Ma part d’ombre

Description

Sur scène, un corps hors norme défie les codes de la danse et les lois de la physique. Danseur et chorégraphe, Sofiane Chalal l’assume sans ambages : « On me rencontre deux fois, comme si mon corps prenait toute la place, même la mienne». Corps et identité sont au cœur du premier solo de ce grand voyageur des cultures urbaines, originaire du hip hop et du breakdance.

Un spectacle de Sofiane Chalal / Cie Chaabane.

Dans le cadre de la Mons Street Party #5, les 6 et 11 mai à la Maison Folie.

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L'exposition Visites guidées de l'exposition permanente dans la pénombre a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Venez découvrir l'exposition permanente du musée dans une ambiance tamisée, propice à la contemplation et à la découverte des oeuvres. Plongez dans une atmosphère unique et laissez-vous guider à travers les différentes salles pour une expérience artistique inédite. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
nspirée par la figure de Shiva, dieu de la danse aux mille noms, créateur et destructeur, Shantala Shivalingappa dessine l'espace avec une grâce magnétique et fulgurante. aSH clôt une trilogie de portraits de femmes initiée par le metteur en scène Aurélien Bory. Si la cendre est associée à la destruction, c'est aussi un excellent fertilisant : dans le symbole de mort réside la potentialité de vie. En Inde, la cendre est l'un des attributs de Shiva, seigneur aussi des lieux et des crémations. Jouant avec les formes et les matières, Shantala Shivalingappa sublime somptueusement l'ombre sur un sol recouvert de cendres : elle danse, entre traditions indiennes et occidentales, jusqu'à se faire déesse, jusqu'à faire danser l'espace. Site web : https://www.lephenix.fr/projects/ash-23-24/
Le spectacle Balades virtuelles a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Participez à la découverte du Forum antique à travers la projection du film " Retour à Bagacum II ". Plongez dans l'histoire de manière immersive et originale lors de cette expérience unique. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
Le spectacle Balades virtuelles et visites du site archéologique a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Venez découvrir le Forum antique à travers une expérience unique ! Assistez à la projection du film " Retour à Bagacum II " pour plonger dans l'histoire, puis laissez-vous guider lors d'une visite du site archéologique éclairé par des photophores. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
VE.17.05 PALACE 20h (130′ avec entracte) Dès 14 ans De 13 à 25€ Humour Bruno Coppens vous propose 2 spectacles le même soir ! Andropause, un check-up à vif, un lâcher-prise sans fard, et Je mène une vie de scène, un cocktail ébouriffant de mots cœurs et de mots cris. Une promesse d’une formidable soirée ! Andropause J’aime être en peignoir dans un spa toute une journée, j’ai gardé ma ligne fixe et je ne prends plus le bus de peur qu’un jeune ne se lève pour me céder sa place. Suis-je déjà entré en Andropausie ? Les femmes ont tellement de chance ! Leur ménopause est si démonstrative et nous, les hommes ? Rien ! N’étant pas andropologue, je viens sur scène raconter mon slalom d’homme de l’enfance à l’obsolescence programmée. De, par, malgré et avec Bruno Coppens – Avec la collaboration à l’écriture de Myriam Leroy – Mise en scène Éric de Staercke et Papy (Alain Degois) – Co-production d’Exquis Mots et du Théâtre Le Public, avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge. Je mène une vie de scène Voici les nouvelles péripéties de notre jongleur de mots national ! Juché sur sa bicyclette, le célèbre verbo-moteur belge lutte contre la crise énergétique. À coups de pédales, il alimente clim’ et éclairage de la salle ! Tel Don Quichotte, cet humoureux des mots affrontera son ordinateur qui lui demande : « êtes-vous un robot ? » Il vous dévoilera, grâce à La Fontaine, la fin de la guerre entre Poutine et Zelensky. Et déballant états d’âme et états d’homme, ce trublion mélancolique rendra un hommage émouvant à Raymond Devos. Mise en selle Éric de Staercke – Assistante à la mise en selle Adèle Crickx – Lumière Nicolas Fauchet – Musique et bande-son Éloi Baudimont – Confection d’accessoires Pierre Legrand – Co-production d’Exquis Mots et du Théâtre Le Public, avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge, avec l’aide de la SABAM ©Gaël Maleux Avec le soutien des Tournées Art et Vie et du Service des Arts de la Scène de la Province de Hainaut.
Un musicien, un jongleur, des balles qui rebondissent sur les triangles posés au sol et donnent le rythme. L'exécution est millimétrée, l'harmonie parfaite, la virtuosité de chacun et l'écoute de l'autre sont indispensables à cette partition musicale et gestuelle. Mais tout à coup, ces satanés triangles se mettent à bouger tout seuls, et tout est chamboulé. Musicien et jongleur doivent s'ajuster à ces déplacements apparemment aléatoires pour retrouver un semblant d'unité. Et plus les objets s'émancipent, plus les artistes ressemblent à des robots. C'est à se demander qui commande, ici ? Dans un dispositif simple mais rudement efficace, Man Strikes Back est une métaphore dynamique et ludique des rapports entre hommes et machines.
