Ensemble Intercontemporain - Art of Metal - Cité de la Musique, Paris

Description

Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ART OF METALSalle des concerts - Cité de la musiqueEnsemble intercontemporainJonathan Nott , directionAlain Billard , clarinette contrebasseEric-Maria Couturier , violoncelleRobin Meier , électronique IrcamPROGRAMMEVincent DavidDe vif boispour violoncellecommande de l'Ensemble intercontemporain, créationBára GísladóttirOeuvre nouvellepour ensemble et électroniquecréationBastien DavidRiff (augmenté)pour violoncelle et batterie préparéeYann RobinArt of Metal IIIpour clarinette basse, ensemble et électronique En contrepoint de l’exposition que la Philharmonie de Paris consacre au metal et à la culture issue de ce genre musical, l’Ensemble intercontemporain décline ce que cette matière et cette musique inspirent aux compositeurs d’aujourd’hui. Le heavy metal inspire au jeune Bastien David un Riff endiablé (et augmenté) pour un instrument qu’on associe pourtant peu avec à ce genre musical : le violoncelle, accompagné pour l’occasion d’une batterie. Art of Metal III est le troisième volet d’un cycle de Yann Robin autour de la clarinette contrebasse métal (inventée et jouée par Alain Billard) : le « metal » est ici à la fois la matière dans laquelle est fait l’instrument (et son bec) et la source d’inspiration de son jeu saturé, démultiplié par l’électronique Ircam et l’ensemble. Enfin, la Scandinavie est un creuset bouillonnant pour le heavy metal, comme en témoigne la création exceptionnelle de la compositrice et contrebassiste islandaise Bára Gísladóttir. En partenariat avec l'Ircam-Centre Pompidou

Billets

Info:

