LES GRANDS INTERPRÈTES
Tout concert du Dieu Sokolov est une expérience de transfiguration.
Qu’il s’agisse de Byrd, de Schubert, de Schönberg, de Beethoven, les
compositeurs semblent se réincarner sous ses doigts labiles. Et chaque programme
nous offre un moment d’éternité.
Halle aux Grains de Toulouse
Lieu
Événements à venir
LES GRANDS INTERPRÈTES
Le Scottish Chamber Orchestra possède en Maxim Emelyanychev une baguette
fiévreuse.
Cette soirée, constituée des œuvres celtiques de Mendelssohn, magnifie le
solaire concerto de Beethoven. Avec le violon d’Alina Ibragimova, qui sait aussi
tutoyer Telemann et Chostakovitch.
LES GRANDS INTERPRÈTES
Alexandre Kantorow, second round ! Le flamboyant virtuose transcende l’élégiaque
second concerto de Chopin.
Un sommet du répertoire qu’entourent La Mer de Debussy et l’enivrant Boléro de
Ravel où excelle la métronomique direction de Cristian Mcelaru.
Événements passés
LES GRANDS INTERPRÈTES
Qui mieux que Fazl Say pour marier influences et références ? Le pianiste
anatolien, compositeur passionnant, se nourrit de Bach, de Mozart et de jazz.
Cette fois, ses propres introspections croisent le Debussy miniaturiste des
Préludes et le Schubert méditatif de la sonate n°23.
LES GRANDS INTERPRÈTES
De l’intime au spectaculaire, du pathétique à l’exalté, Martha Argerich et
Dong-Hyek Lim visitent le répertoire du piano dédoublé.
Entre rafales de Rachmaninov et mélancolie schubertienne, deux interprètes
d’exception pour une soirée à haute teneur émotionnelle.
LES GRANDS INTERPRÈTES
Le pianiste américain est un habitué des voix et des confluences.
Après avoir randonné chez Schumann avec le ténor Ian Bostridge, puis dans la
chanson française avec Anne Sofie von Otter, il vient nous transporter au gré
d’une fantaisie qui toujours surprend et enchante.
LES GRANDS INTERPRÈTES
Le romantisme heureux, ainsi pourrait s’intituler le programme conçu par Renaud
Capuçon et David Fray. Autour de la Sonate « à Kreutzer » de Beethoven, les
sonates et le Rondo brillant de Schubert convoquent l’aura lumineuse de Mozart.
C’est tout l’enthousiasme de la jeunesse servi par un duo au sommet de son art.
LES GRANDS INTERPRÈTES
Deux géants du romantisme austro-hongrois dialoguent sous les doigts de
l’immense Mikhaïl Pletnev.
L’occasion de découvrir les Impressions poétiques de Dvoák. Ces délicieuses
miniatures, très rarement jouées, sont entrecoupées de ballades et de rhapsodies
de Brahms, le pèlerin de l’âme.
LES GRANDS INTERPRÈTES
Le Titan de Mahler, symphonie d’un compositeur appelé à révolutionner le genre.
Le hongkongais Alvin Tam Lok-hei dédie son Journal d’un fou au Philharmonique de
sa ville natale.
Jaap van Zweden maîtrisera ces ardeurs inspirées. La Rhapsodie sur sur un thème
de Paganini où A. Kantorow dompte le clavier de Rachmaninov.
LES GRANDS INTERPRÈTES
Rendu immortel par le film Les Sorcières d’Eastwick, le concerto de Dvoák trouve
son héraut avec le violoncelle séduisant de Kian Soltani.
Quant aux suites de Roméo et Juliette de Prokofiev, qui mieux que Tugan Sokhiev
pour en restituer l’ardeur tragique ?
Programme :
DVORAK : Concerto pour violoncelle et orchestre, en si mineur, opus 104
PROKOFIEV : Roméo et Juliette, suites
LES GRANDS INTERPRÈTES
L’un est japonais, l’autre israélien. L’un est au piano, l’autre à la
contrebasse.
Ensemble, ces deux stars du jazz ont constitué l’Amity Duet, terme japonais
traduisant la compréhension mutuelle et la concorde. Une forme d’accord parfait
plus que jamais nécessaire.
Dans le cadre du festival Détours de chant un concert événement sous la
direction de Dylan Corlay.
Peu relayé par les grands médias, mais soutenu par des figures de proue de la
scène française comme Jean Ferrat et Juliette Gréco, le chanteur a réussi à se
constituer un socle d’adorateurs fidèles, au point de s’autoproclamer le « moins
connu des chanteurs connus ».
Concert en famille.
Il y a ceux que le silence éternel des espaces infinis effraie… Ceux qui rêvent
de galaxies lointaines, très lointaines… Et puis il y a ceux qui entendent les
étoiles.
Conte musical à partir de 6 ans.
Parmi eux, Arthur, un petit garçon « avec des cheveux un peu ébouriffés, un nez
un peu retroussé, de petites lunettes toutes rondes ». Les étoiles chantent tant
et tant de mélodies à Arthur qu’il n’écoute pas grand-chose, et encore moins ce
qu’on lui disait à l’école.