Candlelight : Hommage à Taylor Swift

Description

Assiste à un concert magique à la bougie avec Candlelight, Hommage à Taylor Swift à Lyon ! Découvre cet événement unique dans la Chapelle de la Trinité. Profite d'une expérience musicale inoubliable avec un programme comprenant les chansons emblématiques de Taylor Swift. Réserve dès maintenant tes billets pour vivre ce moment enchanteur.

Information sur la date

Dimanche 14 avril 2024

21h30

Billets

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A partir de 19.00 €

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Soirée intitulée "Metamorphosis" (contrepoint visuel inspiré de l’œuvre graphique de Jean Giraud avec le vidéaste Christophe Waksmann : projection, en direct, d'une dizaine de planches animées issues de trois des mondes imaginaires de Mœbius).
Chez les compositeurs baroques, on aime chiper à son voisin. Il ne s’agit pas de plagiat, mais de la marque d’un profond respect. En reprenant l’oeuvre d’autrui, l’arrangeur lui garantit en quelque sorte la vie éternelle : les réappropriations sont infinies et s’adaptent à l’humeur du temps. Un concerto pour cordes de Vivaldi sert de fil conducteur au concert, dans sa version originale, puis réinventé par l’ami de Vivaldi Johann Georg Pisendel, et enfin vu par l’oeil contemporain de Franck-Emmanuel Comte. Bach (l’un des plus grands virtuoses de la métamorphose) se parodie lui-même. Et, à notre époque, Rasmussen s’approprie les Quatre Saisons de Vivaldi, tandis que Karl Jenkins puise chez Vivaldi et Albinoni la matière de son Concerto grosso «Palladio». Programme : Antonio Vivaldi, Concerto pour deux violons, violoncelle et cordes en sol mineur, op. 3/2, RV 578a, extrait de L’Estro armonico (extraits – version originale, arr. de Johann Georg Pisendel et arr. F.-E. Comte) Johann Sebastian Bach, Concerto pour violon en ré mineur, BWV 1052R (d’après le Concerto pour clavecin n° 1, en ré mineur BWV 1052) Karl Aage Rasmussen, «Summer», extrait de The Four Seasons (d’après Antonio Vivaldi) Karl Jenkins, Concerto grosso «Palladio» (d’après Tomaso Albinoni et Antonio Vivaldi) Le Concert de l’Hostel Dieu Stefan Plewniak, violon solo Franck-Emmanuel Comte, direction et clavecin Christophe Waksmann, vidéos (d'après Mœbius)
Le concert Nuits sonores : Troubles est au programme du festival Nuits Sonores 2024. Le projet Troubles est de retour à Lyon pour un concert spécial lors de Nuits sonores 2024. Ce concert littéraire réunit l'auteure Virginie Despentes, la rappeuse Casey, l'actrice Béatrice Dalle et le groupe de rock-noise lyonnais Zëro. Une proposition scénique audacieuse qui explore des thèmes sociaux et culturels contemporains à travers des textes poignants des années 60 à nos jours.
La Loi des montagnes d'Erich von Stroheim ?(Blind Husbands, États-Unis, 1919, 1h42, N&B) Dans un village du Tyrol, un lieutenant tente de séduire l'épouse d'un médecin. Ce dernier finit par avoir des soup?ons et propose au séducteur de l'accompagner en montagne... Premier long métrage du génial Erich von Stroheim, et l'un des premiers succès public et critique des Studios Universal. Un mélodrame singulier bousculant les conventions. Restauration 4K par the Austrian Film Museum à partir d'une copie nitrate 35mm de sa collection et les intertitres originaux provenant d'un internégatif 35mm des collections du Museum of Modern Art (New York). Accompagnement au piano par Didier Martel Site web : https://billetterie.institut-lumiere.org/la-loi-des-montagnes-loisirs-institut-lumiere-hangar-lyon-12-mai-2024-css5-institutlumiere-pg101-ri10315617.html
