RASA - Musique d'Inde du nord

Description

Rasa - littéralement "sève" - est un concept fondamental qui gouverne toute la théorie esthétique de l’expression des sentiments dans les arts classiques de la performance en Inde.

Depuis 2015, Rasa présente le répertoire traditionnel des Rāgas et Tālas, et le duo est aujourd’hui concidéré comme une référence en Europe dans l’interprétation et l’enseignement de la musique classique de l’Inde du Nord. Rasa s’est produit dans des centaines de concerts en Europe et dans le monde dans des lieux prestigieux tels que l'Auditorium du Musée Rietberg de Zurich (Suisse), le Festival "les Sacrées Journées" de Strasbourg, l’Auditorium du Musée des Confluences à Lyon, le National Museum of Ethnology de Leiden (Pays-Bas), la Bibliothèque Vallicelliana de Rome (ISAS - Italie), l'Institut de France à Bucharest (Namaste India - Roumanie), le Musée des Arts Asiatiques de Nice, ou encore l'AMR de Genève, le Festival "Jardin des ADEM" à Genève (concert radiodiffusé retransmis sur la RTS Suisse)... Rasa possèdent deux LP à son actif - "Rasa" (2015), "Mishra Ragas" (2019). Rasa propose régulièrement des masterclass et ateliers pédagogiques en conservatoire nationaux et régionaux, et des concerts commentés dans de nombreuses médiathèques en France et en Europe. Toujours à la recherche d'horizons nouveaux, Rasa a aussi initié de nombreuses expériences autour de la musique et des arts traditionnels de l’Inde, à travers des collaborations qui ont débouché sur des représentations ou des enregistrements. En 2021, Confluence - Concerto pour sitar, tabla et orchestre à cordes, composé par N. Delaigue - a été créé au Kraznoyarsk Philharmonic Concert Hall (Russie) sous la direction de Rasa et d'Igor Polesitsky et est depuis proposé à de nombreux ensembles à cordes en Europe.

Nicolas Delaigue au Sitar, et Nihar Mehta au Tabla interpretent la riche tradition de la musique d'Inde du nord - Rāgas et Tālas - dans des genres classiques et semi-classiques. Le sitar est le luth emblématique de la musique classique d'Inde du nord et le tabla est la percussion traditionnelle la plus populaire en Inde, tant dans la musique savante que populaire. Le temps d'un concert, les spectateurs goûteront un moment à chaque fois unique et improvisé. Les émotions, les couleurs et les sensations les entraîneront alors dans une danse de l'esprit, se mêlant à une expérience spirituelle et extatique...

Réservation obligatoire. Paiement sur place (espèces ou chèque). Tarifs : 17€ / 15€ (tarifs Ville de Paris)

Evénement en partenariat avec l'Ambassade d'Inde en France et l'association Saptak India.

