Ateliers des Capucins

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Musiques électroniques Pour lancer son grand week-end marathon, Astropolis s’associe aux Ateliers des Capucins et à La Carène pour un nouveau mariage avec le collectif itinérant CLUB RADE PASSION et proposer une soirée en plein air face à la Penfeld sous le signe du live, de l’audace et des croisements hybrides. Synth-pop mélancolique, fusion du groove et des musiques traditionnelles, dreampop cotonneuse et disques de choix, rendez-vous au pied des Capucins pour un shot de belles découvertes ! Crédit photo : Morganographe
electro — Astropolis 2023 : Club Rade Passion — MADMADMAD live // Naomie Klaus live // Saintes live // Constance Rosa Vertov Pour inaugurer son grand marathon estival, Astropolis s’associe aux Ateliers des Capucins, à La Carène et à Club Rade Passion pour un bel opening face à la Penfeld et sous le téléphérique au belvédère Césaria Evora. Cette soirée gratuite met à l’honneur le live et les beaux récits soniques avec l’indie dance délurée des londoniens de MADMADMAD, les chansons synth pop sucrées et rétro de la nantaise SAINTES, l’univers hybride, envoûtant et mélancolique de la bruxelloise NAOMIE KLAUS et les disques synth-wave de CONSTANCE ROSA VERTOV. LINE UP ------------------ — MADMADMAD (France – UK, Londres / STAC Records, Bad Vibrations) — NAOMIE KLAUS (France, Bruxelles / Teenage Menopause Records) — SAINTES live (France, Nantes / Cartelle Records) — CONSTANCE ROSA VERTOV (France, Rennes) Illustrations : Clémence Mira
Piano contemporain Une fois n’est pas coutume, nous nous installons aux Ateliers des Capucins pour notre pause déj’ insolite, le Midi & Demi ! Entre rigueur de l’écriture minimaliste et délicatesse de mélodies aux atours presque pop, le pianiste et compositeur Melaine Dalibert trouve la voie d’une musique hors du temps, rêveuse et émouvante, dans le sillage d’un Philip Glass. Ses performances alternent ainsi drones pianistiques et pop-songs hypnotiques aux harmonies post-modernes. Melanie permet à chacun de s’emparer de son œuvre pour se perdre dans un répertoire d’une profonde beauté et d’une grande puissance.
Dancefloor pour les kids & ateliers de découverte Après le succès d’une première édition place des Machines, Les Ateliers des Capucins & Astropolis s’associent à nouveau pour l’ASTROKIDS, un après-midi haut en couleurs pour le jeune public et les familles. Bidouillages électroniques, mini laboratoire d’expérimentations en tout genre, maquillage et paillettes mais aussi dancefloor pour se défouler et autres surprises, une grande fête effervescente qui n’a rien à envier à celle des adultes ! PROGRAMMATION ------------ 🎚 Dancefloor Les Mixes Collectifs avec le PL Recouvrance ⚗️ Les expériences scientifiques et sonores de Cookids On The Floor 📸 Photo Booth avec Morganographe 🎨 Atelier cartes-postales avec Kuuutch 🎧 Découverte du mix & DJing 🧸 Atelier création de chimère de peluches avec Bestiaire Imaginaire 🎹 Lutherie électronique & découverte de la composition "Kraken" avec Swooh 🤖 Robot graphiti et création sonore avec Les Portes Logiques 🖼 Mur d’expression 🖌 Graff sur vinyle ✨ Maquillage, coiffure et pailletage avec Cookids on the Floor & Les Bocaux d’Ana Illustration affiche : Romain Navier - http://www.romainnavier.com/
Dans le cadre de la Saison France-Portugal, Europavox vous embarque à bord de la Tournée Océane du 25 au 28 mai ! Vous avez rendez-vous pour une escale brestoise haute en couleur, puisque la tournée larguera les amarres aux ateliers des capucins le 25 mai prochain ! Pongo, la diva portugaise du kuduro dont le nouvel album sortira le 1er avril, et Papooz, le duo frenchie prodige de la pop qui est de retour avec « None of This Matters Now », nous amèneront en voyage du 25 au 28 mai, le long de l’océane Atlantique, à Brest, La Rochelle et Bordeaux, lors de trois soirées festives, en accès libre, symboles de la proximité artistique de nos deux pays et avec la volonté de promouvoir la protection des écosystèmes marins. Tout au long de la tournée, un voilier sera le lieu de vie d’une véritable expérience partagée, de voyage et création, relatée via un journal de bord digital. Mêlant performances, interviews et témoignages backstage, ce Journal sera réalisé par une équipe franco-portugaise de journalistes d’Europavox. Des associations œuvrant pour la protection des écosystèmes marins feront également partie du voyage, à bord et dans les salles, pour présenter leurs activités et les grands enjeux actuels, ainsi que des idées d’actions pratiques à mettre en œuvre pour s’engager. En association avec Les Ateliers des Capucins et La Carène, La Sirène, le port de plaisance de la Rochelle, les Francofolies et Krakatoa, Europavox présente la Tournée Océane : PAPOOZ (Fr) · PONGO (Pt) 25 mai - Les Ateliers des Capucins – Brest (Artiste invité : El Maout) 26 mai – Port de Plaisance - La Rochelle (Artistes invités : The Big Idea et PPJ) 28 mai – Krakatoa – Bordeaux (Artiste invité : IGee) Suivez et retrouvez l’intégralité des contenus sur Europavox.com !
