kunstenaar Mirthe Dokter (Pollif Projects) wordt je meegenomen in een zoektocht van je handen naar jezelf, met de klei als vriendelijke bondgenoot. Door een moment gezamenlijk introvert te zijn poogt Mirthe deze kant van de mens meer ruimte te geven in het dagelijkse leven. Ook biedt het kunstwerk een podium aan de mensen die zich ongezien voelen. Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan komt, opnieuw onzichtbaar.
Visite en tram (merci de prévoir un titre de transport valable). Entamée à la fin du 18ème siècle, dans le Quartier Royal, la modernisation de l’espace urbain bruxellois va connaître son grand développement un siècle plus tard dans le cadre de l’extension extraordinaire de la ville. Dans ce « tournant du siècle », Bruxelles, alors en pleine explosion démographique, s’étend le long de sa première ceinture, entre autres dans les communes d’Ixelles ou de Saint-Josse. Certains quartiers du centre historique, seront « modernisés », d’autres sortiront de terre, parallèlement au succès du tramway. Cette visite, qui vous fera traverser plusieurs communes, prend comme point de départ le quartier des étangs à Ixelles dont le caractère paysagé et l’architecture soignée s’adaptent parfaitement au cadre naturel de la vallée du Maelbeek. Un voyage en tram emmènera ensuite le visiteur à la découverte d’autres sites tels l’avenue Louise et son urbanisme de prestige, ou le Petit Sablon, chef d’œuvre de l’historicisme au cœur de la ville médiévale. C’est sur le site du Botanique et dans son extraordinaire jardin de sculptures fin-de-siècle que ce voyage à travers le Bruxelles fin-de-siècle se clôturera. Durée : 2h Départ : À l’angle de la rue du Lac et de la rue de la Vallée, 1050 Bruxelles Fin : Botanique (Rue Royale 236, 1210 Bruxelles)
Aux marges d’Uccle coexistent des villas luxueuses ou moins, des cités-jardins et des cités sociales, des lotissements, des immeubles de standing, des alignements de maisons « bel étage », mais aussi des noyaux villageois. Entre ceux-ci, il y a aussi des espaces non bâtis : zones semi-naturelles, réserves naturelles, parcs, plaines de jeux, friches, potagers, bois et même des terres agricoles. Et pour relier tout ça, des chemins, vicinaux ou non, des rues paisibles, des trottoirs bordés de haies, en pavés, en terre ou en dalles. Durée : 2h Lieu de départ : Devant la friterie du Bourdon, chaussée d’Alsemberg 1155, 1180 Uccle
********** Français ********** Dans les arts du spectacle, les marionnettes et les masques sont des outils pour les acteurs afin de donner vie aux personnages. Dans l'ancienne utilisation cérémoniale de ces objets, ils étaient destinés à habiter une "âme", à la loger comme un vaisseau et à lui permettre de revivre une fois de plus. Le travail de Matt marche sur la ligne entre ces mondes. Même immobiles en exposition, son objectif est que les masques et les objets donnent l'impression d'être vivants. Le résultat souhaité nécessite un processus sensible de sculpture de leurs expressions subtiles, combiné au choix des matériaux. Il utilise le bois, le papier, des colles organiques et de l'argile car il croit que ces matériaux portent une vibration de vie qui peut être perçue par un public. Hébergée dans l'inspirant espace de la Project(ion) Room, l'œuvre habitera différents lieux pour créer un environnement dans lequel on peut déambuler, explorer et contempler. La plupart des pièces proviennent de la collection personnelle de Matt, telles que des masques en papier et des marionnettes en frêne, bien que plusieurs objets soient empruntés à d'anciens clients. Des grandes impressions photographiques de son travail par Teis Albers sont également exposées. Le dimanche 19 et le lundi 20, les œuvres prendront littéralement vie lors de deux performances spécifiques au site et largement improvisées. Matt collaborera avec ‘performance artist’ Ruben Mardulier et le musicien Jean-Jacques Duerinckx et ensemble, ils permettront aux objets et à l'atmosphère de déterminer les histoires qu'ils souhaitent partager. Une marionnette endormie auparavant peut soudainement se réveiller alors qu'un masque flottant apparaît des coins cachés... Les inspirations pour le travail de performance viennent du théâtre physique, de la danse butoh et du théâtre de masques et de marionnettes japonais. BIO MATT JACKSON est un fabricant professionnel de marionnettes et de masques pour le cinéma, le théâtre et les beaux-arts avec plus de 20 ans d'expérience. Originaire des États-Unis, il est