Münchner Philharmoniker Daniel Harding, direction - Philharmonie de Paris

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Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. MÜNCHNER PHILHARMONIKER / DANIEL HARDING Renaud Capuçon - Escaich, BrucknerConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 2h05 dont 1 entractePROGRAMMEThierry EscaichConcerto pour violon(Commande du Münchner Philharmoniker, de la Philharmonie de Paris et de la Elbphilharmonie Hambourg)création françaiseENTRACTEAnton BrucknerSymphonie n° 4 "Romantique"DISTRIBUTIONMünchner PhilharmonikerDaniel Harding , directionRenaud Capuçon , violon Après leurs concerts conjoints fin 2021 à la Philharmonie, où on les avait entendus dans un répertoire de la première moitié du XXe siècle, Daniel Harding et Renaud Capuçon reviennent pour donner le nouveau Concerto pour violon de Thierry Escaich. Le nouveau Concerto pour violon d’Escaich aurait dû être donné par Renaud Capuçon en mars 2022 à la Philharmonie. Les Münchner Philharmoniker, sans chef principal depuis le début d’année 2022, seront pour ce nouveau concert menés par Daniel Harding, avec lequel ils ont l’habitude de travailler. En complément, Harding dirigera la Quatrième Symphonie de Bruckner, un compositeur dont les musiciens sont très familiers – ils en ont enregistré l’intégrale à la fin des années 2010 à l’abbaye de Saint-Florian, en Haute-Autriche, où Bruckner est enterré. L’une des plus célèbres de son corpus, cette symphonie a été sous-titrée « Romantique » par le compositeur lui-même.

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Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. ORCHESTRE DE PARIS / KLAUS MÄKELÄBeethovenConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMME Ludwig van BeethovenChant élégiaqueSymphonie n° 9 « Hymne à la joie »DISTRIBUTIONOrchestre de ParisChœur de l'Orchestre de ParisKlaus Mäkelä , directionCatriona Morison , mezzo-sopranoMauro Peter , ténorRené Pape , baryton-basse Mémorable célébration beethovénienne avec ce concert qui fait voisiner une œuvre rare et presque oubliée, le Chant élégiaque, avec le monument culturel, devenu l’étendard des Lumières européennes, qu’est la Neuvième Symphonie. Très rarement interprété, le Chant élégiaque est une pièce de circonstance, composée à la demande d’un ami de Beethoven qui souhaitait célébrer la mémoire de son épouse morte en couches. Même si on ne saurait dire qu’elle anticipe les derniers Quatuors, elle témoigne de l’esprit de recherche et de spéculation propres à la période tardive de Beethoven. Mais à la tristesse succède la joie comme principe de paix universelle avec la monumentale Neuvième Symphonie, véritable mythe culturel mobilisé dans d’innombrables films et romans. De ses quatre mouvements, dont un Adagio contemplatif dans lequel on retrouve l’esprit du quatuor à cordes, le plus illustre est évidemment le dernier, qui introduit les voix et fait retentir « l’Ode à la joie » de Schiller : architecture grandiose, d’une subtilité dont seule l’analyse de détail, malgré l’apparente simplicité, peut rendre compte. C’est l’une des pages les plus décisives de l’histoire de la musique, apogée d’une œuvre à ce point hors norme qu’elle fit définitivement craquer les cadres, et dans laquelle Wagner voyait « la dernière des symphonies ».
A. Polycarpe, piano Chopin, Nocturnes – Debussy, Clair de lune Schubert, impromptus Satie, Les Gymnopédies – Beethoven, Sonate au clair de lune Petit bijou de l’Art baroque édifié en 1733, l’église Saint-Ephrem dont l'acoustique est remarquable se situe dans un écrin de verdure en plein Centre historique de Paris (Quartier Latin) proche du Panthéon et de la Sorbonne. Le calme et la sérénité qui y règnent en font un lieu propice à l’écoute de la musique classique. Les nombreux concerts qui y sont organisés sont donnés par des artistes, tous lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi eux, nombreux sont lauréats de concours internationaux. Concert aux chandelles : le choeur de l'église est illuminé de bougies soulignant le côté romantique et intimiste de l’église. Par ses concerts de qualité, Saint-Ephrem est devenu le rendez-vous incontournable des passionnés de musique classique.
