Huit danseuses à la puissance communicative affirment haut et fort leur
singularité créative, sur un mix de house music et d’afrobeat joué par un DJ
présent sur scène. Un groupe de femmes, impressionnantes de technicité et
d’engagement, qui en impose, avec fierté ! Autour d’un « corps de ballet » du
groupe Paradox-Sal, constitué de danseuses de culture house et hip hop, le
chorégraphe a invité des interprètes d’horizons divers. Entre figures d’ensemble
et solos expressifs, One Shot est un concentré d’énergie qui s’épanouit dans le
plaisir de la confrontation des styles.Presse :Elles semblent puiser leur force
dans un feu sublimé par l’épreuve et la fragilité qui en découle, pour une
flamboyante explosion de danse et de vie. // La CroixSur le plateau, huit
danseuses du groupe Paradox-Sal […] font corps avec une intensité urgente,
nerveuse, emportée par les musiques électroniques sous influence africaine de DJ
Sam One, complice depuis 2003 d’Ousmane Sy. Cette afro-house, irradiée de voix
féminines […] donne du ressort aux tricots de jambes rapides et légers des
interprètes. // Le MondeOn n’aura jamais eu autant besoin de danser ! De ce cri
du cœur, lancé en pleine période de confinement, Ousmane Sy a fait le manifeste
de sa nouvelle création. // Sceneweb
Théâtre Romain Rolland
Lieu
Événements à venir
Il n'y pas d'événements à venir
Événements passés
Il fait bon vivre sur cette île du milieu des océans, loin de l’agitation de la
ville, de la pression du monde du travail et des sollicitations de la vie
moderne. L’endroit idéal pour Greg et Natacha, ex-employés modèles d’une agence
de publicité en burn out, et Leslie, militante d’extrême gauche à la recherche
d’un horizon. Dans un certain oubli des conventions sociales, ils croisent la
trajectoire de ceux qui, comme eux, cherchent à se réapproprier leur vie. Le
Collectif Bajour explore avec un humour réjouissant la perte de sens générée par
nos quotidiens surchargés. Véritable célébration du théâtre, L’Île nous embarque
dans un voyage dystopique déjanté et corrosif !Presse :Le collectif Bajour
s’empare de l’absurdité de nos vies et s’amuse à croquer une société où l’homme
perd jusqu’à son essence même et flirte avec ses instincts les plus bas.
Jouissif et audacieux. // Toute La CultureCauchemar dystopique, mais souvent
comique, et variation mythologique sur les désordres du monde : la proposition
saisit par son intelligence et la qualité de son interprétation. // Les Trois
CoupsEntre rires (beaucoup) et larmes (douces-amères), L’Île du Collectif Bajour
est un régal, une gourmandise succulente qu’on dévore avec délice. Un spectacle
à voir et même revoir ! // L’Œil d’Olivier
Fauve, 10 ans, porte un sac à dos rempli de galets, car elle se « poiplumise »
et craint d’être emportée par l’ouragan annoncé par le cafard Molasse, son ami
imaginaire. Une perspective d’autant plus inquiétante que les adultes ne
semblent pas prendre la mesure de la catastrophe. Alors, même si les autres
enfants la trouvent bizarre, Fauve doit réussir à les convaincre d’agir. Dans
cette fable imaginée à la suite d’entretiens menés par les comédiens auprès de
jeunes enfants, ce sont les petits qui rappellent aux parents leurs
responsabilités. Une mise en scène astucieuse où trois comédiens incarnent une
galerie de personnages hauts en couleur. Parler du réchauffement climatique avec
humour, faire le pari de l’espoir plutôt que de la morosité : voilà un défi
relevé !Presse :Une fable très en résonance avec aujourd’hui, drôle et
pédagogique sans jamais être donneuse de leçon. // À mots découverts
Amour, stratagèmes et manipulations accompagnent le retour de guerre victorieux
du prince Don Pedro. Alors que son frère illégitime, le Prince Jean, animé par
un désir de vengeance, cherche à séparer deux jeunes futurs mariés, d’autres
s’amusent à insuffler l’amour dans le cœur de Béatrice et Bénédict, qui se
querellent depuis toujours. Embarquez dans cette comédie shakespearienne, riche
de complots, de travestissements et de quiproquos ! Voilà une comédie subversive
intelligemment remise au goût du jour, où la question de l’ambiguïté et de
l’illusion côtoie de manière très actuelle celle de la domination masculine.Le