désormais basé aux Pays-Bas où il crée des œuvres sur commande et produit ses propres performances et expositions. Certaines créations sont utilisées par le maître marionnettiste Kanroku à Osaka, Japon ; la compagnie Ulrike Quade à Amsterdam, Pays-Bas ; Créa-Théâtre à Tournai, Belgique, et bien d'autres encore. Ses recherches personnelles portent sur l'utilisation de matériaux et de méthodes organiques/non toxiques. Et une prise de conscience de la durabilité dans les arts l'inspire également à travailler avec des "objets trouvés" qui donnent un élément d'imprévisibilité à son processus de conception. Matt anime régulièrement des cours professionnels de fabrication dans son studio à 's-Hertogenbosch, et a également enseigné au Figurteatret i Nordland (Stamsund, Norvège); à l'École Nationale Supérieure des Arts de la Marionnette (Charleville-Mézières, France); au Centre de la Marionnette (Belgique) et à la Central School of Speech and Drama (Royaume-Uni). ********** Nederlands ********** In de podiumkunsten worden poppen en maskers door acteurs gebruikt om personages tot leven te brengen. personages tot leven te brengen. In het oude ceremoniële gebruik van deze voorwerpen waren ze bedoeld om in een 'ziel' te wonen, deze als een vat te huisvesten en opnieuw te laten leven. opnieuw. Matt's werk beweegt zich op de grens tussen deze werelden. Zelfs als ze onbeweeglijk tentoongesteld worden dat de maskers en objecten voelen dat ze leven. Het gewenste resultaat vereist een gevoelig proces van beeldhouwen van hun subtiele uitdrukkingen, in combinatie met de keuze van materialen. Hij gebruikt hout, papier, organische lijm en klei, omdat hij gelooft dat deze materialen een levendige betekenis hebben. Hij gelooft dat deze materialen een levendigheid in zich dragen die kan worden waargenomen door een publiek. Ondergebracht in de inspirerende Project(ion) Room, zal het werk verschillende locaties bewonen om een omgeving te creëren waarin je kunt ronddwalen, onderzoeken en contempleren. om een omgeving te creëren waarin je kunt ronddwalen, onderzoeken en nadenken. De meeste stukken komen uit Matt's persoonlijke collectie, zoals papieren maskers en aspoppen, nou ja papieren maskers en aspoppen, hoewel verschillende objecten zijn geleend van voormalige klanten. Grote fotoafdrukken van zijn werk door Teis Albers worden ook tentoongesteld. Op zondag 19 en maandag 20 komen de werken letterlijk tot leven in twee locatiegebonden, grotendeels geïmproviseerde voorstellingen. site-specific en grotendeels geïmproviseerde performances. Matt werkt samen met performancekunstenaar Ruben Mardulier en muzikant Jean-Jacques Duerinckx, en samen laten ze de objecten en de sfeer de verhalen bepalen die ze willen delen. en sfeer de verhalen laten bepalen die ze willen delen. Een slapende pop kan plotseling wakker worden als een zwevend masker uit verborgen hoeken tevoorschijn komt... Inspiratie voor het performancewerk komt van fysiek theater, butohdans en masker- en poppentheater. Japans masker- en poppentheater. BIO MATT JACKSON is een professionele poppen- en maskermaker voor film, theater en beeldende kunst met en beeldende kunst met meer dan 20 jaar ervaring. Hij komt oorspronkelijk uit de VS en is nu nu gevestigd in Nederland waar hij werk in opdracht maakt en zijn eigen voorstellingen en tentoonstellingen produceert. Sommige van zijn creaties worden gebruikt door meesterpoppenspeler Kanroku in Osaka, Japan; het Ulrike Quade gezelschap in Amsterdam, Nederland; Créa-Théâtre in Tournai, België, en vele anderen. Haar persoonlijke onderzoek richt zich op het gebruik van organische/niet-toxische materialen en methoden. giftige materialen en methoden. En een bewustzijn van duurzaamheid in de kunst inspireert haar ook om te werken met 'gevonden voorwerpen' die een element van onvoorspelbaarheid toevoegen aan zijn ontwerpproces. Matt geeft regelmatig professionele maakcursussen in zijn studio in 's-Hertogenbosch, en heeft ook lesgegeven aan het Figurteatret i Nordland (Stamsund, Noorwegen); aan de École Nationale Supérieure des Arts de la Marionnette (Charleville-Mézières, Frankrijk); het Centre de la Marionnette (België) en aan de Central School of Speech and Drama (VK). ********** English ********** In the performing arts, puppets and masks are tools used by actors to bring characters to life. bring characters to life. In the ancient ceremonial use of these objects, they were intended to inhabit a 'soul', to house it like a vessel and allow it to live once