Initié à l’été 2021, le projet Bianco Ordinario d’Hélène Bellenger prend racine
dans les carrières de marbre de Carrare, en Italie. Sculptées depuis des siècles
pour la qualité de leur marbre blanc, ces carrières sont aujourd’hui
surexploitées pour l’utilisation de la poudre de marbre, un carbonate de calcium
à l’état pur. Utilisée notamment dans la composition du dentifrice, du
maquillage, du papier ou des produits d’entretien, la poudre de marbre vient
ainsi se nicher dans l’histoire du blanchiment et de la blanchité de nos
sociétés occidentales contemporaines.
Hélène Bellenger a initié une collection de produits de consommation à imprimer
directement sur le verso en carton. À la fois fragiles, précieuses, uniques mais
aussi éphémères et jetables, ces petites images, dont la forme varie selon les
produits, proposent ainsi une typologie des formes industrielles, tout en
présentant une sélection d’images de ces paysages modelés par l’exploitation
intensive du marbre de Carrare.
Publié par : Ville de Marseille
Croisées – Mathilde Besson
08februari
-05april
28 Rue Saint-Jacques, 13006 Marseille, France
Description
En architecture, une croisée désigne le croisement des meneaux en pierre d’une fenêtre. Les meneaux ont disparu après le XVIe siècle, mais le terme s’utilise encore aujourd’hui pour la fenêtre elle-même, c’est-à-dire pour l’ouverture pratiquée dans un mur pour laisser entrer la lumière. En tissage, le même mot désigne le croisement des fils de chaîne lors de l’ourdissage qui permet de maintenir les fils dans l’ordre nécessaire au tissage, on parle plus spécifiquement de l’encroix. Deux formes différentes de croisées servant de séparation aux espaces qu’elles structurent et pouvant ou non laisser passer le jour.
Avec le soutien du fonds Carta
Vernissage jeudi 8 février de 18h30 à 20h30
Publié par : Ville de Marseille
Art
Contemporain
Information sur la date
Visites sur rendez-vous.
Billets
Info:
Gratuit
1 Photo
Événements suggérés
Le festival Flaslight permet aux jeunes talents émergeant d’accéder à la scène
sous le regard d’un jury d’artistes.
Des initiations à la danse, des stands de graffitis sur vêtements, une fresque à
taguer, des jams party, un jeu de pétanque ainsi que des spectacles amateurs
d’écoles de danse et de professionnels seront présentés.
La Ville de Marseille soutient, via la Direction du Lien Social, de la Vie
Associative et de l’Engagement Citoyen, des projets Olympiade Culturelles
portées par des structures sociales.
– 21 avril à l’occasion de » La Voie est libre » : Jam party & Battles. Les
danseurs seront invités à prendre part à des compétitions de danse intenses, où
chaque pas de danse est une performance exceptionnelle. Les meilleurs danseurs
auront l’opportunité de se qualifier directement pour le « Battle Flashlight »
qui aura lieu le 23 juin.
– 25 mai City stade de la Verrerie et le centre social : Le festival Flaslight
permet aux jeunes talents émergeant d’accéder à la scène. Battle kids, des
stands de graffitis sur vêtements, une fresque à taguer, des jams party, scène
ouverte, un jeu de pétanque ainsi que des spectacles amateurs d’écoles de danse
et de professionnels.
– 26 mai à l’occasion de » La Voie est libre » : Sous le même thème « Jam
party & Battles », les danseurs pourront à nouveau montrer leurs talents en
Hip-Hop, entremêlés de moment : Salsa/Bachata. Les scores ici aideront également
les compétiteurs à se hisser au rang de qualifié pour le Festival Flashlight.
– 23 juin lieux à confirmer : Cette journée sera dédiée à la danse et à la
célébration de l’art du mouvement, précisément du hip-hop, qui entre en scène
aux Jeux Olympiques pour la première fois grâce au Break-Dance. A partir des
quart de finale battle kids et adultes
23 juin à l’occasion de » La Voie est libre » : « Clôture dansée » du Festival
de Hip-Hop Flashlight. Nocturne spéciale JO. Musique Live DJ MOFAK et Funk
Freaks
L’Olympiade Culturelle à Marseille.