Théâtre de L’Argument fait de ce grand classique son terrain de jeu… et nous
invite à plonger dans la partie !Presse :La direction d’acteurs impressionne ;
le rythme harmonieux des corps et du verbe organise le tempo ; il naît en chaque
comédien et organise une partition chorégraphique collective ; il lisse les
aspérités des niveaux de compréhension. // Toute La CultureLe théâtre et
l’envers du théâtre sont ici mis à nu pour nous montrer les rouages de
l’illusion. // La Revue du spectacleUne adaptation et une mise en scène pleine
de fougue et de jeunesse qui n’hésite pas à faire une place à l’argot des jeunes
(pour le dialogue des gardes seulement, n’ayez pas peur !) et à la musique tout
en restant fidèle au texte de Shakespeare. // Blog culture du SNES-FSU
Le jeune chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira, étoile montante de la
scène européenne, trouve son style dans l’hybridation des genres. Dans ce
nouveau projet, le vocabulaire immuable des danses folkoriques est bousculé par
le jeu de jambes endiablé du hip hop et du clubbing. La danse survoltée de Marco
da Silva Ferreira est ici un outil de recherche sur la construction de
l’identité collective, la mémoire et la cristallisation culturelle. Quel monde
traverse le corps individuel et collectif ? Ou plutôt, quels corps traversent le
monde ? L’énergie de la batterie se joint au rythme d’une musique électro et à
la cadence des dix danseurs qui frappent le sol. Leurs corps s’unissent dans un
flux vibrant, intuitif et carnavalesque.En coréalisation avec La Briqueterie
CDCN du Val-de-Marne.Spectacle programmé dans le cadre de la Biennale de danse
du Val-de-Marne.
C’est l’histoire de Basile, un enfant à l’imagination débordante, qui se
confronte à la réalité d’un premier jour d’école. À la maison, sur le chemin,
dans la cour et même en classe, chaque petit rien capte son attention. Son
imagination caracole, les objets prennent vie et tout devient jeu. Comment
gérera-t-il sa différence ? Parviendra-t-il à en faire une force ? Ce spectacle
plein d’humour et d’inventions scéniques aborde avec tendresse les difficultés
que peuvent rencontrer certains enfants « dys » (dyslexiques, qui présentent des
troubles de l’attention…). Cette histoire, racontée sans parole par deux
comédiens marionnettistes, valorise le pouvoir de l’imaginaire, possible
passerelle permettant à chacun de faire un pas vers le monde de l’autre.Presse
:Un joli spectacle, bien fait et bien exécuté, que les enfants comme les parents
prendront plaisir à suivre, d’autant plus que la technique du théâtre noir
permet un ou deux « effets » un peu « magiques » qui éblouissent littéralement
les jeunes spectateurs. // Toute La CultureComme un hommage clair et percutant à
nos enfances, à nos différences, JEU est un spectacle essentiel à tous les âges.
// TheatroramaTout dans le quotidien de ce petit garçon est prétexte à inventer
un monde fabuleux, comme si imaginer lui était aussi nécessaire que respirer. //
Télérama
À Lamaille city, le despote Richard Lamaille exploite les habitants et
s’accapare la ville pour construire sa cité de verre. Seul résiste à sa tyrannie
un immeuble que l’on dit habité par la mort elle-même. La mort ? Richard n’y
croit pas. Et c’est justement le monde des Muertos, ces squelettes joyeux qui
dansent et chantent à la nuit tombée, que vont nous faire découvrir José, petit
squelette narrateur, mais aussi Flic et Flac, duo de gendarmes maladroits et
clownesques.Ce ciné-spectacle musical et coloré, librement inspiré de la
tradition mexicaine, se fabrique sous nos yeux enchantés. Les trois
musiciens-chanteurs-bruiteurs fourmillent d’idées ingénieuses pour donner vie à
une galerie de personnages fantasques. Ils s’en donnent à cœur joie. Et
franchement, nous aussi !Presse :Un petit bijou d’animation pour les petits
comme pour les grands. // La Dordogne LibreLa malice des textes de Sophie Laloy
et Leïla Mendez, qui s’adressent autant aux parents qu’aux enfants, les dessins
expressionnistes de Sophie Laloy, l’énergie, la gaité et la beauté des
compositions du trio qu’elles forment avec Michel Taïeb, leur présence à tous