more. again. Matt's work walks the line between these worlds. Even immobile in exhibition, his aim is for the masks and objects to feel alive. The desired result requires a sensitive process of sculpting their subtle expressions, combined with the choice of materials. He uses wood, paper, organic glues and clay, because he believes that these materials carry a vibrancy of meaning. believes that these materials carry a vibration of life that can be perceived by an audience. Housed in the inspiring Project(ion) Room, the work will inhabit different locations to create an environment in which to wander, explore and contemplate. create an environment in which to wander, explore and contemplate. Most of the pieces come from Matt's personal collection, such as paper masks and ash puppets, well although several objects are borrowed from former clients. Large photographic prints of his work by Teis Albers are also on display. On Sunday 19 and Monday 20, the works will literally come to life in two site-specific, largely improvised performances. site-specific and largely improvised performances. Matt will be working with performance artist Ruben Mardulier and musician Jean-Jacques Duerinckx, and together they will allow the objects and the atmosphere to determine the stories they tell. and atmosphere to determine the stories they wish to share. A sleeping puppet can suddenly wake up as a floating mask appears from hidden corners... Inspiration for the performance work comes from physical theatre, butoh dance and Japanese mask and puppet theatre. Japanese mask and puppet theatre. BIO MATT JACKSON is a professional puppet and mask maker for film, theatre and fine art with over and fine arts with over 20 years' experience. Originally from the USA, he is now now based in the Netherlands where he creates commissioned work and produces his own performances and exhibitions. Some of his creations are used by master puppeteer Kanroku in Osaka, Japan; the Ulrike Quade company in Amsterdam, Netherlands; Créa-Théâtre in Tournai, Belgium, and many others. Her personal research focuses on the use of organic/non-toxic materials and methods. toxic materials and methods. And an awareness of sustainability in the arts also inspires her to work with 'found objects' which add an element of unpredictability to his design process. Matt regularly runs professional making courses at his studio in 's-Hertogenbosch, and has also taught at the Figurteatret i Nordland (Stamsund, Norway); at the École Nationale Supérieure des Arts de la Marionnette (Charleville-Mézières, France); at the Centre de la Marionnette (Belgium) and at the Central School of Speech and Drama (UK).
Watermael-Boitsfort regorge de quelques pépites Art Déco et modernistes que vous découvrirez pendant cette promenade. Lorsque Watermael-Boitsfort se détache d’Auderghem en 1863, le concept de « site naturel » est à l’ordre du jour. La proximité de la Forêt de Soignes, avec ses vues et ses possibilités de promenades, attirera commanditaires et architectes à Watermael-Boitsfort. Les dénominations des rues témoignent de cet environnement verdoyant : rue du Pinson, avenue des Bouleaux, square du Castel Fleuri,... Les hautes bâtisses éclectiques seront bientôt rejointes par des maisons Art Déco et modernistes signées par d’importants protagonistes de l’architecture belge de l’entre-deux-guerres : Antoine Pompe, Gaston Brunfaut, Louis Tenaerts, Stanislas Jasinski, Jean Jules Eggerickx ou encore Gaston Eysselinck. Nb : certaines avenues sont un peu en pente!
Vous habitez Saint-Gilles ? Venez découvrir gratuitement l’hôtel de Ville de votre commune, lieu de vie, d’art et de mémoire. Inauguré en 1904, cet hôtel de ville est l'un des plus beaux de notre capitale. Conçu dans l’ambiance optimiste de la Belle Epoque, il a fait appel aux meilleurs artistes pour illustrer la conviction que les progrès de l’humanité se feront par l’Art, la Science, l’Education, la Démocratie, le Travail…. Quel programme ! Et quelle réussite artistique ! Notre parcours intérieur et extérieur vous en donnera les clés et vous emmènera de surprise en surprise : décors, sculptures, fresques, détails poignants ou cocasses nous raconteront l’espoir centenaire d’un monde meilleur et nous incitera à réfléchir à la place de ces valeurs de progrès pour le temps présent et pour l’avenir. Merci de nous fournir votre adresse lors de la réservation. Rendez-vous au pied de l'escalier d'honneur de l’hôtel de Ville de Saint-Gilles.
