GARETH FARR
Kembang Suling
HEITOR VILLA-LOBOS
Assobio a Jato
BÉLA BARTÓK
Danses roumaines
MAURICE RAVEL
Vocalise-étude en forme de Habanera
ERIK SATIE
Gnossiennes n° 3 et n° 5
ASTOR PIAZZOLLA
Extraits d’Histoire du tango
Flûte Laetitia LENCK
Marimba Mathieu SCHAEFFER
Publié par : Ville de Marseille
Opéra de Marseille
Lieu
Événements à venir
Si Don Giovanni est le plus profond des opéras de Mozart, Così fan tutte le plus
intime et La Flûte enchantée le plus magique, Le Nozze di Figaro est
incontestablement le plus parfait.
L’esprit du livret étincelant de Da Ponte (d’après Beaumarchais), la beauté des
airs, la finesse de l’orchestre et l’extraordinaire construction des ensembles
(le final de l’acte II !) ne cessent d’étonner le spectateur le plus blasé.
Jusqu’à cette émouvante scène du pardon de la Comtesse qui inspire à Mozart
l’une de ses plus belles mélodies. Figaro, Suzanne, Chérubin, le Comte et la
Comtesse font partie de notre vie.
Peu d’oeuvres ont eu une telle résonance en leur temps et continuent de rythmer
le théâtre de nos existences. La partition qualifiée de « commedia per musica »
est confiée au nouveau directeur musical de l’Opéra Michele Spotti.
Mythique !
OPÉRA BUFFA EN 4 ACTES
Livret de Lorenzo DA PONTE, inspiré de la comédie de BEAUMARCHAIS, Le Mariage de
Figaro
Création à Vienne, le 1er mai 1786
Dernière représentation à Marseille, le 3 avril 2019
PRODUCTION Opéra de Marseille
Direction musicale Michele SPOTTI
Mise en scène et costumes Vincent BOUSSARD
Décors Vincent LEMAIRE
Lumières Bertrand COUDERC
La Comtesse Patrizia CIOFI
Suzanne Hélène CARPENTIER
Chérubin Eléonore PANCRAZI
Marceline Mireille DELUNSCH
Barberine Amandine AMMIRATI
Le Comte Almaviva Jean-Sébastien BOU
Figaro Robert GLEADOW
Bartolo Frédéric CATON
Don Basilio Raphaël BRÉMARD
Antonio Philippe ERMELIER
Don Curzio Carl GHAZAROSSIAN
Orchestre et Choeur de l’Opéra de Marseille
ACCESIBILITÉ
Dispositif de gilets vibrants pour les représentations des 26 et 28 avril.
Publié par : Ville de Marseille
Événements passés
Série Privilège à l’Opéra.
Dimanche matin, une heure, un compositeur, un pianiste, un petit prix.
La première fois que Pierre Réach est tombé amoureux de Beethoven, il avait six
ans. Ses parents l’avaient emmené assister à un concert de Wilhelm Kempff. Coup
de foudre ! Il lit la biographie de Romain Rolland qui le convainc que Beethoven
est un dieu vivant.
En travaillant avec Yvonne Lefébure, qui appelle le compositeur « mon homme »,
le dieu s’humanise. Sa vision s’approfondit lorsqu’il se perfectionne avec Maria
Curcio (la disciple de Schnabel). Au contact de Rubinstein, Weissenberg ou
Badura-Skoda, Pierre Réach élargit son univers et affermit sa passion pour
Beethoven. Il joue plusieurs fois l’intégrale des 32 sonates en concert qui
constitue un aboutissement dans une vie d’exigence, de travail acharné et de
recherche de l’absolu.
Alors qu’il s’est lancé dans une intégrale pour le disque, projet monumental qui
mobilise toutes ses forces physiques et spirituelles, Pierre Réach vient nous en
jouer trois : la toute première, celle qu’on appelle « La Caille », et la
célèbre « Appassionata ». Que cette musique partie du cœur et jouée avec le cœur
soulève maintenant nos cœurs.
