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Deux ans qu’on ne voyait plus Vianney qu’à travers les chansons qu’il signait pour d’autres, loin des scènes et des écrans… Le voici de retour avec « N’attendons pas », véritable hymne à la vie et aux passions qui nous animent ! Quelques tubes affutés en poche, armé de sa guitare, Vianney voulait retrouver la chaleur du public ; avec son dernier album, N’attendons pas, il nous promet un spectacle flamboyant, espiègle, familial et toujours plus chaleureux.
Fiq ! (Réveille-toi ! en marocain). L’appel est lancé par le Groupe Acrobatique de Tanger et son équipe d’une quinzaine d’artistes issus d’univers divers : cirque, danse, breakdance, taekwondo, foot freestyle... Jetant des ponts entre acrobatie marocaine traditionnelle et création contemporaine, ils mêlent un langage éminemment physique à l’art de la surprise pour créer un cirque à leur image : drôle, virtuose et traversé par une énergie lumineuse. Sur les beats hip-hop orientaux de Dj Key, le collectif - plongé dans la scénographie colorée de Hassan Hajjaj, pionnier du pop art marocain - génère une déferlante de figures, de chorégraphies et de pensées qui réveillent joyeusement les consciences.
Dance me
23november 2021
Inspirée de l’œuvre du poète et musicien Leonard Cohen, Dance Me, la nouvelle création des Ballets Jazz de Montréal, se présente comme le spectacle le plus ambitieux de la compagnie qui fête ses 45 ans. Trois chorégraphes de renom - Annabelle Lopez Ochoa, Andonis Foniadakis et Ihsan Rustem - ont relevé le défi de mettre en mouvement la poésie chantée du songwriter. Il en résulte une partition spectaculaire, structurée en « cinq saisons », comme autant de cycles dans l’existence du chanteur récemment disparu, où fusionnent danse, musique et vidéo. Alliant l’esthétique du ballet classique à l’énergie de la danse contemporaine, les quatorze danseurs de la compagnie enchaînent les tableaux sur les chansons emblématiques de Cohen. On assiste à un véritable feu d’artifice de virtuosité et d’acrobaties livré à un rythme effréné, pour ne ralentir que lors du duo de la mélancolique Suzanne. Dans ce vibrant hommage dansé, Leonard Cohen semble bien là, et hante même tout le spectacle. Sa légendaire silhouette coiffée de son éternel chapeau noir plane sur la scène, projetée sur l’écran ou incarnée par les danseurs eux-mêmes, comme pour rappeler son génie dans l’écriture de ses textes autant que dans celle de ses mélodies. Hallelujah…