Viollet-le-Duc et l'Archéologie

Description

Laissez-vous conter la mémoire du château de Pierrefonds à travers l'exposition 'Viollet-le-Duc et l'Archéologie' à Pierrefonds, Hauts de France. Découvrez des objets archéologiques et des documents iconographiques inédits, révélés pour la première fois, accompagnés d'un dispositif de médiation ludique et interactif. Plongez dans l'univers de l'architecte-restaurateur Eugène Viollet-le-Duc, passionné d'archéologie, et explorez les vestiges et artefacts témoins d'un passé oublié. Une exposition fascinante sous le commissariat de Thierry Galmiche, Marie-Laure Le Brazidec, Vincent Legros et Arnaud Timbert.

Information sur la date

Du vendredi 14 juin 2024 au dimanche 8 septembre 2024

Billets

Info:

9.00 €

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Événements suggérés

Du 15 juin au 29 décembre 2024, le musée de Compiègne Antoine Vivenel présente « SO GREEK ! Lumière sur la collection de vases grecs d'Antoine Vivenel », une exposition pensée comme une invitation à la (re)découverte des céramiques grecques, fleuron de ses collections, deuxième plus Importante après celle du musée du Louvre. Du quotidien à la mythologie, du banquet aux travaux d'Héraclès, de scènes de guerre en scènes de jeux, incontournables en cette année olympique, les oeuvres présentées emmènent qui les rencontre dans l'univers vivant et passionnant de la Grèce antique dévoilé au détour de leur imagerie étonnante et prodigieuse, parfois complexe, mais toujours d'une saisissante beauté. Des histoires de femmes, d'hommes, de dieux, de monstres et de héros qui se dévoilent au fil de l'iconographie fascinante des vases auxquels l'exposition a choisi de donner voix. Prévue du 15 juin au 29 décembre 2024, l'exposition « SO GREEK ! Lumière sur la collection de vases grecs d'Antoine Vivenel », organisée dans la salle dédiée du Centre Antoine Vivenel (CAV), met en lumière le fleuron des collections du musée Antoine Vivenel rassemblant la deuxième plus importante collection de vases grecs après celle du musée du Louvre. Adressée à tous les publics, celle-ci est programmée avec l'intention de rendre une partie de cette riche collection accessible dans l'attente de la réouverture, dans le parcours permanent du musée, de la salle des Antiquités méditerranéennes fermée pour rénovation. Immersive mais sans artifice, l'exposition fait la part belle aux dieux, héros et monstres visibles sur les vases : un voyage dans le temps guidé par la voix des peintres qui les ont exécutés avec talent et minutie. La scénographie, sensible et originale, nous invite dans l'univers de l'illustratrice Manon Mahdavi, qui a également réalisé un diorama en 3D du Banquet présenté à l'Office du tourisme en écho à l'exposition, ainsi qu'une illustration des Jeux d'Athènes. Ces derniers sont évoqués à travers la présentation des vases panathénaïques que le musée conserve. Ces amphores remplies d'huile provenant des oliviers sacrés d'Athéna étaient jadis remises aux vainqueurs. Elles sont ornées de scènes illustrant certaines épreuves représentées sur l'une des faces, l'autre face présentant Athéna, la déesse tutélaire de la cité. Au fil du parcours, le visiteur est plongé dans l'atmosphère du Banquet annon?ant la présence du dieu Dionysos et reconstitué pour proposer une expérience plus immersive ; puis dans celui du demi-dieu Héraclès, le héros favori des potiers d'Athènes. Un peu plus loin, le voici invité à la découverte d'autres thèmes (le quotidien des Grecs, la guerre...) développés à travers les scènes peintes sur les vases, dont l'étude est actuellement renouvelée par une équipe de chercheurs de l'Institut National de l'Histoire de l'Art (INHA) objectivant la réactualisation des connaissances que nous en avons. Les