Publié par : Ville de Marseille
Marstlanta est un projet de création sonore basé sur des archives musicales, des
enregistrements de paroles et de bruits des rues des deux villes. L’objectif :
créer un pont entre Marseille et Atlanta par et pour la culture hip-hop.
Parfois dénigrées, souvent fantasmées, Marseille et Atlanta subissent des
transformations sociologiques et urbaines en accéléré. Situées à plus de 7000 km
de distance, ces capitales périphériques ont aussi pour point commun d’avoir été
placées sur la carte grâce au rap. Le projet propose de réunir les voix, les
ambiances sonores et visuelles de ces deux planètes singulières dans une
troisième ville imaginaire appelée MARSTLANTA.
Conçue comme une mixtape documentaire avec Djellali El Ouzeri aux manettes,
cette exposition sonore et visuelle esquissera trente ans d’histoire musicale et
de mutations urbaines des “sale sud” au travers des témoignages d’habitants,
d’intellectuels et d’acteurs de la scène hip-hop issus de différentes
générations. L’artiste invite, via sa transcription sensible, à expérimenter des
sensations, des découvertes et des réalités constitutives de ses deux villes
réunis dans un nouvel espace-temps.
Une expérience immersive qui propose un voyage singulier au cœur de ce
territoire allégorique.
UNE RÉSIDENCE DE CRÉATION
De sa résidence de recherche et création en 2023 à la Villa Albertine à Atlanta
est né son projet d’exposition MARSTLANTA. En s’appuyant sur ces deux
thématiques de création : « Géographie sonore, art, culture et transmission :
Dirty South vs Sale Sud » et « Innovation, transition, gentrification et
politique », cette résidence lui a permis de faire de nombreuses rencontres
d’acteurs majeurs de la ville d’Atlanta en relation avec sa recherche
(chercheur·euses, activistes, habitant·es, artistes, leaders institutionnel·les
et économiques).
Pendant cette résidence, il a donc réalisé plusieurs types de prises de sons
(field- recording, enregistrement musicaux, interviews) ainsi que des
photographies et vidéos. En amont de sa résidence à Atlanta, il avait réalisé ce
même travail de recherche et de production à Marseille.
DJELLALI EL OUZERI
Djellali El Ouzeri aka DJ DJEL est né à Marseille en 1974 et rencontre la
culture hip-hop en 1989. Il est vite attiré par la fraîcheur de cet art et ses
différentes disciplines. Il s’essaie à la danse, au graffiti (qu’il pratique
toujours, à l’écriture, avant de découvrir le deejaying, le sample et la
recherche musicale). De 98 à 2006, il sortira chez Sony Music, plusieurs disques
avec son groupe la FONKY FAMILY (plusieurs fois certifiés Or et Platine). À
partir de 2007, il produit d’autres projets d’artistes (albums, compilations,
mixtape) sur son label DON’T SLEEP. Il a collaboré sur scène ou sur disque avec
des artistes reconnus au niveau national et international (Oxmo Puccino, IAM,
Akhenaton, Soprano, Kendrick Lamar, Napoleon Da Legend, Infamous Mobb).
Beatmaker et producteur de musique électronique (Rap et autres), il continue
d’échanger autour de plusieurs sujets avec des artistes de tous bords.
(Plasticiens, réalisateurs, danseurs, peintres et chanteurs (opéra, slam, chant,
rap). Il transmet son savoir autour du mix, du scratch et de la composition dans
une école de DJ qu’il a créé avec l’Affranchi depuis 2017 et est artiste associé
et coach scénique pour l’AMI auprès d’artistes émergents de la scène locale. Il
continue de performer en concerts et en club. Djellali El Ouzeri a participé à
la réalisation de la pièce principale de l’exposition 360° Hip-Hop, Gloire à
l’Art de rue (titre de la FF) présentée à La Philharmonie de Paris.
Publié par : Ville de Marseille
Au sein de l’Unité d’Habitation Le Corbusier, Kolektiv Cité Radieuse présente le
travail de l’un des principaux illustrateurs tchèques contemporains, Jan Sramek.