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Événements suggérés

Orchestre : Orchestre Hélios Direction : Matthieu Cabanes Chœur : Hélios Éphémère Le Requiem de Verdi, un « opéra de la mort » ? Le 22 mai 1873, le poète Alessandro Manzoni meurt. Verdi est bouleversé par la disparition du poète, à qui il avait adressé une dédicace en 1867 « je vous estime et vous vénère autant qu’on peut estimer et vénérer sur cette terre, et comme homme et comme incarnant le véritable honneur de notre patrie tourmentée ». Ainsi le compositeur républicain écrit-il dès le lendemain à son éditeur « je suis profondément affligé par la mort de ce Grand Homme. Peut-être, après avoir pesé et réfléchi mes forces, vous proposerai-je quelque chose pour honorer sa mémoire. ». Le 22 mai 1874 a lieu la création de la Messa da Requiem en l’église San-Marco de Milan, exécution ne nécessitant pas moins de cent-vingt choristes, cent instrumentistes et un quatuor vocal, le tout sous la baguette exigeante de Verdi. Si la majorité des critiques et l’ensemble du public semblent apprécier l’œuvre de Verdi, certaines lui reproche de recourir à un langage musical relevant de l’opéra pour une œuvre religieuse, rapprochant son Requiem d’un « opéra de la mort ». Pour autant, cette théâtralité fit le bonheur de certains, à l’image de Bizet : « quand un tempérament passionné, violent, brutal même, quand un Verdi dote l’art d’une œuvre vivante et forte, pétrie d’or et de boue, de fiel et de sang, n’allons pas lui dire froidement : ‘Mais, cher Monsieur, cela manque de goût, cela n’est pas distingué !’ Est-ce que Michel-Ange, Homère, Dante, Shakespeare, Beethoven, Cervantès et Rabelais sont distingués ? ». Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios s’est imposé depuis sa création en 2014. Son directeur artistique, Paul Savalle, favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se mêlent aux musiciens d’orchestre, aux chefs et aux solistes expérimentés, dans des conditions de travail optimales. De la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés. Quant au répertoire, il est à la fois symphonique et choral, l’orchestre s’associant aux chœurs départementaux et régionaux. Grâce à la collaboration de différents chefs, les musiciens abordent un répertoire très riche en élargissant leur palette d’interprétation. Ils sont tous issus des grands conservatoires français, certains appartenant à un orchestre national. Du quatuor à cordes à l’orchestre symphonique, en passant par l’ensemble de cuivres, l’orchestre élargit toujours son audience en modulant sa composition. La formation « cordes » se produit dans des endroits pittoresques qui ne sauraient accueillir un orchestre symphonique, ce qui permet au public de découvrir un patrimoine architectural très riche. En somme, grâce à sa formation à géométrie variable, l’orchestre Hélios aborde le répertoire le plus large avec une curiosité passionnée.
Une pièce pour cinq danseurs acrobates. Cette pièce pour cinq danseurs acrobates est une exploration de notre résistance, une métaphore de nos possibilités de résilience. Sur un sol en constante rotation, sorte de vortex qui formule une injonction au mouvement, une petite communauté s'oppose par l'affirmation de ses identités physiques et tente de faire corps commun malgré tout. - en coréalisation avec le Théâtre de Châtillon Distribution : Création Naïf Production à l'initiative de Lucien Reynès Équipe au plateau : Noé Chapsal, Marion Castaillet, Evan Greenaway, Charlotte Louvel, Pia Oliva Équipe recherche et création : Sylvain Bouillet, Mathieu Desseigne, Lucien Reynès, Noé Chapsal, Marion Castaillet, Alexandre Fournier, EvanGreenaway, Charlotte Louvel, Pia Oliva, Julien Fouché (jiu-jitsu), Christophe Ruetsch (musique et sonorisation), Pauline Guyonnet (lumières) et Natacha Costechareire (costumes) Équipe technique : David Carrier et Elise Riegel Conception machinerie Maurizio Moretti Construction Les ateliers de la MC93