résultats de leurs travaux seront présentés à l'occasion d'une journée d'études prévue en octobre 2024 et nourriront le nouveau catalogue en projet. Ola Mirecka, People from Greek Vases Très attaché aux ponts, toujours signifiants, qui peuvent être établis entre ses collections et la création contemporaine, le musée a convié l'artiste polonaise Ola Mirecka à présenter des vases grecs modernes issus de son projet « People from Greek Vases » vases illustrés de scènes de la vie contemporaine, mis en regard avec les vases compiégnois. En marge de l'exposition, le musée organisera une riche programmation pour tous les publics, comprenant entre autres une journée de rencontres à son ouverture, une conférence, une journée d'études comme des ateliers tout au long de l'exposition. Un jeu de cartes à collectionner, imaginé par les musées de Compiègne pour l'occasion, sera à collectionner gratuitement dans Compiègne chez les commer?ants et institutions partenaires.
Venez vivre les Grandes Aventures de Chaalis au Domaine de Chaalis ! Partez à la découverte des ruines de l'abbaye royale fondée au XIIe siècle, de la chapelle ornée par Primatice, et de la collection exceptionnelle d'oeuvres d'art du château. Profitez d'une journée riche en visites, chasse au trésor et fauconnerie dans un cadre enchanteur avec son parc et sa célèbre roseraie.
Billet 1 jour, valable à la date choisie, de 10h à 18h.Gratuit pour les moins de 7 ansDe pierres, d’art et de roses Venez admirer les ruines de l'abbaye royale fondée au XIIe siècle, la chapelle, véritable Sixtine française, décorée à la Renaissance par Primatice ainsi que la prodigieuse collection de près de 4000 oeuvres et objets d'art rassemblée dans le château par sa dernière propriétaire, Nélie Jacquemart-André, sans oublier le parc et sa célèbre roseraie !Le domaine de Chaalis, situé à 40km au nord de Paris, s’étend sur plus de 1000 hectares de terres, de forêts et d’étangs. Fondée en 1137 par le roi Louis VI, cette abbaye est devenue au cours du XIXe siècle un lieu de séjour imprégné par le Romantisme.À côté du bâtiment conventuel aménagé en demeure de plaisance s’élèvent les ruines de l’ancienne église, la chapelle peinte à fresque par Le Primatice au XVIe siècle et la célèbre roseraie que garde le mur élevé par l’architecte Serlio. En 1902, Chaalis fut acquis par Nélie Jacquemart-André, qui restaura le domaine et y rassembla une collection de près de 4000 œuvres et objets d’art.À sa mort, survenue en 1912, elle légua Chaalis et son hôtel parisien à l’Institut de France, qui s’attache depuis, à conserver et à restaurer ce patrimoine exceptionnel tout en l’ouvrant au plus grand nombre.
Le musée de la Vénerie de Senlis propose pour la quatrième année consécutive une exposition destinée au jeune public. « Haut comme trois pommes : le musée à hauteur d’enfants. Il était une forêt » explore l’imaginaire occidental de la forêt. La forêt n’est jamais silencieuse : elle nous raconte sans cesse des histoires. L’exposition remonte aux origines de nos croyances : la forêt, habitée par Diane et d’autres divinités de l’Antiquité, devient au Moyen Âge le lieu des miracles et des apparitions. Saint Hubert y croise un cerf coiffé de la Croix. Pourtant, on se méfie des bois car la loi des hommes ne s’y applique pas. Quoique l’on fasse, la forêt demeure sauvage. Elle devient peu à peu le décor des contes et légendes : Le Petit Poucet comme le Petit Chaperon rouge s’y perdent, les licornes, les fées et les dragons s’y reposent, la Bête du Gévaudan y rôde. On croit fermement en la présence d’un Petit Peuple facétieux, parfois cruel, et on met en garde voyageurs et enfants. Aujourd’hui, la forêt est un enjeu économique et écologique : cela fait des siècles qu’elle est protégée, administrée et entretenue par l’État. Mais cela ne fait que quelques décennies que l’on s’y promène et que l’on apprend à connaître son écosystème. L’histoire de la forêt est aussi celle de nos loisirs. L’accrochage de l’exposition est adapté aux enfants, qui peuvent la parcourir munis d’un livret-jeux à faire en famille (à partir de 7 ans). Un espace de repos, de dessins et de lecture est aménagé dans la salle. Plein tarif : 7 €Tarif réduit : 4 €Gratuit pour les moins de 25 ans.
