Du 15 juin au 29 décembre 2024, le musée de Compiègne Antoine Vivenel présente «
SO GREEK ! Lumière sur la collection de vases grecs d'Antoine Vivenel », une
exposition pensée comme une invitation à la (re)découverte des céramiques
grecques, fleuron de ses collections, deuxième plus Importante après celle du
musée du Louvre.
Du quotidien à la mythologie, du banquet aux travaux d'Héraclès, de scènes de
guerre en scènes de jeux, incontournables en cette année olympique, les oeuvres
présentées emmènent qui les rencontre dans l'univers vivant et passionnant de la
Grèce antique dévoilé au détour de leur imagerie étonnante et prodigieuse,
parfois complexe, mais toujours d'une saisissante beauté. Des histoires de
femmes, d'hommes, de dieux, de monstres et de héros qui se dévoilent au fil de
l'iconographie fascinante des vases auxquels l'exposition a choisi de donner
voix.
Prévue du 15 juin au 29 décembre 2024, l'exposition « SO GREEK ! Lumière sur la
collection de vases grecs d'Antoine Vivenel », organisée dans la salle dédiée du
Centre Antoine Vivenel (CAV), met en lumière le fleuron des collections du musée
Antoine Vivenel rassemblant la deuxième plus importante collection de vases
grecs après celle du musée du Louvre. Adressée à tous les publics, celle-ci est
programmée avec l'intention de rendre une partie de cette riche collection
accessible dans l'attente de la réouverture, dans le parcours permanent du
musée, de la salle des Antiquités méditerranéennes fermée pour rénovation.
Immersive mais sans artifice, l'exposition fait la part belle aux dieux, héros
et monstres visibles sur les vases : un voyage dans le temps guidé par la voix
des peintres qui les ont exécutés avec talent et minutie.
La scénographie, sensible et originale, nous invite dans l'univers de
l'illustratrice Manon Mahdavi, qui a également réalisé un diorama en 3D du
Banquet présenté à l'Office du tourisme en écho à l'exposition, ainsi qu'une
illustration des Jeux d'Athènes. Ces derniers sont évoqués à travers la
présentation des vases panathénaïques que le musée conserve. Ces amphores
remplies d'huile provenant des oliviers sacrés d'Athéna étaient jadis remises
aux vainqueurs. Elles sont ornées de scènes illustrant certaines épreuves
représentées sur l'une des faces, l'autre face présentant Athéna, la déesse
tutélaire de la cité. Au fil du parcours, le visiteur est plongé dans
l'atmosphère du Banquet annon?ant la présence du dieu Dionysos et reconstitué
pour proposer une expérience plus immersive ; puis dans celui du demi-dieu
Héraclès, le héros favori des potiers d'Athènes. Un peu plus loin, le voici
invité à la découverte d'autres thèmes (le quotidien des Grecs, la guerre...)
développés à travers les scènes peintes sur les vases, dont l'étude est
actuellement renouvelée par une équipe de chercheurs de l'Institut National de
l'Histoire de l'Art (INHA) objectivant la réactualisation des connaissances que
nous en avons. Les résultats de leurs travaux seront présentés à l'occasion
d'une journée d'études prévue en octobre 2024 et nourriront le nouveau catalogue
en projet.
Ola Mirecka, People from Greek Vases
Très attaché aux ponts, toujours signifiants, qui peuvent être établis entre ses
collections et la création contemporaine, le musée a convié l'artiste polonaise
Ola Mirecka à présenter des vases grecs modernes issus de son projet « People
from Greek Vases » vases illustrés de scènes de la vie contemporaine, mis en
regard avec les vases compiégnois. En marge de l'exposition, le musée organisera
une riche programmation pour tous les publics, comprenant entre autres une
journée de rencontres à son ouverture, une conférence, une journée d'études
comme des ateliers tout au long de l'exposition. Un jeu de cartes à
collectionner, imaginé par les musées de Compiègne pour l'occasion, sera à
collectionner gratuitement dans Compiègne chez les commer?ants et institutions
partenaires.