A travers une large sélection d’illustrations, animations et textiles,
l’exposition Endangered especies (Espèces menacées) témoigne de la richesse
architecturale tchécoslovaque des années 1960-1980 et de la fragilité du
patrimoine de l’architecture moderne.
Depuis 2010, Jan Sramek entend contribuer à la préservation de cet héritage
brutaliste. Multipliant les supports (bandes dessinées et récits graphiques
primés, illustrations pour la presse écrite, animations et vidéoclips), celui
qui se définit comme un graphiste activiste a créé un univers visuel familier,
aux accents tantôt dystopiques tantôt ludiques. Intermèdes précédant des séances
de cinéma, livres pour enfants et expositions se substituent à des
visualisations 3D sans âme. Ses dessins à plat aux teintes légèrement passées,
surgissent en différents lieux de l’environnement urbain et composent une toile
de fond où s’enchaînent bâtiments familiers (motels, centres commerciaux,
universités) et édifices emblématiques.
Jan Sramek parvient ainsi à susciter un rapport émotionnel avec une architecture
contestée et souvent négligée, dessinant une période où l’espace public était au
cœur des préoccupations et se traduisait par des projets urbains imposants et
souvent ambitieux. Car telles des espèces animales en voie d’extinction, ces
complexes en béton, d’acier et de verre font face à la disparition progressive
de leur écosystème urbain. Surdimensionnés, ces symboles d’un avenir radieux
sont démantelés ou remodelés, perdant peu à peu leur essence et cédant la place
à une architecture mondialisée et standardisée, guidée par les seuls principes
du marché.
Dans le cadre en béton de l’Unité d’Habitation, Endangered Species évoque le
contraste offert par la sophistication intérieure de ces palais brutalistes où
ressortent les mosaïques et luminaires en cristal des Hôtels Praha ou Thermal,
soulignant ainsi leur place dans l’histoire architecturale du 20e siècle.
Publié par : Ville de Marseille
Rendez-vous Cirque
Création « Rupestre »
Rupestre évoque des croisements poétiques et corporels entre passé, présent et
futur, comme une évasion surréaliste vers l’origine préhistorique de l’humanité.
Les deux artistes interprètent des personnages qui se rencontrent dans
différents périodes historiques, avec leurs souvenirs, leurs prémonitions, et
vivent différentes relations d’oppression et d’entraide.
A travers un voyage sonore et sensoriel, Rupestre crée une sensation de
régression dans le temps, la trame se développe à partir de la percussion – la
première impulsion sonore de l’humanité : par la collision entre les objets, les
bruits se transforment en son, puis en rythme, en mélodie, danse et performance
circassienne.
Artistes sur scène : Rodrigo Ceribelli, Cássia Cristina
Regard extérieur : Christian Lucas
Costumière : Romane Cassard
Conseillère anthropologique : Carla Mattos
La compagnie
La compagnie Patuá est née du désir de créer un cirque adapté à la réalité de
ses fondateurs. Après 10 ans de travail et de recherches sur les portés
acrobatiques à partir d’expériences multiculturelles, la compagnie souhaite
créer un cirque politiquement engagé, spirituel, dramatique, ludique et
populaire. Un cirque qui transite entre le profane et le sacré, qui séduit puis
fait trébucher.
A partir de 7 ans
Durée : environ 1h
[Gratuit sur réservation publics@archaos.fr]
Publié par : Ville de Marseille
Plongez dans une expérience captivante et participative avec le spectacle
époustouflant de Patrick Torres. Présenté lors de sa dernière tournée aux
États-Unis, laissez-vous emporter par l'univers unique de ce mentaliste
talentueux qui maîtrise l'art de mélanger divers styles et techniques pour créer
un spectacle inoubliable. Patrick Torres vous invite à être au coeur de
l'action, car votre participation est non seulement encouragée, mais également
essentielle. Explorez son monde fascinant où la psychologie, l'influence, le
détournement d'attention et l'humour se conjuguent pour lire dans vos pensées,
créant ainsi une expérience immersive qui défie les limites de votre réalité.