Pierre Réach, piano
Un moment convivial, le dimanche matin, centré sur un seul compositeur, présenté
par Olivier Bellamy.
Une coréalisation Opéra de Marseille / Marseille Concerts.
Publié par : Ville de Marseille
Moins représenté que Manon ou Werther, Don Quichotte a été écrit par Massenet
pour la grande basse russe Chaliapine qui aurait versé des larmes à la lecture
de la partition.
Depuis la création triomphale à l’Opéra de Monte-Carlo, les meilleurs chanteurs
ont voulu incarner le « Chevalier à la Triste Figure » imaginé par Cervantès.
José van Dam a commencé par Sancho Pança avant d’enfiler le costume de Don
Quichotte. Massenet se serait identifié à son héros en tombant amoureux de
l’interprète de Dulcinée.
Mêlant l’humour, la mélancolie et le fantastique avec la grâce mélodique et une
instrumentation d’orfèvre, Massenet nous livre une comédie héroïque de choix. On
attend beaucoup du trio Nicolas Courjal, Héloïse Mas et Marc Barrard.
Historique !
OPÉRA EN 5 ACTES
Livret de Henri CAIN
Création à Monte-Carlo le 24 février 1910, à l’Opéra
Dernière représentation à Marseille, le 12 mars 2002
COPRODUCTION Opéra de Saint-Etienne / Opéra de Tours
Création le 31 janvier 2020 à l’Opéra de Saint-Étienne
Décors, costumes et accessoires réalisés dans les ateliers de l’Opéra de
Saint-Étienne
Direction musicale Gaspard BRÉCOURT
Mise en scène Louis DÉSIRÉ
Décors et Costumes Diégo MÉNDEZ CASARIEGO
Lumières Patrick MÉEÜS
Dulcinée Héloïse MAS
Pedro Laurence JANOT
Garcias Marie KALININE
Don Quichotte Nicolas COURJAL
Sancho Marc BARRARD
Rodriguez Camille TRESMONTANT
Juan Frédéric CORNILLE
Orchestre et Choeur de l’Opéra de Marseille
ACCESIBILITÉ
Dispositif de gilets vibrants pour les représentations des 21 et 24 mars.
Publié par : Ville de Marseille
Le GMEM en coproduction avec l’Opéra, s’engage auprès d’interprètes pour
soutenir la création, l’émergence, et faire découvrir le répertoire
d’aujourd’hui. 3 rendez-vous à l’Opéra, pour partager des moments inattendus et
privilégiés entre les artistes et le public.
Une clairière est un lieu à part, lieu ouvert ou enfermé selon le point de vue,
où se développent des écosystèmes qui ne peuvent vivre ailleurs.
Clairière est une invitation à découvrir une nature renouvelée, hybride. Proxima
Centauri se propose de transporter musiciens et spectateurs dans une nouvelle
clairière où électronique et organique se mélangent pour donner corps à des sons
nouveaux.
L’occasion d’interroger le dialogue entre voix et électronique, deux médiums qui
évoquent un mélange entre le réel et l’irréel. Un parcours fantasmagorique à
travers nos rêves, notre Histoire, nos légendes et notre univers.
Proxima Centauri, ensemble musical composé de
Marie-Bernadette Charrier, direction artistique et saxophone
Muriel Ferraro, voix
Sylvain Millepied, flûte
Hilomi Sakaguchi, piano
Benoit Poly, percussion
Christophe Havel, électronique
Programme (en cours)
Núria Giménez Comas
Clairière – Création
Texte de Laure Gauthier
Christophe Havel
Pli d’Eden
Raphaèle Biston
Ombres
Núria Giménez Comas
The Second Coming
Pierre Jodlowski
Coliseum
Dans le cadre des Modulations.
Publié par : Ville de Marseille
« Elle pleure », disait Brahms à propos de son Ouverture tragique. Toute la
noblesse du monde dans ces larmes. Le vigoureux Concerto pour violon de Bruch
répond à celui de Brahms avec le même lyrisme. Toute la virtuosité de Joachim
dans l’archet du jeune Lozakovich. Écrite pour célébrer la Révolution française,
la Symphonie n° 4 de Penderecki fait résonner l’âme polonaise. Tous les espoirs
de l’humanité en trente minutes.