![Événement](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fculturius-prod-web-app-photo-cache-s3.s3.eu-west-1.amazonaws.com%2Fphoto_original_filter%2F668a504e78a23306005501.jpeg&w=3840&q=75)
Viollet-le-Duc et l'Archéologie
07juli
-08september
7 Chemin De L'école, 60350 Pierrefonds, France
Description
Laissez-vous conter la mémoire du château de Pierrefonds à travers l'exposition 'Viollet-le-Duc et l'Archéologie' à Pierrefonds, Hauts de France. Découvrez des objets archéologiques et des documents iconographiques inédits, révélés pour la première fois, accompagnés d'un dispositif de médiation ludique et interactif. Plongez dans l'univers de l'architecte-restaurateur Eugène Viollet-le-Duc, passionné d'archéologie, et explorez les vestiges et artefacts témoins d'un passé oublié. Une exposition fascinante sous le commissariat de Thierry Galmiche, Marie-Laure Le Brazidec, Vincent Legros et Arnaud Timbert.
Archéologie
Information sur la date
Du vendredi 14 juin 2024 au dimanche 8 septembre 2024
Billets
Info:
9.00 €
1 Photo
Événements suggérés
Venez vivre les Grandes Aventures de Chaalis au Domaine de Chaalis ! Partez à la
découverte des ruines de l'abbaye royale fondée au XIIe siècle, de la chapelle
ornée par Primatice, et de la collection exceptionnelle d'oeuvres d'art du
château. Profitez d'une journée riche en visites, chasse au trésor et
fauconnerie dans un cadre enchanteur avec son parc et sa célèbre roseraie.
Billet 1 jour, valable à la date choisie, de 10h à 18h.Gratuit pour les moins de
7 ansDe pierres, d’art et de roses Venez admirer les ruines de l'abbaye royale
fondée au XIIe siècle, la chapelle, véritable Sixtine française, décorée à la
Renaissance par Primatice ainsi que la prodigieuse collection de près de 4000
oeuvres et objets d'art rassemblée dans le château par sa dernière propriétaire,
Nélie Jacquemart-André, sans oublier le parc et sa célèbre roseraie !Le domaine
de Chaalis, situé à 40km au nord de Paris, s’étend sur plus de 1000 hectares de
terres, de forêts et d’étangs. Fondée en 1137 par le roi Louis VI, cette abbaye
est devenue au cours du XIXe siècle un lieu de séjour imprégné par le
Romantisme.À côté du bâtiment conventuel aménagé en demeure de plaisance
s’élèvent les ruines de l’ancienne église, la chapelle peinte à fresque par Le
Primatice au XVIe siècle et la célèbre roseraie que garde le mur élevé par
l’architecte Serlio. En 1902, Chaalis fut acquis par Nélie Jacquemart-André, qui
restaura le domaine et y rassembla une collection de près de 4000 œuvres et
objets d’art.À sa mort, survenue en 1912, elle légua Chaalis et son hôtel
parisien à l’Institut de France, qui s’attache depuis, à conserver et à
restaurer ce patrimoine exceptionnel tout en l’ouvrant au plus grand nombre.
Le musée de la Vénerie de Senlis propose pour la quatrième année consécutive une
exposition destinée au jeune public. « Haut comme trois pommes : le musée à
hauteur d’enfants. Il était une forêt » explore l’imaginaire occidental de la
forêt. La forêt n’est jamais silencieuse : elle nous raconte sans cesse des
histoires. L’exposition remonte aux origines de nos croyances : la forêt,
habitée par Diane et d’autres divinités de l’Antiquité, devient au Moyen Âge le
lieu des miracles et des apparitions. Saint Hubert y croise un cerf coiffé de la
Croix. Pourtant, on se méfie des bois car la loi des hommes ne s’y applique pas.