  • Standard - 25,30 €

1 Photo

Événements suggérés

Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. HÉLÈNE GRIMAUD Beethoven, Brahms, Bach / BusoniRécital piano• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 1h50 dont 1 entractePROGRAMME Ludwig van BeethovenSonate n°30, op. 109Johannes Brahms3 Intermezzi, op.117ENTRACTEFantaisies, op.116Johann Sebastian Bach - Ferruccio BusoniChaconneDISTRIBUTIONHélène Grimaud , piano Hélène Grimaud s’est depuis longtemps imposée comme l’une des personnalités les plus singulières et attachantes du piano contemporain. La densité de son jeu s’accorde à merveille à ce programme germanique, tout à la fois monumental et fiévreux. La musicienne native d’Aix-en-Provence fait figure d’ambassadrice du piano français sur les scènes internationales. Si sa brillante carrière l’amène dans le monde entier, elle revient régulièrement à la Philharmonie de Paris, où elle a été l’une des toutes premières à se produire. Intenses et profondément personnelles, ses interprétations ne laissent pas indifférents. Son appétence particulière pour le répertoire allemand trouve ici un matériau à sa mesure. Elle mêle ainsi la grandeur de la Chaconne de Bach, dans l’arrangement flamboyant et virtuose de Busoni, au chant éternel de la Sonate n° 30 de Beethoven, après avoir rehaussé la palette automnale du Brahms tardif dont elle est l'une des meilleures interprètes.
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. ALEXANDRE THARAUD Couperin, Debussy, Satie, RavelRécital piano• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMME François CouperinPièces pour clavierClaude DebussyPréludes (Livre I)Erik SatieGymnopédie n°1Avant-dernières penséesGnossiennes nos 1, 3 et 5Je te veuxMaurice RavelPavane pour une infante défunteLa Valsetranscription Alexandre TharaudDISTRIBUTIONAlexandre Tharaud , piano Comme certains parlent la langue de Molière à la perfection, le pianiste Alexandre Tharaud se délecte, depuis qu’il est tombé en amour pour Rameau il y a une vingtaine d’années, de celle de compositeurs français auxquels il revient assidûment. Le pianiste a l’esprit de famille. Dans celle des compositeurs à qui la musique française doit d’avoir trouvé ses couleurs, ses repères et mûri son identité, il ne délaisse ni la génération des aînés – Couperin ou Rameau – ni la descendance plus turbulente – Ravel et Debussy. Sa fréquentation de longue date de ce répertoire au piano, seul ou en musique de chambre, en a élargi les contours, a aiguisé son regard et son appétit, et fait naître d’heureuses correspondances. « Tout ce que vous vivez sur scène est comme la vie, mais multiplié par mille », confie le pianiste. On imagine alors l’intensité de ses nuances, de sa ligne de chant et de sa vélocité dans ce programme dont sa propre transcription de La Valse de Ravel signe l’apothéose.
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. CZECH PHILHARMONIC / SEMYON BYCHKOV Pablo Ferrández - DvorákConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 2h00 dont 1 entractePROGRAMMEAntonín DvorákConcerto pour violoncelleENTRACTESymphonie n°8DISTRIBUTIONCzech PhilharmonicSemyon Bychkov , directionPablo Ferrández , violoncelle C’est le plus connu des trois concertos de Dvoøák : l’Opus 104 chante ce soir sous l’archet de Pablo Ferrández, que la critique tient pour le « nouveau génie du violoncelle ». Le Czech Philharmonic l’accompagne dans sa langue maternelle. « Je viens juste de terminer le premier mouvement d’un concerto pour violoncelle !! Ne soyez pas surpris, je m’en étonne moi-même et je me demande encore pourquoi je me suis embarqué dans un tel travail », écrit Dvorák à l’ami Alois Göbl au cours de l’automne 1894. S’il semble stupéfait par son propre projet, c’est que l’instrument, dit-on, ne lui plaît guère outre mesure. Entre nouveau monde et vieille Europe, il lui offre néanmoins l’une des plus belles pièces du répertoire. Cinq ans plus tôt, la lumineuse Symphonie n° 8 émerveillait Janáèek. « À peine as-tu découvert une figure que la suivante te fait signe aimablement ; tu te trouves dans un état d’excitation constant mais plaisant », notait entre autres l’ami Leo?. On ne saurait mieux dire.
La Scala Paris présente (L.1-1115542/2-105915/3-1056916) ce spectacle. TITRE Bach chez Cioran, une tragédie angélique Mara Dobresco et Volodia Serre SOUS TITRE Les 13 du 13 DISCIPLINE Musique baroque Lundi 13 mai 2024 à 19h30 DUREE 1h LIEU La Piccola Scala DISTRIBUTION Mara Dobresco piano Volodia Serre récitant « Bach chez Cioran, une tragédie angélique » réunit la pianiste Franco-Roumaine Mara Dobresco et le comédien Volodia Serre autour de la musique de Bach et des textes de Cioran. Après des collaborations très fructueuses, comme le concert-lecture autour des Correspondances de Francis Poulenc ou le spectacle Il faut donc que vous fassiez un rêve, sur des textes d’Eugène Ionesco et Marin Sorescu, ce projet réunit la pianiste Mara Dobresco et le comédien et metteur en scène Volodia Serre autour de la musique de Bach et des textes de Cioran. Le philosophe roumain écrivit beaucoup sur la musique et plus précisément sur Bach, qui devint peu à peu « sa religion ». Mara et Volodia proposent un moment suspendu, et tâchent de nous rendre, ne serait-ce qu’un court instant, « contemporains des anges ». PROGRAMME DU CONCERT Jean-Sébastien Bach (1685-1750) / Ferruccio Busoni (1866-1924) « Ich Ruf zu Dir, Herr » BWV 639 Jean-Sébastien Bach (1685-1750) Prélude en si b majeur, BWV 867 ; Sinfonia nr.9, BWV 795 ; Sinfonia nr.4, BWV 790 ; Sinfonia nr.2, BWV 788 Jean-Sébastien Bach (1685-1750) / Benedetto Giacomo Marcello (1686-1739) Adagio, BWV 974 Jean-Sébastien Bach (1685-1750) / Willy Hess (1906-1997) « Jésus, que ma joie demeure », BWV 147 Textes extraits de : « Des Larmes et des Saints » « De l'inconvénient d'être né » « Le Livre des Leurres » « Le Crépuscule des pensées » d'Emil Cioran. PRODUCTION La Scala Paris présenteRéservation PMR : 01 40 09 44 30