Rencontre entre la musique baroque et des artistes phares des cultures urbaines, FugaCités crée un cocktail détonant avec le champion du monde de beatbox Tiko, le fameux slameur Mehdi Krüger et le danseur hip-hop Jérôme Oussou chorégraphié par l'incontournable Mourad Merzouki Imaginé par Franck-Emmanuel Comte et scénographié par la metteuse en scène Bérénice Collet, FugaCités met en regard trois variations poétiques et interdisciplinaires aux multiples inspirations, dans un dialogue créatif entre les instrumentistes du Concert de l'Hostel Dieu et des étoiles phares des cultures urbaines. Éclairé par Pauline Vauchez et accompagné par le contrepoint vidéo de Christophe Waksman, ce spectacle met en lumière trois métissages artistiques dans lesquels les mélodies baroques se jouent des siècles qui les séparent. Site web : https://www.lephenix.fr/projects/fugacites-23-24/
********** Français ********** Dans FeL, la chorégraphe Karolien Verlinden explore les spectres de couleurs de la lumière et joue sur les formes et les perceptions visuelles générées par ses rayonnements. Sur scène, les deux danseuses révèlent une œuvre d'art lumineuse kaléidoscopique.   Karolien Verlinden aime observer les gestes du quotidien et déceler le subtil qui s’en dégage : comment les gens marchent, comment iels s'assoient sur un banc, ce que leur langage corporel révèle, etc. L'idée sous-jacente étant qu'au-delà de la réalité et de sa normalité, il existe toujours un trésor de mondes imaginatifs non découverts.Avec FeL, la chorégraphe explore la qualité physique de la lumière. La lumière est allumée ou éteinte, c’est blanc ou noir… quoique… n’y a-t-il pas un monde infini entre  « allumé » et  « éteint » ?Un voyage du noir absolu au blanc fluorescent, en passant par des angles crochus, des cercles tournants, des figures oscillantes et toute une gamme de couleurs. Car il y a toujours de la lumière — parfois à peine visible, parfois aveuglante, parfois unificatrice. ********** Nederlands ********** Karolien Verlinden observeert graag alledaagse bewegingen en toont het subtiele dat er uit voortkomt: hoe mensen lopen, hoe ze op een bankje zitten, wat hun lichaamstaal onthult, enzovoort. De achterliggende gedachte is dat er voorbij de realiteit en haar normaliteit altijd een schat aan onontdekte fantasiewerelden ligt.Met FeL onderzoekt de choreograaf de fysieke kwaliteit van licht. Licht is aan of uit, het is wit of zwart... hoewel... is er niet een oneindige wereld tussen 'aan' en 'uit'?Een reis van pikzwart naar fel wit, via kromme hoeken, draaiende cirkels, oscillerende figuren en een heel scala aan kleuren. Want er is altijd licht - soms nauwelijks zichtbaar, soms verblindend, soms verbindend.
********** Français ********** Carcaça nous emporte dans un tourbillon de virtuosité chorégraphique. Dans cette pièce de groupe à l’énergie intense, dix interprètes puisent dans un vaste répertoire, bondissant entre danses de club et excursions vers des pas traditionnels. Au rythme de ces variations de styles, le mouvement se décline au pluriel et l’on observe de fortes singularités faire communauté. Le chorégraphe portugais interroge ici ce qui fait tradition dans le mouvement comme dans l’histoire politique : comment travailler avec des héritages multiples, comment en est-on infusé·e·s au présent ? Tout en engagement physique, Carcaça prend l’allure d’une course, qui s’incarne dans des gestes empruntés tant à la sphère voguing, qu’au kuduro angolais, au pantsula sud-africain ou à la danse classique, le tout accompagné d’une création sonore modulée live. Le défilé frénétique auquel Marco da Silva Ferreira nous convie s’appuie sur la mémoire corporelle de chaque interprète, pour former à partir de cette multitude d’influences dansées un maillage complexe aux couleurs fluo. Dans ce concentré d’histoires traversées à vive allure, les corps sont expressifs, vibrants. Carcaça interroge ce qui irrigue un collectif et ce qui fait tissage, mélange, à la lumière d’une composition habile. ********** Nederlands ********** Voor de Portugees Marco da Silva Ferreira, voormalig topsporter, is dans een instrument. De CARCASS-gemeenschap, met haar verschillende genres, fysionomieën en leeftijden, bouwt een collectieve identiteit op zonder dat de individuele identiteit daarom verdwijnt. Herinnering en heden, verzet en feest, folklore en creatie komen met elkaar in botsing om het lichaam van vandaag, bij uitstek stedelijk, halsstarrig verbonden met de elementen, in vraag te stellen en te vieren. ********** English ********** For Marco da Silva Ferreira from Portugal, who before being a dancer competed in sport at a high level, dance is a tool. Consisting of different genders, faces and ages, the community in CARCASS forms a collective identity without diluting anything about the ten individuals in it. Memory and the present, rebellion and celebration, folklore and creation collide, questioning and celebrating the contemporary body that is resolutely urban, but has a stubborn connection with the elements.