Quoique l’on fasse, la forêt demeure sauvage. Elle devient peu à peu le décor
des contes et légendes : Le Petit Poucet comme le Petit Chaperon rouge s’y
perdent, les licornes, les fées et les dragons s’y reposent, la Bête du Gévaudan
y rôde. On croit fermement en la présence d’un Petit Peuple facétieux, parfois
cruel, et on met en garde voyageurs et enfants. Aujourd’hui, la forêt est un
enjeu économique et écologique : cela fait des siècles qu’elle est protégée,
administrée et entretenue par l’État. Mais cela ne fait que quelques décennies
que l’on s’y promène et que l’on apprend à connaître son écosystème. L’histoire
de la forêt est aussi celle de nos loisirs. L’accrochage de l’exposition est
adapté aux enfants, qui peuvent la parcourir munis d’un livret-jeux à faire en
famille (à partir de 7 ans). Un espace de repos, de dessins et de lecture est
aménagé dans la salle.
Plein tarif : 7 €Tarif réduit : 4 €Gratuit pour les moins de 25 ans.
Tout l'été, rendez-vous au musée pour des activités pour les petits et les
grands !
Tout l'été, le musée de la Grande Guerre vous propose des activités à partager
en famille pour comprendre l'histoire de la Première Guerre mondiale de façon
pédagogique et ludique.
Au programme : des ateliers pour les enfants les mercredis et les vendredis ;
des visites guidées les samedis et les dimanches ainsi que des séances de sport
gratuites dans la parc du musée.
Et toujours nos expositions temporaires :
Ne manquez pas le passage de la flamme Olympique le 20 juillet au musée. Le
musée sera exceptionnellement fermé ce jour là.
Notez dès maintenant la fermeture annuelle du 19 août au 6 septembre.
Réouverture pour le week-end de reconstitution historique de la Grande Guerre le
7 et 8 septembre.
L'exposition 'Des Collections révélées' au Musée Jeanne d'Aboville à La Fère
vous plonge dans le délicat travail des restaurateurs-conservateurs. Découvrez
les avant/après spectaculaires des oeuvres restaurées et appréhendez les
problématiques de conservation. Glissez-vous dans la peau d'un restaurateur de
manière ludique pour déceler les altérations sur une oeuvre non-restaurée.
Billet d'entrée pour la visite de l'abbaye valable la journée.Horaires
d’ouvertureDu 1er novembre au 31 mars: mardi, mercredi, jeudi, vendredi :
10h-12h45| 13h45-17h30 - Samedi, dimanche : 10h-17h30Du 1er avril au 31 octobre
: du lundi au vendredi : 10h-12h45| 13h45-18h - samedi, dimanche : 10h-18hTarif
enfant : de 7 à 18 ans Gratuit pour les moins de 7 ans Forfait famille : 2
adultes et leurs enfants de 7 à 18 ans (2 enfants minimum)L’Abbaye de Royaumont
est un témoignage exceptionnel de la vie monastique et de l’architecture
religieuse du Moyen Age. EN 1228, le jeune Louis IX, futur Saint Louis, et sa
mère Blanche de Castille fondent l’abbaye de Royaumont, aujourd’hui encore la
plus grande abbaye cistercienne d’Île-de-France, ou il séjournera à de
nombreuses reprises.Classés Monument Historique, les bâtiments de l’abbaye sont
disposés autour du superbe cloître dont les galeries desservaient les lieux de
travail et de prière des moines. L’abbaye possède l’un des plus beaux exemples
de réfectoire gothique en France. L’abbatiale, détruite à la Révolution, a
laissé place à des ruines romantiques, qui suggèrent aux visiteurs ses
proportions grandioses.Royaumont est aujourd’hui un centre international pour
les artistes de la musique et de la danse qui propose chaque année à son public
des concerts, des rencontres, des ateliers de pratique artistique.Un parcours de
visite numérique et pédagogique permet d’enrichir la visite avec des panneaux
interactifs. Ce parcours propose des textes, photos et vidéos, en français,
anglais, espagnol et mandarin. Il est également décliné pour les enfants.Voiture
: parking à proximité Navettes depuis la gare de Luzarches le week-end (Ligne H
du transilien, sur certains créneaux) Accès+ Parking cyclosAccès partiel aux
personnes en fauteuil
Le refuge du Petit-Saint-Vincent, écrin de la cité médiévale, accueille en
saison de nombreux artisans au sein de la Maison des Métiers d'art; ils sauront
vous faire partager leur passion de l’excellence et du beau au travers
d'exposition de leurs réalisations et d’ateliers de démonstration !RV dans les
locaux du Petit-Saint-Vincent chaque jeudi de 9h30 à 19h !