Orchestre Hélios Chœur Sul fiato, Chœur du Chesnay Direction : Matthieu Cabanes Boléro de Ravel Stabat Mater de Poulenc Brahms : Nänie et Schicksalslied Le Boléro De Ravel Le Boléro est l’œuvre de musique classique la plus jouée dans le monde avec une représentation toutes les 15 minutes. Lors de sa création, le compositeur avait donné les droits d’auteur à son jardiner sans prévoir son succès auprès du grand public. Cette œuvre est l’archétype de l’ostinato. La mélodie est reprise à tour de rôle par les différents instruments de l’orchestre sur une formule rythmique à la percussion. Stabat Mater (Poulenc) Le motet Stabat Mater est une mise en musique par Francis Poulenc, en 1950, de la séquence liturgique Stabat Mater. Poulenc composa l'œuvre à la suite de la mort de son ami l'artiste Christian Bérard. Il avait le projet d'écrire un Requiem pour Bérard, mais, en retournant à l'autel de la Vierge noire de Rocamadour, il choisit le texte médiéval du Stabat Mater1. La musique de Poulenc, conçue pour soprano solo, chœur et orchestre, fut jouée au Festival de Strasbourg par le Chœur de Saint-Guillaume, ensemble amateur réputé, et l’orchestre de Strasbourg sous la direction de Fritz Munch (le frère de Charles). Ce Stabat Mater reçut un bon accueil dans toute l'Europe, et il remporta le Prix du cercle des critiques de New York, comme étant la meilleure œuvre chorale de l'année. Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios s’est imposé depuis sa création en 2014. Son directeur artistique, Paul Savalle, favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se mêlent aux musiciens d’orchestre, aux chefs et aux solistes expérimentés, dans des conditions de travail optimales. De la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés. Quant au répertoire, il est à la fois symphonique et choral, l’orchestre s’associant aux chœurs départementaux et régionaux. Grâce à la collaboration de différents chefs, les musiciens abordent un répertoire très riche en élargissant leur palette d’interprétation. Ils sont tous issus des grands conservatoires français, certains appartenant à un orchestre national. Du quatuor à cordes à l’orchestre symphonique, en passant par l’ensemble de cuivres, l’orchestre élargit toujours son audience en modulant sa composition. La formation « cordes » se produit dans des endroits pittoresques qui ne sauraient accueillir un orchestre symphonique, ce qui permet au public de découvrir un patrimoine architectural très riche. En somme, grâce à sa formation à géométrie variable, l’orchestre Hélios aborde le répertoire le plus large avec une curiosité passionnée.
Nouvelle exposition gratuite de street art à Fluctuart ! Ce printemps, la fameuse péniche parisienne convie 13 artistes issus la scène émergente polonaise du graffiti et du street art pour nous offrir une plongée dans l’histoire de l'art urbain en Europe de l'Est. C’est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024. Après avoir consacré des expositions à Seth, Nasty ou encore à Tania Mouraud, Fluctuart nous emmène en voyage sur les traces de la scène émergente polonaise du graffiti et du street art. Intitulée « Habitus de l’Est », cette nouvelle installation gratuite, à voir sur la fameuse péniche parisienne dédiée à l’art urbain, est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024. Au total, Fluctuart convie 13 artistes d’Europe de l’Est, parmi lesquels Finer et son graffiti classique, Sepe et ses œuvres figuratives, Sicoer et son style faisant honneur à la typographie, Natalia Magalska et ses créations engagées ou encore Mariusz M-City Waras qui propose pour l’occasion une installation unique réalisée in situ. Toutes et tous en profiteront pour dévoiler à Paris leurs œuvres urbaines inédites. L’occasion pour les amateurs d’art urbain de plonger dans l’histoire du street art en Pologne et de découvrir toute la diversité et la richesse des contenus stylistiques et thématiques de ces artistes originaires d’Europe de l’Est. Rendez-vous donc à Fluctuart du 16 mai au 30 juin 2024 pour admirer gratuitement les œuvres proposées lors de cette exposition, véritable vitrine collective de la création urbaine en Pologne ! Notez qu’un vernissage, ouvert à tous, est prévu le mercredi 15 mai à partir de 18h.
Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription au vernissage obligatoire. Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste. Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques). SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique. L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle dans les disciplines créatives. L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y faire un tour ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