les trois qui passent de l’incarnation à la narration, ainsi que la complicité
pleine d’entrain qu’ils développent avec le public, font de ce ciné-spectacle
un moment réjouissant pour tous. // Paris MômesUne « invention ciné-bruitique »,
à la forme scénique et à la thématique originales, qui mêle avec talent humour
et fantaisie macabre. // TéléramaSophie Laloy et Leïla Mendez n’en sont pas à
leur coup d’essai et leur collaboration fructueuse au sein de la Compagnie Mon
Grand L’Ombre […] trouve ici dans leur troisième création Muerto o Vivo un
terrain d’expression et de partage réjouissant. Leur crédo ? Tresser musique et
cinéma dans un cadre scénique et par ces frictions de disciplines, raconter des
histoires autrement. Pari réussi ! // Pariscope
Des médecins, des infirmier.ière.s, des aides soignant.e.s, une DRH, une agente
d’entretien, deux sœurs venues prendre des nouvelles de leur frère, une interne
passée de l’autre côté du lit. Urgences ou attentes, veilles ou soins
quotidiens… Leurs parcours se croisent dans ce lieu si particulier, où tout le
monde passe une fois dans sa vie, où l’on naît toujours et où l’on meurt
parfois. Ce spectacle nous raconte l’hôpital public du point de vue de celles et
ceux qui accompagnent la maladie. Il est une traversée sociétale et poétique où
se mêlent partitions chorales et intérieures, chorégraphies ludiques et
décalées. On y raconte les ratés et les débordements, les déclarations à la vie,
à venir en aide, à faire du mieux que l’on peut.La parole théâtrale sera celle
de l’action et de ce qui ne peut être dit en temps normal. […] Pour écouter,
voir, et éprouver chaque point de vue, passer de l’un à l’autre comme avec une
caméra et changer de perspective à travers un regard, une focale différente et
mouvante.Julie Guichard
Quels rêves de jeunesse ont bercé les seniors d’aujourd’hui ? De quel œil les
anciens voient-ils la jeune génération ? Quels vœux formulent-ils pour leur
avenir ? Nourrie de ses rencontres avec des personnes âgées – combattants de la
vie que l’on entend si peu – Juliet O’Brien interroge les rêves de nos aînés,
les obstacles qu’ils ont surmontés pour les réaliser, leurs regrets comme leurs
espoirs. Après Dans tes rêves, qui portait la parole des adolescents, et Je rêve
pour toi, qui adoptait le point de vue de leurs parents et professeurs, le cycle
des rêves s’achève avec Rêveries. Des récits chargés d’Histoire, comme un pas de
côté pour mieux comprendre notre temps. Et ce sont les aspirations de trois
générations qui nous sont données à entendre, avec toute la tendresse, la
sensibilité et l’optimisme dont Juliet O’Brien sait faire preuve.Moi, mon rêve
est de rêver jusqu’à mon dernier souffle. Mais de quoi seront fait ces rêves-là
? Parlons-en…[J’ai l’espoir] que ce regard porté sur des rêves antérieurs puisse
nous éclairer sur notre propre regard et le sens de nos ambitions.Juliet O’Brien
Brassens, grand repère de la chanson française, a été un phare dans la vie et la
carrière de Maxime Le Forestier. Depuis l’album qu’il lui a consacré en 1979,
Maxime Le Forestier a fait mieux que lui rendre un simple hommage, il l’a
interprété comme on le fait d’un grand classique, en continuant de faire vivre
une œuvre qui demeure toujours parlante, toujours forte, toujours moderne. Il
l’a offerte à un nouveau public, comme lui-même l’a découverte à l’âge de 14
ans. Il l’a vécue, intensément, intimement. Sur scène, entouré de ses fidèles
musiciens complices, Maxime Le Forestier ne se lasse pas de chanter ces
merveilles, célébrant, le temps d’une tournée, le centenaire du grand Georges et
l’intarissable source d’inspiration qu’est devenue son œuvre.Presse :Le
Forestier donne de la souplesse à la rythmique initiale, ne calquant en rien son
jeu de guitare sur celui du compositeur. Il le joue en conformité, accords
croisés respectés, mais à sa sauce, déliée. De telle sorte que les deux pivots
musicaux de Brassens, le swing et la complainte, forme ancienne de la chanson
française, sont brillamment réconciliés. // Le MondeSpectacle
exceptionnelOuverture de la billetterie abonnement : jeudi 23 juin à
20hOuverture de la billetterie hors abonnement : mardi 18 octobre à 14h30