********** Français ********** Le dimanche 19 et le lundi 20, les œuvres de l'exposition "The Vessel" prendront littéralement vie lors de deux performances spécifiques au site et largement improvisées. Matt Jackson collaborera avec ‘performance artist’ Ruben Mardulier et le musicien Jean-Jacques Duerinckx et ensemble, ils permettront aux objets et à l'atmosphère de déterminer les histoires qu'ils souhaitent partager. Une marionnette endormie auparavant peut soudainement se réveiller alors qu'un masque flottant apparaît des coins cachés... Les inspirations pour le travail de performance viennent du théâtre physique, de la danse butoh et du théâtre de masques et de marionnettes japonais. ********** Nederlands ********** Op zondag 19 en maandag 20 komen de werken in de tentoonstelling 'The Vessel' letterlijk tot leven in twee locatiegebonden, grotendeels geïmproviseerde performances. Matt Jackson zal samenwerken met performancekunstenaar Ruben Mardulier en muzikant Jean-Jacques Duerinckx, en samen laten ze de objecten en de sfeer bepalen welke verhalen ze vertellen. en sfeer de verhalen laten bepalen die ze willen delen. Een slapende pop kan plotseling wakker worden als een zwevend masker uit verborgen hoeken tevoorschijn komt... Inspiratie voor het performancewerk komt van fysiek theater, butohdans en masker- en poppentheater. Japans masker- en poppentheater. ********** English ********** On Sunday 19 and Monday 20, the works in 'The Vessel' exhibition will literally come to life in two site-specific, largely improvised performances. Matt Jackson will be working with performance artist Ruben Mardulier and musician Jean-Jacques Duerinckx, and together they will allow the objects and the atmosphere to determine the stories they tell. and atmosphere to determine the stories they wish to share. A sleeping puppet can suddenly wake up as a floating mask appears from hidden corners... Inspiration for the performance work comes from physical theatre, butoh dance and mask and puppet theatre. Japanese mask and puppet theatre.
********** English ********** Repetition / Erosion is a contemporary approach to the Cantigas de Santa Maria, a 13th century Galician song collection, through the lens of Erosion. Cantigas de Santa Maria is one of the largest song collections from the Middle-Ages, with a total of 427 songs. Dedicated to the Virgin Mary, the collection alternates poems narrating stories of miracles and praising Hymns. The overall work, written in vernacular language (Galaico-Portugues) is oscillating between courtly love tellings and liturgy.  Besides its literary and musical legacy, this work can also be read as a chronicle of both cultural and mystical life in Europe during the 13th century and reveals the blurred line between sacred and folklore. The project plays with different scales of time: geological, historical, musical and human. In constant evolution, the performance consist of a succession and/or superposition of repetitive tasks addressing the different aspects of the songbook : musical, poetic, iconographic, historic… ********** Nederlands ********** Repetition / Erosion is een hedendaagse benadering van de Cantigas de Santa Maria, een 13e-eeuwse Galicische verzameling liederen, door de lens van Erosion. Cantigas de Santa Maria is een van de grootste zangbundels uit de Middeleeuwen, met in totaal 427 liederen. Opgedragen aan de Maagd Maria, wisselt de collectie af tussen wonderlijke gedichten en lofliederen. Het geheel, geschreven in de volkstaal Galaico-Portuguees, schommelt tussen hoofse liefdesverhalen en liturgie.  Naast de literaire en muzikale erfenis kan dit werk ook gelezen worden als een kroniek van zowel het culturele als mystieke leven in Europa tijdens de 13e eeuw en onthult het de vage grens tussen sacraal en folklore.Het project speelt met verschillende tijdschalen: geologisch, historisch, muzikaal en menselijk. De voorstelling evolueert voortdurend en bestaat uit een opeenvolging en/of overlapping van repetitieve taken, waarbij de verschillende aspecten van het liedboek aan bod komen: muzikaal, poëtisch, iconografisch, historisch...