JOHANNES BRAHMS
Ouverture tragique en ré mineur, op. 81
MAX BRUCH
Concerto pour violon n° 1 en sol mineur, op. 26
KRZYSZTOF PENDERECKI
Symphonie n° 4
Direction musicale Lawrence FOSTER
Violon Daniel LOZAKOVICH
Publié par : Ville de Marseille
ALEXANDER BORODINE
Quatuor à cordes n° 2
PIOTR ILITCH TCHAÏKOVSKI
Quatuor à cordes n° 2
Musique de chambre dans le foyer de l’Opéra de Marseille.
Violons Da-Min KIM et Marcello MIRAMONTI
Alto Magali DEMESSE
Violoncelle Anne-Claire CHOASSON
Publié par : Ville de Marseille
« Celui dont les yeux restent secs n’a pas de coeur humain dans la poitrine », a
écrit un critique après une représentation du plus célèbre des opéras de Verdi.
Inspiré de La Dame aux camélias d’Alexandre Dumas fils, La Traviata allie la
profondeur des sentiments à l’efficacité dramatique d’une partition de génie. Le
rôle a attiré toutes les sopranos du monde, mais il est redoutable car il
réclame une grande actrice doublée d’une chanteuse qui aurait trois voix (au
moins) en une. Colorature, dramatique et lyrique. Voire anémique…
Mise en scène par Visconti à Milan, Maria Callas a livré l’une de ses
incarnations les plus fascinantes. La scène d’amour de l’acte I, la scène du
sacrifice de l’acte II et la mort de Violetta sont parmi les sommets de toute
l’histoire de l’opéra. Mais chaque détail d’instrumentation, chaque soupir,
chaque inflexion émerveillent l’auditeur et serrent son coeur. Ruth Iniesta,
Julien Dran et Jérôme Boutillier en ont un.
Bouleversant !
OPÉRA EN 3 ACTES
Livret de Francesco Maria PIAVE
Création à Venise, le 6 mars 1853, au Teatro La Fenice
Dernière représentation à Marseille, le 2 janvier 2019
PRODUCTION Opéra de Marseille
Direction musicale Clelia CAFIERO
Mise en scène Renée AUPHAN réalisée par Yves COUDRAY
Décors Christine MAREST
Costumes Katia DUFLOT
Lumières Roberto VENTURI
Violetta Ruth INIESTA
Flora Laurence JANOT
Annina Svletana LIFAR
Alfredo Julien DRAN
Germont Jérôme BOUTILLIER
Gastone Carl GHAZAROSSIAN
Le Marquis Frédéric CORNILLE
Le Baron Douphol Jean-Marie DELPAS
Le Docteur Yuri KISSIN
Orchestre et Choeur de l’Opéra de Marseille
ACCESIBILITÉ
Dispositif de gilets vibrants pour les représentations des 11 et 15 février.
Publié par : Ville de Marseille
Le GMEM en coproduction avec l’Opéra, s’engage auprès d’interprètes pour
soutenir la création, l’émergence, et faire découvrir le répertoire
d’aujourd’hui. 3 rendez-vous à l’Opéra, pour partager des moments inattendus et
privilégiés entre les artistes et le public.
« Lamenti di Corsica » décline l’univers sombre des ces chants Lamenti
traditionnels corses. L’auditeur·rice plonge dans un univers sonore onirique
porté par des sonorités frottées, soufflées, des percussions préparées .Un
nouvel écrin pour ces chants, qui tente de pénétrer au coeur du timbre vocal et
d’en projeter sa substance évocatrice dans de nouveaux espaces.
Jérôme Casalonga, chant
Martin Bauer, viole de gambe
Adrien Deygas, basse
Joël Chausse, bugle
Laurent Mariusse, percussions et vibraphone
Dans le cadre des Modulations.
Publié par : Ville de Marseille
Pour célébrer les 400 ans de Molière, Jérôme Deschamps s’est offert un costume
sur mesure : celui d’Harpagon dans un Avare qu’il a souhaité réduire à sa plus
belle expression.