Gratuit pour les moins de 12 an(s) Petit bijou de l’Art baroque édifié en 1733, l’église Saint-Ephrem dont l'acoustique est remarquable se situe dans un écrin de verdure en plein Centre historique de Paris (Quartier Latin) proche du Panthéon et de la Sorbonne. Le calme et la sérénité qui y règnent en font un lieu propice à l’écoute de la musique classique. Les nombreux concerts qui y sont organisés sont donnés par des artistes, tous lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi eux, nombreux sont lauréats de concours internationaux. Concert aux chandelles : le choeur de l'église est illuminé de bougies soulignant le côté romantique et intimiste de l’église. Par ses concerts de qualité, Saint-Ephrem est devenu le rendez-vous incontournable des passionnés de musique classique. Chopin, Polonaise Militaire - Valse - Mazurka - PréludesLiszt, Rhapsodie HongroiseREMI MASUNAGA, pianiste
Opéra ------- DON QUICHOTTEComédie héroïque en cinq actes de Jules MassenetD’après Jacque Le Lorrain, inspiré du roman de Miguel Cervantès Durée 2h35 avec 1 entracte Langue : FrançaisSurtitrage : Français / Anglais Après Cendrillon, la musique de Jules Massenet est de nouveau à l’honneur avec Don Quichotte, son dernier opéra, créé en 1910 pour la basse russe Chaliapine, qui n’avait plus été donné sur la scène de Bastille depuis plus de 20 ans. Du roman foisonnant de Cervantès, le compositeur n’a gardé que quelques épisodes emblématiques : l’amour de Don Quichotte pour Dulcinée, son esprit chevaleresque qui le conduit à poursuivre des brigands pour récupérer le collier de la belle, son combat contre les moulins à vent et sa mort auprès de son serviteur Sancho Pança. Se glissant dans cette musique raffinée et émouvante, la nouvelle production du metteur en scène Damiano Michieletto s’attache à révéler la poésie de Don Quichotte, mais aussi sa souffrance. Celle d’un homme profondément seul, hanté par ses souvenirs. Direction musicale Mikhail TatarnikovCheffe des Chœurs Ching-Lien WuMise en scène Damiano MichielettoDécors Paolo FantinCostumes Agostino CavalcaLumières Alessandro CarlettiChorégraphie Thomas WilhelmDistribution :La Belle Dulcinée Marianne Crebassa-------------------------------------Don QuichotteChristian Van Horn10, 14, 17, 21, 23, 26, 29 maiIldebrando D’arcangelo1, 5, 8, 11 juin-----------------------------------------Sancho Pança Étienne DupuisPedro Emy GazeillesGarcias Marine ChagnonRodriguez Maciej KwaœnikowskiJuan Nicholas JonesDeux serviteurs Youngwoo KimDeux serviteurs Hyun Sik Zee
Suites 1 2 3 par Magdalena Rebacz Petit bijou de l’Art baroque édifié en 1733, l’église Saint-Ephrem dont l'acoustique est remarquable se situe dans un écrin de verdure en plein Centre historique de Paris (Quartier Latin) proche du Panthéon et de la Sorbonne. Le calme et la sérénité qui y règnent en font un lieu propice à l’écoute de la musique classique. Les nombreux concerts qui y sont organisés sont donnés par des artistes, tous lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi eux, nombreux sont lauréats de concours internationaux. Concert aux chandelles : le choeur de l'église est illuminé de bougies soulignant le côté romantique et intimiste de l’église. Par ses concerts de qualité, Saint-Ephrem est devenu le rendez-vous incontournable des passionnés de musique classique. Les Suites pour violoncelle de J.S. Bach sont considérées comme la Bible des violoncellistes. Nulle part Bach ne semble avoir autant de grandeur, de force et d'émotion que dans ces Suites. Pages de musique instrumentale pure, cette musique païenne est l'une des plus belles formes de la prière.
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. ALEXANDRE THARAUD Couperin, Debussy, Satie, RavelRécital piano• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMME François CouperinPièces pour clavierClaude DebussyPréludes (Livre I)Erik SatieGymnopédie n°1Avant-dernières penséesGnossiennes nos 1, 3 et 5Je te veuxMaurice RavelPavane pour une infante défunteLa Valsetranscription Alexandre TharaudDISTRIBUTIONAlexandre Tharaud , piano Comme certains parlent la langue de Molière à la perfection, le pianiste Alexandre Tharaud se délecte, depuis qu’il est tombé en amour pour Rameau il y a une vingtaine d’années, de celle de compositeurs français auxquels il revient assidûment. Le pianiste a l’esprit de famille. Dans celle des compositeurs à qui la musique française doit d’avoir trouvé ses couleurs, ses repères et mûri son identité, il ne délaisse ni la génération des aînés – Couperin ou Rameau – ni la descendance plus turbulente – Ravel et Debussy. Sa fréquentation de longue date de ce répertoire au piano, seul ou en musique de chambre, en a élargi les contours, a aiguisé son regard et son appétit, et fait naître d’heureuses correspondances. « Tout ce que vous vivez sur scène est comme la vie, mais multiplié par mille », confie le pianiste. On imagine alors l’intensité de ses nuances, de sa ligne de chant et de sa vélocité dans ce programme dont sa propre transcription de La Valse de Ravel signe l’apothéose.
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. HÉLÈNE GRIMAUD Beethoven, Brahms, Bach / BusoniRécital piano• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 1h50 dont 1 entractePROGRAMME Ludwig van BeethovenSonate n°30, op. 109Johannes Brahms3 Intermezzi, op.117ENTRACTEFantaisies, op.116Johann Sebastian Bach - Ferruccio BusoniChaconneDISTRIBUTIONHélène Grimaud , piano Hélène Grimaud s’est depuis longtemps imposée comme l’une des personnalités les plus singulières et attachantes du piano contemporain. La densité de son jeu s’accorde à merveille à ce programme germanique, tout à la fois monumental et fiévreux. La musicienne native d’Aix-en-Provence fait figure d’ambassadrice du piano français sur les scènes internationales. Si sa brillante carrière l’amène dans le monde entier, elle revient régulièrement à la Philharmonie de Paris, où elle a été l’une des toutes premières à se produire. Intenses et profondément personnelles, ses interprétations ne laissent pas indifférents. Son appétence particulière pour le répertoire allemand trouve ici un matériau à sa mesure. Elle mêle ainsi la grandeur de la Chaconne de Bach, dans l’arrangement flamboyant et virtuose de Busoni, au chant éternel de la Sonate n° 30 de Beethoven, après avoir rehaussé la palette automnale du Brahms tardif dont elle est l'une des meilleures interprètes.