Tout l'été, rendez-vous au musée pour des activités pour les petits et les grands ! Tout l'été, le musée de la Grande Guerre vous propose des activités à partager en famille pour comprendre l'histoire de la Première Guerre mondiale de façon pédagogique et ludique. Au programme : des ateliers pour les enfants les mercredis et les vendredis ; des visites guidées les samedis et les dimanches ainsi que des séances de sport gratuites dans la parc du musée. Et toujours nos expositions temporaires : Ne manquez pas le passage de la flamme Olympique le 20 juillet au musée. Le musée sera exceptionnellement fermé ce jour là. Notez dès maintenant la fermeture annuelle du 19 août au 6 septembre. Réouverture pour le week-end de reconstitution historique de la Grande Guerre le 7 et 8 septembre.
L'exposition 'Des Collections révélées' au Musée Jeanne d'Aboville à La Fère vous plonge dans le délicat travail des restaurateurs-conservateurs. Découvrez les avant/après spectaculaires des oeuvres restaurées et appréhendez les problématiques de conservation. Glissez-vous dans la peau d'un restaurateur de manière ludique pour déceler les altérations sur une oeuvre non-restaurée.
Billet d'entrée pour la visite de l'abbaye valable la journée.Horaires d’ouvertureDu 1er novembre au 31 mars: mardi, mercredi, jeudi, vendredi : 10h-12h45| 13h45-17h30 - Samedi, dimanche : 10h-17h30Du 1er avril au 31 octobre : du lundi au vendredi : 10h-12h45| 13h45-18h - samedi, dimanche : 10h-18hTarif enfant : de 7 à 18 ans Gratuit pour les moins de 7 ans Forfait famille : 2 adultes et leurs enfants de 7 à 18 ans (2 enfants minimum)L’Abbaye de Royaumont est un témoignage exceptionnel de la vie monastique et de l’architecture religieuse du Moyen Age. EN 1228, le jeune Louis IX, futur Saint Louis, et sa mère Blanche de Castille fondent l’abbaye de Royaumont, aujourd’hui encore la plus grande abbaye cistercienne d’Île-de-France, ou il séjournera à de nombreuses reprises.Classés Monument Historique, les bâtiments de l’abbaye sont disposés autour du superbe cloître dont les galeries desservaient les lieux de travail et de prière des moines. L’abbaye possède l’un des plus beaux exemples de réfectoire gothique en France. L’abbatiale, détruite à la Révolution, a laissé place à des ruines romantiques, qui suggèrent aux visiteurs ses proportions grandioses.Royaumont est aujourd’hui un centre international pour les artistes de la musique et de la danse qui propose chaque année à son public des concerts, des rencontres, des ateliers de pratique artistique.Un parcours de visite numérique et pédagogique permet d’enrichir la visite avec des panneaux interactifs. Ce parcours propose des textes, photos et vidéos, en français, anglais, espagnol et mandarin. Il est également décliné pour les enfants.Voiture : parking à proximité Navettes depuis la gare de Luzarches le week-end (Ligne H du transilien, sur certains créneaux) Accès+ Parking cyclosAccès partiel aux personnes en fauteuil
Le refuge du Petit-Saint-Vincent, écrin de la cité médiévale, accueille en saison de nombreux artisans au sein de la Maison des Métiers d'art; ils sauront vous faire partager leur passion de l’excellence et du beau au travers d'exposition de leurs réalisations et d’ateliers de démonstration !RV dans les locaux du Petit-Saint-Vincent chaque jeudi de 9h30 à 19h !