La comédie de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien inspire Béatrice et Bénédict, la dernière oeuvre lyrique de Berlioz, le plus controversé des compositeurs romantiques. La création à Baden-Baden, en 1862, est un triomphe. Entre quatre jeunes gens se jouent deux conceptions de l’amour : la sécurité du foyer, la sauvagerie du désir. Claudio et Héro incarnent innocemment l’amour conjugal. Béatrice et Bénédict ont si peur de la prison du mariage qu’ils refusent de reconnaître leur mutuelle attirance et inventent de se haïr. La conspiration de leur milieu, société de surveillance et de contrôle, a raison de leur résistance. Berlioz compose, pour porter cette histoire, une musique qu’il décrit comme « une des plus vives et des plus originales, qui exige une excessive délicatesse d’exécution. » Le metteur en scène Damiano Michieletto, pour sa part, est fasciné par le génie visionnaire de Berlioz, qui « ne s’arrête pas à la narration d’une histoire mais la transforme en un voyage personnel, où sa musique agrandit les espaces, élargit l’horizon. » Opéra-comique en 2 actes Livret du compositeur d’après la pièce de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien Création à Baden-Baden en 1862 Nouvelle production Mise en scène : Damiano Michieletto Direction musicale : Johannes Debus Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, Solistes du Lyon Opéra Studio
Elle est la nouvelle voix du jazz et, à 34 ans, l’une des artistes les plus imaginatives de la scène contemporaine. Née d’une mère française et d’un père haïtien, Cécile McLorin Salvant grandit à Miami où elle commence sa formation musicale classique avant de rejoindre Aix-en-Provence pour y étudier le droit et l’opéra. De sa voix en or, elle illumine ses choix particulièrement audacieux de répertoire et de compositions : un savant équilibre de jazz, d’inspirations classiques, de racines folkloriques et de reprises pop. Auréolée de prestigieuses récompenses, souvent comparée aux légendaires Sarah Vaughan ou Ella Fitzgerald, Cécile McLorin Salvant impressionne par l’originalité et l’exigence de sa discographie, à l’instar des récents Mélusine et Ghost Song. Et c’est probablement Wynton Marsalis qui en parle le mieux : «Elle possède l’assurance, l’élégance, l’âme, l’humour, la sensualité, la puissance, le registre, la perspicacité, l’intelligence, la profondeur et la grâce ; on ne trouve une telle chanteuse qu’une seule fois sur une voire deux générations.» Rien que ça. Programme : Orchestre national de Lyon Dirk Brossé, direction Cécile McLorin Salvant, voix Sullivan Fortner, piano
Il était une fois… L’ouverture d’Oberon commence comme un conte de fée, merveilleuse introduction à l’opéra de Weber inspiré par Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare. Comment pourrait-on, après cela, douter de la capacité de l’orchestre à raconter une belle histoire ? Dans sa Sixième Symphonie, Tchaïkovski précise toutefois que le programme est «profondément subjectif» et qu’il revient au public d’en dessiner les lignes. Toutefois, le titre est sans ambiguïté : «Pathétique», comme l’une des plus célèbres sonates de Beethoven. Tchaïkovski compose une musique bouleversante ; jusqu’au finale lamentoso, chaque émotion y est puisée dans une indicible souffrance. Et tout aussi secret s’annonce le Concerto pour piano de Schumann, avec son motif formé sur les lettres du prénom de sa bien-aimée Clara. Après les doutes et la douleur inspirés par une séparation forcée, la joie des retrouvailles s’y impose. Programme : Carl Maria von Weber, Ouverture d’Oberon Robert Schumann, Concerto pour piano en la mineur, op. 54 Piotr Ilitch Tchaïkovski, Symphonie n° 6, en si mineur, op. 74, «Pathétique» Orchestre national de Lyon Sir Andrew Davis, direction Garrick Ohlsson, piano