Réservez dès maintenant pour vivre une soirée exceptionnelle où l'extraordinaire
devient possible grâce à l'incroyable talent de Patrick Torres.
2024 marque certes le 50e anniversaire de la disparition de Marcel Pagnol, mais
aussi celui d'Andrée TURCY (1891 - 1974), grande dame de la chanson
marseillaise, artiste chérie du célèbre Alcazar de Marseille. Jean-Christophe
Born, Guillemette Lefevre, accompagné au piano par Danielle Sainte Croix, vous
invitent à fêter la mémoire de cette star de la chanson qui triompha à Paris, à
Marseille, à Alger et de multiples tournées.
Laissons-nous emporter en un voyage vibrant à travers l'histoire de cette
immense artiste dans les cafés-concerts, les music-halls parisiens, l'Alcazar de
Marseille, le Casino d'Alger, les guerres mondiales... Évoquer Andrée Turcy,
c'est réveiller l'âme même de la Provence, du cabanon, de l'anisette, de l'amour
plus fort que tout et de sa passion pour la chanson marseillaise. C'est plonger
dans l'univers d'une artiste légendaire, où chaque note résonne comme un hommage
à son souvenir immortel.
Site web : https://www.billetreduc.com/340831/evt.htm
Infos réservation :
Vendredi 3 Mai à 20hSamedi 4 Mai à 16hSamedi 4 Mai à 20hDimanche 5 Mai à
16hDimanche 5 Mai à 20h06 25 02 36 79 & sur billetreduc PAF: 15?/18?Dans un
authentique atelier d'artiste (secteur La Criée/Vieux Port)
Le Carnaval de Marseille est un événement festif et participatif majeur pour
tous les habitants de la ville. Chaque année, cette rencontre annuelle favorise
la cohésion sociale et l'intégration de tous les publics. En 2024, le thème sera
les Jeux Olympiques. Depuis plus de 30 ans, le carnaval rassemble les quartiers
de la cité phocéenne dans une grande fête collective organisée par la Ville de
Marseille.
Tous publics
La Collection Lambert et le Mucem s’unissent pour une exposition inédite.
La culture méditerranéenne a profondément façonné le destin du grand
marchand d’art Yvon Lambert, dont le nom et l’histoire résonnent avec les
richesses culturelles de la Provence.
Né en 1936 à Vence, Yvon Lambert a grandi au cœur d’une région imprégnée
par la présence de grands artistes tels qu’Henri Matisse à Vence ou Paul
Cézanne à Aix-en-Provence.
Dès les premiers temps de la galerie d’Yvon Lambert, le marchand d’art s’est
fait également collectionneur et commence à constituer des ensembles
importants d’œuvres d’artistes de son temps, pour la plupart encore inconnus.
Ainsi commence presque 60 années d’une histoire intime de l’art. Son regard
singulier est marqué par la poésie, l’amour, la liberté de pensée et la
défense de l’art de son temps. Chaque pièce traduit l’amitié indéniable
entre le collectionneur et les artistes. La donation exceptionnelle faite en
2012 à l’État français par Yvon Lambert a permis de consolider la présence
d’un grand musée public d’art contemporain à Avignon : La Collection Lambert.
Amoureux des objets insolites, témoignages des croyances populaires de tous les
âges, en particulier issus de la culture provençale, Yvon Lambert ressent une
proximité naturelle forte avec les collections du Mucem dont la constitution
lente et fabuleuse lui rappelle ses propres recherches vagabondes de choses
étonnantes allant d’ex-voto fantasmagoriques, à des scènes de genre de petits
maîtres provençaux, de la bibliothèque félibrige de son père aux ustensiles
et pièges à grives que ce dernier fabriquait.
Les objets d’art populaire du Mucem sont le fruit de collectes d’enquêteurs sur
le terrain : ethnologues, observateurs des mutations de la société et
défenseurs des savoirs du peuple. Ces collections sont des témoins précieux,
des documents sur nos modes de vie et sur l’évolution des mœurs, mais ils
présentent aussi une valeur esthétique qui se font particulièrement jour dans
des analogies étonnantes avec des œuvres d’art.