KLAUS MÄKELÄ / CHRISTIANE KARGMusiciens de l’Orchestre de Paris - Schubert, BrahmsMusique de chambre• Salle des concerts - Cité de la musique• Durée : environ 1h15PROGRAMMEFranz SchubertAdagio e Rondo concertante D487Johannes BrahmsOphelia-Lieder, pour soprano et quatuor à cordesarrangement d'Aribert-ReimannFranz SchubertLe Pâtre sur le rocher, pour soprano, violoncelle et pianoJohannes BrahmsSextuor à cordes n°1 op. 18DISTRIBUTIONKlaus Mäkelä , violoncelleChristiane Karg , sopranoMusiciens de l'Orchestre de Paris Du paysage de la forêt initiatique cher à Schubert aux eaux apaisant pour l’éternité la folie d’Ophélie, c’est dans les profondeurs du sentier romantique que nous entraîne ce programme dédié à Schubert et Brahms. Première composition de Schubert pour cordes et piano, l’Adagio e rondo concertante (1816) a été écrit à la demande du violoncelliste Heinrich Grob, frère de Thérèse Grob, dont Schubert était alors vainement épris. Au violoncelle, Klaus Mäkelä remplace la clarinette dans une transcription du célèbre Pâtre sur le rocher (1828) dont la splendeur mélodique, évoquant l’errance du solitaire au sein de la nature, nous transporte entre les pages d’un roman d’Eichendorff. La même nature, rivière et fleurs, s’accrochent aux cheveux de la « pâle Ophélie » dans les Ophelia-Lieder de Brahms, passionnante vision mélodique de la fiancée d’Hamlet, dont la folie et la mort ont aussi inspiré, entre autres, Berlioz et Richard Strauss. Parfois surnommé « du printemps », le Sextuor à cordes n° 1 (1860) de Brahms est une œuvre à la noble simplicité, en quatre mouvements, dont les deux premiers évoqueront des souvenirs aux spectateurs du film Les Amants de Louis Malle.
Sauvage Production (PLATESV-R-2022-000697) présente PROJECTION : L’OLIVIER SAUVAGE de Kamel Azouz Originaire d’un village de Kabylie en Algérie, Méziane Azaiche arrive en France à l’âge de 23 ans. Sa détermination sans faille et son ouverture d’esprit, puisées dans sa passion pour le spectacle vivant et l’art en général, pallient une instruction sommaire. Méziane est un personnage authentique à la générosité singulière. Malgré les désillusions, il trace son chemin pas à pas et son parcours atypique, ponctué de rencontres improbables, visite plus de soixante-dix années d’histoire commune entre la France et l’Algérie. C’est l’histoire du créateur du Cabaret Sauvage, devenu aujourd’hui l’une des salles de spectacle les plus prestigieuses et éclectiques de France. C’est le récit universel d’un immigré, un homme venu d’ailleurs, qui a défié toutes les adversités afin de réaliser son rêve et de conquérir sa liberté. CONCERT : BRAHIM TAYEB Brahim Tayeb jongle avec raffinement entre l'écriture, la composition et l'interprétation. Amoureux de la guitare et du oud, sa musique est imprégnée autant des airs de son pays natal – l’Algérie - que des influences des musiques du monde qui l’entourent (africaine, orientale, occidentale…). Véritable poète, ses chansons explorent des thématiques aussi variées que profondes, telles que l'exil et la quête inlassable de lendemains plus lumineux. Thèmes auxquels vient se mêler subtilement celui de l’amour, se confondant souvent avec les maux. Brahim Tayeb crée une expérience captivante, enrichie sur scène par ses musiciens, incarnant une fusion audacieuse de cultures et d'émotions. Un moment de partage où la musique et les textes donnent lieu à une performance musicale exceptionnelle. Brahim Tayeb crée une expérience captivante, enrichie sur scène par ses musiciens, incarnant une fusion audacieuse de cultures et d'émotions. Un moment de partage où la musique et les textes donnent lieu à une performance musicale exceptionnelle. Distribution : Brahim Tayeb (oud, guitare, chant) Salem Kerrouche (flûte traversière et nay) Tariq (violon) Jugurtha (piano) Karim Ziad (batterie) Manuel (basse)
La jeune misérable de Victor Hugo nous livre ses espoirs, ses combats, tout en nous faisant partager les grands sursauts de Paris... jusqu'aux barricades. La Misère n’est pas une fatalité : elle se combat, même sans espoir de succès. Ainsi Éponine, fille Thénardier, mène son existence seule dans les rues de Paris, mendie et raconte son histoire. Entre quotidien de misère et rêveries sublimes, souvenirs d’enfance avec Cosette et éveil à l’amour grâce à Marius... la peur des cognes menés par Javert se fait ressentir et les chants de Gavroche résonnent sur le pavé.Durée du spectacle: 1h15
PHILIPPE MAILLARD PRODUCTIONS (Lic.2-1006808/3-1006809) présente ce concert. Alia Sellami, chant Ensemble De Caelis Laurence Brisset, direction Chants sacrés, manuscrits de Las Huelgas, chants des églises d’Orient et chants soufis Le désert de Thèbes fut le refuge des premiers chrétiens. Depuis on nomme « Thébaïde » tout lieu de retrait du monde. Le désert a toujours fasciné les hommes épris d’absolu, il relie les trois religions monothéistes. Au Moyen-Âge, en Occident, il désigne l’ermitage, la forêt, les îles, les monastères. Chez les Soufis, la Khalwa qualifie aussi bien l’action de s’isoler que le lieu où l’on s’isole : la nature, le désert, la grotte, la cellule, on y cherche « l’illumination ». Ce programme invite à traverser ces déserts, poétiques ou réels, avec des chants sacrés occidentaux puisés dans le manuscrit de Las Huelgas, monastère féminin fondé au XIIe siècle en Espagne et en Orient le chant maronite, le chant soufi et des poèmes de Loránd Gáspár. Deux œuvres actuelles, Khalwa d’Alia Sellami et Déserts de Jonathan Bell permettront selon les mots de Loránd Gáspár de « tisser, envers et contre toutes les apparences une continuité entre la musique du passé, celle d’aujourd’hui et celle de demain, voire, d’essayer d’en utiliser les fils assonants et dissonants dans un commun faisceau du questionnement de la douleur et de la lumière ».