Deux ans qu’on ne voyait plus Vianney qu’à travers les chansons qu’il signait
pour d’autres, loin des scènes et des écrans… Le voici de retour avec «
N’attendons pas », véritable hymne à la vie et aux passions qui nous animent !
Quelques tubes affutés en poche, armé de sa guitare, Vianney voulait retrouver
la chaleur du public ; avec son dernier album, N’attendons pas, il nous promet
un spectacle flamboyant, espiègle, familial et toujours plus chaleureux.
Brest Arena
Lieu
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Fiq ! (Réveille-toi ! en marocain). L’appel est lancé par le Groupe Acrobatique
de Tanger et son équipe d’une quinzaine d’artistes issus d’univers divers :
cirque, danse, breakdance, taekwondo, foot freestyle... Jetant des ponts entre
acrobatie marocaine traditionnelle et création contemporaine, ils mêlent un
langage éminemment physique à l’art de la surprise pour créer un cirque à leur
image : drôle, virtuose et traversé par une énergie lumineuse. Sur les beats
hip-hop orientaux de Dj Key, le collectif - plongé dans la scénographie colorée
de Hassan Hajjaj, pionnier du pop art marocain - génère une déferlante de
figures, de chorégraphies et de pensées qui réveillent joyeusement les
consciences.
Inspirée de l’œuvre du poète et musicien Leonard Cohen, Dance Me, la nouvelle
création des Ballets Jazz de Montréal, se présente comme le spectacle le plus
ambitieux de la compagnie qui fête ses 45 ans. Trois chorégraphes de renom -
Annabelle Lopez Ochoa, Andonis Foniadakis et Ihsan Rustem - ont relevé le défi
de mettre en mouvement la poésie chantée du songwriter. Il en résulte une
partition spectaculaire, structurée en « cinq saisons », comme autant de cycles
dans l’existence du chanteur récemment disparu, où fusionnent danse, musique et
vidéo. Alliant l’esthétique du ballet classique à l’énergie de la danse
contemporaine, les quatorze danseurs de la compagnie enchaînent les tableaux sur
les chansons emblématiques de Cohen. On assiste à un véritable feu d’artifice de
virtuosité et d’acrobaties livré à un rythme effréné, pour ne ralentir que lors
du duo de la mélancolique Suzanne. Dans ce vibrant hommage dansé, Leonard Cohen
semble bien là, et hante même tout le spectacle. Sa légendaire silhouette
coiffée de son éternel chapeau noir plane sur la scène, projetée sur l’écran ou
incarnée par les danseurs eux-mêmes, comme pour rappeler son génie dans
l’écriture de ses textes autant que dans celle de ses mélodies. Hallelujah…