Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.
Institut Culturel Bernard Magrez
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Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.
Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.
Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.
Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.
Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.
Le « King of Harlem » est de retour à Bordeaux pour une nouvelle grande
exposition au Château Labottière
New Yorkais d’origine dominicaine, John Perello alias JonOne est une figure
emblématique du graffiti. En constante évolution, cet artiste, passé de la rue à
la toile, de New York à Paris, de la bombe au pinceau, de l’acrylique à l’huile,
est considéré aujourd’hui comme un peintre expressionniste abstrait, même s’il
demeure inclassifiable, indomptable.
La liberté avant tout…c’est ce qui l’anime dès ses débuts dans la rue où, la
bombe à la main, il taggue son nom dans toute la ville. Cette liberté, cette
spontanéité du geste dans son expression artistique, ne le quitteront jamais.
Sa peinture l’amène à la conquête de la toile, cherchant son rapport à la
surface, à l’instar d’artistes américains tels Pollock, de Kooning, Sam Francis
ou encore Motherwell.
L’écriture de son nom, point de départ de nombreuses créations, répétée à
l’infini, se retrouve notamment dans la série de peintures « punitions », mais
également dans ses plus récentes peintures à l’huile. Son nom devient presque
illisible jusqu’à disparaître parfois au point d’en devenir motif abstrait,
laissant place à une nouvelle expérimentation de couleur et de matière.