L'exposition 'Athabaskan' vous plonge dans l'univers captivant d'Alain Robet, dessinateur de bande dessinée et peintre passionné d'histoire maritime. Découvrez ses dessins originaux de l'ouvrage 'Athabaskan - Une pierre face à la mer', relatant l'épopée des marins canadiens de l'Athabaskan en 1944. Explorez la rencontre entre les cultures amérindiennes et celtes à travers cette exposition immersive. Plongez au c'ur de l'histoire au Mémorial Fort Montbarey à Brest.
Ce n'est que bien après s'être égarée à l'école des Beaux Arts de Bourges et l'obtention de son DNAP, où Alexandra Pasqualini oscillait entre volume et peinture, qu'elle découvre la fabrication de papier. Aujourd'hui Alexandra Pasqualini a 52 ans et travaille comme animatrice péri scolaire qui lui laisse beaucoup de temps pour ses créations personnelles. Sa vie artistique se divise en trois périodes. Son immersion à l'école des Beaux Arts de Bourges jusque à ses 22 ans suivie d'une rencontre amoureuse de là naissent 2 enfants, puis une première découverte en 2008 en menant des ateliers de papier recyclé auprès des enfants où elle découvre une technique de base de la fabrication de papier. Ensuite un troisième enfant en 2012, c'est en 2018 qu'Alexandra reprend son expérimentation de la matière avec toutes sortes de matériaux : légumes, végétaux...pour réaliser ses feuilles de papier. Aujourd'hui, Alexandra Pasqualini fabrique principalement du papier recyclé, auquel elle ajoute de la terre, des végétaux. Les feuilles de papier lui servent de support pour ses dessins à l'encre. Alexandra est sensible au réchauffement climatique, à la consommation abusive du bois, à la déforestation. Aussi, son travail tend à rendre hommage à l'Arbre et ainsi amener à une prise de conscience de l'homme à préserver nos forêts. L'oeuvre d'Alexandra Pasqualini est une quête affective qu'elle souhaite transmettre au public, par le biais du support papier tel un cycle de l'Arbre vivant à l'Arbre devenu papier. Le papier devient mémoire de l'Arbre. Alors Alexandra expérimente la technique avec des légumes, des végétaux, du carton, du coton, afin d'obtenir des feuilles. Une pate à papier qu'elle fabrique dans une cuve qu'elle étale sur des petites planches qu'elle pressent, puis elle réassemble ses feuilles pour faire de grandes surfaces de vie. Une opération qu'elle recommence plusieurs fois à base de papier recyclé. Ensuite elle superpose les feuilles de papier, les déchire, les écorche, les imbibe d'encres, de café, de teintes végétales. Des parfums de forêts émanent de sa bouillie de papier. Alors, renaît la nature, cet espace qu'Alexandra explore, les sens aux aguets, à la rencontre d'hÊtres. Elle ne cherche pas à reproduire les arbres, d'autres le font magnifiquement. Elle est en recherche émotionnelle. Cette ivresse émanant d'un seul trait de dessin dynamique, ou d'une veine de papier dévoile sous l'encre. Cet instant où il faut lever le pinceau au risque de noyer l'émotion. Alexandra ne sait ni si elle est peintre, dessinatrice, artiste ou artisan, ni de quel courant artistique elle s'inspire. Elle est celle, celui qui ne rentre dans aucune case. Alexandra suit le vent dans les arbres, la samare qui virevolte et germe au gré des rencontres notamment lors d'ateliers papier qu'elle anime. Alexandra est celle qui goûte à la liberté qu'elle retrouve en forêt où son être exulte. Une liberté, dû en partie, à la prise de conscience de préserver l'environnement naturel, nos bois... Et si parfois des champignons incrustent son tableau, c'est encore pour observer la vie. Site web : https://g-rdv.com Infos réservation : Le vernissage est prévu le 12/07/2024 à 18h, nous vous remercions de vous inscrire pour votre venue à e@g-rdv.com.