L'exposition 'Athabaskan' vous plonge dans l'univers captivant d'Alain Robet,
dessinateur de bande dessinée et peintre passionné d'histoire maritime.
Découvrez ses dessins originaux de l'ouvrage 'Athabaskan - Une pierre face à la
mer', relatant l'épopée des marins canadiens de l'Athabaskan en 1944. Explorez
la rencontre entre les cultures amérindiennes et celtes à travers cette
exposition immersive. Plongez au c'ur de l'histoire au Mémorial Fort Montbarey à
Brest.
Ce n'est que bien après s'être égarée à l'école des Beaux Arts de Bourges et
l'obtention de son DNAP, où Alexandra Pasqualini oscillait entre volume et
peinture, qu'elle découvre la fabrication de papier. Aujourd'hui Alexandra
Pasqualini a 52 ans et travaille comme animatrice péri scolaire qui lui laisse
beaucoup de temps pour ses créations personnelles.
Sa vie artistique se divise en trois périodes. Son immersion à l'école des Beaux
Arts de Bourges jusque à ses 22 ans suivie d'une rencontre amoureuse de là
naissent 2 enfants, puis une première découverte en 2008 en menant des ateliers
de papier recyclé auprès des enfants où elle découvre une technique de base de
la fabrication de papier. Ensuite un troisième enfant en 2012, c'est en 2018
qu'Alexandra reprend son expérimentation de la matière avec toutes sortes de
matériaux : légumes, végétaux...pour réaliser ses feuilles de papier.
Aujourd'hui, Alexandra Pasqualini fabrique principalement du papier recyclé,
auquel elle ajoute de la terre, des végétaux. Les feuilles de papier lui servent
de support pour ses dessins à l'encre. Alexandra est sensible au réchauffement
climatique, à la consommation abusive du bois, à la déforestation. Aussi, son
travail tend à rendre hommage à l'Arbre et ainsi amener à une prise de
conscience de l'homme à préserver nos forêts. L'oeuvre d'Alexandra Pasqualini
est une quête affective qu'elle souhaite transmettre au public, par le biais du
support papier tel un cycle de l'Arbre vivant à l'Arbre devenu papier. Le papier
devient mémoire de l'Arbre.
Alors Alexandra expérimente la technique avec des légumes, des végétaux, du
carton, du coton, afin d'obtenir des feuilles. Une pate à papier qu'elle
fabrique dans une cuve qu'elle étale sur des petites planches qu'elle pressent,
puis elle réassemble ses feuilles pour faire de grandes surfaces de vie. Une
opération qu'elle recommence plusieurs fois à base de papier recyclé. Ensuite
elle superpose les feuilles de papier, les déchire, les écorche, les imbibe
d'encres, de café, de teintes végétales. Des parfums de forêts émanent de sa
bouillie de papier. Alors, renaît la nature, cet espace qu'Alexandra explore,
les sens aux aguets, à la rencontre d'hÊtres.
Elle ne cherche pas à reproduire les arbres, d'autres le font magnifiquement.
Elle est en recherche émotionnelle. Cette ivresse émanant d'un seul trait de
dessin dynamique, ou d'une veine
de papier dévoile sous l'encre. Cet instant où il faut lever le pinceau au
risque de noyer l'émotion.
Alexandra ne sait ni si elle est peintre, dessinatrice, artiste ou artisan, ni
de quel courant artistique elle s'inspire. Elle est celle, celui qui ne rentre
dans aucune case. Alexandra suit le vent dans les arbres, la samare qui
virevolte et germe au gré des rencontres notamment lors d'ateliers papier
qu'elle anime. Alexandra est celle qui goûte à la liberté qu'elle retrouve en
forêt où son être exulte.
Une liberté, dû en partie, à la prise de conscience de préserver l'environnement
naturel, nos bois...
Et si parfois des champignons incrustent son tableau, c'est encore pour observer
la vie.
Site web : https://g-rdv.com
Infos réservation :
Le vernissage est prévu le 12/07/2024 à 18h, nous vous remercions de vous
inscrire pour votre venue à e@g-rdv.com.