Visite du chantier de restauration de la porte de Mars
La porte de Mars, vestige du Reims gallo-romain, Durocortorum et plus long arc
connu du
monde romain, entre dans sa dernière phase de restauration. Dans le cadre des
Journées
Européennes de l’Archéologie, nous vous proposons une visite du chantier de
restauration,
afin de mieux comprendre les enjeux de ce dernier et d’admirer au plus près la
porte de Mars.
Points forts :
• Visite de chantier avec des professionnels
• Une vue unique sur la porte de Mars
• Comprendre l’histoire de la porte de Mars et l’importance de sa restauration
©Ville de Reims
Porte de Mars
Lieu
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Événements passés
Avec Les Fauves, les artistes de la compagnie Ea Eo, toujours aussi allumés,
proposent un manifeste du jonglage du futur, à découvrir dans un chapiteau
gonflable installé Place de la République. Une création en deux actes où le
public est invité à visiter une « Ménagerie de jonglage » avant d’assister à une
cérémonie pop-punk qui pourrait bien être l’ultime jonglage de l’humanité…
Après All the fun, les cinq jongleurs de la compagnie Ea Eo continuent à sortir
résolument des cadres pour engager le jonglage sur la voie du futur. Rien
d’étonnant pour ces artistes férus d’expérimentations en tous genres qui puisent
leur inspiration dans l’absurde, l’art contemporain ludique, la danse
contemporaine ou encore le rock indé, pour révolutionner le genre.
Dans Les Fauves donc, ils ont imaginé une structure gonflable conçue comme une
station d’exploration. Sous cette bulle futuriste, le public est invité, dans un
premier temps, à visiter « la ménagerie de jonglage contemporain » où se
côtoient œuvres vivantes et œuvres plastiques, entre performances déjantées,
installations et vidéos. Le chapiteau se mue ensuite en cathédrale pour
accueillir la « cérémonie du dénouement », une cérémonie pop, expérimentale,
ludique et spectaculaire. On y retrouvera le meilleur jongleur du monde, venu
d’une autre planète forcément, entouré de quatre jongleuses et jongleurs qui
tentent de survivre à ses côtés. Corps, mouvements, mais aussi balles de
jonglage et musique en direct, s’enchaînent dans un flot d’actions-réactions,
pour célébrer le jonglage dans tous ses excès. Les fauves sont lâchés dans cette
exploration de nouvelles aires de jeu qui défie les lois de la gravité pour
mieux stimuler l’imaginaire.
Avec Les Fauves, les artistes de la compagnie Ea Eo, toujours aussi allumés,
proposent un manifeste du jonglage du futur, à découvrir dans un chapiteau
gonflable installé Place de la République. Une création en deux actes où le
public est invité à visiter une « Ménagerie de jonglage » avant d’assister à une
cérémonie pop-punk qui pourrait bien être l’ultime jonglage de l’humanité…
Après All the fun, les cinq jongleurs de la compagnie Ea Eo continuent à sortir
résolument des cadres pour engager le jonglage sur la voie du futur. Rien
d’étonnant pour ces artistes férus d’expérimentations en tous genres qui puisent
leur inspiration dans l’absurde, l’art contemporain ludique, la danse
contemporaine ou encore le rock indé, pour révolutionner le genre.
Dans Les Fauves donc, ils ont imaginé une structure gonflable conçue comme une
station d’exploration. Sous cette bulle futuriste, le public est invité, dans un
premier temps, à visiter « la ménagerie de jonglage contemporain » où se
côtoient œuvres vivantes et œuvres plastiques, entre performances déjantées,
installations et vidéos. Le chapiteau se mue ensuite en cathédrale pour
accueillir la « cérémonie du dénouement », une cérémonie pop, expérimentale,
ludique et spectaculaire. On y retrouvera le meilleur jongleur du monde, venu
d’une autre planète forcément, entouré de quatre jongleuses et jongleurs qui
tentent de survivre à ses côtés. Corps, mouvements, mais aussi balles de
jonglage et musique en direct, s’enchaînent dans un flot d’actions-réactions,
pour célébrer le jonglage dans tous ses excès. Les fauves sont lâchés dans cette
exploration de nouvelles aires de jeu qui défie les lois de la gravité pour
mieux stimuler l’imaginaire.
