Alexia Verstraelen ou «L’abstraction cosmique » : Si le nombre d’étoiles est
estimable en dépit de leur apparente infinité, les possibilités de création,
elles, demeurent sans limites. C’est d’autant plus vrai dans l’abstraction. De
même que l’univers, en pleine expansion malgré son contenu fixe, l’Art se
développe sans cesse selon les évolutions pratiques et techniques. Le travail
d’Alexia Verstraelen s’est déployé, lui aussi, comme son propre univers de
toiles et d’étoiles au style reconnaissable. (Lionel Lebeau)Denis Gauder ou «Le
précieux Macabre » : Denis Gauder se perd plus volontiers parmi les contrées
infinies du rêve et de l’inconnu. Il voyage naturellement dans ce monde, cet
entre deux, matérialisant ses propres trésors par delà le hublot numérique. En
effet, l’artiste travaille la modélisation 3D pour donner corps et âme mais plus
encore texture et matière qui le fascinent à ses créations. Avec soin et
minutie, il use de nombreuses techniques pour façonner ses sculptures digitales,
les faisant apparaître strates après strates comme autant de couches de peinture
sur la toile d’un peintre. (Lionel Lebeau)Vernissage le vendredi 1er mars de 18h
à 21h.