Bénis soit l’avarice et les avaricieux ! N’en déplaise à Molière, cet Avare-là
est généreux, offrant sans compter un plaisir vivifiant qu’on ne saurait bouder.
Pourtant la frugalité est partout : dans le décor en toile peinte, dans la mise
en scène légère, dans la sobriété du jeu d’acteur. Rien ne vient entraver le
texte, en ternir l’éclat, en affadir la richesse.
Les comédiens nous régalent en jouant sur les mots avec virtuosité. Jérôme
Deschamps en Harpagon bedonnant arc-bouté sur son or est jubilatoire et lumineux
comme le sont les splendides costumes de Macha Makeïeff. Le bonheur est notre
cassette.
L’Avare de Molière
Mise en scène : Jérôme Deschamps
Décor : Félix Deschamps Mak
Costumes et accessoires : Macha Makeïeff
Lumière : Bertrand Couderc
Perruques et maquillage : Emmanuelle Flisseau
Son : Nicolas Rouleau
Avec Flore Babled (en alternance), Bastien Chevrot (en alternance), Bénédicte
Choisnet (en alternance), Lorella Cravotta,Vincent Debost, Jérôme Deschamps,
Fred Epaud,Hervé Lassïnce, Louise Legendre, Yves Robin, Stanislas Roquette,
Geert Van Herwijnen
Une programmation du Théâtre du Gymnase hors les murs.
Publié par : Ville de Marseille
L’adoration de Tchaïkovski pour Mozart jaillit dans sa Suite « Mozartiana »
truffée de citations (Ave Verum…).
La découverte de Bach illumine le Concerto n° 13 de Mozart assombri par des
silences désespérés (finale). Lawrence Foster retrouve la pianiste Elena
Bachkirova, femme de son grand ami Barenboim. Et si, dans la 5e de Beethoven, le
Destin frappait à la porte, Tchaïkovski se soumet à sa volonté dans sa propre 5e
Symphonie.
PIOTR ILYICH TCHAÏKOVSKI
Suite n° 4 en sol majeur, op. 61, dite « Mozartiana »
WOLFGANG AMADEUS MOZART
Concerto pour piano n° 13 en do majeur, K. 415
PIOTR ILYICH TCHAÏKOVSKI
Symphonie n° 5 en mi mineur, op. 64
Direction musicale Lawrence FOSTER
Piano Elena Dmitrievna BASHKIROVA
Publié par : Ville de Marseille
Série Privilège à l’Opéra.
Dimanche matin, une heure, un compositeur, un pianiste, un petit prix.
Après le Conservatoire de Paris et avant de commencer une brillante carrière
internationale, Claire-Marie Le Guay a remporté à l’unanimité le premier prix du
Concours Pierre-Barbizet de Marseille. Il est donc logique qu’elle inaugure
notre nouvelle série piano en collaboration avec l’Opéra de Marseille.
Un moment convivial, le dimanche matin, centré sur un seul compositeur, présenté
par Olivier Bellamy et suivi d’une rencontre-signature avec l’artiste.
Claire-Marie Le Guay possède un esprit assez structuré et souple pour rendre
transparente la polyphonie du Cantor de Leipzig. Et une âme assez sensible pour
colorer avec grâce cette musique essentielle. Elle en a percé les secrets en
travaillant avec Rigutto, Rouvier, Bachkirov, Fleisher ou Barenboïm. Elle l’a
approfondie par un constant travail d’humilité qui éclaire l’harmonie de
l’intérieur. Comme elle l’a écrit : « Jouer Bach, c’est se retirer de soi-même
pour lui laisser toute la place. » Son CD Bach a remporté un « Choc » de
Classica. Avec clarté et ferveur, elle nous interprétera : Prélude et fugue n°1,
Fantaisie chromatique, Partita n° 1, Aria , Concerto italien et deux chorals de
Bach Busoni.
Claire-Marie Le Guay, piano
Une coréalisation Opéra de Marseille / Marseille Concerts.
Publié par : Ville de Marseille