Avec Les Fauves, les artistes de la compagnie Ea Eo, toujours aussi allumés,
proposent un manifeste du jonglage du futur, à découvrir dans un chapiteau
gonflable installé Place de la République. Une création en deux actes où le
public est invité à visiter une « Ménagerie de jonglage » avant d’assister à une
cérémonie pop-punk qui pourrait bien être l’ultime jonglage de l’humanité…
Après All the fun, les cinq jongleurs de la compagnie Ea Eo continuent à sortir
résolument des cadres pour engager le jonglage sur la voie du futur. Rien
d’étonnant pour ces artistes férus d’expérimentations en tous genres qui puisent
leur inspiration dans l’absurde, l’art contemporain ludique, la danse
contemporaine ou encore le rock indé, pour révolutionner le genre.
Dans Les Fauves donc, ils ont imaginé une structure gonflable conçue comme une
station d’exploration. Sous cette bulle futuriste, le public est invité, dans un
premier temps, à visiter « la ménagerie de jonglage contemporain » où se
côtoient œuvres vivantes et œuvres plastiques, entre performances déjantées,
installations et vidéos. Le chapiteau se mue ensuite en cathédrale pour
accueillir la « cérémonie du dénouement », une cérémonie pop, expérimentale,
ludique et spectaculaire. On y retrouvera le meilleur jongleur du monde, venu
d’une autre planète forcément, entouré de quatre jongleuses et jongleurs qui
tentent de survivre à ses côtés. Corps, mouvements, mais aussi balles de
jonglage et musique en direct, s’enchaînent dans un flot d’actions-réactions,
pour célébrer le jonglage dans tous ses excès. Les fauves sont lâchés dans cette
exploration de nouvelles aires de jeu qui défie les lois de la gravité pour
mieux stimuler l’imaginaire.
Scénographe : Thierry Bonne, créateur son : René Descombes, conseil : Henri
Jacques Perrin
Le spectateur découvre un paysage minéral devant la Porte de Mars, une
installation met en scène six sculptures : Cambiste auquel font face en arc de
cercle Cibum, Parasite Twin, l’Enfant et la Mort, Menace et Arbre. La sculpture
Hippocrate est installée entre le Haut des Promenades (Porte de Mars) et
l'entrée de l'allée boisée. D'un point de vue sémantique et scénographique cette
sculpture fait le lien entre les deux espaces investis par les deux ensembles
d'oeuvres.
En pénétrant dans l'allée boisée, le spectateur découvre un paysage végétal
mettant en scène sept sculptures : Lilith, Cogitata, Maman, Papa, Crypto, Bless,
Leo.
L’exposition est composée de 14 œuvres :
• CAMBISTE : Homme assis habillé, tenant sur ses genoux un ordinateur portable
• CIBUM : Animal renversé sur le dos affublé d'une longue patte turgescente, il
symbolise les maltraitances de l'élevage intensif.
• PARASITIC TWIN : Adolescente en short portant une greffe animale dans son dos
qui exprime le lien indéfectible qui unit l'humain à l'animal.
• L'ENFANT ET LA MORT : Squelette embrassant un jeune enfant de 5 ans.
• MENACE : Homme menaçant debout et habillé qui incarne la cruauté.
• ARBRE : Arbre mort, debout rapiécé de morceaux de plaques de fer rouillé qui
incarne la nature en péril.
• HIPPOCRATE : Grand et vieil homme debout, vêtu d'une sorte d'armure qui
incarne le soin et la réparation.
• LILITH : Jeune femme assise, vêtue de pierres semi-précieuses, elle incarne
l'espoir et la protection de la nature.
• COGITATA : Homme debout regardant le ciel, portant une sorte d'armure sur le
torse et le visage, il incarne la pensée et le changement.
• MAMAN : Femme hybride enceinte, portant des bois de Renne sur la tête qui
incarne la maternité.
• PAPA : Homme debout portant un nouveau-né sur son épaule droite qui incarne la
paternité et la protection.
• CRYPTO : Femme hybride, marchant droit devant elle, portant des cornes à la
place des mains, elle incarne la vigilance et la défense.
• BLESS : Bel homme debout, habillé portant une chaîne dans les mains, il
incarne la beauté et la force.
• LEO : Femme debout, évocation d'une Reine possédant la connaissance, elle est
la combattante au service du vivant.
Partenariats : Bâtiment Associé - CAPREMIB - Prisme - REIDEIM - Henri Jacques
Perrin, conseil