électro pop sous-marine SONARS TAPES (live trio) Pour donner un écho à ses recherches sonores et sous-marines, le laboratoire BeBEST du CNRS a eu l’idée de faire appel à des artistes, donnant ainsi naissance au projet SONARS en 2018. Durant des semaines, François Joncour a observé et interrogé les scientifiques sur leurs pratiques professionnelles, leurs pensées et leurs goûts musicaux. De ces rencontres sont nés des « portraits sonores ». Chaque morceau est une porte ouverte sur une personnalité, une esthétique, associées à des sons capturés par des hydrophones, de l’océan Arctique à la rade de Brest. Pour cette création François Joncour s’est entouré de nombreuses personnalités : Camilla Sparksss, Mirabelle Gilis, Emilie Tiersen, Ned Crowther, Christophe Miossec, Brooke Sharkey. Sur scène François Joncour joue Sonars Tapes en trio avec le violon sonique de Mirabelle Gilis (Miossec) et la batterie métronomique et expressive de Bertrand James (Totorro, La Battue), ainsi qu’une création vidéo immersive. LA COQUILLE SAINT-JACQUES, SENTINELLE DE L’OCÉAN. CONFÉRENCE DE LAURENT CHAUVAUD Elle est belle et savoureuse, « un coffre-fort de nacre, l’espace compris entre nos mains jointes, l’une légèrement bombée. » Depuis son apparition il y a 25 millions d’années en Europe sur la côte Atlantique, la coquille n’a cessé de fasciner les hommes. Utilisée dans l’Antiquité comme une parure, puis comme symbole religieux et artistique, cet animal est devenu un outil scientifique, un modèle mathématique, une archive environnementale, une sentinelle des évolutions passées et présentes du milieu marin et plus largement du réchauffement climatique, grâce aux recherches les plus récentes, menées notamment par Laurent Chauvaud. Laurent Chauvaud est directeur de Recherche au CNRS, à l’Institut Universitaire Européen de la Mer (IUEM), à Brest. Écologiste marin, plongeur scientifique, se passionne pour la coquille Saint- Jacques depuis 30 ans. Il en parle savamment et avec poésie !
Un océan d’amour est un formidable BD-concert plein de rebondissements et de surprises, adaptation musicale par Zenzika de la BD de Wilfrid Lupano (Les vieux fourneaux, Le loup en slip) et Gregory Panaccione (Toby mon ami, Match). Son rythme, ses situations cocasses et ses personnages composent un récit muet qui pétille de malice que nous feuilletons avec eux sur grand écran. Une histoire sans paroles, portée par une musique qui croise influences pop, jazz, traditionnelle et improvisée. Jouant gentiment avec nombre de clichés incontournables du folklore breton, distribuant quelques coups de griffes politico-écologique, Un océan d’amour est un tourbillon qui collera la banane aux spectateurs de tous âges.
Du Moyen-Âge aux Temps modernes, les frénésies dansantes collectives se produisent à intervalles réguliers et ont donné lieu à une pléthore d’explications : de la possession par des esprits maléfiques et des malédictions de saints à des troubles neurologiques jusqu’à l’invention médicale de l’hystérie. La contagion par imitation a valu à ces explosions de faire l’objet d’un soupçon de « maladie de la danse » sans cause définissable. Derrière l’image dangereuse de désordre public se cachaient des corps dansant pour soulager le stress provoqué par des épidémies, des catastrophes naturelles et la pauvreté. Des corps qui dansent par dissidence. Depuis les danses de possession jusqu’aux raves parties en passant par la Tarentelle et les marathons dansés, Mette Ingvartsen explore l’extase du mouvement et fait voler en éclats le confinement solitaire de 2020. Mouvements imparables, musique perpétuelle et rythmes rapides de mots et de chants, The Dancing Public est une Fête de la danse. Cette pièce mouvante soulève des questions : Quel est le besoin d’excès et de mouvement que nous pouvons ressentir dans nos corps aujourd’hui ? Sommes-nous prêts à reprendre goût à la vie.
A partir de 10 ans Ce qui m’est dû est un moment de théâtre chorégraphique qui part de l’intime et du corps pour questionner crûment le politique. Par la danse et le jeu, Héloïse Desfarges et Antoine Raimondi racontent l’histoire de leur propre prise de conscience écologiste. Une façon non culpabilisante, poétique et intelligente de prendre part à la lutte. Puisant dans les pensées de Naomi Klein, André Gorz, du Comité Invisible, le duo activiste artistique témoigne d’une alternative politique. De la ZAD à la COP, ils traversent les territoires du débat et récoltent les discours entendus, de la pharmacienne au président. A la manière des conférences gesticulées, Ce qui m’est dû cherche à toucher les profanes tout en donnant du grain à moudre et du cœur à l’ouvrage aux militants chevronnés
Comment éveiller nos consciences à la crise climatique grâce aux sons ? Qu’est-ce que cela provoque en nous d’entendre des bruits de la nature qui disparaissent ? Sergiu Matis poursuit sa réflexion sur la place de la nature dans nos sociétés occidentales et sur sa représentation dans les œuvres artistiques et culturelles, à une époque où les climatologues ne cessent de nous alarmer sur les dangers de la crise climatique. Avec Extinction Room (Hopeless.), proposition hybride entre performance dansée et installation sonore, trois interprètes racontent les histoires d’espèces en voie d’extinction. Mythes et récits scientifiques se mêlent, danses et chants prennent vie. Porté·e·s par cette partition, les performeur·se·s s’animent et emportent le public dans une expérience immersive où il est question des pertes passées, présentes et à venir..