La nouvelle création d'Etienne Saglio ravit au sens propre. Elle relève de la magie, du sortilège, d'un théâtre dont l'illusion est maîtresse. Si la nature quitte notre imaginaire, elle quitte nos vies. Face à ce constat simple, note l'auteur et interprète, je veux reboiser notre imaginaire. Convoquer la lune, les arbres et les loups, les géants et les monstres. Notre flore intérieure s'est appauvrie. Il faut la repeupler. La pièce s'adresse à tous les enfants. Y compris - et peut-être surtout - à celui qui sommeille en chacun d'entre vous, adulte en proie à une forme de désillusion. Dans un monde devenu trop propre, Etienne Saglio, vous emmène dans les bois. Il y déploie un bestiaire fantastique orchestré par un étrange renard. De la plante verte qui se rebelle au géant attentionné, il vous invite à tendre l'oreille au bruit des loups qui résonne en vous comme une pensée sauvage.
Les Fo'Plafonds, une troupe d'artistes, se créent en 2015 à partir d'un concept : créer des instruments à partir d'objets recyclés. La troupe, bien connue d'Internet, se produit sur scène pour vous montrer qu'il ne faut pas forcément des instruments à des prix excessifs pour faire de la bonne musique. Les Fo'Plafonds débarquent sur la scène du Théâtre Bobino le 22 mai 2024. Se définissant comme un "orchestre de brocante", la troupe vous attend pour un spectacle musical avec des instruments créés par leurs soins à base de produits recyclés. La troupe se crée en 2015, à l'initiative de trois d'entre eux qui étaient en école de musique à l'époque. L'idée vient d'un projet de groupe où ils devaient créer de la musique avec des instruments traditionnels, mais les trois amis se sont rapidement mis à en créer avec des objets comme des bouteilles ou des gobelets. Ils créent alors leur troupe et tirent leur nom du faux plafond qu'il y avait dans leur salle de répétition. Le groupe rassemble dix personnes, depuis 2015, avec huit musiciens et deux techniciens. Les Fo'Pflafonds se sont majoritairement fait connaître via Internet, une de leur chanson postée accumulant les 20 millions de vues sur toutes les différentes plateformes. Ils ont également participé à l'équivalent allemand de l'émission Mon incroyable talent, Das Supertalent. La troupe enchaîne par la suite les dates de spectacle en France. Les Fo'Plafonds sont à découvrir sur la scène du Bobino pour un spectacle musical hors du commun, le 22 mai 2024.
Après ses performances parisiennes assurées en 2016 et en 2018, Yes revient dans la capitale ! Rendez-vous cette fois-ci à la Salle Pleyel le lundi 20 mai 2024 pour remonter le temps et vibrer au rythme des nombreux succès de ces légendes du rock progressif. Envie de découvrir ou redécouvrir un mythique groupe en live ? Alors direction la Salle Pleyel à Paris, le lundi 20 mai 2024, pour chanter haut et fort les tubes de Yes ! Un conseil, ne loupez pas l'ouverture de la billetterie le 8 décembre à 11h. Qui n’a jamais entendu parler de Yes ? Après plus de 50 ans de carrière, pendant laquelle ils ont contribué à redéfinir les frontières du rock, Yes est incontestablement un groupe de scène. Formé en 1968 par Chris Squire et Jon Anderson, rejoints par la suite par le batteur Bill Bruford, le guitariste Peter Banks et le claviériste Tony Kaye, Yes a fait ses débuts dans le fameux club londonien The Marquee Club. Aujourd’hui, Yes se compose du chanteur Jon Davison, du guitariste Steve Howe, du percussionniste Jay Schellen et de Geoff Downes aux claviers, sans oublier de Billy Sherwood à la basse. En 2024, Yes annonce donc son retour sur les routes à l'occasion du 50e anniversaire de son mythique album "Tales from Topographic Oceans", où l’on retrouve notamment les titres « The Remembering (High the Memory) », « The Ancient (Giants Under the Sun) » ou encore « Ritual (Nous sommes du soleil) ». Mais ce nouveau concert de Yes à Paris sera aussi l’occasion pour le groupe britannique de rock progressif de présenter, pour la première fois en live, des morceaux extraits de son dernier album intitulé "Mirror To The Sky". Pour sublimer cette soirée musicale, le groupe prévoit également de mettre en lumière l’artiste et designer Roger Dean, dont le travail figure notamment sur la pochette de l’album "Mirror to the Sky". Rappelons que Yes est réputé pour ses titres expressifs, ses textes ésotériques, des visuels d’album élaborés ainsi que des décors de scène pittoresques. Depuis le début de leur carrière, les membres de Yes cumulent plus de 20 albums, dont "Yes" (1969), "Fragile" (1971), "Close to the Edge" (1972) ou encore "Heaven & Earth" (2014). Pour (re)découvrir Yes sur scène à Paris, direction donc la Salle Pleyel le 20 mai 2024.