L’exposition commence par l’évocation du parcours d’Yvon Lambert, lié aux
cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur des
thématiques autour desquelles dialogueront ses collections et celles du Mucem :
le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la
littérature, l’intime et l’existence.
Ainsi, la rencontre entre la Collection Lambert et celle du Mucem présentée
lors de l’exposition « De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La
Collection Lambert au Mucem » est bien plus qu’une juxtaposition de collections
exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances
formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures
populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre
ces deux collections patrimoniales est une tentative de voyage au centre d’un
regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et
invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre
interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des
passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.
Des invitations pour des interventions artistiques et littéraires :
Ryoko Sekiguchi (née à Tokyo en 1970) a été invitée à écrire pour l’exposition
vingt-et-un cartels imaginaires dans lesquels elle déploie une écriture sensible
et poétique pour aborder les objets et leurs odeurs, notamment celle du musée,
de la lumière, des couleurs des œuvres. Elle propose une véritable ode à la
contemplation et aux sens.
L’artiste peintre et designer Nathalie Du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) a
conçu une cabine peinte afin d’abriter les projets des chapelles de Vence
réalisés en 1994 par Jean Charles Blais, Sol Lewitt, Jean-Michel Othoniel, Niele
Toroni, Robert Barry à l’invitation d’Yvon Lambert. A l’extérieur, couleurs et
objets de la collection du Mucem liés aux croyances et coutumes en Provence se
répondent : amulettes, santibelli, croix de la Passion, boîtes-oratoires,
ex-voto, palmes des rameaux…
Œuvres exposées :
Le Mucem bénéficie de prêts exceptionnels d’Yvon et Ève Lambert, mais aussi du
Centre national des arts plastiques (CNAP) : 80 œuvres ont été soigneusement
sélectionnées parmi les 600 œuvres données par le marchand et collectionneur
Yvon Lambert à l’Etat en 2012. Ces pièces couvrent une large gamme de médiums
artistiques, tel que la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo ou la
photographie.
Elles côtoient 150 œuvres de la collection du Mucem, référence dans le domaine
des arts populaires. Ces objets du quotidien se mêlent subtilement avec les
créations contemporaines.
Artistes présentés :
Parmi les artistes dont les œuvres de la collection Lambert sont présentées,
on compte notamment Jean-Michel Basquiat, Andres Serrano, Christian Marclay, Sol
Lewitt, Daniel Buren, Mircea Cantor, Marcel Broodthaers, Cy Twombly, Kiki Smith,
Nan Goldin, Christian Boltanski, Louise Lawler…
Commissariat :
Marie-Charlotte Calafat, conservatrice en chef du patrimoine, Mucem
Stéphane Ibars, directeur artistique, Collection Lambert
Scénographie : Agence Nathalie Crinière
Graphisme : Tania Hagemeister
L’exposition est conçue et organisée par la Collection Lambert et le Mucem,
Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.
Publié par : Ville de Marseille
Van Gogh : The Immersive Experience est une exposition sur l’un des plus grands
artistes de tous les temps qui a conquis plus de 5 millions de personnes à
travers le monde. Dans la continuité de cette tournée triomphante, l’exposition
immersive pose ses valises dans le sud de la France, véritable symbole dans la
vie et l’œuvre de Van Gogh.
Qui n’a jamais rêvé de plonger dans une peinture ? Prépare-toi à vivre un voyage
inoubliable dans l’univers de Van Gogh, l’un des grands génies de la peinture du
XIXe siècle. Pars à la découverte de sa vie, son œuvre et ses secrets grâce à
des projections numériques à 360 degrés, une expérience en réalité virtuelle
unique en son genre ainsi qu’un spectacle son et lumière absolument mémorable.
Organisée par Exhibition Hub, cette expérience hypnotisante a déjà conquis le
monde entier dans plus d’une trentaine de villes. Laisse-toi envoûter par les
œuvres qui t’entourent et pénètre dans une nouvelle réalité : celle créée par
les pinceaux de Van Gogh. Rejoins la liste d’attente maintenant pour Van Gogh :
The Experience à Marseille !
Durée : la visite dure 1h15 environ
Publié par : Ville de Marseille